- IlseÉrudit
Bonjour,
Nous avons reçu un message de nos IPR nous indiquant qu'on trouverait sur le site académique des Lettres "quelques informations relatives à l’épreuve écrite du DNB pour la session 2024" suivi du lien suivant : https://lettres.ac-normandie.fr/?DNB-Information-aux-professeurs-session-2024
L'avez-vous reçu également ?
Nous avons reçu un message de nos IPR nous indiquant qu'on trouverait sur le site académique des Lettres "quelques informations relatives à l’épreuve écrite du DNB pour la session 2024" suivi du lien suivant : https://lettres.ac-normandie.fr/?DNB-Information-aux-professeurs-session-2024
L'avez-vous reçu également ?
- valleExpert spécialisé
C'est moi ou ils ont trouvé le moyen de comprendre, là où le ministre a dit "pas d'harmonisation/remontée des notes", qu'il a voulu dire "pas de corrigé" (en laissant la porte ouverte à la remontée) ?Le ministre a annoncé, le 5 décembre, une série de mesures concernant le collège parmi lesquelles certaines sont relatives au DNB. Pour ce qui est de la session 2024, le ministre a acté la suppression des consignes de correction académiques.
- IlseÉrudit
Il s'agit, suite aux préconisations de l’Inspection générale des lettres, des évolutions du questionnaire des épreuves écrites du DNB dès la session 24.
avec un nombre plus réduit de questions et des questions qui devront être plus développées.
Pour la partie compréhension du texte :
"Une première question permettra d’évaluer d’abord la compréhension du sens global du texte. Deux questions porteront ensuite sur la compréhension fine de deux passages. Une quatrième question intégrera une dimension stylistique. Les deux questions finales, plus ouvertes, relèveront de l’interprétation, en faisant le lien, pour la dernière d’entre elles, avec une image. Volontairement posées sous la forme de questions très ouvertes, les consignes exigent un développement nourri et argumenté auquel il est important de préparer les élèves en les engageant très régulièrement dans des activités qui leur permettront d’étayer les émotions et sentiments éprouvés à la lecture pour nourrir l’analyse. De plus, le travail sur la puissance créative de l’image en réception et en production, mérite de trouver toute sa place au sein du cours de français tout au long des années de collège."
et pour la partie langue :
"Une trame possible fera se succéder une justification orthographique OU l’identification d’une classe ou d’une fonction grammaticale (avec un probable recours à la manipulation), l’identification d’une classe ou d’une fonction grammaticale OU un travail sur les composantes d’une phrase complexe puis une explication lexicale désormais ritualisée ; la dernière consigne concerne la réécriture."
Ils insistent sur le fait que "les élèves ont besoin d’être habitués à manipuler la langue, à effectuer des opérations de déplacement, de transformation de groupes syntaxiques afin d’interroger régulièrement le fonctionnement linguistique pour mieux le comprendre et se l’approprier."
avec un nombre plus réduit de questions et des questions qui devront être plus développées.
Pour la partie compréhension du texte :
"Une première question permettra d’évaluer d’abord la compréhension du sens global du texte. Deux questions porteront ensuite sur la compréhension fine de deux passages. Une quatrième question intégrera une dimension stylistique. Les deux questions finales, plus ouvertes, relèveront de l’interprétation, en faisant le lien, pour la dernière d’entre elles, avec une image. Volontairement posées sous la forme de questions très ouvertes, les consignes exigent un développement nourri et argumenté auquel il est important de préparer les élèves en les engageant très régulièrement dans des activités qui leur permettront d’étayer les émotions et sentiments éprouvés à la lecture pour nourrir l’analyse. De plus, le travail sur la puissance créative de l’image en réception et en production, mérite de trouver toute sa place au sein du cours de français tout au long des années de collège."
et pour la partie langue :
"Une trame possible fera se succéder une justification orthographique OU l’identification d’une classe ou d’une fonction grammaticale (avec un probable recours à la manipulation), l’identification d’une classe ou d’une fonction grammaticale OU un travail sur les composantes d’une phrase complexe puis une explication lexicale désormais ritualisée ; la dernière consigne concerne la réécriture."
