- ProvenceEnchanteur
L’urgence serait peut-être de signer un contrat si tu veux être payée pour les heures que tu as faites.
- ProvenceEnchanteur
Tu devrais prendre conseil auprès d’un ou plusieurs syndicats pour la marche à suivre.
- ProflambdadaHabitué du forum
Tu sais, en tant que remplaçante avec premier poste, il est tout à fait normal que tu sois épuisée, je te comprends, aucun cours n'est prêt, tu fais de la route, tu veux bien faire... En plus, dans le privé, tu dois gagner peu (à moins que tu sois MA1 et non MA2, mais MA2 ça doit être 1300 net par mois). Je l'ai vécu, donc je compatis. Après, oui tu peux arrêter quand tu veux... Mais je te conseillerais de tenir encore un peu, allez jusqu'à la Toussaint, pour vraiment prendre une décision... D'abord car tu auras signé ton contrat, tu toucheras donc ce qui t'est dû (enfin même si avec retard, bienvenue dans l'éducation nationale) et surtout tu prendras un peu de recul pendant les vacances... Si ce métier te plait (ce que tu vis là, ce n'est pas la vraie vie d'un prof installé, c'est le début donc ta charge de travail est largement triplée), ça vaut peut être le coup d'attendre un peu. De plus, la DDEC risque de ne pas te reproposer quelque chose, si tu pars au bout de 2 semaines. Plein de courage !
- eolyenNiveau 8
Bonjour Emilie248,
Avec ce que tu dis, cela ne me semble pas étonnant que tu sois déjà épuisée, assurer les cours de 3 niveaux ainsi qu'en collège et avec la charge de PP, tout ça sans rien de prêt, ni aide, je trouve ça énorme pour commencer! Concernant les modalités pratiques si tu souhaites arrêter, je ne saurais te conseiller mais concernant tes cours, dans l'éventualité où tu continues (au moins quelque temps afin d'obtenir ton contrat), ne pourrais tu pas trouver un collègue qui puisse te dépanner/t'aider? Quelquesoit ta décision, accorde toi du repos (quitte à ne pas être entièrement satisfaite de tes cours je dirais) , et bon courage!
Avec ce que tu dis, cela ne me semble pas étonnant que tu sois déjà épuisée, assurer les cours de 3 niveaux ainsi qu'en collège et avec la charge de PP, tout ça sans rien de prêt, ni aide, je trouve ça énorme pour commencer! Concernant les modalités pratiques si tu souhaites arrêter, je ne saurais te conseiller mais concernant tes cours, dans l'éventualité où tu continues (au moins quelque temps afin d'obtenir ton contrat), ne pourrais tu pas trouver un collègue qui puisse te dépanner/t'aider? Quelquesoit ta décision, accorde toi du repos (quitte à ne pas être entièrement satisfaite de tes cours je dirais) , et bon courage!
- Clecle78Bon génie
Tu peux peut-être abandonner la charge de pp si c'est trop lourd. Quelqu'un d'autre peut s'en charger. Cela te dégagerait du temps pour les cours
- Nina68Niveau 9
Emilie248 a écrit:Merci pour vos réponses et pour votre soutien, ça fait du bien...! Honnêtement, je ne me vois pas du tout continuer, ma décision d’arrêter est prise et je souhaite la concrétiser le plus vite possible. Rien qu’à l’idée d’y retourner demain et de démarrer une nouvelle semaine à ce rythme effréné, j’ai la boule au ventre depuis ce matin.
Pour faire les choses correctement, j’aurais souhaité pouvoir m’entretenir d’abord avec le chef d’établissement pour l’informer en personne de ma décision de partir et ne pas le mettre totalement devant le fait accompli, mais il est très occupé et peu accessible (je travaille dans un grand ensemble scolaire). J’ai contacté son assistante dans l’espoir d’obtenir un rendez-vous avec lui prochainement, mais il ne sera pas disponible pour me recevoir avant la fin de la semaine prochaine et je ne me vois même pas faire encore deux semaines dans ces conditions, quand je vois à quel point les 3 premières m’ont déjà abîmée...
Ma question est donc la suivante : est-ce que je risque quelque chose si j’abandonne mon poste maintenant et que j’arrête donc tout simplement de venir travailler, dans la mesure où je n’ai pas encore signé de contrat?
Merci encore pour vos retours, et merci d’avance à ceux qui prendront la peine de répondre à mes interrogations.
