- OudemiaBon génie
danses a écrit:Si. Quand j'étais en prépa.
Nous ne changions pas de salle, et voyions les enseignants se croiser. Le certifié de Latin était superbement ignoré par l'agrégé de Lettres, lequel était à son tour snobé par le normalien. Ambiance ....
Vous connaissiez leur statut ?
- KilmenyEmpereur
marocta a écrit:Kilmeny a écrit:Personne n'a connu d'établissement avec deux salles des profs (une pour certifiés, une pour agrégés ) ?
On nous en avait parlé à l'IUFM je crois. Mais j'ai toujours cru que c'était une légende urbaine...
Non, j'ai connu 2 établissements ou cela avait été le cas (plus quand j'y étais : dans l'un, la salle des agrégés, plus petite, avait servi ensuite de salle fumeurs puis de salle info)
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- uneodysséeNeoprof expérimenté
Fires of Pompeii a écrit:elsassfrei a écrit:En même temps, ils ont voté pour ...
Quand je pense qu'il vaut mieux éviter de parler de tout cela en salle des profs, ça donne le vertige. En comptant bien, je n'ai pu parler sereinement de la classe exceptionnelle (des agrégés) qu'avec une seule personne (concernée elle aussi).
"Ils", ce sont "les agrégés" ? Désolée mais personne n'était avec moi dans l'isoloir pour affirmer une telle chose.
Ce qui est fou, d'après ce que j'ai pu lire ici ou là, c'est que le fait que les agrégés soient attachés à leur statut (et en ce qui me concerne, aux statuts en général qui régissent les ORS des certifiés comme des agrégés) défrise certaines personnes, ces mêmes personnes qui feraient aussi un peu mieux de s'attacher à leur statut au lieu de se laisser manipuler par le "diviser pour mieux régner" pendant que le gouvernement essaie de dézinguer l'EDNAT et de remplacer les professeurs agrégés comme certifiés par une armée de contractuels sous-payés.
+1
À lire ce fil on est tous fichus à plus ou moins court terme !
Dingue cette propension à se jeter sur les os qu’on nous donne à ronger !
Agrégée, j’essaie souvent d’équilibrer au mieux – par exemple en prenant un seul groupe de Latin-Grec pour en laisser deux à ma collègue certifiée. Par ailleurs je ne cesse d’encourager mes collègues à passer l’agreg.
En tout cas si le statut disparaît, je disparais aussi. J’ai mieux à faire ailleurs !
- Ramanujan974Érudit
Moonchild a écrit:elsassfrei a écrit:En même temps, ils ont voté pour ...
Pour ce que ça vaut, il y a quelques jours je suis tombé sur une émission où le politologue Jérôme Sainte-Marie évoquait le vote de classe et il a mentionné parmi ses exemples le vote massif des agrégés pour Macron ; je me suis alors dit que nous sommes bien partis pour donner une nouvelle incarnation à la bonne vieille blague de le la dinde qui vote pour Thanksgiving.
Les retraités votent Macron qui veut mettre la retraite à 65 ans.
Les agrégés votent Macron qui veut supprimer l'agrégation.
- dansesNiveau 9
Oudemia a écrit:danses a écrit:Si. Quand j'étais en prépa.
Nous ne changions pas de salle, et voyions les enseignants se croiser. Le certifié de Latin était superbement ignoré par l'agrégé de Lettres, lequel était à son tour snobé par le normalien. Ambiance ....
Vous connaissiez leur statut ?
Oui, oui. Le normalien , durant ses cours, se faisait un plaisir de nous rappeler qui était qui... Et en l'occurrence, lui-même était le plus mauvais prof de Lettres que j'ai jamais eu. Paix à son âme, il est décédé dans l'incendie de sa maison.
- CasparProphète
Ah, les salles des profs séparées et l'agrégé imbu de sa personne et mauvais prof, ça faisait longtemps...
- mimiNiveau 9
Ben justement, ça fait longtemps que ça n existe plus...
Je n'ai jamais croisé d agrégés puants, moi?
Un certifié, oui, ce qui nous faisait bien rire, nous qui l étions aussi.
Je me souviens aussi en prépa des profs normaliens qui prenaient les autres de haut. Le mien était un génie de la littérature en revanche. Il était assez affreux, mais son excellence faisait passer pas mal de choses.
Je n'ai jamais croisé d agrégés puants, moi?
Un certifié, oui, ce qui nous faisait bien rire, nous qui l étions aussi.
Je me souviens aussi en prépa des profs normaliens qui prenaient les autres de haut. Le mien était un génie de la littérature en revanche. Il était assez affreux, mais son excellence faisait passer pas mal de choses.
- EnaecoVénérable
Caspar a écrit:Ah, les salles des profs séparées et l'agrégé imbu de sa personne et mauvais prof, ça faisait longtemps...