Ils insistent sur le fait que "les élèves ont besoin d’être habitués à manipuler la langue, à effectuer des opérations de déplacement, de transformation de groupes syntaxiques afin d’interroger régulièrement le fonctionnement linguistique pour mieux le comprendre et se l’approprier."
- trompettemarineMonarque
Nous avons eu aussi ces informations dans notre académie avec la trame des questions.
En revanche, la puissance créative d'une image ou d'une photo en noir et blanc mal photocopiée... pff.
En revanche, la puissance créative d'une image ou d'une photo en noir et blanc mal photocopiée... pff.
- Isis39Enchanteur
Vous voulez dire qu’ils changent l’épreuve de français pour cette année ?
- ernyaFidèle du forum
Je ne vois pas vraiment en quoi c’est un changement. Ils mettent des mots sur ce qui se fait depuis deux ans environ, non ?
- trompettemarineMonarque
Très légèrement.Isis39 a écrit:Vous voulez dire qu’ils changent l’épreuve de français pour cette année ?
Moins de questions de repérage, en quelque sorte et une volonté de réponses plus argumentéés et illustrées.
J'avoue que bon nombre de copies ne répondaient qu'à une partie des questions et les élèves les plus faibles se bornaient à un relevé sans comprendre le sens du texte.
Il va falloir faire comprendre aux élèves que toute réponse doit être étayée et qu'il faut s'y entraîner (On ne cesse de le faire pourtant depuis la quatrième).
On verra ce que cela donnera.
Le changement sur la partie compréhension et interprétation me semble être une amélioration. Mais je n'ai pas encore beaucoup d'expérience.
J'ai quelques craintes pour la question sur la réception ou la pragmatique du texte.
Je la travaille plutôt lors de discussions ou d'exercices écrits autour de lectures cursives.
Je manque toujours de temps pour l'image et ne la traite pas systématiquement à chaque séquence. J'étudie un film ou un tableau, une œuvre musicale, mais l'illustration du brevet est souvent laide, mal photocopiée, de qualité douteuse et quelque peu artificiellement articulée au texte.
- Ajonc35Sage
Pour l'image, quelle qu'elle soit, tu peux peut- être te rapprocher de ton collègue d' hg. Lui ou elle manque aussi de temps. En 4-3 , je le faisais avec ma collègue d'anglais qui utilisait beaucoup l'image.trompettemarine a écrit:Très légèrement.Isis39 a écrit:Vous voulez dire qu’ils changent l’épreuve de français pour cette année ?
Moins de questions de repérage, en quelque sorte et une volonté de réponses plus argumentéés et illustrées.
J'avoue que bon nombre de copies ne répondaient qu'à une partie des questions et les élèves les plus faibles se bornaient à un relevé sans comprendre le sens du texte.
Il va falloir faire comprendre aux élèves que toute réponse doit être étayée et qu'il faut s'y entraîner (On ne cesse de le faire pourtant depuis la quatrième).
On verra ce que cela donnera.
Le changement sur la partie compréhension et interprétation me semble être une amélioration. Mais je n'ai pas encore beaucoup d'expérience.
J'ai quelques craintes pour la question sur la réception ou la pragmatique du texte.
Je la travaille plutôt lors de discussions ou d'exercices écrits autour de lectures cursives.
Je manque toujours de temps pour l'image et ne la traite pas systématiquement à chaque séquence. J'étudie un film ou un tableau, une œuvre musicale, mais l'illustration du brevet est souvent laide, mal photocopiée, de qualité douteuse et quelque peu artificiellement articulée au texte.
- SoiréeHabitué du forum
Damned, une évolution ministérielle que je soutiens et que je réclame depuis un demi siècle, très exactement ce à quoi je prépare mes élèves dès la 6e.
Amen.
Ils n'abordent pas la question du sujet d'imagination ?
Il y a là aussi nécessité d'une clarification épistémologique et didactique plus que nécessaire entre l'écrit de fiction assumé inscrit dans le prolongement intra-diégétique du texte source et l'écrit pseudo autobiographique socialement discriminant au maximum de type : "vous aussi vous... Racontez"
Restera plus qu'à disjoindre le travail de compréhension/interprétation du texte source et le travail de prolongement du texte source en donnant accès à la compréhension globale du texte source avant le travail de rédaction, histoire d'éviter la double peine.