Je dirais : va voir ton médecin. Si tu es épuisée, il va t'arrêter. Tu pourras alors envisager la suite à tête reposée. Il y a une procédure à respecter sans doute, si tu veux démissionner et il est dans ton intérêt de faire les choses dans les règles. Bon courage en tout cas !
- mgb35Érudit
Je te déconseille d'arrêter brusquement sans prévenir par respect pour ton travail, tes élèves et tes collègues.Emilie248 a écrit:Merci pour vos réponses et pour votre soutien, ça fait du bien...! Honnêtement, je ne me vois pas du tout continuer, ma décision d’arrêter est prise et je souhaite la concrétiser le plus vite possible. Rien qu’à l’idée d’y retourner demain et de démarrer une nouvelle semaine à ce rythme effréné, j’ai la boule au ventre depuis ce matin.
Pour faire les choses correctement, j’aurais souhaité pouvoir m’entretenir d’abord avec le chef d’établissement pour l’informer en personne de ma décision de partir et ne pas le mettre totalement devant le fait accompli, mais il est très occupé et peu accessible (je travaille dans un grand ensemble scolaire). J’ai contacté son assistante dans l’espoir d’obtenir un rendez-vous avec lui prochainement, mais il ne sera pas disponible pour me recevoir avant la fin de la semaine prochaine et je ne me vois même pas faire encore deux semaines dans ces conditions, quand je vois à quel point les 3 premières m’ont déjà abîmée...
Ma question est donc la suivante : est-ce que je risque quelque chose si j’abandonne mon poste maintenant et que j’arrête donc tout simplement de venir travailler, dans la mesure où je n’ai pas encore signé de contrat?
Merci encore pour vos retours, et merci d’avance à ceux qui prendront la peine de répondre à mes interrogations.
Si ta décision est prise, va voir demain matin le secrétariat du chef d'établissement et demande un rendez vous urgent en précisant au besoin que tu t'interroges sur le fait de continuer. Je peux te promettre que si ton chef est la tu seras reçu dans l'heure. N'hésite pas à demander à être accompagné par un collègue, non pas que ce soit risqué mais c'est réconfortant.
Et ne t'inquiète pas tu peux partir quand tu veux. Si tu le oeux, propose leur de finir la semaine pour que le chef te trouve un remplaçant.
- SophiathenaNiveau 5
Bonsoir
Je suis très triste de constater dans quel état vous vous trouvez après trois semaines de cours. Ne vous laissez pas envahir par un sentiment de culpabilité. Vous ne devez rien aux élèves, aux collègues et à l'administration. Je suis outrée de l' attitude de collègues se permettant d être méprisants . Je vous assure que ce n est pas vous qui êtes en faute mais ce sont vos conditions de travail et l environnement
hostile dans lequel vous évoluez qui constituent le problème.
Prenez soin de vous et gardez la tête haute.
Je suis très triste de constater dans quel état vous vous trouvez après trois semaines de cours. Ne vous laissez pas envahir par un sentiment de culpabilité. Vous ne devez rien aux élèves, aux collègues et à l'administration. Je suis outrée de l' attitude de collègues se permettant d être méprisants . Je vous assure que ce n est pas vous qui êtes en faute mais ce sont vos conditions de travail et l environnement
hostile dans lequel vous évoluez qui constituent le problème.
Prenez soin de vous et gardez la tête haute.
- Cléopatra2Guide spirituel
Le contrat doit être signé. Je crains que si tu pars vite tu ne sois pas payée pour les 3 semaines que tu viens de faire. Il faut que tu appelles un syndicat, n'importe lequel de l'enseignement privé.
- TailleventFidèle du forum
Ma première impulsion aurait aussi été de te pousser à continuer un peu, les premières semaines n'étant pas du tout représentatives de la charge de travail de l'année. Mais si ta décision est prise, je pense effectivement qu'il faut le faire de manière à assurer tes droits au maximum, ce qui impliquera peut-être un petit compromis avec ton envie d'arrêter au plus vite.
Il y a une chose que je ne suis pas certain d'avoir compris : est-ce que tu souhaites changer complètement de domaine ou rester dans l'enseignement ? Cela pourrait influencer également la manière dont ton départ sera organisé.
Il y a une chose que je ne suis pas certain d'avoir compris : est-ce que tu souhaites changer complètement de domaine ou rester dans l'enseignement ? Cela pourrait influencer également la manière dont ton départ sera organisé.
