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- mathmaxExpert spécialisé
A quoi sert-il ?
Qui doit le rédiger ?
Quelqu'un doit-il l'approuver ?
Est-ce grave de ne pas l'avoir lu, lorsqu'on est enseignant, lorsqu'on est parent ?
Certains prétendent qu'il reste enfermé à double tour dans un tiroir secret (et peut-être humide, comme un cachot). Existe-t-il une association de lutte contre ces mauvais traitements ?
Qui doit le rédiger ?
Quelqu'un doit-il l'approuver ?
Est-ce grave de ne pas l'avoir lu, lorsqu'on est enseignant, lorsqu'on est parent ?
Certains prétendent qu'il reste enfermé à double tour dans un tiroir secret (et peut-être humide, comme un cachot). Existe-t-il une association de lutte contre ces mauvais traitements ?
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
A la première question : cela reste une énigme...
Théoriquement, l'ensemble de l'équipe doit le rédiger si je ne m'abuse, afin qu'il se révèle être la puissante (tadam) émanation des néducateurs zé pédagogues zélés...
Théoriquement encore, tous les membres de l'équipe éducative sont censés l'avoir lu et (je cite, ne riez pas) "s'en être emparé". Bref , nous sommes tous de petits scarabées apportant notre modeste contribution à la mise en oeuvre de ce fabuleux projet. En tant que parent, on peut s'y pencher surtout si l'on est représentant (mais déjà que la plupart des personnels s'en tape et qu'on les pond essentiellement pour ne pas être dans l'illégalité...).
Le dernier point est une légende urbaine car, comme la parole christique, le projet d'établissement a vocation à imprégner tous les acteurs de l'établissement, à les inciter à travailler de concert pour faire un homme meilleur.
A la dernière question, je ne sais que répondre mais l'on peut chercher !
Théoriquement, l'ensemble de l'équipe doit le rédiger si je ne m'abuse, afin qu'il se révèle être la puissante (tadam) émanation des néducateurs zé pédagogues zélés...
Théoriquement encore, tous les membres de l'équipe éducative sont censés l'avoir lu et (je cite, ne riez pas) "s'en être emparé". Bref , nous sommes tous de petits scarabées apportant notre modeste contribution à la mise en oeuvre de ce fabuleux projet. En tant que parent, on peut s'y pencher surtout si l'on est représentant (mais déjà que la plupart des personnels s'en tape et qu'on les pond essentiellement pour ne pas être dans l'illégalité...).
Le dernier point est une légende urbaine car, comme la parole christique, le projet d'établissement a vocation à imprégner tous les acteurs de l'établissement, à les inciter à travailler de concert pour faire un homme meilleur.
A la dernière question, je ne sais que répondre mais l'on peut chercher !
- CelebornEsprit sacré
Il doit être approuvé en Conseil d'Administration. C'est le CDE qui le rédige avec l'aide du conseil pédagogique.
Il est très important de bien veiller à ce qu'on retrouve dedans à l'arrivée, car le projet d'établissement restreint la liberté pédagogique des enseignants.
Il est très important de bien veiller à ce qu'on retrouve dedans à l'arrivée, car le projet d'établissement restreint la liberté pédagogique des enseignants.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- DinosauraHabitué du forum
Et c'est là que le bât blesse non ? Du coup, je me pose la question de savoir depuis quand existent des projets d'établissement, dans quel contexte ils ont été mis en place, dans quel but ? (est-ce en lien avec l'autonomie des EPLE et une volonté de territorialiser l'école ?). Peut-on s'opposer à certaines de ses directives, une fois que la projet d'établissement a été voté (s'il a une tournure trop "éducative", "citoyenne", "sportive" par exemple...) ? N'y a-t-il pas une hiérarchie des textes qui ramène à pas grand chose le projet d'établissement finalement ?Celeborn a écrit:Il doit être approuvé en Conseil d'Administration. C'est le CDE qui le rédige avec l'aide du conseil pédagogique.
Il est très important de bien veiller à ce qu'on retrouve dedans à l'arrivée, car le projet d'établissement restreint la liberté pédagogique des enseignants.
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Le projet d'établissement a été institué, si je ne m'abuse, par la loi Jospin de 1989.
La volonté affichée était que chaque établissement, en fonction de son contexte et de son public, était en mesure de déterminer quels étaient ses besoins et d'élaborer lui-même ses propres solutions pour sortir d'éventuelles impasses. Cela avait été présenté comme un moyen de s'affranchir d'une tutelle administrative par trop étouffante, dans les faits c'est surtout un catalogue d'idées toutes faites et de "solutions "dupliquées à l'infini ("pour la réussite de tous", "pour une meilleure cohabitation " "pour une plus grande responsabilisation" ...).
