- La FifNiveau 1
Bonjour,
Je cherche de l'inspiration pour un GT sur la poésie du MA au XVIIIè (question subsidiaire : a-t-on le droit de s'aventurer en des terres poétiques plus récentes, type XIXème XXè, ou cela me vaudra-t-il le pilori ?) autour du thème de la mort. J'ai : Villon bien sûr, Ronsard "Quand vous serez bien vieille", La jeune Tarentine de Chénier, "la mort et le mourant" de La Fontaine, et le poème sur le désastre de Lisbonne de Voltaire. Auriez-vous s'il vous plaît d'autres idées ?
Merci bien pour vos lumières ! (ou plutôt pour rester dans le thèmes : vos ténèbres ...)
La Fif
Je cherche de l'inspiration pour un GT sur la poésie du MA au XVIIIè (question subsidiaire : a-t-on le droit de s'aventurer en des terres poétiques plus récentes, type XIXème XXè, ou cela me vaudra-t-il le pilori ?) autour du thème de la mort. J'ai : Villon bien sûr, Ronsard "Quand vous serez bien vieille", La jeune Tarentine de Chénier, "la mort et le mourant" de La Fontaine, et le poème sur le désastre de Lisbonne de Voltaire. Auriez-vous s'il vous plaît d'autres idées ?
Merci bien pour vos lumières ! (ou plutôt pour rester dans le thèmes : vos ténèbres ...)
La Fif
- ProvenceEnchanteur
« Je n’ai plus que les os », poème posthume de Ronsard.
La Ballade des pendus.
Consolation à du Perrier.
La Ballade des pendus.
Consolation à du Perrier.
- beloteHabitué du forum
Bonjour,
Je resterais dans les bornes du programme pour les études de textes et tu peux ouvrir sur d'autres siècles pour les textes complémentaires ou prolongements. Surtout si tu as un RDV de carrière cette année comme l'indique ta présentation. Bon courage.
Je resterais dans les bornes du programme pour les études de textes et tu peux ouvrir sur d'autres siècles pour les textes complémentaires ou prolongements. Surtout si tu as un RDV de carrière cette année comme l'indique ta présentation. Bon courage.
- OxfordNeoprof expérimenté
Tristan L’Hermite, « Sur un tombeau »
_________________
Tutti i ghjorna si n'impara.
- LyoraneNiveau 7
Chassignet, le sonnet CXXV du Mépris de la vile et consolation contre la mort
Mortel, pense quel est dessous la couverture
D’un charnier mortuaire un corps mangé de vers,
Décharné, dénervé, où les os découverts,
Dépulpés, dénoués, délaissent leur jointure ;
Ici l’une des mains tombe de pourriture,
Les yeux d’autre côté détournés à l’envers
Se distillent en glaire, et les muscles divers
Servent aux vers goulus d’ordinaire pâture ;
Le ventre déchiré cornant de puanteur
Infecte l’air voisin de mauvaise senteur,
Et le nez mi-rongé déforme le visage ;
Puis connaissant l’état de ta fragilité,
Fonde en Dieu seulement, estimant vanité
Tout ce qui ne te rend plus savant et plus sage.
A travailler juste après la pause du déjeuner, un délice de tous les instants
Mortel, pense quel est dessous la couverture
D’un charnier mortuaire un corps mangé de vers,
Décharné, dénervé, où les os découverts,
Dépulpés, dénoués, délaissent leur jointure ;
Ici l’une des mains tombe de pourriture,
Les yeux d’autre côté détournés à l’envers
Se distillent en glaire, et les muscles divers
Servent aux vers goulus d’ordinaire pâture ;
Le ventre déchiré cornant de puanteur
Infecte l’air voisin de mauvaise senteur,
Et le nez mi-rongé déforme le visage ;
Puis connaissant l’état de ta fragilité,
Fonde en Dieu seulement, estimant vanité
Tout ce qui ne te rend plus savant et plus sage.
A travailler juste après la pause du déjeuner, un délice de tous les instants
- ysabelDevin
Je le fais en EL, les élèves adorent !