- tAoKHabitué du forum
"On t'annonce" ou "on te propose" ?Emilie248 a écrit:J’ai passé mon entretien d’embauche en juillet, on m’avait annoncé au départ que je ferai 7h, en première et en terminale. Mais les choses se sont compliquées fin août : une semaine avant la rentrée, on m’annonce que j’aurai en plus 9h à faire en collège
Si les 7 heures prévues initialement te convenaient, tu étais parfaitement en droit de refuser ces heures collège.
Même question, te l'a-t-on proposé ou imposé ?Emilie248 a écrit: et que j’aurai à assurer le rôle de PP pour l’une de mes classes.
Toutefois, à titre personnel, je trouve aberrant de proposer cette charge à un enseignant débutant.
Encore une aberration de la part de l'établissement.Emilie248 a écrit:Je suis censée être embauchée en CDD jusqu’à la fin de l’année, mais je n’ai toujours pas signé de contrat. J’ai cru comprendre qu’en tant que non-titulaire en CDD, il fallait envoyer une lettre de démission à son chef d’établissement et au rectorat et respecter un préavis de 8 jours, mais n’ayant pas encore signé de contrat, je ne sais pas s’il est nécessaire de respecter cette procédure ou si une autre procédure s’applique alors?
Je rejoins les commentaires ci-dessus. Si tu souhaites quitter définitivement l'enseignement, alors claque la porte sans préavis, et n'aies pas de scrupule.
Quant aux heures déjà effectuées, il y a moyen de les justifier, non ??? Vois avec un syndicat mais ne te laisse pas faire, il n'y a aucune raison de leur en faire cadeau.
C'est un signe fort que t'envoie ton corps, ne l'ignore pas.Emilie248 a écrit: Rien qu’à l’idée d’y retourner demain et de démarrer une nouvelle semaine à ce rythme effréné, j’ai la boule au ventre depuis ce matin.
La santé est plus importante que la travail. Quelle que soit la modalité (arrêt de travail, démission, ...), ne va pas au travail cette semaine, sinon tu vas te mettre en danger.
Alors là on atteint des sommets. Un chef d'établissement qui n'a pas le temps de te recevoir dans une telle situation, c'est un chef d'établissement malhonnête, qui tente la politique de l'autruche.Emilie248 a écrit: Pour faire les choses correctement, j’aurais souhaité pouvoir m’entretenir d’abord avec le chef d’établissement pour l’informer en personne de ma décision de partir et ne pas le mettre totalement devant le fait accompli, mais il est très occupé et peu accessible (je travaille dans un grand ensemble scolaire). J’ai contacté son assistante dans l’espoir d’obtenir un rendez-vous avec lui prochainement, mais il ne sera pas disponible pour me recevoir avant la fin de la semaine prochaine ...
Donc raison de plus pour n'avoir aucun scrupule.
- ChickenNiveau 5
Emilie248 a écrit:Oui c’est vrai que je ne suis pas très à l’aise à l’idée de partir du jour au lendemain en mettant tout le monde devant le fait accompli et du même coup dans l’embarras (même si l’idée est tentante). Il me semble effectivement plus respectueux de continuer à exercer mes fonctions le temps que l’établissement trouve quelqu’un pour me remplacer, même si cela me coûte...
Je redoute simplement la réaction de certains collègues, lors de cette semaine de battement où ma décision de partir aura été annoncée mais où je continuerai à venir... Certains profs, anciens dans l’établissement, ont déjà un comportement assez hostile et se montrent parfois méprisants envers les jeunes profs fraîchement arrivés, alors j’imagine déjà les attaques et les remarques désobligeantes que je vais avoir à affronter lorsque tout le monde sera au courant, et j’angoisse déjà à cette idée...
Bonsoir,
je trouve cela bien triste que des enseignants expérimentés se permettent ce genre d'attitude mais... tous ne sont pas ainsi, j'en suis sûre! Si votre décision est prise alors des conseils judicieux ont été donnés notamment celui de contacter un syndicat pour que les heures faites sont payées. Mais... la boule au ventre quand on démarre le métier... j'ai connu et de nombreux collègues aussi. Il faut bien sûr ne pas mettre sa santé en danger. Toutefois, avec un accompagnement (et des collègues bienveillants) cette manifestation de stress / mal être s'apprivoise et se gère. Si vous aimez le métier, pensez-y
- CzarNiveau 9
Bonsoir Emilie248,
J'enseigne dans le même type d'établissement où tu es actuellement (Établissement catholique sous contrat, plus de 100 profs, collège, lycée, supérieur, un machin où on se perd facilement dans les couloirs et les bâtiments )
Comme dit justement plus haut, le plus important c'est toi.