Courage, on va y arriver.
Et par pitié revoir l'agrégation des totaux saisis pour les différentes parties de l'épreuve écrite de français pour avoir des indicateurs un peu plus robustes que le mélange de carottes et de tomates actuel.
Je suis en verve, je propose aussi de revaloriser en la multipliant par 10 l'indemnité de correction du brevet. Et de compter deux corrections pour une copie de français.
Pour la partie compréhension du texte :
"Une première question permettra d’évaluer d’abord la compréhension du sens global du texte. Deux questions porteront ensuite sur la compréhension fine de deux passages. Une quatrième question intégrera une dimension stylistique. Les deux questions finales, plus ouvertes, relèveront de l’interprétation, en faisant le lien, pour la dernière d’entre elles, avec une image. Volontairement posées sous la forme de questions très ouvertes, les consignes exigent un développement nourri et argumenté auquel il est important de préparer les élèves en les engageant très régulièrement dans des activités qui leur permettront d’étayer les émotions et sentiments éprouvés à la lecture pour nourrir l’analyse. De plus, le travail sur la puissance créative de l’image en réception et en production, mérite de trouver toute sa place au sein du cours de français tout au long des années de collège."
Amen.
Ils n'abordent pas la question du sujet d'imagination ?
Il y a là aussi nécessité d'une clarification épistémologique et didactique plus que nécessaire entre l'écrit de fiction assumé inscrit dans le prolongement intra-diégétique du texte source et l'écrit pseudo autobiographique socialement discriminant au maximum de type : "vous aussi vous... Racontez"
Restera plus qu'à disjoindre le travail de compréhension/interprétation du texte source et le travail de prolongement du texte source en donnant accès à la compréhension globale du texte source avant le travail de rédaction, histoire d'éviter la double peine.
Courage, on va y arriver.
Et par pitié revoir l'agrégation des totaux saisis pour les différentes parties de l'épreuve écrite de français pour avoir des indicateurs un peu plus robustes que le mélange de carottes et de tomates actuel.
Je suis en verve, je propose aussi de revaloriser en la multipliant par 10 l'indemnité de correction du brevet. Et de compter deux corrections pour une copie de français.
- trompettemarineMonarque
Et si on pouvait nous payer dignement la copie.
Et à l'heure...
Et à l'heure...
- SoiréeHabitué du forum
Je m'auto cite exceptionnellement :trompettemarine a écrit:Et si on pouvait nous payer dignement la copie.
Et à l'heure...
Soirée a écrit:Je suis en verve, je propose aussi de revaloriser en la multipliant par 10 l'indemnité de correction du brevet. Et de compter deux corrections pour une copie de français.
Bien entendu il faut aussi doubler les indemnités de correction et de jury du baccalauréat.
- HayneeNiveau 7
On a reçu courant novembre (bien avant les dernières annonces du ministre) un courrier des IA-IPR, qui ne faisait que relayer un document de travail des IG de Lettres présenté comme un "outil d'harmonisation". Il reprenait une bonne partie de ce qu'on peut lire sur le lien posté plus haut pointant vers le site académique. Je préfère ne pas le poster ici si mon académie a diffusé par erreur un document qu'elle était censée retravailler mais il mentionnait, de mémoire, notamment que dans la partie grammaire il était recommandé de ne pas mettre plus de quatre questions (pouvant être déclinées en a) et b)) chacune relevant d'un domaine différent. Il y avait aussi une partie "typologie des questions" indiquant les grands classiques attendus (comme indiqué sur le site académique : réécriture, composition d'un mot, analyse d'un mot/d'une proposition/d'une phrase, justification orthographique, manipulations comme celles sorties depuis deux ans). De mémoire, la réécriture faisait partie des quatre questions de grammaire, elle ne venait pas en plus. Pour la partie "interprétation" on parlait de six questions, en indiquant qu'il était souhaitable qu'il n'y en ait pas plus de deux divisées en a) et b) (je m'en souviens bien parce que nous avons un collègue qui a tendance à vouloir démultiplier les questions quand nous créons un Brevet blanc, au point qu'il est parfois difficile, même pour les meilleurs, de terminer de façon satisfaisante). Il était aussi demandé aux concepteurs des sujets d'indiquer explicitement dans les énoncés si des citations sont attendues ainsi que le nombre d'éléments de réponses.
