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- ProvenceEnchanteur
Nita a écrit:Plumebleue a écrit:J'essaierai.
Ah, mais c'est possible ! Je regarde les bouillons, et je raye tout ce qui ressemble à une prise de parole.
Bourreau d'enfants! Tu brides leur créativité!
- Thalia de GMédiateur
Personne ne m'a répondu. Je suis de la pâtée ?Thalia de G a écrit:Aurais-je loupé quelque chose ? Le dialogue ce n'est plus en 6e ?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- InvitéP22Niveau 9
Je t'ai plus ou moins répondu en disant que je commençais juste à les faire écrire. J'attaquerai le dialogue à la prochaine séquence.
- InvitéP22Niveau 9
"L’objectif prioritaire à atteindre à la fin de la classe de Sixième est la
rédaction d’un texte narratif correct et cohérent d’une page environ
(une vingtaine de lignes).
L’élève doit pouvoir présenter son texte de manière lisible, avec une
graphie claire et régulière. Il doit veiller à la correction de la langue
et de la ponctuation. Il apprend à organiser son texte en paragraphes
et à ménager des alinéas.
En Sixième, on privilégie la rédaction de textes narratifs dans
lesquels l’élève exerce ses capacités d’invention. Il peut y insérer des
descriptions et des dialogues."
Dans le programme de grammaire, les paroles rapportées n'apparaissent pas, mais bon...
rédaction d’un texte narratif correct et cohérent d’une page environ
(une vingtaine de lignes).
L’élève doit pouvoir présenter son texte de manière lisible, avec une
graphie claire et régulière. Il doit veiller à la correction de la langue
et de la ponctuation. Il apprend à organiser son texte en paragraphes
et à ménager des alinéas.
En Sixième, on privilégie la rédaction de textes narratifs dans
lesquels l’élève exerce ses capacités d’invention. Il peut y insérer des
descriptions et des dialogues."
Dans le programme de grammaire, les paroles rapportées n'apparaissent pas, mais bon...
- Thalia de GMédiateur
Merci Plumebleue d'avoir recherché pour moi.Plumebleue a écrit:"L’objectif prioritaire à atteindre à la fin de la classe de Sixième est la rédaction d’un texte narratif correct et cohérent d’une page environ (une vingtaine de lignes).
L’élève doit pouvoir présenter son texte de manière lisible, avec une graphie claire et régulière. Il doit veiller à la correction de la langue et de la ponctuation. Il apprend à organiser son texte en paragraphes et à ménager des alinéas.
En Sixième, on privilégie la rédaction de textes narratifs dans lesquels l’élève exerce ses capacités d’invention. Il peut y insérer des descriptions et des dialogues."
Dans le programme de grammaire, les paroles rapportées n'apparaissent pas, mais bon...
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- NitaEmpereur
Provence a écrit:Nita a écrit:Plumebleue a écrit:J'essaierai.
Ah, mais c'est possible ! Je regarde les bouillons, et je raye tout ce qui ressemble à une prise de parole.
Bourreau d'enfants! Tu brides leur créativité!
C'est de bonne guerre, leur créativité syntaxique me donne des boutons.
Quand on aura vu le dialogue, ils pourront en écrire.
Et c'est vrai que chez eux, ça remplace le récit.
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A clean house is a sign of a broken computer.
- doctor whoDoyen
Je ne l'interdis plus. Je le limite à une ou deux répliques. C'est comme pour le récit : pas de description complète, mais des détails significatifs.
J'avais lu un article de didactique qui disait que le dialogue est pour les jeunes enfants ce qui tient lieu de récit. Raconter quelque chose, c'est faire parler des personnages. Je ne trouve pas cela idiot : il y a chez les élèves,surtout les plus jeunes, une sorte de subjectivité fondamentale qui fait qu'ils ont du mal à voir les choses (description) et, dans une moindre mesure, les actions (récit).
En outre, je ne suis pas pour structurer une progression de rédaction en cloisonnant ce qu'on appelait les "types de discours".L'idéal, c'est un récit qui parle à l'imagination : donc avec de la description (ils n'aiment pas et il faut les forcer) et avec du dialogue (ils aiment et il faut les limiter).
J'avais lu un article de didactique qui disait que le dialogue est pour les jeunes enfants ce qui tient lieu de récit. Raconter quelque chose, c'est faire parler des personnages. Je ne trouve pas cela idiot : il y a chez les élèves,surtout les plus jeunes, une sorte de subjectivité fondamentale qui fait qu'ils ont du mal à voir les choses (description) et, dans une moindre mesure, les actions (récit).
En outre, je ne suis pas pour structurer une progression de rédaction en cloisonnant ce qu'on appelait les "types de discours".L'idéal, c'est un récit qui parle à l'imagination : donc avec de la description (ils n'aiment pas et il faut les forcer) et avec du dialogue (ils aiment et il faut les limiter).
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
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