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- A TuinVénérable
Les brigades c'est très bien oui. Je me suis toujours demandée pourquoi il n'y avait pas ce système dans le secondaire.
- ElyasEsprit sacré
jeromebr a écrit:Elyas a écrit:Haha.
La seule solution réaliste mais qui n'est pas évoquée, c'est l'équivalent des brigades de remplacements du 1er Degré. Ils n'en veulent pas, donc ils ne proposent pas. Déjà que pour le 1er Degré, ils sont bloqués par la loi sinon ils les supprimeraient pour ensuite se plaindre.
Pour détail, dans les Yvelines, c'est 70 professeurs des écoles manquants car on n'arrive pas à recruter. Dans ma ville des Yvelines, on a déjà 15 professeurs des écoles aujourd'hui malades du COVID, donc par de remplaçants.
C'est la fête !
Comment sais tu que 15 sont malades du covid?
Je suis ami avec de nombreux enseignants et la situation sanitaire chez nous est catastrophique.
- ElaïnaDevin
La pression des parents est moins forte car le gamin peut être laissé seul à la maison. Il ne fera rien ou fera des conneries mais bon tout le monde s'en fout.A Tuin a écrit:Les brigades c'est très bien oui. Je me suis toujours demandée pourquoi il n'y avait pas ce système dans le secondaire.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- A TuinVénérable
Ils sont encore petits mais ça me gênerait et me gênera si j'ai à devoir laisser les enfants seuls à la maison. Un enfant seul, ça fouille partout ou ça fait des con*ries comme tu dis.
- ZybulkaHabitué du forum
C'est une vraie question ? Parce que ça coûte trop cher... Faire faire des heures sups à des profs en poste coûte environ deux fois moins cher que de recruter quelqu'un sur le poste (sachant qu'en plus il y a des frais liés à l'affectation des profs remplaçant·e·s). Sans parler du fait que si ça se trouve on risquerait de recruter quelqu'un qui parfois ne serait pas en poste, parce que ces feignasses de profs tombent tous malades en même temps, ça serait vraiment pas rentable ! Hé puis bon, annualiser, c'est encore mieux, comme ça, même pas besoin de les payer en HSE, parce que bon, c'est bien connu, avec toutes ces heures de cours qui sautent, les profs passent leur année à se la couler douce, donc faut bien qu'ils rattrapent hein !A Tuin a écrit:Les brigades c'est très bien oui. Je me suis toujours demandée pourquoi il n'y avait pas ce système dans le secondaire.
- LemmyKHabitué du forum
Ben avec P. Moscovici comme président de cette cour, vous ne vous attendiez pas à des propositions efficaces, j'espère.
Lien sur le communiqué du Snalc:
https://snalc.fr/mettons-les-magistrats-de-la-cour-des-comptes-sur-le-terrain/
Je cite la conclusion
"Le SNALC propose donc d’instaurer de manière obligatoire la bivalence « comptes publics / enseignement » à l’ensemble des magistrats de la Cour. Il pourra ainsi être fait appel à eux pour remplacer les absences (toujours justifiées, rappelons-le) des enseignants. Cela donnera à la Cour des comptes une expertise de terrain très enrichissante, et elle fera enfin quelque chose d’utile pour le pays."
Lien sur le communiqué du Snalc:
https://snalc.fr/mettons-les-magistrats-de-la-cour-des-comptes-sur-le-terrain/
Je cite la conclusion
"Le SNALC propose donc d’instaurer de manière obligatoire la bivalence « comptes publics / enseignement » à l’ensemble des magistrats de la Cour. Il pourra ainsi être fait appel à eux pour remplacer les absences (toujours justifiées, rappelons-le) des enseignants. Cela donnera à la Cour des comptes une expertise de terrain très enrichissante, et elle fera enfin quelque chose d’utile pour le pays."
- IphigénieProphète
sinon, vos problèmes sont quand même misérables :
https://actu.fr/bretagne/fougeres_35115/retraite-indemnites-le-depute-breton-s-etonne-du-cumul-du-president-de-la-cour-des-comptes_36891750.html
pour mémoire:
"Champagne, au sortir d’un long dîner qui lui enfle l’estomac, et dans les douces fumées d’un vin d’Avenay ou de Sillery, signe un ordre qu’on lui présente, qui ôterait le pain à toute une province si l’on n’y remédiait. Il est excusable : quel moyen de comprendre, dans la première heure de la digestion, qu’on puisse quelque part mourir de faim ?"
