barres 2021, barres 2022...

Bonjour à tous,

Nous connaissons tous le côté "roulette russe" du système de mutations actuel. Cependant, d'après ce que vous savez peut-être de vos établissements et de vos départements maintenant que les DHG sont tombées, pensez-vous qu'il faut imaginer un mouvement inter avec des barres d'une hauteur aussi stratosphérique que l'année passée, ou que ces barres vont baisser (je pense notamment à l'effet de la réforme du lycée, qui mathématiquement devrait s'estomper à présent qu'elle est mise en place sur les trois niveaux) ? Merci à tous pour vos éclairages

Aucune chance de te répondre autre que des hypothèses dont tu ne pourras rien faire du tout. Il n'est pas utile de jouer à se faire peur...

Merci @mafalda16 pour ta réponse pleine de sagesse Il est vrai que vu les enjeux familiaux des mutations il n'est pas toujours simple d'attendre sans "fomenter"!

Je sais bien que c'est long d'attendre. Mais la meilleure chose à faire est plutôt de se changer les idées en attendant la journée fatidique des résultats.
Bon courage.

Hémisphère a écrit:Bonjour à tous,

Nous connaissons tous le côté "roulette russe" du système de mutations actuel. Cependant, d'après ce que vous savez peut-être de vos établissements et de vos départements maintenant que les DHG sont tombées, pensez-vous qu'il faut imaginer un mouvement inter avec des barres d'une hauteur aussi stratosphérique que l'année passée, ou que ces barres vont baisser (je pense notamment à l'effet de la réforme du lycée, qui mathématiquement devrait s'estomper à présent qu'elle est mise en place sur les trois niveaux) ? Merci à tous pour vos éclairages

Pour l'instant les suppressions continuent et il reste encore des dédoublements, des spécialités et des options qu'on voudrait bien voir disparaître en haut lieu. Je ne crois pas du tout que les effets de la réforme soient estompés. On est plutôt assommés, là... Enfin, on verra bien.

Ce qui ne répond absolument pas à la question de départ... Vu qu'on ne peut pas répondre à la question de départ.

Clecle78 a écrit:

Hémisphère a écrit:Bonjour à tous,

Nous connaissons tous le côté "roulette russe" du système de mutations actuel. Cependant, d'après ce que vous savez peut-être de vos établissements et de vos départements maintenant que les DHG sont tombées, pensez-vous qu'il faut imaginer un mouvement inter avec des barres d'une hauteur aussi stratosphérique que l'année passée, ou que ces barres vont baisser (je pense notamment à l'effet de la réforme du lycée, qui mathématiquement devrait s'estomper à présent qu'elle est mise en place sur les trois niveaux) ? Merci à tous pour vos éclairages

Pour l'instant les suppressions continuent et il reste encore des dédoublements, des spécialités et des options qu'on voudrait bien voir disparaître en haut lieu. Je ne crois pas du tout que les effets de la réforme soient estompés. On est plutôt assommés, là... Enfin, on verra bien.

J'imagine qu'en lettres classiques, ce n'est pas trop le moment de demander un passage vers le lycée... Je me demande d'ailleurs si ça sera à nouveau possible un jour sans risques. C'est triste.

Effectivement je ne réponds pas à la question de départ. Mais je réponds à l'affirmation qui dit que les effets de la réforme du collège devraient mathématiquement s'estomper cette année ce qui ne semble pas du tout certain. Je ne comprends pas bien le sens de cette remarque en fait.
Marjo c'est très dur en lycée. Un poste a été créé dans mon établissement parce qu'il y avait 16h à pourvoir avec la spécialité. J'arrive et fin de la spécialité, nous sommes deux pour 6 h. Mon poste sera certainement  supprimé dans deux ans ....

C'est impossible de répondre à la question et les effets de la réforme du lycée sont loin de s'estomper.
Quand des collègues veulent supprimer des options, comprenez il y a vraiment trop peu d'élèves, pour obtenir des dédoublements ou que l'ouverture/maintien d'une spécialité se joue quasiment à l'élève près, les postes se ferment plutôt qu'ils ne s'ouvrent.
Je vous laisse imaginer toutes les conséquences que peuvent avoir la suppression d'une classe de seconde (par exemple pour des raisons démographiques) sur des enseignements dit "rares".

Clecle78 a écrit:

Hémisphère a écrit:Bonjour à tous,

Nous connaissons tous le côté "roulette russe" du système de mutations actuel. Cependant, d'après ce que vous savez peut-être de vos établissements et de vos départements maintenant que les DHG sont tombées, pensez-vous qu'il faut imaginer un mouvement inter avec des barres d'une hauteur aussi stratosphérique que l'année passée, ou que ces barres vont baisser (je pense notamment à l'effet de la réforme du lycée, qui mathématiquement devrait s'estomper à présent qu'elle est mise en place sur les trois niveaux) ? Merci à tous pour vos éclairages

Pour l'instant les suppressions continuent et il reste encore des dédoublements, des spécialités et des options qu'on voudrait bien voir disparaître en haut lieu. Je ne crois pas du tout que les effets de la réforme soient estompés. On est plutôt assommés, là... Enfin, on verra bien.

Pardon, je me suis mal exprimée. Il est évident pour tout le monde, dans mon établissement comme ailleurs, que la réforme du lycée fait d'énormes dégâts. Je n'ai voulu parler que des effets de la réforme du lycée sur les mutations. J'ai simplement l'impression (mais j'ai peut-être généralisé à tort à partir des quelques lycées que je connais) qu'il y a eu beaucoup de suppressions d'heures poste et de postes l'année de la mise en place de la réforme, et que maintenant que la réforme est en place ces suppressions sont "moindres" puisque la plupart des classes sont déjà pleines à craquer. Exemple en lettres ici : les débuts de la réforme ont provoqué le remplacement de 6 h de littérature réparties dans deux terminales de 25 élèves par 3 h de spé HLPhi dans un seul groupe terminale de 35 élèves. La suppression de cet unique groupe de spé HLPhi me semble bien plus dure à envisager que la fusion précédente de deux terminales L en un seul groupe HLPhi. Des collègues d'autres matières partagent ce constat qu'après ces suppressions douloureuses et ces classes toutes montées à 35-36, on est "à l'os". D'où l'éventualité que le mouvement inter soit peut-être moins bloqué que l'année précédente. Encore merci pour vos retours.