La curiosité étant trop forte, je suis quand même allée voir s'il était question de "la puissance créative de l’image en réception et en production, mérite de trouver toute sa place au sein du cours de français tout au long des années de collège". La phrase utilisée par les IG est beaucoup plus sobre : " la sixième [question] portant sur le lien entre le texte et l’image et relevant des compétences d’interprétation" et "question ouverte sur interprétation du texte, en lien avec l’image".
La curiosité étant trop forte, je suis quand même allée voir s'il était question de "la puissance créative de l’image en réception et en production, mérite de trouver toute sa place au sein du cours de français tout au long des années de collège". La phrase utilisée par les IG est beaucoup plus sobre : " la sixième [question] portant sur le lien entre le texte et l’image et relevant des compétences d’interprétation" et "question ouverte sur interprétation du texte, en lien avec l’image".
- SaltaojosHabitué du forum
Dans l'académie d'Amiens nous avons aussi reçu un mail des IPR avec le document que je joins en PJ. Je pense qu'il peut être partagé puisque c'est un outil de travail, désolée si ça n'est pas le cas, je le supprimerai !
- Fichiers joints
- trompettemarineMonarque
Haynee a écrit:On a reçu courant novembre (bien avant les dernières annonces du ministre) un courrier des IA-IPR, qui ne faisait que relayer un document de travail des IG de Lettres présenté comme un "outil d'harmonisation". Il reprenait une bonne partie de ce qu'on peut lire sur le lien posté plus haut pointant vers le site académique. Je préfère ne pas le poster ici si mon académie a diffusé par erreur un document qu'elle était censée retravailler mais il mentionnait, de mémoire, notamment que dans la partie grammaire il était recommandé de ne pas mettre plus de quatre questions (pouvant être déclinées en a) et b)) chacune relevant d'un domaine différent. Il y avait aussi une partie "typologie des questions" indiquant les grands classiques attendus (comme indiqué sur le site académique : réécriture, composition d'un mot, analyse d'un mot/d'une proposition/d'une phrase, justification orthographique, manipulations comme celles sorties depuis deux ans). De mémoire, la réécriture faisait partie des quatre questions de grammaire, elle ne venait pas en plus. Pour la partie "interprétation" on parlait de six questions, en indiquant qu'il était souhaitable qu'il n'y en ait pas plus de deux divisées en a) et b) (je m'en souviens bien parce que nous avons un collègue qui a tendance à vouloir démultiplier les questions quand nous créons un Brevet blanc, au point qu'il est parfois difficile, même pour les meilleurs, de terminer de façon satisfaisante). Il était aussi demandé aux concepteurs des sujets d'indiquer explicitement dans les énoncés si des citations sont attendues ainsi que le nombre d'éléments de réponses.
La curiosité étant trop forte, je suis quand même allée voir s'il était question de "la puissance créative de l’image en réception et en production, mérite de trouver toute sa place au sein du cours de français tout au long des années de collège". La phrase utilisée par les IG est beaucoup plus sobre : " la sixième [question] portant sur le lien entre le texte et l’image et relevant des compétences d’interprétation" et "question ouverte sur interprétation du texte, en lien avec l’image".
Un document similaire se trouve sur le site des lettres de notre académie. Je ne pense pas qu'il y ait de secret.
Ce que je découvre dans le document qui suit, c'est l'explication (nombre d'éléments de réponse et citations précises attendues).
- lilith888Grand sage
Bon, je sens que je serai encore gréviste de correction cette année... Ca sent très fort le "acceptez tout car c'est du ressenti"
- AsarteLilithBon génie
Vu sur le fil et par mail de collègue. J'hallucine que les ipr de mon à académie n'envoient rien.