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- gregforeverGrand sage
*Je ne connaissais pas ce Chassignet mais il ressemble beaucoup au Ronsard "je n'ai plus que les os"
- ysabelDevin
Jean de Sponde, Essai de quelques poèmeschrétiens
Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse,
Qui brave de la mort, sentira ses fureurs ;
Les Soleils hâleront ces journalières fleurs,
Et le temps crèvera cette ampoule venteuse.
Ce beau flambeau qui lance une flamme fumeuse,
Sur le vert de la cire éteindra ses ardeurs ;
L'huile de ce Tableau ternira ses couleurs,
Et ses flots se rompront à la rive écumeuse.
J'ai vu ces clairs éclairs passer devant mes yeux,
Et le tonnerre encor qui gronde dans les Cieux.
Où d'une ou d'autre part éclatera l'orage.
J'ai vu fondre la neige, et ces torrents tarir,
Ces lions rugissants, je les ai vus sans rage.
Vivez, hommes, vivez, mais si faut-il mourir.
Paul Scarron, Sonnet, 1654
Vous faites voir des os quand vous riez, Hélène,
Dont les uns sont entiers et ne sont guère blancs ;
Les autres, des fragments noirs comme de l’ébène
Et tous, entiers ou non, cariés et tremblants.
Comme dans la gencive ils ne tiennent qu’à peine
Et que vous éclatez à vous rompre les flancs,
Non seulement la toux, mais votre seule haleine
Peut les mettre à vos pieds, déchaussés et sanglants.
Ne vous mêlez donc plus du métier de rieuse ;
Fréquentez les convois et devenez pleureuse :
D’un si fidèle avis faites votre profit.
Mais vous riez encore et vous branlez la tête !
Riez tout votre soûl, riez, vilaine bête :
Pourvu que vous creviez de rire, il me suffit.
Alexis Piron, « Ma dernière épigramme » – épitaphe. (2ème moitié du XVIIIe)
J’achève ici-bas ma route.
C’était un vrai casse-cou.
J’y vis clair, je n’y vis goutte ;
J’y fus sage, j’y fus fou.
Pas à pas j’arrive au trou
Que n’échappent fou ni sage,
Pour aller je ne sais où.
Adieu, Piron, bon voyage !
Pierre Motin, Méditation sur le memento homo (1601)
Souviens-toi que tu n’es que cendre
Et qu’il te faut bien descendre
Dans le fond d’un sépulcre noir,
Où la terre te doit reprendre
Et la cendre te recevoir.
Le péril te suit à la guerre,
Dessus la mer, dessus la terre ;
Le péril te suit en tous lieux,
Et tout ce que le monde enserre
Vit en péril dessous les cieux.
La moindre fièvre survenue,
Qui dans tes veines continue
Te viendra troubler le cerveau,
Couvrira tes yeux d’une nue
Et t’enverra dans le tombeau.
Des hommes la maudite vie
À mille maux est asservie,
Dont le moindre est assez puissant
Pour arracher l’âme et la vie
Hors de notre corps languissant.
Puis après la mort endurée,
De ta dépouille demeurée
Les membres seront sans chaleur
Et ta face défigurée,
Et tes deux lèvres sans couleur.
Des prêtres la triste cohorte
Viendra chanter devant ta porte,
Un drap de morts et un linceul
Couvriront ta charogne morte,
Prisonnière dans un cercueil.
Les torches luiront par la rue,
Et des tiens la troupe accourue,
Couverte d’un long habit noir,
A ton âme mal secourue
Payeront le dernier devoir.
Alors la prunelle offusquée,
La langue qui s’est tant moquée,
Et ta peau cendre deviendront,
Et au lieu de poudre musquée,
Les vers dans ton poil se tiendront.
Tout ce qui dans terre chemine
De puanteur et de vermine,
Mille crapauds, mille serpents,
Iront sur ta morte poitrine
Et dessus ton ventre rampant.
La main de ton juge équitable
À ton offense détestable
Sa justice fera sentir,
Un grand abîme épouvantable
S’entr’ouvrira pour t’engloutir.
Ton âme de nul consolée,
Qui cependant sera volée
Où l’on juge en dernier ressort,
Toute tremblante et désolée
Mourra de peine après ta mort.
