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- Clayd34Niveau 5
https://www.bfmtv.com/replay-emissions/l-interview/kamen-hirsig-on-devrait-proposer-aux-profs-un-statut-de-contractuel_VN-202309040293.html
Donc ça c'est une collègue... En attendant, elle aussi n'est pas contractuelle...
Donc ça c'est une collègue... En attendant, elle aussi n'est pas contractuelle...
- SolovieïNiveau 10
Du gros délire...
Les mots même sont vidés de leur sens. Elle devrait revoir la définition du mot "rente" avant de venir s'humilier sur un plateau médiatique.
Les exemples qu'elle cite et dont se lamentent les enseignants, les salariés de droit privé n'en souffrent pas, ou très rarement.
On est en plein déni de réalité et surtout en pleine méconnaissance du sujet. Mais c'est la mode de se faire les profs, ça fait vendre. Les vrais coupables (comme souvent), ce sont les journalistes qui nourrissent cette chasse aux sorcières et ces manipulations. Enfin, les journalistes, hein... ne rien écrire de plus suffira à signifier tout le bien que je pense de cette espèce.
Les mots même sont vidés de leur sens. Elle devrait revoir la définition du mot "rente" avant de venir s'humilier sur un plateau médiatique.
Les exemples qu'elle cite et dont se lamentent les enseignants, les salariés de droit privé n'en souffrent pas, ou très rarement.
On est en plein déni de réalité et surtout en pleine méconnaissance du sujet. Mais c'est la mode de se faire les profs, ça fait vendre. Les vrais coupables (comme souvent), ce sont les journalistes qui nourrissent cette chasse aux sorcières et ces manipulations. Enfin, les journalistes, hein... ne rien écrire de plus suffira à signifier tout le bien que je pense de cette espèce.
- Clecle78Bon génie
C'est vrai ça, rechercher son confort et la sécurité, c'est totalement dépassé dans un pays modernevet libéral. Ça fait rêver ...
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Elle a écrit un livre pour dire ho là là l'éducation nationale ça va pas ma bonne dame y a plus de saisons...
Faut-il tenter l'interview croisée avec Ève Vaguerlant ?
Faut-il tenter l'interview croisée avec Ève Vaguerlant ?
- paloma75Niveau 2
beaverforever a écrit:Elle a écrit un livre pour dire ho là là l'éducation nationale ça va pas ma bonne dame y a plus de saisons...
Faut-il tenter l'interview croisée avec Ève Vaguerlant ?
"L'oeil des expertes. Un regard sans concession"
- Reine MargotDemi-dieu
Ce n'est guère étonnant, l'abolition du statut de fonctionnaire les différents gouvernements et le MEDEF en rêvent depuis des années...
Vu qu'on a cassé le service public et qu'effectivement il ne marche plus (nous sommes nombreux ici à constater dans les classes les difficultés croissantes des élèves avec des notions maîtrisées par les mêmes il y a 10 ans), la solution c'est d'en finir avec lui et d'en faire une entreprise comme une autre.
Il y a effectivement des profs de droite pour soutenir cette idée (et comme par hasard, ils ont un livre à vendre et sans doute une carrière à faire avancer)
Vu qu'on a cassé le service public et qu'effectivement il ne marche plus (nous sommes nombreux ici à constater dans les classes les difficultés croissantes des élèves avec des notions maîtrisées par les mêmes il y a 10 ans), la solution c'est d'en finir avec lui et d'en faire une entreprise comme une autre.
Il y a effectivement des profs de droite pour soutenir cette idée (et comme par hasard, ils ont un livre à vendre et sans doute une carrière à faire avancer)
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- OudemiaBon génie
J'aurais pu répondre oui à la question du titre, car j'ai lu des extraits de son livre dans le dernier Figaro-magazine.
Ce que j'ai lu était plein de bon sens, elle pointait des faits dont on parle souvent ici ; elle est PE dans le privé, des enfants de mon entourage ont été ses élèves (je n'en sais pas plus pour l'instant).
Mais là, dans ce que j'ai entendu, elle débloque complètement...
Ce que j'ai lu était plein de bon sens, elle pointait des faits dont on parle souvent ici ; elle est PE dans le privé, des enfants de mon entourage ont été ses élèves (je n'en sais pas plus pour l'instant).
Mais là, dans ce que j'ai entendu, elle débloque complètement...
- voyageurNiveau 5
Dans cet extrait, elle se garde bien de dire combien touche les enseignants contractualisés dans des pays comme la Suisse.