- Commence par voir un médecin discuter avec lui de ton état et de ce que tu vis. Si le médecin juge que tu dois être arrêté pour une durée quelconque, c'est que tu en as besoin et ce sera l'occasion de faire le point (et laissera à ton chef d'établissement le temps nécessaire pour trouver un créneau de libre pour te recevoir... une fois ton arrêt fini)
- Pour obtenir un rendez-vous rapidement avec le chef d'établissement, il faut voir si c'est de la mauvaise volonté de sa part où des difficultés causés par la rentrée (si c'est un chef d'établissement jeune qui vient de prendre ses fonctions et que tu as entendu qu'il y a des problèmes avec les parents, des classes qui ferment, les locaux... ce n'est pas la même chose qu'un chef d'établissement qui est là depuis 10 ans avec une équipe de direction au top et que globalement tout tourne bien....)
Pour le voir rapidement je te propose deux méthodes:
-->Arriver le matin voir sa secrétaire une demi-heure avant le début de tes cours dire que tu n'est pas bien, que tu souhaite le rencontrer en urgence, que tu es prête à attendre et que tu as tout ton temps car tu ne souhaites pas voir le moindre élève tant que tu ne l'as pas eu un rendez-vous avec lui.
-->Envoyer un courriel à destination de la secrétaire de direction (ou toute autre personne chargée des absences dans ton établissement), copie au chef d'établissement en disant que tu souhaites le voir car tu n'es pas bien, et que suite à ce mal être, tu es en incapacité de prendre une classe.
-N’hésite pas à contacter un responsable syndical ou collègue sympa qui a commencé contractuel comme toi et qui a plusieurs années d'ancienneté pour voir comment faire.
Quelques conseils "de survie" que je pourrais te conseiller vu le poste dont tu as la charge
1) Utiliser en grande partie les exemples/ études de cas / exercices présents dans le manuels élève. ("Votre manuel est bien fait chers élèves, on va beaucoup l'utiliser cette année")
2) S'inspirer grandement de la trace écrite présente dans d'autres manuels.
3) Réutiliser des ressources que des collègues / académies de toute la France mettent en ligne ("Vous voyez chers élèves que ce cours à été fait par Mme Truc de l'établissement bidule, et que Mme Truc ce n'est pas moi. Comme il est bien meilleur que votre manuel, et pleins de bonnes idées nous allons utiliser ces supports pour notre chapitre")
4) Regarder les taux de réussite du bac, dans ton académie et respirer un grand coup: ils vont l'avoir.
5) On est jamais bon la première fois que l'on fait un cours ou la première fois que l'on a un nouveau niveau, jamais. (en tout cas moi, même si après quelques années d'enseignements c'est de moins en moins pire).
6) Les collègues titulaires n'ont pas voulu avoir les classes de Première et Tle niveau compliqués (ce qui peut se comprendre compte tenu de leur situation personnelle ou x autres raisons tout aussi légitimes les unes que les autres), c'est donc "normal" d’être en difficulté. Ton chef d'établissement doit se douter que ces niveaux ne sont pas des plus faciles.
J'enseigne dans le même type d'établissement où tu es actuellement (Établissement catholique sous contrat, plus de 100 profs, collège, lycée, supérieur, un machin où on se perd facilement dans les couloirs et les bâtiments )
Comme dit justement plus haut, le plus important c'est toi.
- Commence par voir un médecin discuter avec lui de ton état et de ce que tu vis. Si le médecin juge que tu dois être arrêté pour une durée quelconque, c'est que tu en as besoin et ce sera l'occasion de faire le point (et laissera à ton chef d'établissement le temps nécessaire pour trouver un créneau de libre pour te recevoir... une fois ton arrêt fini)
- Pour obtenir un rendez-vous rapidement avec le chef d'établissement, il faut voir si c'est de la mauvaise volonté de sa part où des difficultés causés par la rentrée (si c'est un chef d'établissement jeune qui vient de prendre ses fonctions et que tu as entendu qu'il y a des problèmes avec les parents, des classes qui ferment, les locaux... ce n'est pas la même chose qu'un chef d'établissement qui est là depuis 10 ans avec une équipe de direction au top et que globalement tout tourne bien....)
