Participeriez-vous à un mouvement de grève à la rentrée ?
- ZagaraGuide spirituel
Madame_Prof a écrit:Enfin, concernant mes collègues, ils étaient mobilisés pour UNE JOURNEE seulement. Gros sacrifice, wouh ! Certains peinent encore à s'en remettre je pense.
Journée pas retirée d'ailleurs. Je crois que le chef a rien fait remonter...
Je suis d'accord, y a déjà peu de syndiqués, un taux de participation aux élections pro ridicule. Donc, 75% de grévistes ou pas, le MEN s'en cogne, et continue à nous prendre pour des moutons.
Sauf que ce qu'on a vu c'est un MEN qui a paniqué face à cette mobilisation. Un Blanquer dépassé par les événements, un Castex contraint de venir en urgence, en pleine soirée, le relever de ses fonctions parce que les négociations n'avançaient pas (Blanquer n'avait même pas assez de sens politique pour lâcher des fausses annonces aux syndicats). C'est rarissime qu'un PM remplace un ministre en pleine réunion parce qu'il sent que c'est le zbeul.
Tout était rarissime dans cet événement et c'était un moment d'opportunité comme on n'en a pas eu en 15 ans. Vraiment, aucune explication bateau/habituelle ne marche pour ce coup-là. D'où la nécessité de l'analyser, parce que, dans un monde bien organisé, cet échec n'aurait pas dû arriver.
Vraisemblablement, fort de cette expérience, le MEN ne paniquera plus face à une journée forte de mobilisation ; on a perdu cette arme. Cela signifie que pour créer des effets politiques, il va falloir des formes encore plus dures de mobilisations (ce qui sera bien plus difficile à obtenir des collègues).
- BalthamosDoyen
Non, je ne pense pas qu'une grève à la rentrée soit la meilleure des dates.
En septembre, pourquoi pas suivant le mot d'ordre des syndicats et de la mobilisation des collègues.
Je crois toujours en l'action collective par les syndicats représentatifs et la grève, mais le problème vient plus de la mobilisation des collègues et leur politisation...
En septembre, pourquoi pas suivant le mot d'ordre des syndicats et de la mobilisation des collègues.
Je crois toujours en l'action collective par les syndicats représentatifs et la grève, mais le problème vient plus de la mobilisation des collègues et leur politisation...
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- Madame_ProfEsprit sacré
Zagara a écrit:Madame_Prof a écrit:Enfin, concernant mes collègues, ils étaient mobilisés pour UNE JOURNEE seulement. Gros sacrifice, wouh ! Certains peinent encore à s'en remettre je pense.
Journée pas retirée d'ailleurs. Je crois que le chef a rien fait remonter...
Je suis d'accord, y a déjà peu de syndiqués, un taux de participation aux élections pro ridicule. Donc, 75% de grévistes ou pas, le MEN s'en cogne, et continue à nous prendre pour des moutons.
Sauf que ce qu'on a vu c'est un MEN qui a paniqué face à cette mobilisation. Un Blanquer dépassé par les événements, un Castex contraint de venir en urgence, en pleine soirée, le relever de ses fonctions parce que les négociations n'avançaient pas (Blanquer n'avait même pas assez de sens politique pour lâcher des fausses annonces aux syndicats). C'est rarissime qu'un PM remplace un ministre en pleine réunion parce qu'il sent que c'est le zbeul.
Tout était rarissime dans cet événement et c'était un moment d'opportunité comme on n'en a pas eu en 15 ans. Vraiment, aucune explication bateau/habituelle ne marche pour ce coup-là. D'où la nécessité de l'analyser, parce que, dans un monde bien organisé, cet échec n'aurait pas dû arriver.
Vraisemblablement, fort de cette expérience, le MEN ne paniquera plus face à une journée forte de mobilisation ; on a perdu cette arme. Cela signifie que pour créer des effets politiques, il va falloir des formes encore plus dures de mobilisations (ce qui sera bien plus difficile à obtenir des collègues).
Une bonne journée de grève massive le 1er jour du DNB, par exemple, ça pourrait être efficace...
