Correction du DNB

Toujours pas de convoc ici. J'ai retrouvé (en ligne) celle de l'année dernière : elle date du 13 juin 2022. Ils ne sont pas pressés de s'organiser au SIEC.

Rubik a écrit:Alors je pense que ça dépend des académies Henriette. Par ici (je suis dans la même académie que Marjo), c'est plutôt personne ne part tant que TOUS les paquets ne sont pas finis. Vous voulez partir tôt car vous avez fini ? Ben prenez des copies à vos camarades ! Et franchement, quand le camarade en question s'est accordé une pause déjeuner de 2h alors que tu as pris un sandwich en corrigeant (voire pas de sandwich du tout), c'est difficile de rester poli...

Mais concrètement, ils feront quoi si on part quand même, ils appellent la police ? ça fait plusieurs années que, sans pause aucune, je commence à 9h et termine à 12h. J'attends impatiemment le chefaillon qui me forcerait à rester plantée sur place

lilith888 a écrit:

Mais concrètement, ils feront quoi si on part quand même, ils appellent la police ? ça fait plusieurs années que, sans pause aucune, je commence à 9h et termine à 12h. J'attends impatiemment le chefaillon qui me forcerait à rester plantée sur place

C'est arrivé à ma conjointe l'an dernier. La cheffe d'établissement s'est physiquement interposée devant la porte pour empêcher ma conjointe de sortir. Ma conjointe n'a pas eu des mots très agréables et est partie quand même. La cheffe d'établissement a appelé sa cheffe pour se plaindre...

Une année on ns a expliqués que si nous voulions partir avant 16h c'était possible mais ns avions obligation à téléphoner à notre IPR !!!!!!!!!! Allô ? Je peux partir ?????????

Plutarque a écrit:

lilith888 a écrit:

Mais concrètement, ils feront quoi si on part quand même, ils appellent la police ? ça fait plusieurs années que, sans pause aucune, je commence à 9h et termine à 12h. J'attends impatiemment le chefaillon qui me forcerait à rester plantée sur place

C'est arrivé à ma conjointe l'an dernier. La cheffe d'établissement s'est physiquement interposée devant la porte pour empêcher ma conjointe de sortir. Ma conjointe n'a pas eu des mots très agréables et est partie quand même. La cheffe d'établissement a appelé sa cheffe pour se plaindre...

Non mais sans blague ???
A partir du moment où on est convoqué sur deux jours et qu'on a un impératif pour devoir partir mettons à 18H (aller chercher un enfant, au hasard), je ne vois même pas de quel droit ils nous empêchent de le faire. En lettres, c'est une vraie question de savoir si on va pouvoir terminer à une heure convenable ou pas : les corrections sont très longues.

Edit : je viens de recevoir ma convocation. Je suis "coordonnateur suppléant" et convoquée le jeudi 29 et le vendredi 30. Ca veut dire quoi "suppléant" : de réserve ? Je dois corriger ? La convocation n'est pas claire du tout. Les réunions d'entente entre coordonnateurs ont lieu la veille normalement (le mercredi 28) ? Je n'y suis pas conviée.

lilith888 a écrit:

Rubik a écrit:Alors je pense que ça dépend des académies Henriette. Par ici (je suis dans la même académie que Marjo), c'est plutôt personne ne part tant que TOUS les paquets ne sont pas finis. Vous voulez partir tôt car vous avez fini ? Ben prenez des copies à vos camarades ! Et franchement, quand le camarade en question s'est accordé une pause déjeuner de 2h alors que tu as pris un sandwich en corrigeant (voire pas de sandwich du tout), c'est difficile de rester poli...

Mais concrètement, ils feront quoi si on part quand même, ils appellent la police ? ça fait plusieurs années que, sans pause aucune, je commence à 9h et termine à 12h. J'attends impatiemment le chefaillon qui me forcerait à rester plantée sur place

3 heures seulement ? En français série générale ? Avec 35 candidats à corriger ?