S'il s'agit de contractualiser les enseignants en gardant une paye faible, il n'y aura plus personne pour faire ce métier, aspect dont les journaleux se gardent bien d'évoquer, préférant insister sur les "privilèges" de ces feignasses de profs....
S'il s'agit de contractualiser les enseignants en gardant une paye faible, il n'y aura plus personne pour faire ce métier, aspect dont les journaleux se gardent bien d'évoquer, préférant insister sur les "privilèges" de ces feignasses de profs....
- Reine MargotDemi-dieu
Ils ne disent pas non plus que contrairement à un titulaire, un contractuel peut refuser un remplacement (si trop loin de chez lui/elle par exemple, donc financièrement compliqué). Donc plus personne ne voudra aller dans les zones rurales reculées ou simplement s'éloigner des grandes villes.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- LefterisEsprit sacré
A partir de certains constats indéniables, elle part sur des conclusions totalement erronées et contraires à sa propre logique .
- Recruter les meilleurs, et pouvoir les licencier. Aujourd'hui, malgré la sécurité de l'emploi, les concours sont loin de faire le plein , n'attirent pas "les meilleurs". Et je sais de source certaine pour avoir eu des jeunes de mon entourage confrontés à la plateforme "Mon master" que malgré la pénurie, des propositions de master MEEF sont boudées.
- Fragiliser les enseignants par la mise au pas permanente qu'impose la contractualisation irait sans doute exactement dans le sens contraire de la transmission des savoirs : il faudrait plaire pour garder sa place, faire du chiffre, accentuer la notation bienveillante, multiplier les projets et autres lubies. Ce serait plus de pédagogisme et moins d'enseignement. Il faudrait non seulement plaire plus aux petits chefs, mais aussi aux parents - clients rois - sans avoir d'indépendance, ce qui irait totalement à l'encontre de ce qu'elle semble souhaiter.
Elle énonce aussi des contre-vérités qui biaisent totalement le débat ( si on peut appeler ça a ainsi) : les enseignants voudraient "le beurre et l'argent du beurre", la sécurité de l'emploi devrait leur suffire. Non, aucun enseignant ne pense faire fortune, mais ceux qui sont un peu au courant voudraient simplement retrouver le statut de cadre A. Ils veulent juste que le beurre soit suffisant, comme les autres agents de l'Etat de même grade. Quant à la mobilité géographique, ceux qui acceptent leur titularisation vont, que je sache, où on les affecte. Ils jouent le jeu, sans quoi ils démissionnent, ce qui peut arriver. Seulement, la mobilité biaisée par le mouvement à deux tours rend celle-ci difficile et aléatoire, et ce système est très justement contesté.
Les contractuels, eux, refuseront carrément certains postes, ou partiront en courant comme je l'ai vu maintes fois.
- Recruter les meilleurs, et pouvoir les licencier. Aujourd'hui, malgré la sécurité de l'emploi, les concours sont loin de faire le plein , n'attirent pas "les meilleurs". Et je sais de source certaine pour avoir eu des jeunes de mon entourage confrontés à la plateforme "Mon master" que malgré la pénurie, des propositions de master MEEF sont boudées.
- Fragiliser les enseignants par la mise au pas permanente qu'impose la contractualisation irait sans doute exactement dans le sens contraire de la transmission des savoirs : il faudrait plaire pour garder sa place, faire du chiffre, accentuer la notation bienveillante, multiplier les projets et autres lubies. Ce serait plus de pédagogisme et moins d'enseignement. Il faudrait non seulement plaire plus aux petits chefs, mais aussi aux parents - clients rois - sans avoir d'indépendance, ce qui irait totalement à l'encontre de ce qu'elle semble souhaiter.
Elle énonce aussi des contre-vérités qui biaisent totalement le débat ( si on peut appeler ça a ainsi) : les enseignants voudraient "le beurre et l'argent du beurre", la sécurité de l'emploi devrait leur suffire. Non, aucun enseignant ne pense faire fortune, mais ceux qui sont un peu au courant voudraient simplement retrouver le statut de cadre A. Ils veulent juste que le beurre soit suffisant, comme les autres agents de l'Etat de même grade. Quant à la mobilité géographique, ceux qui acceptent leur titularisation vont, que je sache, où on les affecte. Ils jouent le jeu, sans quoi ils démissionnent, ce qui peut arriver. Seulement, la mobilité biaisée par le mouvement à deux tours rend celle-ci difficile et aléatoire, et ce système est très justement contesté.