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2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- zigmag17Guide spirituel
Balthamos a écrit:Non, je ne pense pas qu'une grève à la rentrée soit la meilleure des dates.
En septembre, pourquoi pas suivant le mot d'ordre des syndicats et de la mobilisation des collègues.
Je crois toujours en l'action collective par les syndicats représentatifs et la grève, mais le problème vient plus de la mobilisation des collègues et leur politisation...
Pourquoi ne penses-tu pas qu'une grève à la rentrée soit la meilleure des dates?
- Clecle78Bon génie
En collège et lycée les rentrées sont échelonnées.
- zigmag17Guide spirituel
Clecle78 a écrit:En collège et lycée les rentrées sont échelonnées.
Oui c'est échelonné. Qu'est-ce qui nous empêche d'envisager une grève sur les jours de rentrée alors( disons-le comme ça)?
- JennyMédiateur
Seuls les PP sont présents pour accueillir les élèves. Parfois, les autres collègues passent, mais ce n'est pas indispensable. Ce serait une grève de PP, qui donnerait forcément un chiffre de grévistes faibles (et il faudrait que les PP fassent massivement grève et ça, je ne le sens pas).
- zigmag17Guide spirituel
Je précise que pour moi un seul jour de grève c'est mort: pas d'impact sauf sur le salaire.
Mais si la grève est massive et remplit son rôle qui est de se faire entendre en gênant un minimum( maximum?) , ce qui se passerait sans nul doute à la rentrée, comme cela serait le cas pour les corrections d'examens ( et ce conditionnel me fait mal au coeur), je ne vois pas pourquoi hésiter.
Mais si la grève est massive et remplit son rôle qui est de se faire entendre en gênant un minimum( maximum?) , ce qui se passerait sans nul doute à la rentrée, comme cela serait le cas pour les corrections d'examens ( et ce conditionnel me fait mal au coeur), je ne vois pas pourquoi hésiter.
- BalthamosDoyen
zigmag17 a écrit:Balthamos a écrit:Non, je ne pense pas qu'une grève à la rentrée soit la meilleure des dates.
En septembre, pourquoi pas suivant le mot d'ordre des syndicats et de la mobilisation des collègues.
Je crois toujours en l'action collective par les syndicats représentatifs et la grève, mais le problème vient plus de la mobilisation des collègues et leur politisation...
Pourquoi ne penses-tu pas qu'une grève à la rentrée soit la meilleure des dates?
C'est un moment important d'accueil des élèves qui en général met le tempo du début d'année, fixe les règles et permet une bonne intégration des élèves.
Je ne vois pas l'intérêt de laisser sur le parvis les nouveaux 6e découvrant le collège, son bâtiment, ses règles et ses figures.
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- JennyMédiateur
Je pense effectivement que beaucoup de PP hésiteront (en 6e et en Seconde en particulier, en Tle, il y a deux PP aussi).
Ce n'est pas non plus le meilleur moment pour mobiliser les collègues.
Ce n'est pas non plus le meilleur moment pour mobiliser les collègues.
- BalthamosDoyen
zigmag17 a écrit:Je précise que pour moi un seul jour de grève c'est mort: pas d'impact sauf sur le salaire.
Mais si la grève est massive et remplit son rôle qui est de se faire entendre en gênant un minimum( maximum?) , ce qui se passerait sans nul doute à la rentrée, comme cela serait le cas pour les corrections d'examens ( et ce conditionnel me fait mal au coeur), je ne vois pas pourquoi hésiter.
C'est un peu le serpent qui se mord la queue.
Entre ceux qui ne veulent pas faire grève un jour mais militent pour une grève continue et ceux qui ne sont pas prêts. On rajoute les mots d'ordre qui ne conviennent pas, avec une virgule mal placée ou trop exagérés pour d'autres et on se retrouve dans cette situation de démobilisation générale.
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- zigmag17Guide spirituel
Tout le monde pourrait être présent pour une fois ( chez nous l'accueil par les PP se fait la 1ère demi-journée, après quoi les cours commencent normalement).Jenny a écrit:Seuls les PP sont présents pour accueillir les élèves. Parfois, les autres collègues passent, mais ce n'est pas indispensable. Ce serait une grève de PP, qui donnerait forcément un chiffre de grévistes faibles (et il faudrait que les PP fassent massivement grève et ça, je ne le sens pas).
