- BebertNiveau 1
Bonjour à tous,
Voulant devenir professeur de philosophie au lycée après un capes, je m'interroge sur à quoi ressemble le métier au quotidien. Pour les heures de préparation de cours et les corrections de copies ça me parait clair mais pour les heures d'enseignement c'est plus flou...
La moyenne d'heures de cours données par un capesien dans le secondaire est de 20h. J'aimerai avoir des exemples concrets de comment sont reparties ces 20h? Combien de fois vous faites le même cours? Pour quelle filière? Dans le même lycée? De suite ou avec un long temps d'intervalle en salle des profs?
Pourriez vous me partager des exemples d'emplois du temps?
Merci à tous!
Voulant devenir professeur de philosophie au lycée après un capes, je m'interroge sur à quoi ressemble le métier au quotidien. Pour les heures de préparation de cours et les corrections de copies ça me parait clair mais pour les heures d'enseignement c'est plus flou...
La moyenne d'heures de cours données par un capesien dans le secondaire est de 20h. J'aimerai avoir des exemples concrets de comment sont reparties ces 20h? Combien de fois vous faites le même cours? Pour quelle filière? Dans le même lycée? De suite ou avec un long temps d'intervalle en salle des profs?
Pourriez vous me partager des exemples d'emplois du temps?
Merci à tous!
- Panta RheiExpert
Bonjour Bebert,
Je ne vais beaucoup t'aider mais il faudrait que tu vérifies l'emploi du verbe "partager" en français. Et quelques petites autres choses...
Bonne chance pour le concours.
Je ne vais beaucoup t'aider mais il faudrait que tu vérifies l'emploi du verbe "partager" en français. Et quelques petites autres choses...
Bonne chance pour le concours.
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- Signature:
- 'Don't you find yourself getting bored?' she asked of her sister. 'Don't you find, that things fail to materialise? NOTHING MATERIALISES! Everything withers in the bud.'
'What withers in the bud?' asked Ursula.
'Oh, everything—oneself—things in general.'First Page of Women in Love, D. H. Lawrence
- BebertNiveau 1
Panta Rhei a écrit:Bonjour Bebert,
Je ne vais beaucoup t'aider mais il faudrait que tu vérifies l'emploi du verbe "partager" en français. Et quelques petites autres choses...
Bonne chance pour le concours.
Pourriez vous partager AVEC MOI des exemples d'emplois du temps.
C'est mieux?
- valleExpert spécialisé
@Bebert, tu as aussi corrigé des fautes que Patha Rei n'avait pas signalées explicitement ("quel filière", par ex.). Pourquoi tu ne lui demandes son avis que sur celle qu'il a citée ?
Évidemment, on peut tous réviser nos messages, c'est pour cela qu'il y a l'outil d'édition ; mais ton intervention semble incomplète étant donné que tu parles précisément de cela.
Évidemment, on peut tous réviser nos messages, c'est pour cela qu'il y a l'outil d'édition ; mais ton intervention semble incomplète étant donné que tu parles précisément de cela.
- doubledeckerSage
Bebert a écrit:Bonjour à tous,
Voulant devenir professeur de philosophie au lycée après un capes, je m'interroge sur à quoi ressemble le métier au quotidien. Pour les heures de préparation de cours et les corrections de copies ça me parait clair mais pour les heures d'enseignement c'est plus flou...
La moyenne d'heures de cours données par un capesien dans le secondaire est de 20h. J'aimerai avoir des exemples concrets de comment sont reparties ces 20h? Combien de fois vous faites le même cours? Pour quelle filière? Dans le même lycée? De suite ou avec un long temps d'intervalle en salle des profs?
Pourriez vous me partager des exemples d'emplois du temps?
Merci à tous!
Je ne suis pas en philo mais les questions que tu te poses s’appliquent peu ou prou à toutes les disciplines. L’emploi du temps, les intervalles entre deux cours dépendent de ce que l’adjoint au CDE aura décidé. Impossible de donner une seule et même réponse à ces questions, cela va varier d’une année à l’autre, d’un établissement à l’autre. Et oui tu peux faire un complément de service dans un autre lycée si celui sur lequel tu es affecté ne dispose pas de suffisamment d’heures.
