- ConcelhautNiveau 5
Bonjour,
Voilà je refais le topic pour être sérieux à 100%
Je viens d'un domaine scientifique et je viens débarquer dans ce nouveau monde de lettres. Je suis candidat en Master Recherche.
Et je m'inquiète un peu à cause de cette nouvelle tendance qui est l'écriture inclusive parce que le français n'est pas ma langue maternelle et ça va ajouter une couche de complexité.
L'écriture inclusive est-elle utilisée dans les versions en traduction ou seulement dans les textes formels tels que les dissertations/mémoires?
Est-ce qu'on sera sanctionné si on ne l'utilise pas?
Faut-il ne pas résister et simplement s'adapter pour ne pas se faire trop d'ennuis?
Merci
Voilà je refais le topic pour être sérieux à 100%
Je viens d'un domaine scientifique et je viens débarquer dans ce nouveau monde de lettres. Je suis candidat en Master Recherche.
Et je m'inquiète un peu à cause de cette nouvelle tendance qui est l'écriture inclusive parce que le français n'est pas ma langue maternelle et ça va ajouter une couche de complexité.
L'écriture inclusive est-elle utilisée dans les versions en traduction ou seulement dans les textes formels tels que les dissertations/mémoires?
Est-ce qu'on sera sanctionné si on ne l'utilise pas?
Faut-il ne pas résister et simplement s'adapter pour ne pas se faire trop d'ennuis?
Merci
- ErgoDevin
Lisez les rapports de jury, lisez les descriptifs de cours de votre université, et voyez si ce point est mentionné -- et puis vous poserez la question à vos interlocuteurs à la rentrée.
Par curiosité, quelles dissertations et quels mémoires avez-vous trouvés pour vous poser cette question ?
Par curiosité, quelles dissertations et quels mémoires avez-vous trouvés pour vous poser cette question ?
_________________
"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- CasparProphète
Je serais très surpris qu'il faille utiliser l'écriture inclusive dans une traduction littéraire, et la plupart des textes proposés font que le problème ne se pose pas. On peut en revanche se poser la question pour d'autres types de travaux universitaires mais je ne connais pas les habitudes actuelles. Comme le dit Ergo, à voir directement avec tes professeurs.
- ConcelhautNiveau 5
Oui effectivement je compte poser cette question à la rentrée. J'ai un peu peur d'être mal vu.
Je parle de la dissertation lors du concours.
Mais sinon j'ai vu des thèses doctorales utilisant l'écriture inclusive
Je parle de la dissertation lors du concours.
Mais sinon j'ai vu des thèses doctorales utilisant l'écriture inclusive
- CasparProphète
Pourquoi serais-tu mal vu? C'est une question pertinente...
- ConcelhautNiveau 5
Caspar a écrit:Pourquoi serais-tu mal vu? C'est une question pertinente...
Parce que c'est pas politiquement correct et ça serait perçu comme anti-feministe? D'autant plus si je trouve que mes collègues l'utilisent. Je sais pas
- CasparProphète
Tu peux aussi poser la question directement à ton directeur de recherche. Pour moi c'est une question légitime...
- ConcelhautNiveau 5
On est d'accord
- valleExpert spécialisé
Mais concrètement, la question ne se pose pas tant que ça dans une dissertation, non ? En tout cas, fie-toi aux rapports du jury.Concelhaut a écrit:Oui effectivement je compte poser cette question à la rentrée. J'ai un peu peur d'être mal vu.
Je parle de la dissertation lors du concours.
Mais sinon j'ai vu des thèses doctorales utilisant l'écriture inclusive
- HocamSage
Dans tous les cas, aucune raison de « s'inquiéter » pour cela. Il y a déjà bien assez de choses à gérer dans la vie pour s'arracher les cheveux sur des questions d'écriture inclusive, vaste terme par ailleurs qui englobe bien des pratiques différentes. Tu verras à la rentrée avec les enseignants si cela te tient vraiment à cœur, mais en attendant, garde le cap sur les autres points que tu as soulevés dans tes autres fils.