Ah et oui cela est bien sûr à mettre en lien avec l'"autonomisation" des EPLE !
La volonté affichée était que chaque établissement, en fonction de son contexte et de son public, était en mesure de déterminer quels étaient ses besoins et d'élaborer lui-même ses propres solutions pour sortir d'éventuelles impasses. Cela avait été présenté comme un moyen de s'affranchir d'une tutelle administrative par trop étouffante, dans les faits c'est surtout un catalogue d'idées toutes faites et de "solutions "dupliquées à l'infini ("pour la réussite de tous", "pour une meilleure cohabitation " "pour une plus grande responsabilisation" ...).
Ah et oui cela est bien sûr à mettre en lien avec l'"autonomisation" des EPLE !
- GrypheMédiateur
Le projet d'établissement est issu de la loi d'orientation de 1989 ("l'élève au centre"). Il est rendu obligatoire par l'article 17 de cette loi et ses modalités sont précisées dans la circulaire du 17 mai 1990.Dinosaura a écrit:je me pose la question de savoir depuis quand existent des projets d'établissement, dans quel contexte ils ont été mis en place, dans quel but ? (est-ce en lien avec l'autonomie des EPLE et une volonté de territorialiser l'école ?).
- InvitéPaNiveau 5
Et le contrat d'objectifs?
- GrypheMédiateur
C'est plus récent.PANALIN a écrit:Et le contrat d'objectifs?
Le Contrat d’objectifs est défini dans la circulaire du 30 septembre 2005 :
« Dans chaque établissement, doit être établi un projet de contrat d’objectifs. En cohérence avec le projet d’établissement, et sur la base des orientations fixées aux niveaux national et académique, il définit des objectifs à atteindre à une échéance pluriannuelle (de 3 à 5 ans) sous forme d’un programme d’actions, dont la mise en oeuvre peut être facilitée voire conditionnée par un appui des services rectoraux. Les indicateurs permettant d’apprécier la réalisation de ces objectifs sont mentionnés dans le contrat.
Ce projet de contrat est élaboré dans le cadre d’un dialogue avec l’autorité académique portant sur la pertinence des objectifs fixés et leurs conditions de mise en oeuvre.
La collectivité territoriale de rattachement doit être informée du contenu du contrat un mois avant la réunion du conseil d’administration portant sur le projet de contrat. Après son approbation, il est signé entre le recteur ou son représentant et le chef d’établissement. »
Le Contrat d’objectifs comprend :
1) les éléments du diagnostic du projet d’établissement justifiant le contrat d’objectifs.
2) deux ou trois objectifs opérationnels pour la durée du contrat (3 ans).
Pour chacun d’eux la stratégie envisagée doit être précisée autour de quelques actions.
3) les résultats attendus avec quelques indicateurs pertinents.
- MC311Niveau 10
Je reprends cette discussion pour poser une question.Celeborn a écrit:Il doit être approuvé en Conseil d'Administration. C'est le CDE qui le rédige avec l'aide du conseil pédagogique.
Il est très important de bien veiller à ce qu'on retrouve dedans à l'arrivée, car le projet d'établissement restreint la liberté pédagogique des enseignants.
Est-il courant que le projet d'établissement soit travaillé/rédigé par tous les enseignants en plénière ? C'est l'ordre du jour des 2 réunions ( 2 mercredi après-midi) organisées par notre cde pour les 2 demi-journées de pré-rentrée que nous devons.
- Une passanteEsprit éclairé
Je l'ai déjà fait plusieurs fois, et il vaut mieux prendre la chose au sérieux, parce qu'après on peut vous réclamer des comptes sur ce qui est écrit, et vous demander ce que vous avez mis en place pour que les objectifs soient atteints.
- MC311Niveau 10
Merci pour la réponse Une passante.
- dryadeNiveau 8
Bonsoir à tous,
Nous avons une interrogation et une inquiétude dans notre établissement, au sujet du Projet d’établissement qui doit être renouvelé.
Notre chef s’est pris d’une volonté de flicage des nouveaux collègues arrivant chez nous (contractuels, néotits, profs expérimentés) et les a convoqués un par un pour un entretien, leur demandant de prendre des notes et de produire ensuite un compte rendu de cet entretien !
Nos différentes protestations n’ont rien changé : le chef a prétendu qu’il s’agissait d’aider les collègues (entretien) et de laisser une trace dans leur dossier (compte rendu)…
Maintenant sa nouvelle lubie est d’inscrire au Projet d’établissement le fait que les nouveaux arrivants auront un collègue « tuteur » ou « référent ». Les équipes concertées ont déclaré unanimement qu’il n’était pas question que cela soit imposé, et certains faisant déjà l’hypothèse d’un passage en force ( ), ont dit que cela devrait faire l’objet d’une rémunération. À quoi le chef a répondu un « niet » catégorique.