C’est marrant parce qu’à moins d’avoir déjà enseigné quand j’ai commencé c’est pas les heures d’enseignement qui me paraissaient floues mais bien le temps qu’allait me prendre les prep de cours et les corrections
Je rappelle aussi à toutes fins utiles que l’ORS (obligation réglementaire de service) d’un certifié est de 18 heures avec possibilité d’imposer 2 HSA (heure supplémentaire annuelle).
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
La boutique de LolaDragibus : des petites choses futiles et inutiles pour embellir la vie (p'tites bricoles en tissu, papier, crochet....) : venez y jeter un oeil 😊
- User20159Esprit éclairé
La moyenne d'heures de cours données par un capesien dans le secondaire est de 20h. J'aimerai avoir des exemples concrets de comment sont reparties ces 20h? Combien de fois vous faites le même cours? Pour quelle filière? Dans le même lycée? De suite ou avec un long temps d'intervalle en salle des profs?
Pourriez vous me partager des exemples d'emplois du temps?
J'adore ce genre de questions c'est un plaisir d'y répondre.
Tout prof de lycée peut voir ses 15h, 18h, 20h, ventilées sur 11 demi-journées (11 c'est au lycée, au collège c'est max' 9, mais la philo n'est pas enseignée au collège) entre possiblement plusieurs établissements. Si tu as des filières techniques, et c'est souvent le cas quand on commence, mes potes profs de philo' avait rarement les TL en début de carrière (et à l'époque où ça existait encore), oui tu peux te taper plusieurs classes de, STMG mettons, et devoir faire plusieurs fois le même cours....ce sont les joies, aussi du métier, mais fort souvent cours numéro 3 est meilleur que cours numéro 1, très formateur.
Mais bon ça tu as largement le temps d'y réfléchir plus tard. Il faut d'abord passer et avoir le concours (l'un des plus durs) puis passer l'épreuve du stage.
Alors si la question est seras-tu rayonnant de philosophie en chaire pour abreuver de savoir nos jeunes enfants, il faut vraiment gagner le loto mutationnel, toucher le petit lycée de province (ou le très grand de banlieue) avec assez d'heures. Mais les situations probables c'est 15 salles de cours différentes, quand ce n'est pas plus, une salle de profs souvent voire plusieurs; et longtemps quand c'est trop long pour rentrer chez soi.
Mais c'est bien de poser la question, c'est un rappel salutaire de nos conditions de travail.
- BebertNiveau 1
J'adore ce genre de questions c'est un plaisir d'y répondre.
Merci pour ta réponse très complète!
Mais c'est bien de poser la question, c'est un rappel salutaire de nos conditions de travail.
Je pose ces questions en toute bienveillance. Je sais que le métier de professeur peut parfois être difficile mais je suis un fervent défenseur de cette profession qui m'a toujours attiré.
C'est plutôt par curiosité pratique, pour imaginer dès maintenant (je suis en milieu de M1) mon quotidien, quel genre de cours je donnerai etc? Si bien sûr je réussis le concours (qui à entendre l'ironie de @Panta Rhei serait une énorme dictée ou chaque faute est éliminatrice )...
Je me demande notamment si l'emploi du temps peut s'allier convenablement avec un travail d'écriture personnel par rapport à une vie d'entreprise bien réglée avec chaque jour les mêmes horaires etc.
- RuthvenGuide spirituel
Bebert a écrit:
La moyenne d'heures de cours données par un capesien dans le secondaire est de 20h. J'aimerai avoir des exemples concrets de comment sont reparties ces 20h? Combien de fois vous faites le même cours? Pour quelle filière? Dans le même lycée? De suite ou avec un long temps d'intervalle en salle des profs?
Pourriez vous me partager des exemples d'emplois du temps?
Compte entre 5 et 7 classes : filières générales à 4h, filières techno à 2h, HLP Première à 2h, HLP Terminale à 3h. Il y a désormais peu de dédoublements qui permettaient d'alléger les services.
Exemple de service : 3 séries géné + 2 séries techno + HLP Terminale. Tu peux ainsi faire trois ou quatre fois le "même" cours ; mais je n'ai jamais eu l'impression de répétition ou d'ennui (je ne dis pas qu'on ne s'ennuie pas avec certaines classes mais que l'ennui ne vient pas de la répétition); même si c'est le même support, les cours sont très différents d'une classe à l'autre.
Ce qui est lourd, c'est le nombre d'élèves avec le nombre de devoirs attendus (pour un certifié, il doit falloir compter entre 150 et 200).