- ErgoDevin
Concelhaut a écrit:Oui effectivement je compte poser cette question à la rentrée. J'ai un peu peur d'être mal vu.
Je parle de la dissertation lors du concours.
Mais sinon j'ai vu des thèses doctorales utilisant l'écriture inclusive.
Donc pas des dissertations... éventuellement peut-être des mémoires, selon les sujets, de même que certaines thèses peuvent le faire, selon les sujets, et en général cela se fait avec discussion entre les personnes concernées directement. Je crois que vous êtes en train de vous monter la tête préventivement. Et pour se monter la tête à propos des concours, il y a sûrement des sujets plus pertinents.
C'est quelque chose qui se discute sans problème, cela fait partie de problèmes de langue à évoquer. J'ai depuis deux/trois ans des étudiants qui me posent sincèrement la question pour la version. On en discute, je réponds qu'a priori, plutôt non* et je ne crois pas avoir jusque là donné de texte où la question se pose réellement, en réalité (en cas d'ambiguïté, ils peuvent toujours mettre du féminin partout ). Cette année, j'ai donné un texte à travailler assez tôt en cours uniquement, qui nous a servi à nous poser la question du masculin et du féminin : "They say you're the best mechanic in New Beijing. I was expecting an old man." La langue n'étant pas ultra recherchée, la plupart des étudiants avaient opté pour "mécano". Je n'aurais probablement pas donné ce texte en examen, même s'il posait d'autres problèmes de langue (descriptions de mouvements des mains et du corps en général notamment).
*Essentiellement parce qu'en fait, c'est un peu le cadet de leurs soucis de français en version de licence ou MEEF -- et que donc, même s'ils le faisaient, ce n'est pas du tout là qu'ils perdraient des points, si tant est qu'ils arrivent à être cohérents tout au long du texte (ce n'est pas rare que certains passent du masculin au féminin, ou l'inverse, sans s'en rendre compte et là, ça fait mal). Je vois très bien comment certains étudiants, en revanche, pourraient le faire sans que cela me pose de problème parce qu'ils sauraient le faire correctement.
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"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- ConcelhautNiveau 5
valle a écrit:Mais concrètement, la question ne se pose pas tant que ça dans une dissertation, non ? En tout cas, fie-toi aux rapports du jury.Concelhaut a écrit:Oui effectivement je compte poser cette question à la rentrée. J'ai un peu peur d'être mal vu.
Je parle de la dissertation lors du concours.
Mais sinon j'ai vu des thèses doctorales utilisant l'écriture inclusive
Qui dit dissertation dit méthodologie. Vaut mieux savoir d'avance.
Oui, je vais jeter un coup d'œil.
- ConcelhautNiveau 5
Ergo a écrit:Concelhaut a écrit:Oui effectivement je compte poser cette question à la rentrée. J'ai un peu peur d'être mal vu.
Je parle de la dissertation lors du concours.
Mais sinon j'ai vu des thèses doctorales utilisant l'écriture inclusive.
Donc pas des dissertations... éventuellement peut-être des mémoires, selon les sujets, de même que certaines thèses peuvent le faire, selon les sujets, et en général cela se fait avec discussion entre les personnes concernées directement. Je crois que vous êtes en train de vous monter la tête préventivement. Et pour se monter la tête à propos des concours, il y a sûrement des sujets plus pertinents.
C'est quelque chose qui se discute sans problème, cela fait partie de problèmes de langue à évoquer. J'ai depuis deux/trois ans des étudiants qui me posent sincèrement la question pour la version. On en discute, je réponds qu'a priori, plutôt non* et je ne crois pas avoir jusque là donné de texte où la question se pose réellement, en réalité (en cas d'ambiguïté, ils peuvent toujours mettre du féminin partout ). Cette année, j'ai donné un texte à travailler assez tôt en cours uniquement, qui nous a servi à nous poser la question du masculin et du féminin : "They say you're the best mechanic in New Beijing. I was expecting an old man." La langue n'étant pas ultra recherchée, la plupart des étudiants avaient opté pour "mécano". Je n'aurais probablement pas donné ce texte en examen, même s'il posait d'autres problèmes de langue (descriptions de mouvements des mains et du corps en général notamment).