Henriette, j'ai déjà vu cette même durée pour 45 copies, alors...

L'an dernier, j'ai fait 9h-13H30 : 36 candidats et des copies prises à un collègue stagiaire.

J'ai pris mon paquet, suis allée le rendre. La modératrice m'a rattrapée, elle avait l'air vraiment gênée de devoir me le dire : "on nous a demandé de ne laisser partir personne avant 15h".
J'ai répondu avec un grand sourire : "tous les paquets sont en train d'être corrigés, j'ai fini le mien, j'ai pris des copies à un collègue, si jamais on vous demande où je suis vous direz que j'ai refusé de rester, je vous autorise à donner mon nom !".

Je ne prends pas de café, je mange une madeleine vite fait en corrigeant, j'essaie d'enchaîner méthodiquement, ce n'est pas pour devoir ensuite attendre gentiment. Surtout que là l'argument était étrange : pourquoi 15h et pas une autre heure, si le boulot est fait ? Bref. Je suis partie, personne n'est venu me chercher (ils auraient toujours pu essayer...)...

Je ne prends pas de café, je commence à 9 heures. Je m'arrête pour manger 30 minutes vers 13h00, puis je reprends. Dans le meilleur des cas, j'arrive à finir entte 17h00 et 18h00. Mais depuis quelques années, je dois revenir le lendemain.

Pourtant je ne discute pas, je ne me disperse pas.
Mais rien que les 35 rédactions me prennent 3 heures minimum, les 35 dictées c'est une heure et demi, et les 35 questions, c'est plus de 3 heures aussi.

Faire tout ça en 3 heures, c'est passer 5 minutes en tout pour corriger une dictée + une rédaction + des questions grammaire compréhension analyse + la réécriture + additionner tous les points. Et reporter les trois notes sur les bordereaux. Voire les saisir sur l'appli.
Je ne sais pas faire ça.

henriette a écrit:

lilith888 a écrit:

Rubik a écrit:Alors je pense que ça dépend des académies Henriette. Par ici (je suis dans la même académie que Marjo), c'est plutôt personne ne part tant que TOUS les paquets ne sont pas finis. Vous voulez partir tôt car vous avez fini ? Ben prenez des copies à vos camarades ! Et franchement, quand le camarade en question s'est accordé une pause déjeuner de 2h alors que tu as pris un sandwich en corrigeant (voire pas de sandwich du tout), c'est difficile de rester poli...

Mais concrètement, ils feront quoi si on part quand même, ils appellent la police ? ça fait plusieurs années que, sans pause aucune, je commence à 9h et termine à 12h. J'attends impatiemment le chefaillon qui me forcerait à rester plantée sur place

3 heures seulement ? En français série générale ? Avec 35 candidats à corriger ?

Oui. Cette épreuve est du foutage de gueule généralisé, je ne vois pas pourquoi je ferais du zèle au niveau correction, sachant que nos notes seront allègrement remontées ensuite en rattrapage... quand je vois les collègues s'acharner à hésiter sur du 0,25, vraiment, je ne saisis pas. Autant je peux être ultra pointilleuse sur les notations de mes élèves durant l'année, autant là je m'en fiche royalement : on voit très vite les bonnes copies et les torchons... et quand on voit l'importance de notre épreuve à l'échelle du brevet... comment dire ? Je peux parler du paiement de cette journée aussi... on a l'embarras du choix !

Que ce soit clair hein, je n'accuse personne d'être lent ! Chacun son rythme  

Mais qu'on ne me force pas  à rester, c'est la moindre des choses.