L'emploi du temps varie d'une année à l'autre ; il n'y a pas de règle, une année tu peux avoir cours sur 3,5 jours, une autre cela sera sur 5 ; une fois avec des trous, une autre sans ...
Les services partagés existent mais ne sont pas si nombreux que cela ; ils sont plus fréquents quand on est TZR (quand on débute). Il reste possible de décrocher des postes fixes à condition de ne pas viser la grande ville universitaire ; la mutation inter-académique est relativement facile depuis quelques années.
- Panta RheiExpert
Bebert a écrit: Si bien sûr je réussis le concours (qui à entendre l'ironie de @Panta Rhei serait une énorme dictée ou chaque faute est éliminatrice )...
Bonsoir Bebert, je ne vais pas relancer le sujet des fautes d'orthographe (il existe déjà un fil de discussion bien long dédié à ce sujet).
J'ai un problème avec cette nouvelle rection du verbe partager que j'entends quotidiennement dans les vidéos des réseaux sociaux. Je me demande d'où ça vient. ;o) Même en anglais on ne "share" pas somebody something.
Pas bien grave, tout ça ! Bienvenu ici & peut-être bientôt dans le monde merveilleux du M.E.N !
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- Nina68Niveau 9
Bebert a écrit:J'adore ce genre de questions c'est un plaisir d'y répondre.
Merci pour ta réponse très complète!
Mais c'est bien de poser la question, c'est un rappel salutaire de nos conditions de travail.
Je pose ces questions en toute bienveillance. Je sais que le métier de professeur peut parfois être difficile mais je suis un fervent défenseur de cette profession qui m'a toujours attiré.
C'est plutôt par curiosité pratique, pour imaginer dès maintenant (je suis en milieu de M1) mon quotidien, quel genre de cours je donnerai etc? Si bien sûr je réussis le concours (qui à entendre l'ironie de @Panta Rhei serait une énorme dictée ou chaque faute est éliminatrice )...
Je me demande notamment si l'emploi du temps peut s'allier convenablement avec un travail d'écriture personnel par rapport à une vie d'entreprise bien réglée avec chaque jour les mêmes horaires etc.
Enfin bon, bien sûr qu'une faute d'orthographe ça peut arriver, mais moi aussi je suis surprise par tes erreurs de syntaxe. Ce sont des choses importantes lorsqu'on se destine à passer un concours, non ?
Ceci dit, tu fais bien de te renseigner sur les conditions concrètes du métier, c'est un aspect non négligeable de notre profession !
- lene75Prophète
Pour les affectations, ça dépend où. Ici en RP avoir un poste fixe en philo est trèèèès long (même dans le 93, au cas où certains se poseraient la question). Ça dépend de la situation familiale. Pour un célibataire sans enfants, si je regarde parmi mes copains et les TZR qui défilent chez nous (service partagé entre deux établissements), il faut compter une dizaine d'années avant d'avoir un poste fixe. Avec une famille c'est plus « facile », à condition de faire des voeux très larges et donc d'accepter de se retrouver n'importe où.
Les conditions de travail sont très variables d'une situation à l'autre et d'une année sur l'autre, et il n'est pas toujours facile de travailler sur place et rarement possible de rentrer chez soi, donc à la fin c'est bien le temps colossal de préparation et (surtout) correction qui finit par poser problème. La fatigue dépend aussi beaucoup des classes : tu peux sortir vidé d'une seule heure en STMG et pimpant (enfin relativement) de 5h d'affilée sans pause avec des classes sympa.
Comme Ruthven, je ne me suis jamais ennuyée à faire plusieurs fois le « même » cours, dans la mesure où, les élèves étant différents, ce n'est jamais le même cours.
Les conditions de travail sont très variables d'une situation à l'autre et d'une année sur l'autre, et il n'est pas toujours facile de travailler sur place et rarement possible de rentrer chez soi, donc à la fin c'est bien le temps colossal de préparation et (surtout) correction qui finit par poser problème. La fatigue dépend aussi beaucoup des classes : tu peux sortir vidé d'une seule heure en STMG et pimpant (enfin relativement) de 5h d'affilée sans pause avec des classes sympa.
Comme Ruthven, je ne me suis jamais ennuyée à faire plusieurs fois le « même » cours, dans la mesure où, les élèves étant différents, ce n'est jamais le même cours.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- BebertNiveau 1
Merci pour vos réponses!
