- liliepingouinÉrudit
Toutes mes excuses si le sujet a déjà été évoqué ailleurs, mais je n'ai pas trouvé.
Je cherche pour des étudiants des textes (littéraires, philosophiques, etc.) sur la réflexion entre intérêts individuels et collectifs, importance accordée à l'individu ou au contraire soumission de celui-ci à la collectivité...
j'aimerais notamment des textes de l'Antiquité
et puis du XVIIIème, traitant en particulier de la recherche individuelle du bonheur.
Mais toute proposition sera bienvenue!
Merci d'avance,
Lilie.
Je cherche pour des étudiants des textes (littéraires, philosophiques, etc.) sur la réflexion entre intérêts individuels et collectifs, importance accordée à l'individu ou au contraire soumission de celui-ci à la collectivité...
j'aimerais notamment des textes de l'Antiquité
et puis du XVIIIème, traitant en particulier de la recherche individuelle du bonheur.
Mais toute proposition sera bienvenue!
Merci d'avance,
Lilie.
- carlottaHabitué du forum
Il y a l'article 3autorité politique" de Diderot qui peut être intéressant, mis en rapport avec un extrait de rousseau sur Le Discourssur le Fondement et les origines de l'inégalité et un extrait de la Déclaration d'indépendance des Etats Unis de Jefferson. L'article "Egalité" de Voltaire dans le Dictionnaire philosophique portatif envisage les rapports humains, la domination etc.
Plusieurs passages du Supplément au Voyage de Bougainville peuvent t'intéresser (celui sur la vision de la société des colons par ex).
Sur la recherche du bonheur au 18eme, il y a tr_s bon bouquin de Mauzi sur le sujet (j'ai oublié le titre mais c'est qq chose comme Le bonheur au 18eme)...
Plusieurs passages du Supplément au Voyage de Bougainville peuvent t'intéresser (celui sur la vision de la société des colons par ex).
Sur la recherche du bonheur au 18eme, il y a tr_s bon bouquin de Mauzi sur le sujet (j'ai oublié le titre mais c'est qq chose comme Le bonheur au 18eme)...
- liliepingouinÉrudit
ah oui je n'avais pas pensé aux lettres persanes. Merci!
- InvitéeHrÉrudit
Rousseau, Discours sur les sciences et les arts et Lettre à d'Alembert sur les spectacles.
Le titre exact du livre cité par carlotta est Robert Mauzi, L'idée du bonheur dans la littérature et la pensée françaises au XVIIIe siècle.
Le titre exact du livre cité par carlotta est Robert Mauzi, L'idée du bonheur dans la littérature et la pensée françaises au XVIIIe siècle.
- RuthvenGuide spirituel
Tu peux penser aussi à :
-la Fable des abeilles de Mandeville
- l'insociable sociabilité des hommes dans la proposition IV de l'Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique de Kant
-la Fable des abeilles de Mandeville
- l'insociable sociabilité des hommes dans la proposition IV de l'Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique de Kant
- ZarkoHabitué du forum
Juste par curiosité, quelle classe as-tu ?
Proposer des textes entre intérêt collectif et individuel, je trouve que c'est une question philosophique et politique passionnante.
La problématique fondamentale de l'humanité d'ailleurs.
Mais il faut quand même une certaine maturité pour la comprendre, je ne sais pas si des collégiens le sont suffisamment, non ?
Proposer des textes entre intérêt collectif et individuel, je trouve que c'est une question philosophique et politique passionnante.
La problématique fondamentale de l'humanité d'ailleurs.
Mais il faut quand même une certaine maturité pour la comprendre, je ne sais pas si des collégiens le sont suffisamment, non ?
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Chacun a raison de son propre point de vue, mais il n'est pas impossible que tout le monde ait tort. (Gandhi)
La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. (Albert Einstein)
Tout ce qui ne tue pas rend plus fort...ou bien très malade ! (Nietzsche...et moi, mais pas malade !)
- ZarkoHabitué du forum
:Oups:liliepingouin a écrit:c'est pour des BTS
J'ai tout faux alors. J'ai vu ton âge et je me suis pris dans le piège.
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Chacun a raison de son propre point de vue, mais il n'est pas impossible que tout le monde ait tort. (Gandhi)
La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. (Albert Einstein)
Tout ce qui ne tue pas rend plus fort...ou bien très malade ! (Nietzsche...et moi, mais pas malade !)
- sanjuroNiveau 3
Il y a le passage dans l'Iliade d'Homère (chant 2) où Ulysse envoie bouler Thersite, qui prétend contester l'autorité des rois...
- JohnMédiateur
Il y a quasiment tout Cicéron : les Catilinaires, les Philippiques, les Tusculanes (II), Des devoirs...
Tu peux faire commander ça par le CDI :
* Vivre pour soi, vivre dans la cité, de l’Antiquité à la Renaissance, sous la dir. de P. Galand-Hallyn et C. Lévy, Paris, PUPS, octobre 2006
. Collection « Rome et ses renaissances », dirigée par P. Galand-Hallyn, Presses universitaires de Paris-Sorbonne
http://pups.paris-sorbonne.fr/pages/catalogue.php ?Id=106
Le rapport entre l’individu et la collectivité, aussi bien chez les anciens que chez les humanistes, qui redécouvrent et exploitent la méditation antique sur le moi social, forme l’enjeu de cette étude. Si le moi antique s’est élaboré, en particulier autour de l’humanitas cicéronienne, puis sous l’Empire, autour de la réflexion sur l’usage de soi dans la société, il est intéressant de constater que, de la culture de l’esprit et de l’entretien du corps à l’expérience-limite de l’exil, un héritage vivant s’est transmis et reformulé de manière originale chez les penseurs et les poètes de la Renaissance. La méditation sur le moi traverse les âges et les genres littéraires en écho à Cicéron et à ses héritiers de l’époque impériale, au rythme d’inflexions culturelles tantôt divertissantes, tantôt tragiques. L’influence qu’exerce sur les formes littéraires et les pratiques d’écriture la méditation sur le moi conclut le volume.
