- aposiopèseNeoprof expérimenté
voilà, je commence à penser aux vacances et à ma liste de lecture En dehors de ma pile de classiques qui attendent d'être lus ( pas trop le temps en ce moment, je m'endors comme une bûche), j'ai bien envie de lire des livres qui décortiquent les rouages de la littérature enfantine. j'avais dévoré "Psychanalyse des contes de fées", même si je ne suis pas toujours d'accord avec l'auteur, je le concède. Connaissez-vous d'autres ouvrages de ce genre ?
merci d'avance ! (et j'en profiterai pour passer par le bandeau du forum pour commander chez Amazon )
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- PasseroseNeoprof expérimenté
Femmes qui courent avec les loups, de Clarissa Pinkola Estes. C'est génial !
- aposiopèseNeoprof expérimenté
j'ai lu quelques commentaires élogieux sur ce livre, zou, dans le panier ! merci pour la référence.
- OrnellaDoyen
tu pourrais développer Passerose? (mais pas trop me donner envie quand même, je n'ai plus un rond )
- ThalieGrand sage
Pas exactement cela mais cela peut t'intéresser :
Du côté des petites filles est un essai sociologique publié en 1973 par la pédagogue féministe italienne Elena Gianini Belotti L'auteure y met en évidence à l'aide d'une enquête par observation dans les familles, les crèches et les écoles la puissance des stéréotypes enracinés en chacun de nous qui assignent des propriétés et des qualités différentes aux filles et aux garçons dès avant la naissance et tout au long de la prime éducation. Elle signale en outre que toutes les différences relevées manifestent l'infériorité du sexe féminin, les filles ayant finalement une valeur sociale moindre que les garçons après avoir été moins désirées qu'eux.
Du côté des petites filles est un essai sociologique publié en 1973 par la pédagogue féministe italienne Elena Gianini Belotti L'auteure y met en évidence à l'aide d'une enquête par observation dans les familles, les crèches et les écoles la puissance des stéréotypes enracinés en chacun de nous qui assignent des propriétés et des qualités différentes aux filles et aux garçons dès avant la naissance et tout au long de la prime éducation. Elle signale en outre que toutes les différences relevées manifestent l'infériorité du sexe féminin, les filles ayant finalement une valeur sociale moindre que les garçons après avoir été moins désirées qu'eux.
- ThalieGrand sage
ou une réécriture de contes de fées :
Métamorphoses de la reine de Pierrette Fleutiaux
Métamorphoses de la reine de Pierrette Fleutiaux
- CarabasVénérable
Il y a quelques temps, j'avais lu Eloge de la lecture, construction de soi, de Michèle Petit. C'était très intéressant car elle montrait le lien entre certains choix de lecture une situation difficile. L'exemple qui m'avait le plus marquée : un ado qui lisait les Mille et Une Nuits les soirs où sa mère sortait, lors de la guerre du Liban. Il savait qu'elle pouvait être tuée. Comme si le choix de ce livre repoussait d'une journée, d'une nuit encore la mort potentielle de sa mère. L'analyse était vraiment pertinente et pas tirée par les cheveux.
Michèle Petit est bibliothécaire et ses livres s'adressent d'abord à cette profession, mais ils rencontrent un public plus large. (Bon, par contre, laisse tomber De la bibliothèque au droit de cité, ça c'est vraiment pour les professionnels et c'est... ch...)
Michèle Petit est bibliothécaire et ses livres s'adressent d'abord à cette profession, mais ils rencontrent un public plus large. (Bon, par contre, laisse tomber De la bibliothèque au droit de cité, ça c'est vraiment pour les professionnels et c'est... ch...)
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- PasseroseNeoprof expérimenté
Ornella a écrit:tu pourrais développer Passerose? (mais pas trop me donner envie quand même, je n'ai plus un rond )
Juste là maintenant, je file chez la coiffeuse, mais en revenant, promis !
- aposiopèseNeoprof expérimenté
merci pour tous ces titres, je prends note !
- PasseroseNeoprof expérimenté
Voici le résumé de quatrième :
QUATRIÈME DE COUVERTURE :
Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d'un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l'animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu'elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde.
Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C'est à nous d'y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin.
De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. A travers les " fouilles psycho-archéologiques " des ruines de l'inconscient féminin qu'elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d'allumettes.
La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là.
C'est une femme qui a de par toute sa famille une origine très métissée, depuis les Indiens d'Amérique jusqu'aux Hongrois. Elle a assimilé et décortiqué les contes de ces différentes cultures et nous livre des analyses intéressantes et inédites de contes connus (le Petit chaperon rouge, les souliers rouges) mais aussi de tous pays. Cela va toujours dans le sens d'une réflexion féministe, parfois radicale, mais j'ai mieux compris certains cauchemars liés à l'inconscient féminin, qui n'ont toutefois pas le sens "évident" qu'on leur donnerait au premier abord. Le texte est fluide à la lecture mais le contenu dense, il faut prévoir de s'y accrocher.
QUATRIÈME DE COUVERTURE :
Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d'un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l'animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu'elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde.
Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C'est à nous d'y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin.
De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. A travers les " fouilles psycho-archéologiques " des ruines de l'inconscient féminin qu'elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d'allumettes.
La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là.
C'est une femme qui a de par toute sa famille une origine très métissée, depuis les Indiens d'Amérique jusqu'aux Hongrois. Elle a assimilé et décortiqué les contes de ces différentes cultures et nous livre des analyses intéressantes et inédites de contes connus (le Petit chaperon rouge, les souliers rouges) mais aussi de tous pays. Cela va toujours dans le sens d'une réflexion féministe, parfois radicale, mais j'ai mieux compris certains cauchemars liés à l'inconscient féminin, qui n'ont toutefois pas le sens "évident" qu'on leur donnerait au premier abord. Le texte est fluide à la lecture mais le contenu dense, il faut prévoir de s'y accrocher.
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