Mais si faut-il mourir, et la vie orgueilleuse,
Qui brave de la mort, sentira ses fureurs ;
Les Soleils hâleront ces journalières fleurs,
Et le temps crèvera cette ampoule venteuse.
Ce beau flambeau qui lance une flamme fumeuse,
Sur le vert de la cire éteindra ses ardeurs ;
L'huile de ce Tableau ternira ses couleurs,
Et ses flots se rompront à la rive écumeuse.
J'ai vu ces clairs éclairs passer devant mes yeux,
Et le tonnerre encor qui gronde dans les Cieux.
Où d'une ou d'autre part éclatera l'orage.
J'ai vu fondre la neige, et ces torrents tarir,
Ces lions rugissants, je les ai vus sans rage.
Vivez, hommes, vivez, mais si faut-il mourir.
Paul Scarron, Sonnet, 1654
Vous faites voir des os quand vous riez, Hélène,
Dont les uns sont entiers et ne sont guère blancs ;
Les autres, des fragments noirs comme de l’ébène
Et tous, entiers ou non, cariés et tremblants.
Comme dans la gencive ils ne tiennent qu’à peine
Et que vous éclatez à vous rompre les flancs,
Non seulement la toux, mais votre seule haleine
Peut les mettre à vos pieds, déchaussés et sanglants.
Ne vous mêlez donc plus du métier de rieuse ;
Fréquentez les convois et devenez pleureuse :
D’un si fidèle avis faites votre profit.
Mais vous riez encore et vous branlez la tête !
Riez tout votre soûl, riez, vilaine bête :
Pourvu que vous creviez de rire, il me suffit.
Alexis Piron, « Ma dernière épigramme » – épitaphe. (2ème moitié du XVIIIe)
J’achève ici-bas ma route.
C’était un vrai casse-cou.
J’y vis clair, je n’y vis goutte ;
J’y fus sage, j’y fus fou.
Pas à pas j’arrive au trou
Que n’échappent fou ni sage,
Pour aller je ne sais où.
Adieu, Piron, bon voyage !
Pierre Motin, Méditation sur le memento homo (1601)
Souviens-toi que tu n’es que cendre
Et qu’il te faut bien descendre
Dans le fond d’un sépulcre noir,
Où la terre te doit reprendre
Et la cendre te recevoir.
Le péril te suit à la guerre,
Dessus la mer, dessus la terre ;
Le péril te suit en tous lieux,
Et tout ce que le monde enserre
Vit en péril dessous les cieux.
La moindre fièvre survenue,
Qui dans tes veines continue
Te viendra troubler le cerveau,
Couvrira tes yeux d’une nue
Et t’enverra dans le tombeau.
Des hommes la maudite vie
À mille maux est asservie,
Dont le moindre est assez puissant
Pour arracher l’âme et la vie
Hors de notre corps languissant.
Puis après la mort endurée,
De ta dépouille demeurée
Les membres seront sans chaleur
Et ta face défigurée,
Et tes deux lèvres sans couleur.
Des prêtres la triste cohorte
Viendra chanter devant ta porte,
Un drap de morts et un linceul
Couvriront ta charogne morte,
Prisonnière dans un cercueil.
Les torches luiront par la rue,
Et des tiens la troupe accourue,
Couverte d’un long habit noir,
A ton âme mal secourue
Payeront le dernier devoir.
Alors la prunelle offusquée,
La langue qui s’est tant moquée,
Et ta peau cendre deviendront,
Et au lieu de poudre musquée,
Les vers dans ton poil se tiendront.
Tout ce qui dans terre chemine
De puanteur et de vermine,
Mille crapauds, mille serpents,
Iront sur ta morte poitrine
Et dessus ton ventre rampant.
La main de ton juge équitable
À ton offense détestable
Sa justice fera sentir,
Un grand abîme épouvantable
S’entr’ouvrira pour t’engloutir.
