- InvitéeHrÉrudit
Je ne suis pas à l'aise avec cette terminologie et à longueur de séquences weblettres, je retrouve ces notions pour les nouvelles de Maupasant entre autres, j'ai l'impression de plaquer ces trucs sur les textes, les élèves répètent comme des robots et je suis lasse, c'est vide, comment vous débrouillez-vous pour les contourner ? merci, si Véronique passe par là...
- thrasybuleDevin
Je pense que les lectures de Propp et de Greimas sont passionnates comme éclairages àun niveau universitaire: au collège, ça donne lieu à des tautologies navrantes ou à des verbiages fumeux juste bonà mettre au cabinet
- retraitéeDoyen
Où et quand se passent les événements? C'est clair pour tous.
- dandfNiveau 9
Pour le cadre je fais comme Retraitée
Par contre le schéma narratif je leur en parle un peu non pas pour l'analyse des textes mais pour les expressions écrites.J'ai l'impression, peut être à tort, que ça les aide à construire leur rédac et à organiser leur brouillon, leurs paragraphes...Enfin c'est une impression...
Par contre le schéma narratif je leur en parle un peu non pas pour l'analyse des textes mais pour les expressions écrites.J'ai l'impression, peut être à tort, que ça les aide à construire leur rédac et à organiser leur brouillon, leurs paragraphes...Enfin c'est une impression...
- RobinFidèle du forum
Cadre spatio-temporel = où et quand l'histoire se déroulé-t-elle ?
L'élément perturbateur est une notion effectivement intéressante pour expliquer le passage de l'imparfait descriptif et d'habitude au passé simple.
L'élément perturbateur est une notion effectivement intéressante pour expliquer le passage de l'imparfait descriptif et d'habitude au passé simple.
- doctor whoDoyen
Le schéma narratif, éventuellement pour le conte. Ce n'est pas un hasard si Greimas a repris les analyses de Propp sur les contes russes.
Mais à part les mots "péripéties" et "dénouement", on oublie le reste du voc.
Mieux vaut présenter la situation initiale comme un attribut spécifique d'un certain type de récits (contes, certains apologues), que comme un invariant valable pour tous les récits. La narratologie pourra attendre.
Mais à part les mots "péripéties" et "dénouement", on oublie le reste du voc.
Mieux vaut présenter la situation initiale comme un attribut spécifique d'un certain type de récits (contes, certains apologues), que comme un invariant valable pour tous les récits. La narratologie pourra attendre.
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- AnguaGrand sage
retraitée a écrit:Où et quand se passent les événements? C'est clair pour tous.
Idem.
Et pour ce qui est schéma narratif, cette année j'ai décidé de le rappeler à l'oral et de le noter à la fin d'une séance où j'ai demandé à mes 5e de résumer le fabliau en 5 phrases... Insistant bien sur l'idée qu'une histoire a un début, une fin, des trucs au milieu (rassurez-vous, je développe en classe!), et zou, on essaie de reformuler le texte lu. Et à la toute fin, on note la terminologie, mais je veux et exige qu'ils comprennent comment est bâtie une histoire plutôt que comment s'appelle ses constituants.
- totoroMonarque
Dans un manuel de 3e pro, il y a une terminologie un peu différente: situation de départ et élément déclencheur. Je trouve ça plus concret pour les gamins. Par contre pour l'élément de résolution, il n'y pas de changement et je trouve que cette notion de résolution n'est pas claire. Mais je n'ai pas mieux.
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