postambule

Bonjour

Je suis en train d'étudier le texte du Postambule. Parfois le texte résiste à l'interprétation. Comment comprendriez-vous la phrase suivante : "mais ne pourrait-on pas apercevoir l’amélioration des choses dans la substance même des vices ? ". S'agit-il à votre avis pour Olympe de dire qu'on peut tout de même améliorer la suite de la femme à partir de sa condition au XVIIIè siècle, même si celle-ci n'est pas glorieuse ?

Merci d'avance

Bonjour,
Je me pose la même question que vous, ilfaitbeau. Avez-vous trouvé une explication convaincante ?
Je vous remercie.

ilfaitbeau a écrit:Bonjour

Je suis en train d'étudier le texte du Postambule. Parfois le texte résiste à l'interprétation. Comment comprendriez-vous la phrase suivante : "mais ne pourrait-on pas apercevoir l’amélioration des choses dans la substance même des vices ? ". S'agit-il à votre avis pour Olympe de dire qu'on peut tout de même améliorer la suite de la femme à partir de sa condition au XVIIIè siècle, même si celle-ci n'est pas glorieuse ?

Merci d'avance

Il me semble que tu devrais préciser ton titre.
Je ne sais pas ce que tu entends par "la suite de la femme". Pour ce qui est de la phrase de Gouges (Gouges, pas "Olympe" : je présume que tu n'appelles pas La Bruyère, "Jean", si ?), je pense qu'elle fait suite à ses propos sur la dégradation de la condition féminine suite à la Révolution : il ne serait plus possible d'acquérir fortune ou pouvoir par la séduction des privilégiés, d'être "méprisable et respectée". C'est donc indéniablement une manière de progrès, même s'il reste à devenir aussi respectée que respectable.

Merci pour la réponse. C'est en effet comme cela que je le comprends, mais je préférais avoir une confirmation.