Ton âme de nul consolée,
Qui cependant sera volée
Où l’on juge en dernier ressort,
Toute tremblante et désolée
Mourra de peine après ta mort.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- tutututtNiveau 4
J'ai une séquence là-dessus si tu veux. Pour les textes : Jean de Sponde et Chassignet, déjà donnés je crois, La Fontaine ( " La Mort et le Mourant), Ronsard ( ensemble des "derniers vers"), " sur la mort de Marie", + " Je vous envoie un bouquet que ma main", Villon ( "Frères humains qui après nous vivez", Charles d'Orléans ( " Las, Mort, qui t'a fait si hardie"), Malherbe (" Consolation à M. du Perier sur la mort de sa fille"), Baudelaire ( "Une charogne" + "l'Horloge"). C'est une séquence en trois temps : conception de la mort ( memento mori + carpe diem + concept de vanité) puis image de la mort ( le corps/ la douleur + comment représenter la mort elle-même, les allégories) et l'effet du poème ( consolation, mise à distance, aspect moral, banalisation, monument...).
- La FifNiveau 1
Merci Ysabel pour ces poèmes, il y a matière ! Et Lyorane, ce petit Chassignet est en effet délectable ! Ils vont encore me prendre pour une psychopathe, d'autant qu'on enchaîne avec que des trucs un peu sanglants (Lucrèce Borgia, la mort du Roi Tsongor, entre autres ).
Ta séquence a l'air intéressante, Tutututt, j'aimerais bien la voir. Ta répartition thématique est super. Je me suis moins cassé la tête, j'ai opté pour l'axe chronologique, mais finalement je vais peut-être faire comme toi. Je cherche encore comment introduire le chapitre ; peut-être par l'image, un tableau de Bruegel, quelque chose comme ça ...
Ta séquence a l'air intéressante, Tutututt, j'aimerais bien la voir. Ta répartition thématique est super. Je me suis moins cassé la tête, j'ai opté pour l'axe chronologique, mais finalement je vais peut-être faire comme toi. Je cherche encore comment introduire le chapitre ; peut-être par l'image, un tableau de Bruegel, quelque chose comme ça ...
- La FifNiveau 1
Merci Ysabel pour ces poèmes, il y a matière ! Et Lyorane, ce petit Chassignet est en effet délectable ! Ils vont encore me prendre pour une psychopathe, d'autant qu'on enchaîne avec que des trucs un peu sanglants (Lucrèce Borgia, la mort du Roi Tsongor, entre autres ).
Ta séquence a l'air intéressante, Tutututt, j'aimerais bien la voir. Ta répartition thématique est super. Je me suis moins cassé la tête, j'ai opté pour l'axe chronologique, mais finalement je vais peut-être faire comme toi. Je cherche encore comment introduire le chapitre ; peut-être par l'image, un tableau de Bruegel, quelque chose comme ça ...
Ta séquence a l'air intéressante, Tutututt, j'aimerais bien la voir. Ta répartition thématique est super. Je me suis moins cassé la tête, j'ai opté pour l'axe chronologique, mais finalement je vais peut-être faire comme toi. Je cherche encore comment introduire le chapitre ; peut-être par l'image, un tableau de Bruegel, quelque chose comme ça ...
- TartempionNiveau 2
Il y a aussi des passages intéressants, gore parfois, dans Les Tragiques. En moins traumatisant, dès le début
Je n’escry plus les feux d’un amour inconneu ;
Mais, par l’affliction plus sage devenu,
J’entreprens bien plus haut, car j’apprens à ma plume
Un autre feu, auquel la France se consume.
Ces ruisselets d’argent que les Grecs nous feignoient,
Où leurs poëtes vains beuvoient et se baignoient,
Ne courent plus icy ; mais les ondes si claires,
Qui eurent les saphyrs et les perles contraires,
Sont rouges de nos morts ; le doux bruit de leurs flots,
Leur murmure plaisant, hurte contre des os.
Telle est, en escrivant, non ma commune image ;
Autre fureur qu’amour reluit en mon visage.
Sous un inique Mars, parmy les durs labeurs
Qui gastent le papier, et l’ancre de sueurs,
Au lieu de Thessalie aux mignardes vallées,
Nous avortons ces chants au millieu des armées,
En delassant nos bras de crasse tous roüillez,
Qui n’osent s’esloigner des brassards despoüillez.