Ma question est simple : est-ce légal d’instaurer un tel tutorat dans le Projet d’établissement ?
Les sites des syndicats ne font pas du tout allusion à ce point, cependant le Décret n°2008-263 du 14 mars 2008 - art. (V) indique : « Le projet d'établissement assure la cohérence des différentes activités de formation initiale, d'insertion sociale et professionnelle et de formation continue des adultes dans l'établissement. ».
Merci pour vos lumières et conseils éventuels. Je me demande aussi dans quelle mesure (en cas de passage en force) nous ne pourrions pas saisir le tribunal administratif pour défaut de l'EN dans sa prise en charge des nouveaux recrutés.
Bonne soirée,
Dryade
Nous avons une interrogation et une inquiétude dans notre établissement, au sujet du Projet d’établissement qui doit être renouvelé.
Notre chef s’est pris d’une volonté de flicage des nouveaux collègues arrivant chez nous (contractuels, néotits, profs expérimentés) et les a convoqués un par un pour un entretien, leur demandant de prendre des notes et de produire ensuite un compte rendu de cet entretien !
Nos différentes protestations n’ont rien changé : le chef a prétendu qu’il s’agissait d’aider les collègues (entretien) et de laisser une trace dans leur dossier (compte rendu)…
Maintenant sa nouvelle lubie est d’inscrire au Projet d’établissement le fait que les nouveaux arrivants auront un collègue « tuteur » ou « référent ». Les équipes concertées ont déclaré unanimement qu’il n’était pas question que cela soit imposé, et certains faisant déjà l’hypothèse d’un passage en force ( ), ont dit que cela devrait faire l’objet d’une rémunération. À quoi le chef a répondu un « niet » catégorique.
Ma question est simple : est-ce légal d’instaurer un tel tutorat dans le Projet d’établissement ?
Les sites des syndicats ne font pas du tout allusion à ce point, cependant le Décret n°2008-263 du 14 mars 2008 - art. (V) indique : « Le projet d'établissement assure la cohérence des différentes activités de formation initiale, d'insertion sociale et professionnelle et de formation continue des adultes dans l'établissement. ».
Merci pour vos lumières et conseils éventuels. Je me demande aussi dans quelle mesure (en cas de passage en force) nous ne pourrions pas saisir le tribunal administratif pour défaut de l'EN dans sa prise en charge des nouveaux recrutés.
Bonne soirée,
Dryade
- Philomène87Grand sage
Il faudrait déjà que ces nouveaux collègues acceptent le tutorat... Et j'espère qu'ils refuseront ! Surtout les titulaires qui ont moins à perdre que les contractuels.
Et ton chef, il trouvera assez de pigeons pour assurer le tutorat ? J'en doute...
Et ton chef, il trouvera assez de pigeons pour assurer le tutorat ? J'en doute...
- dryadeNiveau 8
Tous nos nouveaux collègues ont accepté de faire le compte rendu de l'entretien avec le chef, y compris les titulaires expérimentés, alors...
Je pense que c'est plutôt à nous de refuser un rôle de flicage.
Je pense que c'est plutôt à nous de refuser un rôle de flicage.
- Philomène87Grand sage
Oui, à vous, tout à fait, surtout si c'est gratuit...
Mais aussi à eux... Ca ne leur fait rien, d'être ainsi infantilisés ???
Quand j'ai été nouvelle dans mon établissement (néotit'), j'ai détesté les quelques collègues qui venaient me donner des "conseils" sur ma façon d'enseigner, alors, des profs expérimentés (et peut-être plus que leur futur "tuteur"), ça me dépasse...
Mais aussi à eux... Ca ne leur fait rien, d'être ainsi infantilisés ???
Quand j'ai été nouvelle dans mon établissement (néotit'), j'ai détesté les quelques collègues qui venaient me donner des "conseils" sur ma façon d'enseigner, alors, des profs expérimentés (et peut-être plus que leur futur "tuteur"), ça me dépasse...
- CathEnchanteur
Ne serait-ce pas plutôt à lui de démontrer que c'est légal utile et nécessaire ?
- CathEnchanteur
Après, il y a aussi un truc rapide, simple et efficace. Une grève sans préavis. Un matin à 8h, ou après la récréation, tous les collègues restent en salle des profs et ne prennent pas leurs élèves. Je vous garantis que ça va le faire bouger fissa.