En outre, est ce que travailler dans le privé, en ayant donc passé au préalable le capes du privé ("Cafep-Capes" il me semble) et surtout en ayant trouvé un lycée qui recrute, permettrait d'avoir un emploi du temps plus lisse, plus constant, moins de mutation etc?
Peut être que travailler dans le privée permettrait de travailler moins en étant payé moins mais au final avoir un quotidien plus facile.
J'ai fais ma scolarité dans le privé à Paris et dans mes souvenirs les profs étaient toujours les mêmes (pas de mutation) et pour certains très jeunes (ayant donc commencés leurs carrières de prof tout de suite en lycée privé parisien).
En outre, est ce que travailler dans le privé, en ayant donc passé au préalable le capes du privé ("Cafep-Capes" il me semble) et surtout en ayant trouvé un lycée qui recrute, permettrait d'avoir un emploi du temps plus lisse, plus constant, moins de mutation etc?
Peut être que travailler dans le privée permettrait de travailler moins en étant payé moins mais au final avoir un quotidien plus facile.
J'ai fais ma scolarité dans le privé à Paris et dans mes souvenirs les profs étaient toujours les mêmes (pas de mutation) et pour certains très jeunes (ayant donc commencés leurs carrières de prof tout de suite en lycée privé parisien).
- MajuFidèle du forum
Être dans le privé ne change rien pour ce qui concerne les emplois du temps, et je ne vois pas pourquoi on y travaillerait moins. Pour ce qui est des mutations dans le public (je connais très mal les mutations du privé), une fois que tu es en poste fixe, tu peux tout à fait y rester toute ta carrière dans le même établissement si tu le souhaites, sauf bien sûr si ton poste est supprimé.
- Panta RheiExpert
Tu sembles, à juste titre, t'inquiéter pour tes emplois du temps à venir. Saches, que chaque année, il changera ! Pendant toute ta carrière, jusqu'à la dernière rentrée scolaire, ton quotidien pendant 36 semaines sera fonction de ton chef & de pleins d'autres paramètres sur lesquels tu n'auras pas la main.
Je remercie, tous les matins & quand je quitte le collège vers 13 heures, en pensées (vraiment) notre nouvel adjoint, un faisant-fonction, qui a passé une bonne partie de ses grandes vacances à faire des super emplois de temps conformes aux voeux (voire largement au-delà) des professeurs.
Mais l'an prochain, tout sera remis en cause...
Je remercie, tous les matins & quand je quitte le collège vers 13 heures, en pensées (vraiment) notre nouvel adjoint, un faisant-fonction, qui a passé une bonne partie de ses grandes vacances à faire des super emplois de temps conformes aux voeux (voire largement au-delà) des professeurs.
Mais l'an prochain, tout sera remis en cause...
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'Oh, everything—oneself—things in general.'First Page of Women in Love, D. H. Lawrence
- JoNiveau 2
Bebert a écrit:
En outre, est ce que travailler dans le privé, en ayant donc passé au préalable le capes du privé ("Cafep-Capes" il me semble) et surtout en ayant trouvé un lycée qui recrute, permettrait d'avoir un emploi du temps plus lisse, plus constant, moins de mutation etc?
Peut être que travailler dans le privée permettrait de travailler moins en étant payé moins mais au final avoir un quotidien plus facile.
J'ai fais ma scolarité dans le privé à Paris et dans mes souvenirs les profs étaient toujours les mêmes (pas de mutation) et pour certains très jeunes (ayant donc commencés leurs carrières de prof tout de suite en lycée privé parisien).
Bonsoir,
Être dans le privé permet en effet d’échapper à la situation de TZR : pour les titulaires du privé il n’y a que des postes fixes. Cela permet aussi de choisir un peu plus où on travaille (mais pas tout à fait non plus : encore faut-il être choisi par un(e) directeur(trice) d’établissement).
Pour le privé l’académie de Paris est assez particulière : les directeurs passent souvent outre les règles de priorité imposées par le diocèse et le Rectorat. Et oui les équipes y sont parfois assez jeunes. Toutefois en philo cela reste difficile d’y accéder sans se faire connaître au préalable (en faisant des remplacements ou de la surveillance par exemple). Lorsqu’un prof, surtout en philo, a pris un poste à Paris, en général il y reste looooongtemps.