Le luth que j’accordois avec mes chansonnettes
Est ores estouffé de l’esclat des trompettes :
Icy le sang n’est feint, le meurtre n’y deffaut,
La Mort jouë elle-mesme en ce triste eschaffaut :
Le juge criminel tourne et emplit son urne ;
D’icy, la botte enjambe, et non pas le cothurne,
J’appelle Melpomene, en sa vive fureur,
Au lieu de l’Hypocrene, esveillant cette sœir
Des tombeaux rafraischis, dont il faut qu’elle sorte,
Eschevellée, affreuse, et bramant en la sorte
Que faict la biche après le faon qu’elle a perdu.
Cela permet de faire un court historique des emplois de la poésie ( épique, lyrique) pour situer d'Aubigné.
Je n’escry plus les feux d’un amour inconneu ;
Mais, par l’affliction plus sage devenu,
J’entreprens bien plus haut, car j’apprens à ma plume
Un autre feu, auquel la France se consume.
Ces ruisselets d’argent que les Grecs nous feignoient,
Où leurs poëtes vains beuvoient et se baignoient,
Ne courent plus icy ; mais les ondes si claires,
Qui eurent les saphyrs et les perles contraires,
Sont rouges de nos morts ; le doux bruit de leurs flots,
Leur murmure plaisant, hurte contre des os.
Telle est, en escrivant, non ma commune image ;
Autre fureur qu’amour reluit en mon visage.
Sous un inique Mars, parmy les durs labeurs
Qui gastent le papier, et l’ancre de sueurs,
Au lieu de Thessalie aux mignardes vallées,
Nous avortons ces chants au millieu des armées,
En delassant nos bras de crasse tous roüillez,
Qui n’osent s’esloigner des brassards despoüillez.
Le luth que j’accordois avec mes chansonnettes
Est ores estouffé de l’esclat des trompettes :
Icy le sang n’est feint, le meurtre n’y deffaut,
La Mort jouë elle-mesme en ce triste eschaffaut :
Le juge criminel tourne et emplit son urne ;
D’icy, la botte enjambe, et non pas le cothurne,
J’appelle Melpomene, en sa vive fureur,
Au lieu de l’Hypocrene, esveillant cette sœir
Des tombeaux rafraischis, dont il faut qu’elle sorte,
Eschevellée, affreuse, et bramant en la sorte
Que faict la biche après le faon qu’elle a perdu.
Cela permet de faire un court historique des emplois de la poésie ( épique, lyrique) pour situer d'Aubigné.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Pour commencer, le travail d'analyse d'image sur les vanités est très intéressant. Il permet d'aborder à la fois le carpe diem et la notion de memento mori, ainsi que la dimension symbolique des objets.
J'avais fût un temps proposé à des élèves de réaliser leur propre vanité j'ai eu des travaux très réussis.
J'avais fût un temps proposé à des élèves de réaliser leur propre vanité j'ai eu des travaux très réussis.
_________________
" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- SaganNiveau 1
Bonjour,
Sommes-nous libres pour le siècle de la lecture cursive ? Je désire étudier un thème similaire au vôtre et n'ai pas vraiment d'idée entrant dans le champ temporel demandé... (Hormis Villon dont le Testament est toutefois introuvable dans les commerces de ma ville...)
Je suis inspecté cette année et je n'aimerais pas que l'on me tape sur les doigts...
Sommes-nous libres pour le siècle de la lecture cursive ? Je désire étudier un thème similaire au vôtre et n'ai pas vraiment d'idée entrant dans le champ temporel demandé... (Hormis Villon dont le Testament est toutefois introuvable dans les commerces de ma ville...)
Je suis inspecté cette année et je n'aimerais pas que l'on me tape sur les doigts...
- eliamEsprit éclairé
Ce n'est pas certain pour la poésie et la littérature d'idées. En effet, le programme semble préconiser un changement de siècle pour roman et Théâtre essentiellement. Il semble que ce n'est pas le cas pour poésie et littérature d'idées. Méfiance, si tu es inspecté cette année.
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