En fait ça dépend peut-être aussi de ce qui est demandé mais je n'annote pas les rédactions : c'est un examen, pas la copie d'un élève que j'ai. Je trie entre imagination et réflexion pour avoir en tête un seul sujet à la fois et les critères une fois pour toutes.
Pour les dictées, je trouve que c'est le plus rapide, je commence par toutes les dictées, avec annotations dans la marge, une barre par faute à 1 point et une croix par faute à 0,5 etc. Ensuite le total se fait en quelques secondes.
Pour les questions, c'est ce que je trouve le plus long en fait, parce qu'il faut quelques copies pour se roder au barème : mais je procède par groupes de questions pour retenir facilement le barème et le corrigé sans devoir m'y reporter à chaque fois. Ainsi, je manipule énormément les copies mais je n'ai pas cette sensation de devoir repartir à zéro à chaque fois ; j'utilise ces méthodes depuis ma 2e année de correction, ça a changé nettement mon temps de travail.

Pour autant, le travail n'est pas bâclé non plus (je le dis parce que j'ai lu parfois ça...), si on faisait le total du temps passé sur un seul candidat ça serait plus que 5 minutes, en réalité... je passe du temps sur les questions, comme je le disais. Je ne pars jamais à 12h, comme je dis dans mon cas c'est plutôt 13h30.

Dans mon académie, nous ne rentrons pas les notes, on les reporte seulement sur un listing.

Après, chacun est différent, chacun a sa technique, et vraiment je trouve primordial de laisser deux jours de correction (chaque année, quand on reçoit le questionnaire, je réponds en disant que j'ai mis deux jours pour éviter qu'ils ne sucrent un jour aux correcteurs), pour que chacun puisse faire le travail comme il l'entend. Mais de fait, en ce qui me concerne, je préfère largement corriger le DNB qu'un DNB blanc (là c'est l'enfer).

henriette a écrit:Je ne prends pas de café, je commence à 9 heures. Je m'arrête pour manger 30 minutes vers 13h00, puis je reprends. Dans le meilleur des cas, j'arrive à finir entte 17h00 et 18h00. Mais depuis quelques années, je dois revenir le lendemain.

Pourtant je ne discute pas, je ne me disperse pas.
Mais rien que les 35 rédactions me prennent 3 heures minimum, les 35 dictées c'est une heure et demi, et les 35 questions, c'est plus de 3 heures aussi.

Faire tout ça en 3 heures, c'est passer 5 minutes en tout pour corriger une dictée + une rédaction + des questions grammaire compréhension analyse + la réécriture + additionner tous les points. Et reporter les trois notes sur les bordereaux. Voire les saisir sur l'appli.
Je ne sais pas faire ça.

Moi non plus.

C'est parce que vous corrigez consciencieusement, ce que je ne fais pas dans le sens où j'assume le côté " à la louche" pour cette épreuve qui n'a d'épreuve que le nom.

Je comprends que tu le fasses, mais je n'y arrive pas, même si cela me semble plus absurde chaque année.

Maju a écrit:Je comprends que tu le fasses, mais je n'y arrive pas, même si cela me semble plus absurde chaque année.

D'aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours plus ou moins fait partie du camp des rebelles, ça aide

Il me semble qu'on peut corriger vite et consciencieusement, surtout quand on a un barème auquel on est bien rôdé. En fait, c'est précisément pour pouvoir aller vite qu'on prend du temps à fabriquer un barème précis et fin.

Si je prends les chiffres donnés par Fop : 40 copies en 270 minutes, soit en gros six minutes par copie, ça me paraît très raisonnable, dans la mesure où au bout d'un certain nombre de copies il doit être possible d'aller à toute vitesse. Je n'ai pas d'expérience de correction du brevet, mais je corrige d'autres examens, et je passe évidemment moins de six minutes par copie en moyenne, ce n'est pas une tâche suffisamment intéressante pour que j'y consacre plus de temps - mais comme je suis (mal) payé pour, je le fais sérieusement tout de même.

DesolationRow a écrit:Il me semble qu'on peut corriger vite et consciencieusement, surtout quand on a un barème auquel on est bien rôdé. En fait, c'est précisément pour pouvoir aller vite qu'on prend du temps à fabriquer un barème précis et fin.