Pour ce qui est des emplois du temps, il y a une grande variété dans le privé aussi, il faut se renseigner sur les usages de tel ou tel établissement (par exemple Stan fait travailler le samedi matin). Il faut prendre en compte qu’il y a en général un planning de DST imposé, donc une charge de correction conséquente dont on ne maîtrise pas soi-même la répartition dans le temps. Il me semble en tout cas que l’enseignement privé sous-contrat a effectivement une culture un peu différente du public : pas mal de choses y sont un peu plus négociables.
Voilà désolée pour le pavé, j’espère que mon orthographe est tolérable
- RuthvenGuide spirituel
Jo a écrit: Il faut prendre en compte qu’il y a en général un planning de DST imposé, donc une charge de correction conséquente dont on ne maîtrise pas soi-même la répartition dans le temps.
+
Jo a écrit: Il me semble en tout cas que l’enseignement privé sous-contrat a effectivement une culture un peu différente du public : pas mal de choses y sont un peu plus négociables.
=
- JoNiveau 2
@Ruthven je me contredis c’est ça ?
Le planning de DST est imposé, mais en matière de mutations il me semble qu’il y a un peu plus de marge de négociation, du moins que l’on est un peu moins contraint par le fonctionnement officiel du mouvement.
J’aurais peut-être dû dire que ce ne sont pas les mêmes choses qui sont négociables dans le privé sous-contrat et le public.
Le planning de DST est imposé, mais en matière de mutations il me semble qu’il y a un peu plus de marge de négociation, du moins que l’on est un peu moins contraint par le fonctionnement officiel du mouvement.
J’aurais peut-être dû dire que ce ne sont pas les mêmes choses qui sont négociables dans le privé sous-contrat et le public.
- lene75Prophète
Je ne sais pas si c'est partout pareil, mais dans le lycée privé de mon neveu, ce ne sont pas les enseignants qui surveillent les DST, c'est un sacré confort pour l'enseignant d'avoir des créneaux de DST sans avoir ni à les organiser ni à les surveiller (en heures sup bénévoles) lui-même.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- EdithWGrand sage
+ 1. Dans tous les établissements privés où j’ai étudié ou enseigné, il y avait des créneaux DS, surveillés par un surveillant, transformables en étude si aucun prof ne prévoit de devoir (mais c’est rare). Format et durée variable selon les niveaux. Je pense que c’est un luxe appréciable, surtout en français /philo, où un entraînement au format de l’épreuve du bac à intervalle régulier (2 par trimestre au moins dans mon expérience, sans compter les bacs blancs), permet aux élèves de se familiariser avec la durée de l’épreuve et aux profs de concentrer leurs cours sur le cours. Après, ça fait de gros paquets de copies à corriger
- MathadorEmpereur
Et en revanche on peut se retrouver à temps partiel forcé, alors que dans le public le temps plein est garanti.Jo a écrit:Être dans le privé permet en effet d’échapper à la situation de TZR : pour les titulaires du privé il n’y a que des postes fixes. Cela permet aussi de choisir un peu plus où on travaille (mais pas tout à fait non plus : encore faut-il être choisi par un(e) directeur(trice) d’établissement).
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- macaaronJe viens de m'inscrire !
Bonsoir,
Cette question m’intéresse dans le sens où je suis consultant en informatique et en finance, et je réfléchis à donner un nouveau sens à ma carrière.
Habitué aux 40h de principe par semaine, le fait de passer à 15h me fait peur.
Je ne mesure pas ce que représentent la préparation des cours ni la correction des copies.
Si on reprend le cas concret cité ici (« Exemple de service : 3 séries géné + 2 séries techno + HLP Terminale »), et si j’ai bien compris le découpage de la semaine entre les activités de 1/ préparation des cours, 2/ cours, 3/ correction des copies (je vous fais confiance pour me corriger), à quoi ressemblerait l’organisation de la semaine ?
Cette question m’intéresse dans le sens où je suis consultant en informatique et en finance, et je réfléchis à donner un nouveau sens à ma carrière.
Habitué aux 40h de principe par semaine, le fait de passer à 15h me fait peur.
Je ne mesure pas ce que représentent la préparation des cours ni la correction des copies.
Si on reprend le cas concret cité ici (« Exemple de service : 3 séries géné + 2 séries techno + HLP Terminale »), et si j’ai bien compris le découpage de la semaine entre les activités de 1/ préparation des cours, 2/ cours, 3/ correction des copies (je vous fais confiance pour me corriger), à quoi ressemblerait l’organisation de la semaine ?
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