- Pontorson50Fidèle du forum
Enaeco a écrit:Flo44 a écrit:Je suis totalement de cet avis. La majorité des parents n'arrive pas à gérer l'école à distance. C'est pourquoi il aurait fallu fermer (complètement) 2-3 semaines en janvier ou février, assorti d' un vrai confinement. Puis reprise des cours, et réouverture progressive du reste une fois le seuil de 5000 cas-jour franchi. Ça aurait fait bien moins d'emmerdements pour tout le monde.henriette a écrit:Je crois aussi qu'il y a une différence entre avoir les enfants à la maison parce que l'école est fermée, et avoir les enfants à la maison en école à distance qu'il faut donc superviser pour qu'ils travaillent, apprennent et ne décrochent pas.
Beaucoup de parents ne se sentent pas capables de gérer cela, pour x ou y raisons, et de ce fait souhaitent le retour de leur enfant à l'école, non pour qu'il soit juste "gardé" mais pour être, eux, déchargés de l'encadrement de l'enseignement, ce qui n'est pas illégitime comme demande il me semble.
De toute manière, avec l'école à distance, ces semaines sont perdues pour beaucoup d'élèves (pour la majorité des miens, c'est sûr)
C'est pas avec 2-3 semaines qu'on serait suffisamment redescendu
En les jouxtant aux congés de février, si, d'autant qu'on aurait eu à redescendre de moins haut, et c'est cela le problème maintenant.
- Pontorson50Fidèle du forum
Cleroli a écrit:Tu fais appel à la raison, ce n'est pas ce qui dicte les décisions.Pontorson50 a écrit:Le débat s'exacerbe peut-être aussi parce que trop théorique, il n'a jamais été question de fermer les écoles durablement, et à entendre bien des pédiatres, l'enjeu aurait été la fermeture des écoles sur des mois, ce qu'il n'a jamais été question de faire. En revanche, les rouvrir trop tôt, et après que tout le monde convient qu'on s'y est pris trop tard par rapport à nos voisins pour les fermer un temps en février et non en avril, c'est quand même un problème, pas seulement pour les collègues non vaccinés, mais surtout vis-à-vis de l'hôpital : la baisse de la pandémie est inéluctable, notamment au printemps/été, parce que la vaccination finit peu à peu par avoir un impact.
Mais l'enjeu est la vitesse du retour à la normale à l'hôpital : les soignants sont usés à la corde, et rouvrir les écoles et la vie quotidienne normale trop vite aura sur eux et sur leurs malades un gros impact, parfois vital, et pas seulement le covid : les opérations reportées ne peuvent pas toutes être anodines avec 6 000 cas aux urgences. Ni certains examens invasifs.
Dans la mesure où là on est vraiment dans la dernière ligne droite, il m'aurait semblé légitime de reporter la réouverture scolaire après l'Ascension, le temps de vacciner sérieusement chez nous, et de laisser la pente décliner suffisamment à l'hôpital pour soulager nos collègues que sont les fonctionnaires hospitaliers ainsi que leurs malades que nous pouvons être à tout instant. Ce n'est pas là une alternative globale entre pas d'école ou école.
La crainte de se trouver patient dans un hôpital surtendu trop longtemps est à la fois rationnelle et émotionnelle, non?
- Flo44Érudit
Pontorson50 a écrit:
C'est pas avec 2-3 semaines qu'on serait suffisamment redescendu
En les jouxtant aux congés de février, si, d'autant qu'on aurait eu à redescendre de moins haut, et c'est cela le problème maintenant. [/quote]
Exactement. Si on divise par 2 le nombre de malades chaque semaine ( avec le confinement), à partir de février il aurait fallu 2-3 semaines pour être en-dessous de 5000 par jour, mais à partir de maintenant il faudrait au minimum 4 semaines.
- DanskaProphète
kensington a écrit:Danska a écrit:kensington a écrit:
Bien sûr, et les enseignants forment un groupe particulièrement atypique parmi l'ensemble des parents.
Je ne te suis pas : en quoi les enseignants feraient des parents plus atypiques que les coiffeurs, les médecins ou n'importe quel autre corps de métier ? Ils sont sans doute un peu plus convaincus que la moyenne de l'importance de la scolarité, mais à part ça... ?