C'est comme fumer en classe puis le vin à la cantine. J'ai l'impression que ça a disparu...
- valleExpert spécialisé
Vous ne faites pas ça, vous ?Enaeco a écrit:Caspar a écrit:Ah, les salles des profs séparées et l'agrégé imbu de sa personne et mauvais prof, ça faisait longtemps...
C'est comme fumer en classe puis le vin à la cantine. J'ai l'impression que ça a disparu...
- Vieux_MongolFidèle du forum
Enaeco a écrit:Caspar a écrit:Ah, les salles des profs séparées et l'agrégé imbu de sa personne et mauvais prof, ça faisait longtemps...
C'est comme fumer en classe puis le vin à la cantine. J'ai l'impression que ça a disparu...
Oui et c'est bien. A l'époque les certifiés buvaient de la Pelure d'oignon et les agrégés se régalaient de Chambertin. Pareil pour le tabac. Gitanes maïs ou Gauloises vertes contre Partagas cubain. C'était insupportable.
- HalybelÉrudit
On a plusieurs agrégés en collège REP+ et ça se passe bien aucunes histoires, ni reproches. D’ailleurs ils ne font jamais grève mais on ne va pas en tirer des conclusions sur les agrégés, on évite de résumer une salle des profs à toutes les salles des profs.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
Chez nous la proportion d’agrégés chez les grévistes (et de grévistes chez les agrégés) est plus forte que celle de certifiés… alors bon, en effet, si chacun la ramène avec ses agrégés de chez lui, on va bien avancer.
- Charles-MauriceNiveau 10
Merci à ceux qui essaient d élever le débat, et d éviter les clichés hors d âge. C'est l institution toute entière qui est en grand danger, toutes les énergies devraient se fédérer pour sauver ce qui peut encore l être.
- CasparProphète
Ce n'est pas gagné quand on lit certaines interventions sur ce fil. Plus de dix pages alors qu'il ne devrait même pas y avoir de débat.Charles-Maurice a écrit:Merci à ceux qui essaient d élever le débat, et d éviter les clichés hors d âge. C'est l institution toute entière qui est en grand danger, toutes les énergies devraient se fédérer pour sauver ce qui peut encore l être.
- trompettemarineMonarque
Je déduis donc de certains posts que je suis une fainéante orgueilleuse et surpayée.
Je retourne à mes copies que je dois certainement noter de 0 à 5.
Je retourne à mes copies que je dois certainement noter de 0 à 5.
- dansesNiveau 9
Loin de moi l'idée de pourrir le fil.
Outre le fait que ledit enseignant était très particulier, ça reste l'exception en 20 ans de carrière et 7 ans d'études.
Je suis résolument contre la fracturation des corps enseignants : tous dans la même galère, vraiment, et en collège, encore plus. On compte là-dessus, là-haut pour diviser encore un peu plus dans les salles des profs, en exacerbant une pseudo inégalité, une horrible injustice à réparer de toute urgence, là, maintenant, tout de suite.
La vraie urgence, c'est la revalorisation de tous, sans aucune contrepartie (gentil, méchant, arrogant ou pas, certifié, agrégé, AESH, PLP et j'en oublie).
Vu enfin l'indigence de certaines formations du PAF, et les délires pédagogistes en vigueur ici et là, la préparation à ce concours permet de aussi, à ceux qui le souhaitent, de parfaire leur culture disciplinaire. Rien que ce motif devrait suffire à faire cesser le débat.
Mes collègues, qui m'ont vue trimer pour décrocher le Graal, n'ont jamais remis en cause ou dénigré mon statut, et mes 15h. Mais peut-être ai-je de la chance...
Outre le fait que ledit enseignant était très particulier, ça reste l'exception en 20 ans de carrière et 7 ans d'études.
Je suis résolument contre la fracturation des corps enseignants : tous dans la même galère, vraiment, et en collège, encore plus. On compte là-dessus, là-haut pour diviser encore un peu plus dans les salles des profs, en exacerbant une pseudo inégalité, une horrible injustice à réparer de toute urgence, là, maintenant, tout de suite.
La vraie urgence, c'est la revalorisation de tous, sans aucune contrepartie (gentil, méchant, arrogant ou pas, certifié, agrégé, AESH, PLP et j'en oublie).
Vu enfin l'indigence de certaines formations du PAF, et les délires pédagogistes en vigueur ici et là, la préparation à ce concours permet de aussi, à ceux qui le souhaitent, de parfaire leur culture disciplinaire. Rien que ce motif devrait suffire à faire cesser le débat.
Mes collègues, qui m'ont vue trimer pour décrocher le Graal, n'ont jamais remis en cause ou dénigré mon statut, et mes 15h. Mais peut-être ai-je de la chance...
- julianna7Niveau 5
On cherche à nous diviser depuis un moment.