Quand je pense à l'accueil des internes par exemple, imaginons le gros b.rdel si l'accueil ne pouvait passe faire correctement. Les parents seraient furieux à juste titre mais au moins ça ferait bouger les lignes.
J'imagine les établissements avec les profs à l'extérieur, tous, PP ou pas, refusant de prendre les élèves en charge et lisant leurs revendications.
Si tout le monde voulait bien s'y mettre, ce serait très simple .
- lene75Prophète
Clecle78 a écrit:Je suis d'accord. Le recul syndical a été immédiat. Nous n'avons en fait absolument rien obtenu. Quant aux déclarations hallucinantes du ministre hier on aurait attendu une réaction tonitruante et rien à part un tweet ici ou là. Idem pour les conditions désastreuses du bac. Je ne trouve pas les syndicats à la hauteur du tout actuellement et je suis syndiquée je précise.
Je rappelle par ailleurs que quand nous avons fait la grève du bac, nous avons dû nous organiser seuls en AG et que le mouvement, assez suivi dans certaines matières, suffisamment pour faire du bruit, n'a pas été repris non plus par les syndicats, qui l'ont laissé pourrir et n'ont pas dit un mot quand des notes fictives ont été attribuées aux candidats pour ne pas décaler les résultats d'une journée. Ça aussi ça a dégoûté pas mal de collègues de se mobiliser (et de se syndiquer), surtout que la facture a été salée. Et ça a été les prémisses de tous les bidouillages de notes du bac et autres contrôle continu et épreuves inéquitables auxquelles nous assistons aujourd'hui. Il y a eu pas mal de rv ratés ces dernières années, et il est faux de dire que les collègues n'étaient pas mobilisés. Dans mon académie et dans ma discipline, nous étions de l'ordre de 80% des correcteurs réunis à l'AG lors de la réunion d'entente, les collègues qui sont allés travailler normalement dans les salles étaient une poignée. Ils ne manquait pas grand chose pour que ces 80% basculent si le mouvement avait été un peu organisé. Parmi ceux qui se sont engagés dans le mouvement, beaucoup ont craqué face aux menaces de l'administration et à l'isolement et ceux qui ont tenu jusqu'au bout sont pour beaucoup d'entre eux écoeurés.
- zigmag17Guide spirituel
Balthamos a écrit:zigmag17 a écrit:Balthamos a écrit:Non, je ne pense pas qu'une grève à la rentrée soit la meilleure des dates.
En septembre, pourquoi pas suivant le mot d'ordre des syndicats et de la mobilisation des collègues.
Je crois toujours en l'action collective par les syndicats représentatifs et la grève, mais le problème vient plus de la mobilisation des collègues et leur politisation...
Pourquoi ne penses-tu pas qu'une grève à la rentrée soit la meilleure des dates?
C'est un moment important d'accueil des élèves qui en général met le tempo du début d'année, fixe les règles et permet une bonne intégration des élèves.
Je ne vois pas l'intérêt de laisser sur le parvis les nouveaux 6e découvrant le collège, son bâtiment, ses règles et ses figures.
Et pourquoi ?
Évidemment que c'est gênant de laisser les élèves en plan, mais le but d'une grève c'est aussi de gêner ( en l'occurrence, élèves et parents). Je pense que ce serait la seule façon de faire bouger les lignes.
Apres, un moyen matériel de faire bouger les lignes, c'est de refuser toutes les convocations de fin d'année. On en est loin.
- zigmag17Guide spirituel
Balthamos a écrit:zigmag17 a écrit:Je précise que pour moi un seul jour de grève c'est mort: pas d'impact sauf sur le salaire.
Mais si la grève est massive et remplit son rôle qui est de se faire entendre en gênant un minimum( maximum?) , ce qui se passerait sans nul doute à la rentrée, comme cela serait le cas pour les corrections d'examens ( et ce conditionnel me fait mal au coeur), je ne vois pas pourquoi hésiter.