*Essentiellement parce qu'en fait, c'est un peu le cadet de leurs soucis de français en version de licence ou MEEF -- et que donc, même s'ils le faisaient, ce n'est pas du tout là qu'ils perdraient des points, si tant est qu'ils arrivent à être cohérents tout au long du texte (ce n'est pas rare que certains passent du masculin au féminin, ou l'inverse, sans s'en rendre compte et là, ça fait mal). Je vois très bien comment certains étudiants, en revanche, pourraient le faire sans que cela me pose de problème parce qu'ils sauraient le faire correctement.
Quand je dis dissertations, mémoires, essais, thèses je parle des textes non littéraires à l'inverse de ce que l'on trouve dans une traduction d'un roman par exemple.
Merci pour ta réponse. Oui y a des choses plus pertinentes. Je ne veux juste pas perdre des points pour rien
- ConcelhautNiveau 5
Hocam a écrit:Dans tous les cas, aucune raison de « s'inquiéter » pour cela. Il y a déjà bien assez de choses à gérer dans la vie pour s'arracher les cheveux sur des questions d'écriture inclusive, vaste terme par ailleurs qui englobe bien des pratiques différentes. Tu verras à la rentrée avec les enseignants si cela te tient vraiment à cœur, mais en attendant, garde le cap sur les autres points que tu as soulevés dans tes autres fils.
Merci hocam. J'avoue je stresse énormément pour les exercices de dissertation car je ne suis pas un produit de l'éducation française secondaire.
D'ailleurs dans un entretien lors de ma candidature, on m'a dit que la dissertation en français dans un concours d'anglais est quelque chose d'archaique.
Les oraux sont en anglais donc c'est déjà bien
- ChoubidouhNiveau 8
Certaines revues scientifiques essaient d’imposer cette graphie, avec un succès très limité. Il ne faut pas oublier que c’est quelque chose de finalement peu normé et excluant pour un certain nombre de handicap (certains troubles dys, malvoyants et aveugles notamment).
On peut être féministe sans désirer recourir à cet outil.
https://informations.handicap.fr/a-ecriture-inclusive-galere-lecteur-handicape-13085.php
On peut être féministe sans désirer recourir à cet outil.
https://informations.handicap.fr/a-ecriture-inclusive-galere-lecteur-handicape-13085.php
- ErgoDevin
On a déjà eu ce débat sur la confusion point médian / écriture inclusive: https://www.neoprofs.org/t130486-32-linguistes-listent-les-defauts-de-l-ecriture-inclusive?highlight=inclusiveChoubidouh a écrit:Certaines revues scientifiques essaient d’imposer cette graphie, avec un succès très limité. Il ne faut pas oublier que c’est quelque chose de finalement peu normé et excluant pour un certain nombre de handicap (certains troubles dys, malvoyants et aveugles notamment).
On peut être féministe sans désirer recourir à cet outil.
https://informations.handicap.fr/a-ecriture-inclusive-galere-lecteur-handicape-13085.php
Ce n'est pas le sujet ici.
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"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- ErgoDevin
Tous les étudiants stressent pour la dissertation (et pour les autres exercices aussi, remarquez). Beaucoup se focalisent aussi sur cette question de "la méthode" alors que de ce que je vois dans les dissertations de licence, le problème initial est la connaissance superficielle du sujet traité. Commencez par bien connaître les œuvres au programme, "la méthode" viendra par la pratique.Concelhaut a écrit:Hocam a écrit:Dans tous les cas, aucune raison de « s'inquiéter » pour cela. Il y a déjà bien assez de choses à gérer dans la vie pour s'arracher les cheveux sur des questions d'écriture inclusive, vaste terme par ailleurs qui englobe bien des pratiques différentes. Tu verras à la rentrée avec les enseignants si cela te tient vraiment à cœur, mais en attendant, garde le cap sur les autres points que tu as soulevés dans tes autres fils.
Merci hocam. J'avoue je stresse énormément pour les exercices de dissertation car je ne suis pas un produit de l'éducation française secondaire.