Très inquiète de la réponse se développée et argumentée: j'entraîne mes 3e à faire une courte synthèse du cours à partir des annotations de l'analyse mais je ne suis pas sûre de rentrer dans les cadres et donc de mal enseigner. On a un sujet zéro ? Une correction ?
Très inquiète de la réponse se développée et argumentée: j'entraîne mes 3e à faire une courte synthèse du cours à partir des annotations de l'analyse mais je ne suis pas sûre de rentrer dans les cadres et donc de mal enseigner. On a un sujet zéro ? Une correction ?
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- SaltaojosHabitué du forum
Je crois que c'est déjà le type de question qui est posé en dernier, généralement la question est sur pas mal de points et reste ouverte. Comme dit plus haut, ce document confirme les pistes prises par les sujets depuis 2 ans.
J'ai le défaut de placer encore trop de questions dans mes devoirs type Brevet, mais sinon ils finissent trop tôt et font le bazar : mes élèves ne développent pas, écrire une ligne c'est déjà beaucoup pour eux... pfff...
J'ai le défaut de placer encore trop de questions dans mes devoirs type Brevet, mais sinon ils finissent trop tôt et font le bazar : mes élèves ne développent pas, écrire une ligne c'est déjà beaucoup pour eux... pfff...
- AsarteLilithBon génie
Et pour la rédaction alors ?
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- SaltaojosHabitué du forum
Aucun changement j'imagine, puisque rien reçu à ce sujet...
- AsarteLilithBon génie
Ca fait un peu penser à un retour au précédent DNB, avec la grammaire déconnectée et la compréhension globale vers la fine (qui me semble normale).
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- AsarteLilithBon génie
Document retiré sur site des Lettres de l'académie de Normandie.
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- henrietteMédiateur
Un article du café pédagogique à ce sujet :
https://www.cafepedagogique.net/2023/12/18/le-francais-au-dnb-legeres-evolutions/
https://www.cafepedagogique.net/2023/12/18/le-francais-au-dnb-legeres-evolutions/
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- MaudrammeNiveau 2
Bonjour,
J'ai pour ma part eu une discussion avec notre IA-IPR lors de son passage au collège voici plusieurs semaines, qui m'a dit en substance "Nous ne pouvons pas communiquer officiellement sur la nouvelle formule du DNB, mais elle sera nouvelle ; et vous pouvez dire ce que je vous dis à vos collègues."
Comme vous êtes mes collègues, je vous donne pêle-mêle les informations retenues et que je n'ai pas spécialement vues plus haut – tout en envisageant évidemment la possibilité que certaines d'entre elles ne trouvent aucun aboutissement en juin :
- moins de questions (donc notées sur davantage de points, donc à développer davantage) ;
- une répartition des points plus équitable entre les questions compréhension et celles de grammaire ;
- concernant la grammaire, il m'a énoncé comme une certitude que le sujet contiendrait une question du type "Expliquez la formation du mot X" et "une question sur les subordonnées" !
J'ai pour ma part eu une discussion avec notre IA-IPR lors de son passage au collège voici plusieurs semaines, qui m'a dit en substance "Nous ne pouvons pas communiquer officiellement sur la nouvelle formule du DNB, mais elle sera nouvelle ; et vous pouvez dire ce que je vous dis à vos collègues."
Comme vous êtes mes collègues, je vous donne pêle-mêle les informations retenues et que je n'ai pas spécialement vues plus haut – tout en envisageant évidemment la possibilité que certaines d'entre elles ne trouvent aucun aboutissement en juin :
- moins de questions (donc notées sur davantage de points, donc à développer davantage) ;
- une répartition des points plus équitable entre les questions compréhension et celles de grammaire ;
- concernant la grammaire, il m'a énoncé comme une certitude que le sujet contiendrait une question du type "Expliquez la formation du mot X" et "une question sur les subordonnées" !
- Les préconisations du MEN concernant les fournitures scolaires...
- Cour des comptes dernières préconisations
- Rapport sur la formation continuée et continue des enseignants, préconisations
- Conseil Ecole College : les préconisations de l'inspection générale
- Rapport Delahaye : Préconisations du CESE pour l'école (en direct)
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