10-18 Grands détectives

aposiopèse a écrit:alors mes parents ont acheté presque toute la série des Jackson Braun "le chat qui..." (je leur ai piqués) Les premiers tomes sont bien, j'aime beaucoup les personnages et l'évolution de leurs relations, ainsi que les descriptions de la vie locale, les articles de journaux humorisitiques,etc. j'ai bien aimé "le chat qui voyait rouge" notamment. Par contre, dans les derniers tomes, l'intrigue policière passe à l'arrière-plan, l'auteur se perd dans les petites histoires amoureuses du "détective" et gagatise un peu trop sur les chats !

leyade a écrit:Ceux qui se passent en angleterre victorienne aussi.

Nestya a écrit:

leyade a écrit:Ceux qui se passent en angleterre victorienne aussi.

C'est une période que j'aime beaucoup, je crois que je vais commencer par ceux qui s'y passent.

leyade a écrit:

Nestya a écrit:

leyade a écrit:Ceux qui se passent en angleterre victorienne aussi.

C'est une période que j'aime beaucoup, je crois que je vais commencer par ceux qui s'y passent.

je ne suis pas sûre, mais je crois que j'ai dévoré celui là :
[url=http://www.10-18.fr/site/le_mystere_de_callander_square_&100&9782264035240.html

Qu'est-ce qui pousse un écrivain vers les histoires criminelles ? Très souvent, le fait d'y avoir été directement confronté, dans sa vie professionnelle ou privée. Pour la romancière britannique Anne Perry, 72 ans, l'implication va cependant bien plus loin que le simple témoignage. Dans un documentaire allemand de 70', "Anne Perry Interiors", ce respectable auteur d'une cinquantaine de romans policiers, situés à l'époque Victorienne ou durant la Grande Guerre, et vendus à 25 millions d'exemplaires dans le monde, explique comment et pourquoi, à l'âge de 15 ans, elle a commis un meurtre...
Enfant, Anne Perry, de son vrai nom Juliet Hulme, souffre de la tuberculose. Ses parents l'envoient en sanatorium à l'étranger, puis décident de la changer définitivement de climat. Elle a dix ans lorsqu'ils partent pour la Nouvelle-Zélande où son père, Henry Hulme, physicien de renom, a accepté un poste universitaire près de Christchurch. Dans sa classe, Anne se lie alors d'une amitié exclusive et passionnée avec l'une de ses camarades, Pauline Parker. Lorsque les parents d'Anne se séparent, ils pensent la renvoyer en Afrique du Sud, où elle a déjà été soignée. Pauline veut la suivre, mais sa propre mère, Honora Parker, s'y oppose.
Les deux adolescentes veulent se venger. Un jour où elles accompagnent Honora en promenade, elles la battent à mort, dans un parc public, la frappant à 45 reprises à l'aide d'une brique enveloppée dans un bas. Anne et Pauline ont 16 ans. La découverte d'un journal intime révèle la préméditation. Enfermée dans une prison de haute sécurité, Anne passe trois mois à l'isolement. Les deux jeunes filles seront libérées au bout de cinq ans, à condition de ne jamais reprendre contact ni se revoir.
Extradée au Royaume-Uni, Anne changera d'identité pour prendre le nom de son beau-père. Depuis vingt ans, elle s'est installée dans la campagne écossaise, près d'Inverness, entourée de son frère, de sa secrétaire particulière, d'un jardinier et d'un chauffeur chargé de sa Rolls. L'histoire des deux adolescentes meutrières a inspiré au cinéaste néo-zélandais Peter Jackson le film "Heavenly Creatures" ("Creatures célestes"), qui révéla Kate Winslet en 1994. Mais pour relier ce faits divers à Anne Perry, il a fallu attendre le documentaire de Dana Linkiewicz, dont la diffusion commence à sortir du circuit des festivals et des chaînes câblées.