D'ailleurs dans un entretien lors de ma candidature, on m'a dit que la dissertation en français dans un concours d'anglais est quelque chose d'archaique.
Les oraux sont en anglais donc c'est déjà bien
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- IridianeFidèle du forum
Pour bien connaître le monde universitaire, puisque j'y enseigne depuis plusieurs années, je pense que tu n'as pas à t'inquiéter: personne n'exige l'utilisation de l'écriture inclusive dans un écrit académique et, dans le PIRE des cas (et à mon avis très très hypothétique) si jamais cela devait arriver, ce serait précisé dans la consigne. Je pense que la question doit plutôt se poser à l'inverse: quelqu'un qui utilise l'écriture inclusive peut-il être sanctionné dans la mesure où cette écriture ne fait pas l'objet de recommandations officielles? Pour moi, cela ne me viendrait pas à l'idée de sanctionner ni son usage, ni son non-usage, et je pense que c'est le cas de l'immense majorité des universitaires.
Dans le cadre universitaire, la seule chose qui me soit arrivée à cet égard est une demande de la part de deux coordinatrices de revue qui demandaient à l'ensemble des contributeurs et contributrices (dont j'étais) d'utiliser l'écriture inclusive, car elles militaient pour cet emploi et souhaitaient que tout soit harmonisé dans ce sens. Mais on se trouve dans un cas particulier: les directeurs d'un numéro de revue (ainsi que les éditeurs) ont le droit de demander à ce qu'on respecte telle ou telle norme et pour moi c'est du même acabit que si l'on me demande d'écrire en times new roman taille 12 par exemple. Au reste, je pense que si quelqu'un s'était opposé à tout prix à cet usage de l'inclusif, personne ne lui aurait forcé la main - mais je ne vois pas l'intérêt de faire un drame autour de cette pratique. Au reste, cela n'a rien à voir avec les versions / dissertations pour lesquelles l'écriture inclusive n'est évidemment pas imposée.
En ce qui concerne cette pratique, puisque tu parles de "résister", j'avoue avoir du mal à comprendre les paniques et multiples débats qu'elle suscite. Personnellement, je n'aime pas trop l'écriture inclusive systématique et je l'emploie moi-même assez peu, mais c'est mon avis personnel et ce n'est pas ma petite personne qui décide de l'évolution de la langue. Et c'est aussi une question d'habitude. Par exemple, je me suis mise à l'utiliser dans des contextes où je m'adresse à plusieurs personnes: dans un mail, il ne me viendrait plus à l'idée d'écrire "chers étudiants" quand je m'adresse à des étudiantes et étudiants, de même pour "chers et chères collègues" / "chers et chères ami.e.s", et quand je suis en cours je dis toujours "celles et ceux qui" (surtout qu'en lettres, le public est souvent majoritairement féminin, donc cela fait un drôle d'effet de dire "ceux qui"...). En revanche, je trouve personnellement pénible de lire des points médians partout. Mais c'est mon avis, et au pire ça n'est pas bien grave: je reste très surprise par les gens qui s'émeuvent et parlent de "danger" ou je ne sais trop quoi... Comme je le disais sur un autre post, je pense qu'il faut raison garder et réserver ce terme de "danger" à des choses réellement dangereuses... et il se trouve qu'on n'en manque pas !
Dans le cadre universitaire, la seule chose qui me soit arrivée à cet égard est une demande de la part de deux coordinatrices de revue qui demandaient à l'ensemble des contributeurs et contributrices (dont j'étais) d'utiliser l'écriture inclusive, car elles militaient pour cet emploi et souhaitaient que tout soit harmonisé dans ce sens. Mais on se trouve dans un cas particulier: les directeurs d'un numéro de revue (ainsi que les éditeurs) ont le droit de demander à ce qu'on respecte telle ou telle norme et pour moi c'est du même acabit que si l'on me demande d'écrire en times new roman taille 12 par exemple. Au reste, je pense que si quelqu'un s'était opposé à tout prix à cet usage de l'inclusif, personne ne lui aurait forcé la main - mais je ne vois pas l'intérêt de faire un drame autour de cette pratique. Au reste, cela n'a rien à voir avec les versions / dissertations pour lesquelles l'écriture inclusive n'est évidemment pas imposée.