Les contractuels, eux, refuseront carrément certains postes, ou partiront en courant comme je l'ai vu maintes fois.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- valleExpert spécialisé
J'ai la tendance à penser que ce type de discours ne cherchent in fine qu'à réveiller une réaction de défense pour que les destinataires originaux puissent conforter leurs idées : "voyez, voyez, comme tous les profs s'agitent et hurlent : c'est bien qu'ils veulent maintenir leurs privilèges !".
Pour moi, la réaction doit être juste l'opposée : OUI, allons-y, mais pour de vrai : contrats de droit privé, plus de modifications unilatérales de l'employeur, plus d'"intérêt du service", inspection du travail, prud'hommes. On verra qui a peur alors...
(@Lefteris, la situation actuelle où le statut de fonctionnaire permet de gagner en indépendance pour aller contre la volonté de la hiérarchie est parfaitement antinaturelle et propre à un dysfonctionnement un peu systémique de l'ÉN, puisque c'est précisément la hiérarchie qui définit les statuts...)
Pour moi, la réaction doit être juste l'opposée : OUI, allons-y, mais pour de vrai : contrats de droit privé, plus de modifications unilatérales de l'employeur, plus d'"intérêt du service", inspection du travail, prud'hommes. On verra qui a peur alors...
(@Lefteris, la situation actuelle où le statut de fonctionnaire permet de gagner en indépendance pour aller contre la volonté de la hiérarchie est parfaitement antinaturelle et propre à un dysfonctionnement un peu systémique de l'ÉN, puisque c'est précisément la hiérarchie qui définit les statuts...)
- Vieux_MongolFidèle du forum
Juriste formée à Assas, a d'abord bossé comme chasseuse de têtes puis à Publicis avant de se reconvertir comme professeure dans une école privée. Grande copine de Lisnard, connu pour ses positions de droite tout à fait modérée Moi, elle me parait très cohérente cette dame.
- PrezboGrand Maître
On peut reconnaître une certaine capacité de rebond à ce genre de personnage : tombés dans l'enseignement suite à une probable déconvenue professionnelle, ils savent rapidement utiliser cette expérience pour se relancer médiatiquement.
- Vieux_MongolFidèle du forum
C'est sûr. Et on dirait bien privé hors contrat.
- HocamSage
Mais combien de fois faudra-t-il lire ce terme sur ce forum ? On va arranger les choses en crachant sur toute une profession à grand renfort de généralisations ? Tous les journalistes ne font pas cela, et depuis des mois beaucoup évoquent la précarité enseignante, même si certains n'approfondissent pas assez pour avoir du répondant face à des individus comme Kamen-Hirsig.voyageur a écrit:
S'il s'agit de contractualiser les enseignants en gardant une paye faible, il n'y aura plus personne pour faire ce métier, aspect dont les journaleux se gardent bien d'évoquer, préférant insister sur les "privilèges" de ces feignasses de profs....
(Et sinon, se relire pour éviter de massacrer la grammaire, ça peut être sympa aussi).
- OudemiaBon génie
Là où elle était avec des enfants de mon entourage (mais je n'en sais pas encore plus) c'était du sous contrat.Vieux_Mongol a écrit:C'est sûr. Et on dirait bien privé hors contrat.
- Vieux_MongolFidèle du forum
Là elle n'apparait pas dans l'annuaire sur l'académie de Paris où elle dit être dans sa page LinkedIn.
- voyageurNiveau 5
C'est surtout l'école privée qui a le beurre (statut de fonctionnaire pour une large majorité d'enseignants) et l'argent du beurre (sélection des élèves avec exclusion des perturbateurs vers ...le public)
- LefterisEsprit sacré
Pas vraiment: C'est l'institution avec un grand "I" qui donne un statut,. Plus largement le statut de fonctionnaire, pas la hiérarchie directe qui peut employer comme bon lui semble les agents, et encore moins le client-roi que serait le parent d'élève, qui se plaint même quand l'enseignant fait son travail et répond aux obligations dudit statut (qui n'a jamais entendu contester le choix d'une oeuvre, le sujet d'un devoir, hein ? )valle a écrit:.
(@Lefteris, la situation actuelle où le statut de fonctionnaire permet de gagner en indépendance pour aller contre la volonté de la hiérarchie est parfaitement antinaturelle et propre à un dysfonctionnement un peu systémique de l'ÉN, puisque c'est précisément la hiérarchie qui définit les statuts...)