Lors de l'annonce de la disparition des heures de latin, personne n'a bougé, même pas les lettres modernes qui ont pourtant perdu une pléthore d'heures à ce moment-là.
Lorqu'il y a eu la reforme du collège, les profs de lycée n'ont pas fait grève.
Je me souviens avoir entendu des profs de collège dire qu'ils ne manifesteraient pas contre la reforme du lycée à cause de ça. La réforme de la retraite ne concerne que les collègues nés après telle date...
Ça m'étonnerait que beaucoup s'élèvent pour défendre le corps des agrégés, par definition minoritaire...
Lors de l'annonce de la disparition des heures de latin, personne n'a bougé, même pas les lettres modernes qui ont pourtant perdu une pléthore d'heures à ce moment-là.
Lorqu'il y a eu la reforme du collège, les profs de lycée n'ont pas fait grève.
Je me souviens avoir entendu des profs de collège dire qu'ils ne manifesteraient pas contre la reforme du lycée à cause de ça. La réforme de la retraite ne concerne que les collègues nés après telle date...
Ça m'étonnerait que beaucoup s'élèvent pour défendre le corps des agrégés, par definition minoritaire...
- ZetitcheurHabitué du forum
Ce sujet de la suppression de l’agrégation revient régulièrement sur le tapis - ce qui ne signifie pas qu’il ne faut pas s’en inquiéter. Il y a 5 ans l’arrivée de JMB au ministère avait déjà suscité des craintes, comme le souligne cet entretien (par ailleurs super intéressant) de la directrice de la société des agrégés https://www.vousnousils.fr/2017/10/09/au-lieu-de-vouloir-supprimer-lagregation-il-faudrait-utiliser-cette-richesse-au-maximum-608286/amp. Elle évoque le fait que “dans tous les systèmes éducatifs qui fonctionnent bien, il y a une grande considération pour le professeur”.
Par ailleurs c’est bien dommage, ces clivages, mais ils sont réels. Je me souviens clairement que durant l’année de stage, la poignée d’agrégés de mon groupe faisions profil bas car il y avait ponctuellement des remarques grinçantes sur notre statut. Quelqu’un m’avait même sorti que, s’il avait su au départ que j’étais agrégée, il ne m’aurait pas adressé la parole : j’ai eu l’impression de sentir le gaz … (d’ailleurs après ça il ne m’a plus du tout parlé)
Bref, tout ça pour dire que c’est le genre de choses qui dessert toute la profession.
Par ailleurs c’est bien dommage, ces clivages, mais ils sont réels. Je me souviens clairement que durant l’année de stage, la poignée d’agrégés de mon groupe faisions profil bas car il y avait ponctuellement des remarques grinçantes sur notre statut. Quelqu’un m’avait même sorti que, s’il avait su au départ que j’étais agrégée, il ne m’aurait pas adressé la parole : j’ai eu l’impression de sentir le gaz … (d’ailleurs après ça il ne m’a plus du tout parlé)
Bref, tout ça pour dire que c’est le genre de choses qui dessert toute la profession.
- celitianSage
+1julianna7 a écrit:On cherche à nous diviser depuis un moment.
Lors de l'annonce de la disparition des heures de latin, personne n'a bougé, même pas les lettres modernes qui ont pourtant perdu une pléthore d'heures à ce moment-là.
Lorqu'il y a eu la reforme du collège, les profs de lycée n'ont pas fait grève.
Je me souviens avoir entendu des profs de collège dire qu'ils ne manifesteraient pas contre la reforme du lycée à cause de ça. La réforme de la retraite ne concerne que les collègues nés après telle date...
Ça m'étonnerait que beaucoup s'élèvent pour défendre le corps des agrégés, par definition minoritaire...
Au passage, le statut le plus menacé actuellement est certainement celui de Plp mais cela ne devrait pas mobiliser beaucoup (même chez les plp d'ailleurs, au vu de la faible mobilisation contre les dernières réformes catastrophiques du LP).
- lene75Prophète
julianna7 a écrit:
Lorqu'il y a eu la reforme du collège, les profs de lycée n'ont pas fait grève.
Dans mon lycée, il y a eu plus de mobilisation contre la réforme du collège que contre celle du lycée...
Je crois que c'est encore plus pervers que ça : l'usure, la lassitude et la dépression ont gagné les enseignants, qui n'ont plus la force de se mobiliser autrement que par une grévounette d'un jour aussitôt ridiculisée par les médias, le gouvernement et l'opinion publique, en commençant dès le comptage mensonger du nombre de grévistes.
- Clecle78Bon génie
Généralisation abusive. On est pas mal à avoir fait grève contre la réforme du collège et celle des retraites même sans être directement concernés.julianna7 a écrit:On cherche à nous diviser depuis un moment.