En ce qui concerne cette pratique, puisque tu parles de "résister", j'avoue avoir du mal à comprendre les paniques et multiples débats qu'elle suscite. Personnellement, je n'aime pas trop l'écriture inclusive systématique et je l'emploie moi-même assez peu, mais c'est mon avis personnel et ce n'est pas ma petite personne qui décide de l'évolution de la langue. Et c'est aussi une question d'habitude. Par exemple, je me suis mise à l'utiliser dans des contextes où je m'adresse à plusieurs personnes: dans un mail, il ne me viendrait plus à l'idée d'écrire "chers étudiants" quand je m'adresse à des étudiantes et étudiants, de même pour "chers et chères collègues" / "chers et chères ami.e.s", et quand je suis en cours je dis toujours "celles et ceux qui" (surtout qu'en lettres, le public est souvent majoritairement féminin, donc cela fait un drôle d'effet de dire "ceux qui"...). En revanche, je trouve personnellement pénible de lire des points médians partout. Mais c'est mon avis, et au pire ça n'est pas bien grave: je reste très surprise par les gens qui s'émeuvent et parlent de "danger" ou je ne sais trop quoi... Comme je le disais sur un autre post, je pense qu'il faut raison garder et réserver ce terme de "danger" à des choses réellement dangereuses... et il se trouve qu'on n'en manque pas !
- IridianeFidèle du forum
Hocam a écrit:Dans tous les cas, aucune raison de « s'inquiéter » pour cela. Il y a déjà bien assez de choses à gérer dans la vie pour s'arracher les cheveux sur des questions d'écriture inclusive, vaste terme par ailleurs qui englobe bien des pratiques différentes. Tu verras à la rentrée avec les enseignants si cela te tient vraiment à cœur, mais en attendant, garde le cap sur les autres points que tu as soulevés dans tes autres fils.
Bon, je n'avais pas tout lu mais Hocam a résumé en trois lignes tout ce que j'ai baratiné dans mon précédent message
- ConcelhautNiveau 5
Ergo a écrit:Tous les étudiants stressent pour la dissertation (et pour les autres exercices aussi, remarquez). Beaucoup se focalisent aussi sur cette question de "la méthode" alors que de ce que je vois dans les dissertations de licence, le problème initial est la connaissance superficielle du sujet traité. Commencez par bien connaître les œuvres au programme, "la méthode" viendra par la pratique.Concelhaut a écrit:Hocam a écrit:Dans tous les cas, aucune raison de « s'inquiéter » pour cela. Il y a déjà bien assez de choses à gérer dans la vie pour s'arracher les cheveux sur des questions d'écriture inclusive, vaste terme par ailleurs qui englobe bien des pratiques différentes. Tu verras à la rentrée avec les enseignants si cela te tient vraiment à cœur, mais en attendant, garde le cap sur les autres points que tu as soulevés dans tes autres fils.
Merci hocam. J'avoue je stresse énormément pour les exercices de dissertation car je ne suis pas un produit de l'éducation française secondaire.
D'ailleurs dans un entretien lors de ma candidature, on m'a dit que la dissertation en français dans un concours d'anglais est quelque chose d'archaique.
Les oraux sont en anglais donc c'est déjà bien
- ZybulkaHabitué du forum
Le point médian, ne t'inquiète pas, on te pardonnera de ne pas l'utiliser, en revanche le point final, ça passera mal de l'oublier. Bref, si réellement ta préoccupation est de réussir ton master et non de lancer des polémiques stériles, veille à la correction de ton vocabulaire, de ta syntaxe et de ta ponctuation. L'utilisation ou non de l'écriture inclusive est un non-sujet pour ton succès en master (la seule chose qui pourrait être handicapante, c'est une utilisation non-raisonnée de l'écriture "inclusive", comme le font parfois certaines personnes qui débutent en la matière et ne se préoccupent pas des normes et recommandations, produisant ainsi des textes difficilement lisibles).
- Faire une thèse seulement dans l'objectif de pouvoir travailler dans le supérieur (prépa)
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