- MathadorEmpereur
dryade a écrit:Maintenant sa nouvelle lubie est d’inscrire au Projet d’établissement le fait que les nouveaux arrivants auront un collègue « tuteur » ou « référent ». Les équipes concertées ont déclaré unanimement qu’il n’était pas question que cela soit imposé, et certains faisant déjà l’hypothèse d’un passage en force ( ), ont dit que cela devrait faire l’objet d’une rémunération. À quoi le chef a répondu un « niet » catégorique.
Ma question est simple : est-ce légal d’instaurer un tel tutorat dans le Projet d’établissement ?
Le tutorat ne fait visiblement pas partie des « missions liées » du II de l'article 2 du décret Peillon-Hamon qui régit les obligations de service des enseignants (sauf les PEGC). Les autres missions sont soumises au volontariat (article 3).
Si le chef veut fliquer les nouveaux il n'a qu'à venir dans leurs cours lui-même.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- gauvain31Empereur
Un seul mot: NON. Sans discuter.
- dryadeNiveau 8
@ Philomène : Nous sommes bien d'accord, Philomène, mais je ne peux pas en vouloir à mes collègues de ne pas avoir la force de refuser. Si nous sommes quelques-uns à refuser catégoriquement, nous avons besoin de billes, et le Décret que j'ai cité semble montrer que le chef peut imposer ses vues, non ?
@ Cath : La grève est une solution en cas de passage en force, en effet. Merci pour cette idée.
@ Mathador : Merci pour ce texte, je vais aller voir. Quant aux visites des collègues dans leurs cours, il l'a déjà fait ! C'est l'humiliation à tous les étages...
@ Cath : La grève est une solution en cas de passage en force, en effet. Merci pour cette idée.
@ Mathador : Merci pour ce texte, je vais aller voir. Quant aux visites des collègues dans leurs cours, il l'a déjà fait ! C'est l'humiliation à tous les étages...
- dryadeNiveau 8
Merci Mathador, je pense avoir élucidé la question. Le tutorat ne fait pas partie des missions liées et "l'insertion sociale et professionnelle" des adultes de l'établissement doit relever des formations académiques. Point barre.
Nous pouvons dire NON, Gauvain31, mais c'est mieux de mettre les points sur les "i".
Merci à vous tous pour vos réponses.
Nous pouvons dire NON, Gauvain31, mais c'est mieux de mettre les points sur les "i".
Merci à vous tous pour vos réponses.
- LefterisEsprit sacré
C'est dans le fil j'hallucine qu'il fallait poster ça...dryade a écrit:@ Philomène : Nous sommes bien d'accord, Philomène, mais je ne peux pas en vouloir à mes collègues de ne pas avoir la force de refuser. Si nous sommes quelques-uns à refuser catégoriquement, nous avons besoin de billes, et le Décret que j'ai cité semble montrer que le chef peut imposer ses vues, non ?
@ Cath : La grève est une solution en cas de passage en force, en effet. Merci pour cette idée.
@ Mathador : Merci pour ce texte, je vais aller voir. Quant aux visites des collègues dans leurs cours, il l'a déjà fait ! C'est l'humiliation à tous les étages...
Vite, un syndicat non co-gestionnaire et représentatif pour pouvoir déposer un préavis de grève, établir légalement des communiqués au rectorat, à la presse s'il faut. Montez une section au besoin. Nous sommes encore sous statut, les décisions locales ne peuvent aller contre.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- dryadeNiveau 8
Lefteris, j'aurais posté dans "J'hallucine" si personne n'avait répondu à ce fil si peu sexy !
Sinon, avant de sortir l'artillerie lourde, on va peut-être se contenter de connaître nos droits pour que le Conseil péda vote contre cette idée délirante.
Nous en sommes à la phase réflexion pour l'instant.
Sinon, avant de sortir l'artillerie lourde, on va peut-être se contenter de connaître nos droits pour que le Conseil péda vote contre cette idée délirante.
Nous en sommes à la phase réflexion pour l'instant.
- LefterisEsprit sacré
De toute manière le conseil péda n'a rien à voter ni aucun pouvoir extra-statutaire. Ce type était enseignant avant ?dryade a écrit:Lefteris, j'aurais posté dans "J'hallucine" si personne n'avait répondu à ce fil si peu sexy !
Sinon, avant de sortir l'artillerie lourde, on va peut-être se contenter de connaître nos droits pour que le Conseil péda vote contre cette idée délirante.
Nous en sommes à la phase réflexion pour l'instant.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- dryadeNiveau 8
Ah bon, je croyais que c'était le Conseil Péda qui votait le Projet d'étab avant qu'il soit soumis au C.A.
Oui, il a été enseignant, mais il y a fort longtemps...
Oui, il a été enseignant, mais il y a fort longtemps...
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