- PatateFidèle du forum
Le Principal du Secondaire
François Perdir
QUi a lu, qui connaît? C'est un principal qui raconte une année de sa vie au collège. Je suis curieuse, j'ai bien envie de le lire, mais je ne sais pas ce que ça vaut...
François Perdir
QUi a lu, qui connaît? C'est un principal qui raconte une année de sa vie au collège. Je suis curieuse, j'ai bien envie de le lire, mais je ne sais pas ce que ça vaut...
- JohnMédiateur
Je ne connais pas, c'est vrai que ça éveille la curiosité.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- GrypheMédiateur
Tu as un lien ou une info plus précise, c'est quelqu'un qui écrit sous pseudo ?Patate a écrit:Le Principal du Secondaire
François Perdir
Je ne connais pas, mais veux bien en savoir plus.
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- PatateFidèle du forum
Je n'arrive pas à mettre le lien. Je vous copie-colle le résumé:
Le principal du Secondaire
Un chef d’établissement décrit le quotidien
d’un collège dit « tranquille »
de François PERDIR
Qu’est-ce qui peut pousser un chef d’établissement à franchir « clandestinement » l’opaque rideau de fumée du sacro-saint « devoir de réserve » pour décrire son quotidien professionnel ?
Certainement pas l’envie de donner des leçons, la responsabilité de la fonction guérit vite de cette lubie. Absolument pas le besoin de se plaindre d’un métier passionnant puisqu’il premet d’être en contact permanent avec l’humain et une jeunesse déroutée, en perte de valeur et en recherche d’elle-même.
Mais tout simplement le désir de faire partager le ressenti d’une année scolaire complète, pour nous aider à mieux comprendre ce qui constitue le principal et le secondaire d’un métier qui, finalement, n’échappe pas aux stéréotypes et aux idées toutes faites.
On imagine souvent un chef d’établissement bénéficiant de beaucoup de prérogatives, d’un pouvoir presque discrétionnaire, pourtant, au fil du texte, on découvre un « fonctionnaire d’autorité » bien seul face à l’ultime décision à prendre...
Peut-être, enfin, l’envie de montrer, de récits en réflexions, d’anecdotes en explications, que derrière les difficultés de l’école, c’est le miroir d’une société en crise que l’on découvre.
Ni recettes, ni propositions de réformes, donc, mais le constat d’un état des lieux de notre système éducatif vu, mois par mois, à travers le regard subjectif mais lucide de l’un de ses cadres.
J'ai lu aussi dans une critique que ce principal raconte l'inertie de l'administration, témoigne de parents dépassés et de profs incompétents. Il se plaint d'être constamment sujet aux reproches de tout le monde, de tous les côtés.
Le principal du Secondaire
Un chef d’établissement décrit le quotidien
d’un collège dit « tranquille »
de François PERDIR
Qu’est-ce qui peut pousser un chef d’établissement à franchir « clandestinement » l’opaque rideau de fumée du sacro-saint « devoir de réserve » pour décrire son quotidien professionnel ?
Certainement pas l’envie de donner des leçons, la responsabilité de la fonction guérit vite de cette lubie. Absolument pas le besoin de se plaindre d’un métier passionnant puisqu’il premet d’être en contact permanent avec l’humain et une jeunesse déroutée, en perte de valeur et en recherche d’elle-même.
Mais tout simplement le désir de faire partager le ressenti d’une année scolaire complète, pour nous aider à mieux comprendre ce qui constitue le principal et le secondaire d’un métier qui, finalement, n’échappe pas aux stéréotypes et aux idées toutes faites.
On imagine souvent un chef d’établissement bénéficiant de beaucoup de prérogatives, d’un pouvoir presque discrétionnaire, pourtant, au fil du texte, on découvre un « fonctionnaire d’autorité » bien seul face à l’ultime décision à prendre...
Peut-être, enfin, l’envie de montrer, de récits en réflexions, d’anecdotes en explications, que derrière les difficultés de l’école, c’est le miroir d’une société en crise que l’on découvre.
Ni recettes, ni propositions de réformes, donc, mais le constat d’un état des lieux de notre système éducatif vu, mois par mois, à travers le regard subjectif mais lucide de l’un de ses cadres.
J'ai lu aussi dans une critique que ce principal raconte l'inertie de l'administration, témoigne de parents dépassés et de profs incompétents. Il se plaint d'être constamment sujet aux reproches de tout le monde, de tous les côtés.
- JohnMédiateur
Gryphe a écrit:c'est quelqu'un qui écrit sous pseudo ?Patate a écrit:Le Principal du Secondaire
François Perdir
François Perdir qui décrit le quotidien d'un principal, il a des chances d'écrire sous pseudo, ou alors il était prédestiné !
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
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