C'est vrai mais pour qu'une grève soit massive il faut un mot d'ordre syndical, unitaire et qui pose des revendications précises, par exemple tiens, facile, en reprenant le dernier message du ministre et en le démontant point par point, chiffres à l'appui. Où est-il?
C'est un peu le serpent qui se mord la queue.
Entre ceux qui ne veulent pas faire grève un jour mais militent pour une grève continue et ceux qui ne sont pas prêts. On rajoute les mots d'ordre qui ne conviennent pas, avec une virgule mal placée ou trop exagérés pour d'autres et on se retrouve dans cette situation de démobilisation générale.
Pardon j'ai mal cité. Ma réponse commence à "C'est vrai" et se termine par "où est-il?"
- valleExpert spécialisé
Balthamos a écrit:
C'est un moment important d'accueil des élèves qui en général met le tempo du début d'année, fixe les règles et permet une bonne intégration des élèves.
Je ne vois pas l'intérêt de laisser sur le parvis les nouveaux 6e découvrant le collège, son bâtiment, ses règles et ses figures.
Cela dit, les 6es ne sont pas des malades terminaux : ils se remettront d'une rentrée décalée de quelques jours.
L'administration considère que cet accueil du 1er jour est très important : il sera sans doute re-organisé plus tard.
Si ce n'est pas le cas, chaque enseignant se chargera de fixer les règles et faire possible une bonne intégration, et les PP ne laisseront pas les élèves dans la nature.
- BalthamosDoyen
D'ailleurs ce sondage sort d'où ?
Est ce une idée / interrogation / proposition d'un membre du groupe ou est ce une idée / interrogation / proposition d'un syndicat ?
Y a t - il déjà un projet pour une grève de rentrée ?
Est ce une idée / interrogation / proposition d'un membre du groupe ou est ce une idée / interrogation / proposition d'un syndicat ?
Y a t - il déjà un projet pour une grève de rentrée ?
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- zigmag17Guide spirituel
Moi je me fiche de savoir d'où sort ce sondage ( qui émane d'un néo je pense).
Je veux/ j'attends/ j'espère un mot d'ordre fort des syndicats unitaires pour une grève massive à la rentrée, à prolonger s'il le faut.
S'il n'y a pas ça maintenant, alors tout est fini et qu'on ne compte pas sur moi pour que je dise du bien des syndicats ( pourtant je suis syndiquée).
Marre.
Je veux/ j'attends/ j'espère un mot d'ordre fort des syndicats unitaires pour une grève massive à la rentrée, à prolonger s'il le faut.
S'il n'y a pas ça maintenant, alors tout est fini et qu'on ne compte pas sur moi pour que je dise du bien des syndicats ( pourtant je suis syndiquée).
Marre.
- GaliNéoFidèle du forum
Pas concerné. Comme chaque année, le rectorat m'offrira du travail après la période du "bunker", c'est-à-dire à partir du 12 septembre.
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¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
- SisypheHabitué du forum
Lene a écrit:Je rappelle par ailleurs que quand nous avons fait la grève du bac, nous avons dû nous organiser seuls en AG et que le mouvement, assez suivi dans certaines matières, suffisamment pour faire du bruit, n'a pas été repris non plus par les syndicats, qui l'ont laissé pourrir et n'ont pas dit un mot quand des notes fictives ont été attribuées aux candidats pour ne pas décaler les résultats d'une journée. Ça aussi ça a dégoûté pas mal de collègues de se mobiliser (et de se syndiquer), surtout que la facture a été salée. Et ça a été les prémisses de tous les bidouillages de notes du bac et autres contrôle continu et épreuves inéquitables auxquelles nous assistons aujourd'hui. Il y a eu pas mal de rv ratés ces dernières années, et il est faux de dire que les collègues n'étaient pas mobilisés. Dans mon académie et dans ma discipline, nous étions de l'ordre de 80% des correcteurs réunis à l'AG lors de la réunion d'entente, les collègues qui sont allés travailler normalement dans les salles étaient une poignée. Ils ne manquait pas grand chose pour que ces 80% basculent si le mouvement avait été un peu organisé. Parmi ceux qui se sont engagés dans le mouvement, beaucoup ont craqué face aux menaces de l'administration et à l'isolement et ceux qui ont tenu jusqu'au bout sont pour beaucoup d'entre eux écoeurés.