- PonocratesExpert spécialisé
Pour la bivalence, y aurait-il une bonne âme pour signaler à ces charmants membres de la cour des comptes, qu'elle existe déjà pour les professeurs de physique-chimie, ceux de sciences de la vie et de la terre, de français et de latin et/ou grec, d'histoire et de géographie et d'emc...
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- LefterisEsprit sacré
Et ça remonte à la surface, toujours sous la plume des mêmes nantis au service des très très nantis qui les nomment , avec la collection d"éléments de langage habituels : "rigidité" vs "souplesse", "bonnes pratiques". En continuant un peu on devrait parler des "leviers", de "l'agilité", des "postures" à adopter , avec toujours la même conclusion : il faut infliger l'enfer (aux autres).
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LaotziSage
Ce rapport n'en a rien à faire des professeurs, des élèves et de l'école. Pointer le problème des absences de courte durée (qui sont pour beaucoup des demandes institutionnelles) qui n'entravent pas les progrès des élèves et dont le remplacement ne pourrait être que de la garderie n'est qu'une façon de pousser vers des réformes permettant de casser davantage le statut.
Le vrai problème, ce sont les absences de longue et moyenne durée. La situation est catastrophique, en tout cas dans mon académie. Les congés maternité ne sont plus remplacés, les départs en retraite en milieu d'année non plus, y compris dans des matières parfois non déficitaires pourtant. L'institution ne garantit plus la continuité du service public d'éducation pour ces absences qui pénalisent fortement les élèves (et entraînent des ruptures d'égalité en terminale).
Mais évidemment, pallier ces absences ne se fait pas en cassant le statut mais en augmentant le nombre de postes aux concours (et en reconstituant dans le second degré le vivier de TZR), en revalorisant le métier pour le rendre plus attractif, etc.
Le vrai problème, ce sont les absences de longue et moyenne durée. La situation est catastrophique, en tout cas dans mon académie. Les congés maternité ne sont plus remplacés, les départs en retraite en milieu d'année non plus, y compris dans des matières parfois non déficitaires pourtant. L'institution ne garantit plus la continuité du service public d'éducation pour ces absences qui pénalisent fortement les élèves (et entraînent des ruptures d'égalité en terminale).
Mais évidemment, pallier ces absences ne se fait pas en cassant le statut mais en augmentant le nombre de postes aux concours (et en reconstituant dans le second degré le vivier de TZR), en revalorisant le métier pour le rendre plus attractif, etc.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- Mélusine2Niveau 10
LemmyK a écrit:Ben avec P. Moscovici comme président de cette cour, vous ne vous attendiez pas à des propositions efficaces, j'espère.
Lien sur le communiqué du Snalc:
https://snalc.fr/mettons-les-magistrats-de-la-cour-des-comptes-sur-le-terrain/
Je cite la conclusion
"Le SNALC propose donc d’instaurer de manière obligatoire la bivalence « comptes publics / enseignement » à l’ensemble des magistrats de la Cour. Il pourra ainsi être fait appel à eux pour remplacer les absences (toujours justifiées, rappelons-le) des enseignants. Cela donnera à la Cour des comptes une expertise de terrain très enrichissante, et elle fera enfin quelque chose d’utile pour le pays."
Très très bien, le communiqué. Et j'adore ce qui précède immédiatement ta citation : "Le SNALC tient néanmoins à se montrer constructif. Au vu du temps que les magistrats de la Cour des comptes parviennent à se dégager en faisant des copier-coller de leurs rapports précédents, ces derniers pourraient contribuer à l’amélioration du service public d’éducation."
- CasparProphète
Ponocrates a écrit:Pour la bivalence, y aurait-il une bonne âme pour signaler à ces charmants membres de la cour des comptes, qu'elle existe déjà pour les professeurs de physique-chimie, ceux de sciences de la vie et de la terre, de français et de latin et/ou grec, d'histoire et de géographie et d'emc...
et de l'Univers.
