- ZebramanNiveau 1
Je suis néotit en arts plastiques et c’est vrai que j’ai tendance à être assez tolérant avec le bruit, surtout pendant la pratique. Ça ne me dérange pas tant que ça reste du bruit de travail et qu’ils sont actifs.
Toutefois j’ai quelques élèves qui s’en plaignent. Ça m’a d’autant plus surpris aujourd’hui parce que je trouvais que ça se passait plutôt bien. Deux élèves m’ont dit « ça n’est pas aussi bruyant en maths, ça n’est pas normal » avant de s’en plaindre à une surveillante de passage, ce que je n’ai pas trop apprécié (mais bon, j’ai gardé ça pour moi)
Comment réagissez-vous dans ces conditions ?
Toutefois j’ai quelques élèves qui s’en plaignent. Ça m’a d’autant plus surpris aujourd’hui parce que je trouvais que ça se passait plutôt bien. Deux élèves m’ont dit « ça n’est pas aussi bruyant en maths, ça n’est pas normal » avant de s’en plaindre à une surveillante de passage, ce que je n’ai pas trop apprécié (mais bon, j’ai gardé ça pour moi)
Comment réagissez-vous dans ces conditions ?
- User20159Esprit éclairé
Tu peux toujours leur expliquer qu'il y a une certaine tradition du "foutoir" toute proportions gardées du cours d'arts plastiques (et je cite, mon grand-père, qui enseignait cette matière...), mais il y aura toujours des élèves pour se plaindre du vacarme.
L'écrasante majorité des élèves, travaille mieux au calme, peu importe la matière.
Mais c'est à toi de trouver tes marques. De nombreux collègues tolèrent du bruit pédagogique comme on dit , moi j'y suis particulièrement allergique et ma norme c'est le silence absolu (surtout quand je parle )
L'écrasante majorité des élèves, travaille mieux au calme, peu importe la matière.
Mais c'est à toi de trouver tes marques. De nombreux collègues tolèrent du bruit pédagogique comme on dit , moi j'y suis particulièrement allergique et ma norme c'est le silence absolu (surtout quand je parle )
- M le MauditNiveau 9
Ce sont donc certains élèves qui jugent de ce qui est normal et de ce qui ne l'est pas...
- TivinouDoyen
Ha@_x a écrit:Tu peux toujours leur expliquer qu'il y a une certaine tradition du "foutoir" toute proportions gardées du cours d'arts plastiques (et je cite, mon grand-père, qui enseignait cette matière...), mais il y aura toujours des élèves pour se plaindre du vacarme.
L'écrasante majorité des élèves, travaille mieux au calme, peu importe la matière.
Mais c'est à toi de trouver tes marques. De nombreux collègues tolèrent du bruit pédagogique comme on dit , moi j'y suis particulièrement allergique et ma norme c'est le silence absolu (surtout quand je parle )
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
Je ne suis plus face à des élèves mais d’expérience je peux te dire comment je fonctionnais.
Quand je parlais, que j’expliquais ou qu’un élève posait une question utile à tout le monde, on se tait.
Quand on pratiquait, on avait le droit de parler à condition que ce soit le niveau sonore pour échanger avec un ou deux camarades proche de soi. Si le niveau sonore devenait dérangeant, je demandais le silence. Je reexpliquais mes attentes et on se remettait au travail.
Quant à se plaindre à un surveillant, je trouve ça fort incorrect.
Quand je parlais, que j’expliquais ou qu’un élève posait une question utile à tout le monde, on se tait.
Quand on pratiquait, on avait le droit de parler à condition que ce soit le niveau sonore pour échanger avec un ou deux camarades proche de soi. Si le niveau sonore devenait dérangeant, je demandais le silence. Je reexpliquais mes attentes et on se remettait au travail.
Quant à se plaindre à un surveillant, je trouve ça fort incorrect.
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Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- HimpyExpert spécialisé
Même fonctionnement que Marcelle pour ma part.
On peut parler avec ses voisins proches, doucement, si ce n'est pas possible, silence avec carnet sur la table. Je reste debout et j'interpelle nommément celui qui parle. Au bout de deux fois je ramasse le carnet.
On peut parler avec ses voisins proches, doucement, si ce n'est pas possible, silence avec carnet sur la table. Je reste debout et j'interpelle nommément celui qui parle. Au bout de deux fois je ramasse le carnet.
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