Si je prends les chiffres donnés par Fop : 40 copies en 270 minutes, soit en gros six minutes par copie, ça me paraît très raisonnable, dans la mesure où au bout d'un certain nombre de copies il doit être possible d'aller à toute vitesse. Je n'ai pas d'expérience de correction du brevet, mais je corrige d'autres examens, et je passe évidemment moins de six minutes par copie en moyenne, ce n'est pas une tâche suffisamment intéressante pour que j'y consacre plus de temps - mais comme je suis (mal) payé pour, je le fais sérieusement tout de même.

C'est exactement ça.
La méthode que j'évoque, pour la dictée comme pour les questions en particulier, fait gagner un temps considérable.
Et les rédactions, on voit tout de suite ce qu'elles valent. Sur 40 points, on va accorder mettons 10 à l'orthographe, 15 à tel truc, etc. etc., et une fois qu'on a ça en tête ça va vite...

Lilith a raison. J'ai été convoquée il y a deux ans au jury du DNB. Je ne savais pas ce que c'était. J'ai assisté à un truc de fou. On nous donne des pourcentages, des chiffres et on nous demande si on est d'accord pour remonter les notes. Genre... Par exemple, les gamins qui sont à 9,3 ou 9,5 est-ce qu'on remonte à 10 etc ? Ensuite, on passe aux mentions et on remonte tout...J'étais PP 3e cette année-là et j'avais déjà passé un quart d'heure avec mon chef à remonter les blocs de compétence (je ne sais pas comment cela s'appelle, je m'en fiche complètement) du contrôle continu. J'étais verte !!! Alors la correction, je fais comme Lilith et je ne pense pas mal la faire. Je fais toutes les dictées, toutes les questions et je finis avec les rédactions. Je finis vers 13h/13h30.

Fires of Pompeii a écrit:Je ne prends pas de café, je mange une madeleine vite fait en corrigeant

Pas possible pour moi. A chaque fois que j'ai corrigé, il y a eu une pause obligatoire : on nous met dehors et on verrouille (pendant 3/4 d'heure, de mémoire) la salle pour qu'on aille manger.

adumbrate a écrit:

Fires of Pompeii a écrit:Je ne prends pas de café, je mange une madeleine vite fait en corrigeant

Pas possible pour moi. A chaque fois que j'ai corrigé, il y a eu une pause obligatoire : on nous met dehors et on verrouille (pendant 3/4 d'heure, de mémoire) la salle pour qu'on aille manger.

Quelle infantilisation. Dans un cas pareil je laisse tout, je m'en vais et je ne reviens pas, quitte à perdre du fric, oui.

Non, mais c'est une blague, pas possible autrement ! Et tout le monde se laisse faire bien docilement ?!

Je n'ai jamais été convoquée sur 2 jours en 24 ans. Depuis je dirais 10-15 ans, on a droit à une réunion pour nous passer le corrigé National et les correctifs/ tolérances académiques et les copies test. Ce qui fait que l'on n'a pas nos copies avant 9h15-9h30 au mieux. Ensuite on file dans les salles que l'on nous a attribuées et on s'installe et souvent c'est un peu agité au début, pas moyen de s'isoler, on corriger par collège.
Je commence par les dictées, en soulignant trait double pour erreur grammaticale/simple pour lexicale et je suis rodée, ça va vite.Après les questions, en faisant toute la partie grammaire puis la compréhension. Il faut savoir que dans mon Aca, on insiste pour que l'on fasse une espèce de panel de copies complètes ( on doit en avoir corrigé 10 complètes plus ou moins pour une heure donnée), et on doit faire une première saisie sur ordi. On nous OBLIGE à sortir des salles et à prendre une pause déjeuner vers 12h/12h30 ( ça c'est récent, j'ai déjà eu corrigé en mangeant un sandwich en corrigeant). En général, j'arrive à finir ou presque les premières parties le matin ou presque, ça dépend du nombre de candidats. Après j'enquille sur les rédactions, pareil, je fais un tri entre les sujets et barème mental à la louche. On nous demande de mettre un commentaire sur les copies de rédactions parce que de de plus en plus de parents demandent à voir les copies... De mémoire, il me semble que j'avais fini vers 16h l'an dernier mais parfois ça peut aller jusqu'à 18. Et j'oubliais, nous sommes convoquées cette année le 3 juillet !!