- CasparProphète
Laotzi a écrit:Ce rapport n'en a rien à faire des professeurs, des élèves et de l'école. Pointer le problème des absences de courte durée (qui sont pour beaucoup des demandes institutionnelles) qui n'entravent pas les progrès des élèves et dont le remplacement ne pourrait être que de la garderie n'est qu'une façon de pousser vers des réformes permettant de casser davantage le statut.
Le vrai problème, ce sont les absences de longue et moyenne durée. La situation est catastrophique, en tout cas dans mon académie. Les congés maternité ne sont plus remplacés, les départs en retraite en milieu d'année non plus, y compris dans des matières parfois non déficitaires pourtant. L'institution ne garantit plus la continuité du service public d'éducation pour ces absences qui pénalisent fortement les élèves (et entraînent des ruptures d'égalité en terminale).
Mais évidemment, pallier ces absences ne se fait pas en cassant le statut mais en augmentant le nombre de postes aux concours (et en reconstituant dans le second degré le vivier de TZR), en revalorisant le métier pour le rendre plus attractif, etc.
Pas d'après France Inter ce matin, ou alors seulement "à la marge".
- A TuinVénérable
Zybulka a écrit:C'est une vraie question ? Parce que ça coûte trop cher... Faire faire des heures sups à des profs en poste coûte environ deux fois moins cher que de recruter quelqu'un sur le poste (sachant qu'en plus il y a des frais liés à l'affectation des profs remplaçant·e·s). Sans parler du fait que si ça se trouve on risquerait de recruter quelqu'un qui parfois ne serait pas en poste, parce que ces feignasses de profs tombent tous malades en même temps, ça serait vraiment pas rentable ! Hé puis bon, annualiser, c'est encore mieux, comme ça, même pas besoin de les payer en HSE, parce que bon, c'est bien connu, avec toutes ces heures de cours qui sautent, les profs passent leur année à se la couler douce, donc faut bien qu'ils rattrapent hein !A Tuin a écrit:Les brigades c'est très bien oui. Je me suis toujours demandée pourquoi il n'y avait pas ce système dans le secondaire.
Oui c'était une vraie question. Parce que ce serait une vraie solution pourtant... on passerait outre le délai des 15 jours pour attendre l'arrivée d'un éventuel remplaçant. Ce serait mieux pour les élèves et cela contribuerait aussi à faire travailler plus de salariés.
- Dame JouanneÉrudit
Un truc qui me fait rire (jaune) : la proposition de faire les formations sur le temps des vacances scolaire n'est pas retenue par la cours des compte parce que cela coûterait trop cher d'indemniser les professeurs !
En fait, ce qu'ils veulent , c'est qu'on travaille plus sans que cela coûte un centime de plus. On devrait leur suggérer d'adopter d'abord le salaire d'un professeur débutant (et même celui d'un non débutant), puis on en reparle !
En fait, ce qu'ils veulent , c'est qu'on travaille plus sans que cela coûte un centime de plus. On devrait leur suggérer d'adopter d'abord le salaire d'un professeur débutant (et même celui d'un non débutant), puis on en reparle !
- Ajonc35Sage
Sinon enseignant et animateur. Pardon c'est devenu le même métier.Caspar a écrit:Ponocrates a écrit:Pour la bivalence, y aurait-il une bonne âme pour signaler à ces charmants membres de la cour des comptes, qu'elle existe déjà pour les professeurs de physique-chimie, ceux de sciences de la vie et de la terre, de français et de latin et/ou grec, d'histoire et de géographie et d'emc...
et de l'Univers.
- CassandrineNiveau 10
Ajonc35 a écrit:Sinon enseignant et animateur. Pardon c'est devenu le même métier.Caspar a écrit:Ponocrates a écrit:Pour la bivalence, y aurait-il une bonne âme pour signaler à ces charmants membres de la cour des comptes, qu'elle existe déjà pour les professeurs de physique-chimie, ceux de sciences de la vie et de la terre, de français et de latin et/ou grec, d'histoire et de géographie et d'emc...
et de l'Univers.
Parfois aussi Assistante sociale, Psychologue pour Parents (c'est ce qu'une mère m'avait dit pour le sigle de P.P: "vous n'êtes pas Psychologue pour Parents?").
- LaugarithmeFidèle du forum
Et bien les brigades de remplacement ont existé au siècle dernier.A Tuin a écrit:Les brigades c'est très bien oui. Je me suis toujours demandée pourquoi il n'y avait pas ce système dans le secondaire.