Pour le voir rapidement je te propose deux méthodes:
-->Arriver le matin voir sa secrétaire une demi-heure avant le début de tes cours dire que tu n'est pas bien, que tu souhaite le rencontrer en urgence, que tu es prête à attendre et que tu as tout ton temps car tu ne souhaites pas voir le moindre élève tant que tu ne l'as pas eu un rendez-vous avec lui.
-->Envoyer un courriel à destination de la secrétaire de direction (ou toute autre personne chargée des absences dans ton établissement), copie au chef d'établissement en disant que tu souhaites le voir car tu n'es pas bien, et que suite à ce mal être, tu es en incapacité de prendre une classe.
-N’hésite pas à contacter un responsable syndical ou collègue sympa qui a commencé contractuel comme toi et qui a plusieurs années d'ancienneté pour voir comment faire.
Quelques conseils "de survie" que je pourrais te conseiller vu le poste dont tu as la charge
1) Utiliser en grande partie les exemples/ études de cas / exercices présents dans le manuels élève. ("Votre manuel est bien fait chers élèves, on va beaucoup l'utiliser cette année")
2) S'inspirer grandement de la trace écrite présente dans d'autres manuels.
3) Réutiliser des ressources que des collègues / académies de toute la France mettent en ligne ("Vous voyez chers élèves que ce cours à été fait par Mme Truc de l'établissement bidule, et que Mme Truc ce n'est pas moi. Comme il est bien meilleur que votre manuel, et pleins de bonnes idées nous allons utiliser ces supports pour notre chapitre")
4) Regarder les taux de réussite du bac, dans ton académie et respirer un grand coup: ils vont l'avoir.
5) On est jamais bon la première fois que l'on fait un cours ou la première fois que l'on a un nouveau niveau, jamais. (en tout cas moi, même si après quelques années d'enseignements c'est de moins en moins pire).
6) Les collègues titulaires n'ont pas voulu avoir les classes de Première et Tle niveau compliqués (ce qui peut se comprendre compte tenu de leur situation personnelle ou x autres raisons tout aussi légitimes les unes que les autres), c'est donc "normal" d’être en difficulté. Ton chef d'établissement doit se douter que ces niveaux ne sont pas des plus faciles.
- dryadeNiveau 8
Bonsoir Emilie,
Je pense que tu dois obtenir ton contrat, car même si tu ne le signes pas, tu en auras une copie pour preuve.
Je ne sais pas si tu as une période d'essai, mais ce serait logique, et dans ce cas tu as un mois pour renoncer librement (ou te faire licencier librement). Ne serait-ce pas pour cette raison que ton chef refuse de te remettre ce contrat maintenant ? Il attend que le délai soit passé ?
Une fois que tu as la preuve (même par mail), que tu as fait tes heures liées à ton contrat, tu leur dis adieu quand et comme tu veux.
C'est incompréhensible que des collègues ne partagent pas leurs préparations avec les nouveaux qui ont des classes à examen, j'en reste sans voix et j'espère que tu peux trouver facilement des ressources en ligne.
Quelle misère, franchement ! Et la réalité est que nous avons tous vécu et vivons encore ce type de situation, et en nous culpabilisant, de surcroît... C'est une réalité difficile à affronter quand on découvre le métier, et ce que 16 heures de cours veulent dire.
Je te souhaite du courage, de penser avant tout à ta survie, qui peut très très bien se faire sans l'É-N.
Je pense que tu dois obtenir ton contrat, car même si tu ne le signes pas, tu en auras une copie pour preuve.
Je ne sais pas si tu as une période d'essai, mais ce serait logique, et dans ce cas tu as un mois pour renoncer librement (ou te faire licencier librement). Ne serait-ce pas pour cette raison que ton chef refuse de te remettre ce contrat maintenant ? Il attend que le délai soit passé ?
Une fois que tu as la preuve (même par mail), que tu as fait tes heures liées à ton contrat, tu leur dis adieu quand et comme tu veux.
C'est incompréhensible que des collègues ne partagent pas leurs préparations avec les nouveaux qui ont des classes à examen, j'en reste sans voix et j'espère que tu peux trouver facilement des ressources en ligne.
Quelle misère, franchement ! Et la réalité est que nous avons tous vécu et vivons encore ce type de situation, et en nous culpabilisant, de surcroît... C'est une réalité difficile à affronter quand on découvre le métier, et ce que 16 heures de cours veulent dire.
Je te souhaite du courage, de penser avant tout à ta survie, qui peut très très bien se faire sans l'É-N.
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