Je suis dans l'académie de Versailles, et toujours pas de convoc alors que mes collègues en ont reçu une aujourd'hui. Serait-il possible que je ne sois pas convoquée...?

adumbrate a écrit:

Fires of Pompeii a écrit:Je ne prends pas de café, je mange une madeleine vite fait en corrigeant

Pas possible pour moi. A chaque fois que j'ai corrigé, il y a eu une pause obligatoire : on nous met dehors et on verrouille (pendant 3/4 d'heure, de mémoire) la salle pour qu'on aille manger.

Même chose chez moi. Une année, nous avions été plusieurs à râler et il se trouve que la cheffe d'établissement à contacté l'IPR qui est passé dans l'après-midi pour discuter avec un correcteur qui était particulièrement remonté. Je ne sais pas ce que ça avait donné, il n'était pas de mon collège.
C'est affligeant cette infantilisation.

DesolationRow a écrit:Il me semble qu'on peut corriger vite et consciencieusement, surtout quand on a un barème auquel on est bien rôdé. En fait, c'est précisément pour pouvoir aller vite qu'on prend du temps à fabriquer un barème précis et fin.

Si je prends les chiffres donnés par Fop : 40 copies en 270 minutes, soit en gros six minutes par copie, ça me paraît très raisonnable, dans la mesure où au bout d'un certain nombre de copies il doit être possible d'aller à toute vitesse. Je n'ai pas d'expérience de correction du brevet, mais je corrige d'autres examens, et je passe évidemment moins de six minutes par copie en moyenne, ce n'est pas une tâche suffisamment intéressante pour que j'y consacre plus de temps - mais comme je suis (mal) payé pour, je le fais sérieusement tout de même.

Ce n'est pas une copie, il y en a déjà physiquement 2.
Une où tu auras la partie questions qui compte une douzaine de questions, parfois subdivisées en deux sous-questions, la réécriture (et tu dois additionner tous les points pour avoir la note) ; et la dictée qui fait une 2e note.
L'autre où tu as la rédaction qui fait la 3e note.
À reporter sur le bordereau.
6 minutes pour tout ça, je le répète, je ne vois pas comment faire.

Sauf à adopter l'approche le lilith, effectivement.
Mais moi non plus je n'y arrive pas. Je ne peux m'empêcher de me dire que si c'était mon gamin, j'aimerais que le travail ne soit pas fait à la louche, voire par dessus la jambe, et que ce candidat que je corrige, c'est aussi le gamin de quelqu'un.
Donc je suis lente, effectivement.

Et puis il y a de plus en plus d'écritures illisibles... Mais là, j'ai pris la résolution pour cette année de ne pas mettre de points pour ce qu'il faut déchiffrer façon Champollion avec les yeux qui saignent.

Que faites-vous d'ailleurs face à des rédactions qui nécessite un déchiffrage fastidieux pour parvenir à les lire ? Vous laissez tomber et vous mettez une tôle forfaitaire ?

lilith888 a écrit:Non, mais c'est une blague, pas possible autrement ! Et tout le monde se laisse faire bien docilement ?!

J'ai aussi connu les établissement qui nous interdisent l'accès au serveur pour saisir avant une certaine heure.Parce que l'on nous demande de saisir les notes nous-mêmes ( l'an dernier, dans une salle avec des collègues vie sco et de je ne sais quelle discipline qui jouaient à un jeu de société et braillaient dans la salle info, la crise pour se concentrer, je n'ai pas été très aimable.)