En 1985 et pendant 11 ans j'étais TZR rattachée à un lycée Lilois. Nous étions 4 ou 5 profs de Maths dans cette brigade ( dont 2, il faut l'avouer étaient là afin de ne plus faire de dégâts).
Notre zone de remplacement couvrait un territoire relativement restreint.
Les TZR faisaient des remplacements de courte à moyenne durée ( pas plus de 3 mois il.me semble).
Pour les remplacements plus longs ou à l'année il y avait les TA ( titulaires académiques).
Les remplacements étaient gérés par le lycée de rattachement.
Proximité = Efficacité.
Bien qu'en théorie on ne soit appelé que pour des absences d'au moins 15 jours, il m'est arrivée de faire des remplacements de quelques jours.
Cela a commencé à se dégrader en 1996 quand on a regroupé des zones avec des déplacements plus importants.
Effectivement les " brigadistes" coûtaient trop chers.
Je garde un très bon souvenir de cette période, mais changer très souvent d'établissement ne contenait pas à tout ke monde.
- Ajonc35Sage
Oui, je sais et bien d'autres. Mais cela s'appelle la polyvalence ( et j'y ajoute sans reconnaissance).Cassandrine a écrit:Ajonc35 a écrit:Sinon enseignant et animateur. Pardon c'est devenu le même métier.Caspar a écrit:Ponocrates a écrit:Pour la bivalence, y aurait-il une bonne âme pour signaler à ces charmants membres de la cour des comptes, qu'elle existe déjà pour les professeurs de physique-chimie, ceux de sciences de la vie et de la terre, de français et de latin et/ou grec, d'histoire et de géographie et d'emc...
et de l'Univers.
Parfois aussi Assistante sociale, Psychologue pour Parents (c'est ce qu'une mère m'avait dit pour le sigle de P.P: "vous n'êtes pas Psychologue pour Parents?").
- JennyMédiateur
C'est quand même le plus pénalisant pour les élèves. Rater une heure parce que l'enseignant a une formation ou est convoqué pour être jury et ne pas avoir d'enseignant pendant 3 mois, ça n'a pas le même impact.Caspar a écrit:Laotzi a écrit:Ce rapport n'en a rien à faire des professeurs, des élèves et de l'école. Pointer le problème des absences de courte durée (qui sont pour beaucoup des demandes institutionnelles) qui n'entravent pas les progrès des élèves et dont le remplacement ne pourrait être que de la garderie n'est qu'une façon de pousser vers des réformes permettant de casser davantage le statut.
Le vrai problème, ce sont les absences de longue et moyenne durée. La situation est catastrophique, en tout cas dans mon académie. Les congés maternité ne sont plus remplacés, les départs en retraite en milieu d'année non plus, y compris dans des matières parfois non déficitaires pourtant. L'institution ne garantit plus la continuité du service public d'éducation pour ces absences qui pénalisent fortement les élèves (et entraînent des ruptures d'égalité en terminale).
Mais évidemment, pallier ces absences ne se fait pas en cassant le statut mais en augmentant le nombre de postes aux concours (et en reconstituant dans le second degré le vivier de TZR), en revalorisant le métier pour le rendre plus attractif, etc.
Pas d'après France Inter ce matin, ou alors seulement "à la marge".
- BalthamosDoyen
Jenny a écrit:C'est quand même le plus pénalisant pour les élèves. Rater une heure parce que l'enseignant a une formation ou est convoqué pour être jury et ne pas avoir d'enseignant pendant 3 mois, ça n'a pas le même impact.Caspar a écrit:Laotzi a écrit:Ce rapport n'en a rien à faire des professeurs, des élèves et de l'école. Pointer le problème des absences de courte durée (qui sont pour beaucoup des demandes institutionnelles) qui n'entravent pas les progrès des élèves et dont le remplacement ne pourrait être que de la garderie n'est qu'une façon de pousser vers des réformes permettant de casser davantage le statut.
Le vrai problème, ce sont les absences de longue et moyenne durée. La situation est catastrophique, en tout cas dans mon académie. Les congés maternité ne sont plus remplacés, les départs en retraite en milieu d'année non plus, y compris dans des matières parfois non déficitaires pourtant. L'institution ne garantit plus la continuité du service public d'éducation pour ces absences qui pénalisent fortement les élèves (et entraînent des ruptures d'égalité en terminale).