Lors de l'annonce de la disparition des heures de latin, personne n'a bougé, même pas les lettres modernes qui ont pourtant perdu une pléthore d'heures à ce moment-là.
Lorqu'il y a eu la reforme du collège, les profs de lycée n'ont pas fait grève.
Je me souviens avoir entendu des profs de collège dire qu'ils ne manifesteraient pas contre la reforme du lycée à cause de ça. La réforme de la retraite ne concerne que les collègues nés après telle date...
Ça m'étonnerait que beaucoup s'élèvent pour défendre le corps des agrégés, par definition minoritaire...
- valleExpert spécialisé
Le corps des agrégés était conçu pour être le corps de base de l'ens. secondaire. Il n'est pas minoritaire par définition.
Cela dit, je ne suis pas d'accord avec ceux qui regrettent la longueur de ce fil (et qui y voient une preuve de division). Il semble y avoir un large accord, même dans les posts qui s'intereogent sur la nature debla différence entre les deux corps.
Cela dit, je ne suis pas d'accord avec ceux qui regrettent la longueur de ce fil (et qui y voient une preuve de division). Il semble y avoir un large accord, même dans les posts qui s'intereogent sur la nature debla différence entre les deux corps.
- elisa18Neoprof expérimenté
J'ai regardé cnews hier soir, j'ai cherché sur internet, rien. Quelqu'un a-t-il trouvé un extrait de ce qui a été dit ?lene75 a écrit:Jenny a écrit:lene75 a écrit:Ma mère me dit avoir entendu aujourd'hui aux infos qu'il y avait un projet de suppression de l'agrégation. Ça va vite !
Est-ce que quelqu'un a une source ?
Cnews vers 13h. Info à prendre avec des pincettes, donc, parce que les infos à la télé, on sait ce que c'est, mais le fait que ça sorte dans des médias à grande audience, c'est quand même moyennement rassurant : c'est au minimum que l'idée commence à bien circuler
- CarmenLRNeoprof expérimenté
e-Wanderer a écrit:La suppression pure et simple de l'agrégation me semble difficilement envisageable, pour différentes raisons : le poids de la tradition, l'influence de la société des agrégés et des syndicats ; le fait qu'il existe des disciplines, comme le droit, qui se fondent sur l'agrégation pour l'accès au grade de professeur des universités ; le fait que les PRAG permettent à l'État d'éviter une crise ouverte en permettant aux universités de recruter quelques collègues qui consacrent 100% de leur temps à l'enseignement (et donc qui coûtent beaucoup moins cher que les enseignants-chercheurs, dont le service comprend deux fois moins d'heures de cours).eliam a écrit:Certes mais si l'agrégation est supprimée, il va y avoir de moins en moins d'agrégés donc, le bouchon ne va-t-il pas se résorber ?
L'agrégation de droit n'est pas une agrégation pour devenir professeur agrégé dans le secondaire. Ce n'est pas le même concours ni le même statut.
- valleExpert spécialisé
En effet, c'est juste le nom qui est trompeur. Et sinon, les PRCE existent aussi (et moins chers pour les facs qui doivent désormais gérer leur budget).CarmenLR a écrit:e-Wanderer a écrit:La suppression pure et simple de l'agrégation me semble difficilement envisageable, pour différentes raisons : le poids de la tradition, l'influence de la société des agrégés et des syndicats ; le fait qu'il existe des disciplines, comme le droit, qui se fondent sur l'agrégation pour l'accès au grade de professeur des universités ; le fait que les PRAG permettent à l'État d'éviter une crise ouverte en permettant aux universités de recruter quelques collègues qui consacrent 100% de leur temps à l'enseignement (et donc qui coûtent beaucoup moins cher que les enseignants-chercheurs, dont le service comprend deux fois moins d'heures de cours).eliam a écrit:Certes mais si l'agrégation est supprimée, il va y avoir de moins en moins d'agrégés donc, le bouchon ne va-t-il pas se résorber ?
L'agrégation de droit n'est pas une agrégation pour devenir professeur agrégé dans le secondaire. Ce n'est pas le même concours ni le même statut.
Je me demande bien quel est le vrai poids de la société des agrégés. Il doit y avoir une sorte d"'auctoritas', mais rien au-delà de ce que celui qui écoute leur veuille attribuer, non ?
(Mais comme je l'ai dit, je ne pense pas que le corps disparaisse demain).
- projet de décret : gestion des agrégés
- 180 jours de classe par an : FO menace d'un "affrontement" avec le ministère pour défendre le statut des enseignants.
- Blanche Lochmann (Société des Agrégés) : 'La réforme du collège est une menace pour l'enseignement dans sa totalité' (VousNousIls 2/10)
- menace de plainte contre moi !!
- Blanche Lochmann : "La Société des Agrégés de l'Université a efficacement plaidé la cause des agrégés et obtenu des victoires significatives".
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