Oui et non. Il y a des avantages indéniables, qui poussent des candidats vers le privé (choix d'une région, sélection des élèves) mais aussi des inconvénients réels, notamment pour la retraite moins avantageuse (ou plus désavantageuse,si l'on veut).Je pense aussi que les carrières sont plus lentes, à vérifier. Il y a aussi une hiérarchie plus pesante, et parfois une hiérarchie interne : directeur de cycle, de niveau...Dans certaines régions, le privé n'a pas la main (comme dans mon académie où ça fait la queue), pour la bonne raison qu'il y a autant voire plus d'établissements privés, et la concurrence ne joue pas. Les collègues sont certes dans la région qu'ils ont choisie, et beaucoup plus vite, mais ils prennent comme nous le tout-venant.voyageur a écrit:C'est surtout l'école privée qui a le beurre (statut de fonctionnaire pour une large majorité d'enseignants) et l'argent du beurre (sélection des élèves avec exclusion des perturbateurs vers ...le public)
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CasparProphète
Encore une qui n'a pas entendu parler de la crise du recrutement et de la pénurie de professeurs, mais le prof-bashing est plus vendeur.
- LefterisEsprit sacré
Justement, pour nourrir la réflexion plus que la péroraison sur les plateaux, voici la sélection de la quinzaine de la BRP sur "l'attractivité " ( mot qui remplaçe "attrait" et devrait figurer dans la liste de ceux qu'on n'aime pas) du métier d'enseignant.
Certes on y trouve un peu de tout, des remèdes propres à aggraver le mal entra autres, mais au moins il y a des éléments factuels.
Bonne lecture.
https://www.vie-publique.fr/selection-de-la-quinzaine-enseignants-formation-attractivite-recrutement
Certes on y trouve un peu de tout, des remèdes propres à aggraver le mal entra autres, mais au moins il y a des éléments factuels.
Bonne lecture.
https://www.vie-publique.fr/selection-de-la-quinzaine-enseignants-formation-attractivite-recrutement
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
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- AliceinwonderlandNeoprof expérimenté
voyageur a écrit:C'est surtout l'école privée qui a le beurre (statut de fonctionnaire pour une large majorité d'enseignants) et l'argent du beurre (sélection des élèves avec exclusion des perturbateurs vers ...le public)
Très franchement il y a de tout dans le privé. Je suis pourtant dans un secteur où il y a une fuite accrue vers le privé mais je connais au moins 3 établissements où je n'aurais jamais mis mon enfant. Le problème c'est que dans le privé parents et enfants sont des clients. Certains établissements jouent la carte de l'exigence, des options élitistes, du côté strict (règlement intérieur sévère, discipline, tenue correcte exigée etc) mais tous ne peuvent pas se le permettre et certains établissements jouent plutôt la carte parent et enfant roi.
Une connaissance a mis ses enfants dans une école de ce type (il y a très longtemps j'avais rencontré le directeur qui m'avait expliqué que du fait d'internet l'enseignant n'avait plus le monopole du savoir, devait se mettre au service de l'élève etc). L'an dernier un enseignante avait démissionné au bout de 3 jours, et mon amie s'étonnait (elle considère que dans le privé les gosses sont faciles). Franchement à mon avis cette école doit être atroce pour les enseignants (on ne démissionne pas au bout de trois jours pour rien) et je sais que le niveau est très mauvais.
Le public aurait pu empêcher cette fuite en maintenant une certaine exigence, des classes plus élitistes, une certaine discipline aussi. Si certains parents cherchent dans le privé l'entre-soi, ou un cocon pour leur enfant roi, beaucoup de parents cherchent tout simplement à éviter racket, problèmes de violence, souhaitent un certain niveau d'exigences (et préféreraient le public si c'était possible). Malheureusement je pense que les établissements publics qui demeurent attractifs (et il y en a encore en effet) vont de plus en plus souffrir des réformes ineptes subies et à venir.
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Comme chaque année à la même époque je fais preuve d'un optimisme aveugle en me disant que l'année à venir ne peut pas être pire que celle qui vient de s'écouler. En oubliant que l'année passée a été pire que la précédente... (je cite de mémoire Emmanuel Brouillard)
- lilith888Grand sage
voyageur a écrit:C'est surtout l'école privée qui a le beurre (statut de fonctionnaire pour une large majorité d'enseignants) et l'argent du beurre (sélection des élèves avec exclusion des perturbateurs vers ...le public)
N'importe quoi... mais on a l'habitude hein ! Je ne sais pas d'où tu sors que les professeurs du privé ont le statut de fonctionnaire, mais cela décrédibilise d'emblée ton propos.
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