Mais évidemment, pallier ces absences ne se fait pas en cassant le statut mais en augmentant le nombre de postes aux concours (et en reconstituant dans le second degré le vivier de TZR), en revalorisant le métier pour le rendre plus attractif, etc.
Pas d'après France Inter ce matin, ou alors seulement "à la marge".
Ce n'est qu'une question de proportion.
D'après le rapport (et france inter)
Pour les absences de longue durée, plus de 15 jours, le remplacement est assuré dans 96% des cas.
En revanche, les absences de courte durée, de moins de 15 jours, sont moins bien remplacées. Une solution de remplacement est trouvée dans seulement 20% des cas
https://www.franceinter.fr/societe/la-cour-des-comptes-pointe-la-mauvaise-gestion-des-absences-des-enseignants-dans-l-education-nationale
- JennyMédiateur
Le remplacement est assuré au bout de combien de temps pour les absences de longue durée ? Ce 96 % m'étonne...
- BalthamosDoyen
D'ailleurs on pourrait déjà questionner cette règle des 15 jours.
Pourquoi ne pas lancer un remplacement pour une absence de 7 jours ? D'autant plus que les absences de 15 jours peut commencer par des petites périodes renouvelées.
Puis pourquoi envisager des solutions internes? J'ai des absences de prévu (formation, dont une de deux jours). On pourrait positionner un TZR dessus, d'autant plus facilement qu'on le sait depuis septembre que je serais absent en avril.
Pourquoi ne pas lancer un remplacement pour une absence de 7 jours ? D'autant plus que les absences de 15 jours peut commencer par des petites périodes renouvelées.
Puis pourquoi envisager des solutions internes? J'ai des absences de prévu (formation, dont une de deux jours). On pourrait positionner un TZR dessus, d'autant plus facilement qu'on le sait depuis septembre que je serais absent en avril.
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- Spoiler:
- BalthamosDoyen
Jenny a écrit:Le remplacement est assuré au bout de combien de temps pour les absences de longue durée ? Ce 96 % m'étonne...
Peut être une illusion légale.
Un remplacement non remplacé de 7 jours + 7 jours, ca fait moins de 15 jours.
C'est rare une absence de 15 jours directement (et heureusement pour notre santé).
- TangledingGrand Maître
Evidemment cette règle coutumière des 15 jours n'a aucune base réglementaire, mais les collègues ont fini par croire qu'elle était gravée dans le B.O. C'est cocasse.
Les 96% de remplacements de moyenne et longue durée me font bien rire. La situation est catastrophique depuis la rentrée, comme je l'ai dit des élèves de mon collège n'ont pas eu espagnol durant deux mois. DEUX MOIS.
D'autres camarades ont fait part de situations aussi ahurissantes.
Cela prend cette année des proportions ahurissantes, et ce n'est pas une exception locale, c'est un état de fait structurel.
Alors nous enquiquiner avec les RCD c'est de l'obscénité pure. Surtout quand le MEN banalise des heures à la pelle pour son PLE à la noix, son autoévaluation, son projet anti-harcèlement aux contours totalement flous, sa formation laïcité imposée à la truelle.
Les 96% de remplacements de moyenne et longue durée me font bien rire. La situation est catastrophique depuis la rentrée, comme je l'ai dit des élèves de mon collège n'ont pas eu espagnol durant deux mois. DEUX MOIS.
D'autres camarades ont fait part de situations aussi ahurissantes.
Cela prend cette année des proportions ahurissantes, et ce n'est pas une exception locale, c'est un état de fait structurel.
Alors nous enquiquiner avec les RCD c'est de l'obscénité pure. Surtout quand le MEN banalise des heures à la pelle pour son PLE à la noix, son autoévaluation, son projet anti-harcèlement aux contours totalement flous, sa formation laïcité imposée à la truelle.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- StayinliveNiveau 3
Personnellement, tout cela est du bla-bla. On annonce que les absences des enseignants sont remplacées. Non! Celles-ci sont pourtant en partie programmées (congés maladie, formation...). De plus, j'ai été absente 2 mois suite à une chute. Je n'ai été remplacée qu'une heure sur 18 non pas parce que les enseignants ne voulaient pas me remplacer. C'est quand même du grand n'importe quoi!
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