Décès du principal d'un collège de Lisieux ce 11 août au sein de l'établissement

Mais quelle horreur !

Quelle horreur! Pensées pour ses proches

C'est absolument horrible, je ne peux m'empêcher de penser en particulier à sa fille...

Pas de mots 

C'est horrible...

Sur RTL, je viens d'entendre le témoignage de son épouse.
Je suis d'abord assez choquée que les chaînes d'info soient allées directement interroger cette femme en détresse... Pensées à elle et sa famille.
Le témoignage que j'ai entendu est poignant : la conscience professionnelle de cet homme qui passe au collège avant de partir en vacances et qui revient à la voiture chercher son portable quand il comprend qu'il y a eu une intrusion, la lumière allumée, ses lunettes loin de lui quand il a été retrouvé, il avait une marque sur le front, le massage cardiaque et le défibillateur qui n'ont rien pu faire...
Espérons que l'enquête puisse apporter des réponses.

Pensées sincères pour ses proches.

Terrible pour sa famille.
Condoléances.

Pensées pour sa famille, ses proches et toute l' équipe du lycée.  Une vraie horreur.

C'est terrible. Une pensée pour sa famille et ses proches.

Horrible.

Quelle horreur ! Des pensées à sa famille, au personnel du collège ainsi qu’aux élèves.

Un terrible drame. Pensées pour sa famille, ses proches, le personnel de l'établissement et les élèves.

Oui, terrible. Pensée pour sa famille.

Comme vous tous, je suis horrifiée par les circonstances de ce décès. Condoléances à sa famille et à ses proches.

Je n'avais pas saisi ce qu'impliquait le titre...

C'est horrible

C'est en effet terrible. Pour la communité scolaire sans doute, mais pour sa famille plus particulièrement ; j'ai du mal a imaginer ce qu'ils doivent avoir vécu...
En parcourant rapidement les commentaires sur un journal en ligne, je ne peux m'empêcher de signaler qu'une bonne partie des intervenants se montrent surpris que le CDE se soit aventuré dans ces circonstances dans l'intérieur du collège au lieu d'avoir appelé la police. Une réflexion de plus sur le fait que ce qu'on considère normal dans l'ÉN est loin de l'être dans bien de milieux professionnels.

Communiqué du SNPDEN à l'instant, je ne copie que la fin car le communiqué reprend les circonstances du drame :

Notre sidération et notre émotion sont très fortes aujourd’hui, et nous souhaitons témoigner de tout notre soutien aux proches de Stéphane, à la communauté de l’établissement, aux familles et aux élèves, qui se sont réunis dès hier pour un hommage spontané, évoquant la très grande attention qu’il portait à chacun.

Nous attendrons bien évidemment les résultats de l’enquête, avec inquiétude aux regards des premiers éléments disponibles.

Stéphane était, comme tous les personnels de direction, engagé au service de élèves et de leur réussite, soucieux d’un environnement serein pour toutes et tous.

Il est à craindre que son engagement et son dévouement aient précipité sa disparition.

À cet égard, il convient de rappeler l’urgence de trouver, sous la responsabilité des collectivités territoriales, des solutions de surveillance et de sécurisation des locaux qui ne mettent pas en péril la sécurité et l’intégrité des personnels de direction.

Nous pensons très fort à lui, à ses proches et au sens de nos missions et de notre place dans le service public d’éducation.

Cela aurait pu être n'importe lequel d'entre nous, et cette pensée me plonge dans un effroi...

Le recours à la violence contre une personne qui protège un bâtiment public où, même s’il y a des choses à voler je suppose, il n’y a pas non plus d’objets de très grande valeur, est en effet très choquant. Je trouve la réaction d’aller vérifier par soi-même bien naturelle, le lieu est familier, et la perspective d’une menace sur sa vie dans un collège d’une petite ville de province pouvait difficilement être envisagée avant hier.

Que dire? C'est affreux.

Une nouvelle horrible. Sincères condoléances à la famille.

Les mots manquent. Toutes mes pensées à sa famille et ses proches. Dans quel monde vit-on !

Les mots "meurtre" et "tué" ne sont pas dans la séquence BFM que je viens d'entendre. L'expression "mort suspecte" signifie qu'il reste aux yeux de médias un doute sur le fait que notre collègue CdE ait été abattu. À suivre pour savoir si la sidération empêche de nommer le fait, ou si réellement le médecin légiste procède et procèdera à des vérifications lors de l'autopsie. Cela ne change rien au choc indicible pour sa femme et sa fille qui ont dû faire face quasi en temps réel à la mort de leur époux et père.

Pour ma part, j'ai découvert avec stupéfaction que la procédure suivie semble ordinaire, à savoir que le CdE doit intervenir seul dès le rententissement de l'alerte, sans obtenir d'abord l'envoi d'une patrouille de police ou de gendarmerie. Ce métier exigeait déjà au delà de ce que la plupart des salariés acceptent, mais je ne pensais pas qu'on concevait comme normal, qui plus est à 5 heures du matin encore en pleine nuit dans l'ouest en août, de laisser un Cde aller seul au contact d'un intrus (ou même plusieurs on n'en sait rien) dans un établissement scolaire, la violence contre les personnes accompagne pourtant très souvent les cambriolages où qu'ils aient lieu, on sait bien que même policiers et gendarmes ne sont pas à l'abri.

Cela m'est arrivé en effet des dizaines de fois, et à tous mes collègues aussi. Si j'appelle la police à chaque fois, je vais les déranger toutes les semaines. Rétrospectivement je trouve ça hallucinant aussi, mais sur le moment je ne me suis jamais sentie en insécurité.

LadyOlenna a écrit: Si j'appelle la police à chaque fois, je vais les déranger toutes les semaines.

Finalement c'est peut-être mieux, non ?

stench a écrit:

LadyOlenna a écrit: Si j'appelle la police à chaque fois, je vais les déranger toutes les semaines.

Finalement c'est peut-être mieux, non ?

Oui maintenant c'est ce que je me dis (mais les faire venir pour un insecte rentré par une fenêtre mal fermée, j'ai du mal). Ce drame permettra au moins, j'imagine, de remettre à plat nos obligations, d'autant que certaines collectivités mettent bien la pression aux personnels logés, les considérant comme "gardiens des murs".