* 17 mars 2008 PARUTION DU VOLUME 2 DE LA COLLECTION "ROME ET SES RENAISSANCES" : La villa et l’univers familial de l’Antiquité à la Renaissance, sous la dir. de P. Galand-Hallyn et Carlos Lévy
voir ici le descriptif
Comment les Romains, puis leurs héritiers humanistes, ont-ils choisi de représenter leur vie et leurs affections intimes, dans ces moments où, quittant la Ville et ses contraintes, ils s’accordaient l’otium ? Le présent volume vient compléter les réflexions menées dans un ouvrage publié antérieurement dans la même collection : Vivre pour soi, vivre dans la cité, de l’Antiquité à la Renaissance (sous la direction de P. Galand-Hallyn et C. Lévy, Paris, PUPS, 2006), dont les auteurs enquêtaient sur la constitutionde l’image individuelle en rapport avec les obligations de la collectivité,dans l’Antiquité et à la Renaissance. La sphère privée et son influence sur l’élaboration d’une représentation du moi sont étudiés ici en fonction de deux thèmes complémentaires, souvent associés par les auteurs : le cadre de la villa, le domaine rural si prisé déjà à l’époque de la République, devenu un luxe indispensable sous l’empire comme à la Renaissance, et l’image de la famille, à travers l’expérience du mariage et de la paternité. La perspective diachronique de ce volume permettra d’éclairer réciproquement les mentalités antiques et humanistes, puisque c’est en particulier dans le refuge de leurs villas, garnies d’ouvres d’art et de riches bibliothèques, que les hommes de la Renaissance ont rêvé de revivre à leur tour cette vie d’équilibre dans les délices esthétiques, la tendresse familiale et la culture de l’esprit que vantaient leurs ancêtres.
Tu peux faire commander ça par le CDI :
* Vivre pour soi, vivre dans la cité, de l’Antiquité à la Renaissance, sous la dir. de P. Galand-Hallyn et C. Lévy, Paris, PUPS, octobre 2006
. Collection « Rome et ses renaissances », dirigée par P. Galand-Hallyn, Presses universitaires de Paris-Sorbonne
http://pups.paris-sorbonne.fr/pages/catalogue.php ?Id=106
Le rapport entre l’individu et la collectivité, aussi bien chez les anciens que chez les humanistes, qui redécouvrent et exploitent la méditation antique sur le moi social, forme l’enjeu de cette étude. Si le moi antique s’est élaboré, en particulier autour de l’humanitas cicéronienne, puis sous l’Empire, autour de la réflexion sur l’usage de soi dans la société, il est intéressant de constater que, de la culture de l’esprit et de l’entretien du corps à l’expérience-limite de l’exil, un héritage vivant s’est transmis et reformulé de manière originale chez les penseurs et les poètes de la Renaissance. La méditation sur le moi traverse les âges et les genres littéraires en écho à Cicéron et à ses héritiers de l’époque impériale, au rythme d’inflexions culturelles tantôt divertissantes, tantôt tragiques. L’influence qu’exerce sur les formes littéraires et les pratiques d’écriture la méditation sur le moi conclut le volume.
* 17 mars 2008 PARUTION DU VOLUME 2 DE LA COLLECTION "ROME ET SES RENAISSANCES" : La villa et l’univers familial de l’Antiquité à la Renaissance, sous la dir. de P. Galand-Hallyn et Carlos Lévy
voir ici le descriptif
Comment les Romains, puis leurs héritiers humanistes, ont-ils choisi de représenter leur vie et leurs affections intimes, dans ces moments où, quittant la Ville et ses contraintes, ils s’accordaient l’otium ? Le présent volume vient compléter les réflexions menées dans un ouvrage publié antérieurement dans la même collection : Vivre pour soi, vivre dans la cité, de l’Antiquité à la Renaissance (sous la direction de P. Galand-Hallyn et C. Lévy, Paris, PUPS, 2006), dont les auteurs enquêtaient sur la constitutionde l’image individuelle en rapport avec les obligations de la collectivité,dans l’Antiquité et à la Renaissance. La sphère privée et son influence sur l’élaboration d’une représentation du moi sont étudiés ici en fonction de deux thèmes complémentaires, souvent associés par les auteurs : le cadre de la villa, le domaine rural si prisé déjà à l’époque de la République, devenu un luxe indispensable sous l’empire comme à la Renaissance, et l’image de la famille, à travers l’expérience du mariage et de la paternité. La perspective diachronique de ce volume permettra d’éclairer réciproquement les mentalités antiques et humanistes, puisque c’est en particulier dans le refuge de leurs villas, garnies d’ouvres d’art et de riches bibliothèques, que les hommes de la Renaissance ont rêvé de revivre à leur tour cette vie d’équilibre dans les délices esthétiques, la tendresse familiale et la culture de l’esprit que vantaient leurs ancêtres.
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