Quand j'ai fait grève du bac, nous étions 18 professeurs sur les 20 du LP à faire grève. Et cela n'a rien empêché. Nous avons été remplacés par des agents du rectorat qui avaient reçu leur ordre de mission début février. J'étais dans un établissement assez actif et militant ; le rectorat avait anticipé.
Je passe sur les magouilles sur les notes dont tout le monde ici se rappelle.
Pour moi faire grève le jour du bac c'était envoyer un message fort. Mais le ministère avait trouvé la parade.
Faire sauter la rentrée me paraît plus fort encore. Je ne vois pas les administratifs du rectorat gérer les élèves en mouvement. Mais la barrière symbolique est tout aussi forte sans véritable temps préalable entre nous pour rendre chacun capable de la franchir.
- BalthamosDoyen
zigmag17 a écrit:Moi je me fiche de savoir d'où sort ce sondage ( qui émane d'un néo je pense).
Je veux/ j'attends/ j'espère un mot d'ordre fort des syndicats unitaires pour une grève massive à la rentrée, à prolonger s'il le faut.
S'il n'y a pas ça maintenant, alors tout est fini et qu'on ne compte pas sur moi pour que je dise du bien des syndicats ( pourtant je suis syndiquée).
Marre.
Alors si tu es syndiqué, il en dit quoi ton syndicat ? Tes camarades syndiqués ? Et tes collègues, tu penses que ça serait un mouvement suivi et massif dans ton établissement ?
Ce n'est pas une centaine de néo et deux pages de discussion qui vont faire un mouvement massif et suivi. Syndicats ou non.
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- Spoiler:
- zigmag17Guide spirituel
EdithW a écrit:Et si personne ne venait à la pré-rentrée?
Une grève un jour de pré-rentrée n'aurait aucun impact sur l'opinion publique. Les gens ne savent même pas que ça existe, ils pensent que nous arrivons en même temps que les élèves au matin du jour J.
Cela ne gênerait que les CdE , impact limité aux établissements intra-muros, en plus franchement vu l'utilité de cette journée, qu'elle existe ou pas ne me paraît pas un enjeu primordial.
- zigmag17Guide spirituel
Balthamos a écrit:zigmag17 a écrit:Moi je me fiche de savoir d'où sort ce sondage ( qui émane d'un néo je pense).
Je veux/ j'attends/ j'espère un mot d'ordre fort des syndicats unitaires pour une grève massive à la rentrée, à prolonger s'il le faut.
S'il n'y a pas ça maintenant, alors tout est fini et qu'on ne compte pas sur moi pour que je dise du bien des syndicats ( pourtant je suis syndiquée).
Marre.
Alors si tu es syndiqué, il en dit quoi ton syndicat ? Tes camarades syndiqués ? Et tes collègues, tu penses que ça serait un mouvement suivi et massif dans ton établissement ?
Ce n'est pas une centaine de néo et deux pages de discussion qui vont faire un mouvement massif et suivi. Syndicats ou non.
- nc33Niveau 10
En janvier, les professeurs du secondaire se sont greffés sur une grève de PE et des VS, bénéficiant du soutien des chefs d'établissements. Leurs /vos syndicats habituels n'était pas décisionnaires pour une éventuelle suite.
A la rentrée la gréve ne prendra pas à mon avis, les collègues sont reposés, ils ont envie de se revoir et de reprendre les cours, ils n'auront pas pu se coordonner de vive voix.
A la rentrée la gréve ne prendra pas à mon avis, les collègues sont reposés, ils ont envie de se revoir et de reprendre les cours, ils n'auront pas pu se coordonner de vive voix.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
À la rentrée même cela semble en effet difficile de faire en amont tout le travail de mobilisation. Mais pourquoi pas juste après ?
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