C'est déjà beaucoup, non? Ils sont aussi beaucoup plus attentifs à cette scolarité et plus disponibles pour l'accompagner. Ce qui se traduit par des performances scolaires plus élevées des enfants d'enseignants. Tout cela peut en effet laisser penser qu'ils ne prennent pas l'école pour une simple garderie.
Certes, mais que les enseignants ne prennent pas l'école pour une garderie ne signifie pas automatiquement que pour tous les autres parents c'est le cas... J'imagine que tous les parents non enseignants ne font pas des enfants uniquement pour le plaisir de s'en débarrasser le plus possible, je l'espère en tout cas, sinon c'est horriblement triste pour ces enfants.
Et puis, être favorable à la réouverture des écoles ne signifie pas grand-chose : il y a une grosse différence entre "réouverture inconditionnelle" et "réouverture avec demi-jauge partout, enseignants vaccinés et vrai protocole sanitaire" notamment.
- MalavitaÉrudit
Cicyle a écrit:Non mais là, concrètement, cette fois ci, il y a eu 1 semaine d'école à distance (2 pour les plus grands). C'est pas le bout du monde non plus. Et en vrai de vrai, je pense qu'il n'y a rien eu pour beaucoup. Je n'ai eu aucun retour de ma classe principale. Je verrai à la rentrée, mais j'ai de gros doutes…Flo44 a écrit:Je suis totalement de cet avis. La majorité des parents n'arrive pas à gérer l'école à distance. C'est pourquoi il aurait fallu fermer (complètement) 2-3 semaines en janvier ou février, assorti d' un vrai confinement. Puis reprise des cours, et réouverture progressive du reste une fois le seuil de 5000 cas-jour franchi. Ça aurait fait bien moins d'emmerdements pour tout le monde.henriette a écrit:Je crois aussi qu'il y a une différence entre avoir les enfants à la maison parce que l'école est fermée, et avoir les enfants à la maison en école à distance qu'il faut donc superviser pour qu'ils travaillent, apprennent et ne décrochent pas.
Beaucoup de parents ne se sentent pas capables de gérer cela, pour x ou y raisons, et de ce fait souhaitent le retour de leur enfant à l'école, non pour qu'il soit juste "gardé" mais pour être, eux, déchargés de l'encadrement de l'enseignement, ce qui n'est pas illégitime comme demande il me semble.
De toute manière, avec l'école à distance, ces semaines sont perdues pour beaucoup d'élèves (pour la majorité des miens, c'est sûr)
La vidéo de Blanquer, c'est aujourd'hui ?? Non mais sérieusement ? Il est où le protocole pour lundi ? Et les capteurs de CO2, ils sont livrés ? Et le personnel pour assurer les demi-groupes en primaire, il est où ? Pauvre type… Vraiment, je n'ai que mépris pour ces gens là.
En fait, ce n'était même que 3 jours avec le lundi férié ! D'ailleurs, en calculant en jours, finalement, cela fait beaucoup moins, en réalité !
- Pontorson50Fidèle du forum
Flo44 a écrit:J'ai commencé à voir des soupçons sur les aérosols en février 2020. Et des certitudes, dans le courant de l'été, il me semble. En tout cas à la rentrée, j'étais déjà persuadée et je connaissais déjà plusieurs études qui en parlaient...chmarmottine a écrit:Lors maintenant, on vient nous expliquer qu'il y a plus de contaminations par l'air que par les gouttelettes ... on fait quoi dans nos classes et dans les cantines. Cela fait combien de temps que les spécialistes alertent sur les aérosols ?
https://twitter.com/i/status/1384885738446151683
Mais Blachier est bien trop sûr de lui : sur les terrasses, la dilution n'est pas forcément rapide, on parle fort et beaucoup, on peut postillonner dans l'assiette du voisin d'en face, et on reste longtemps (cas notamment des repas du soir). C'est donc tout relatif... Ce personnage est méprisable : il n'est pas médecin, il n'est pas expert non plus en mécanique des fluides ni en aérosols, ni en santé publique, et il se la ramène sur tout. Pour rappel c'est lui qui avait "oublié" qu'en automne on est moins dehors. Alors que les autres épidémiologistes (Costaglia, Hill et d'autres à l'étranger) avaient bien prévu une hausse des cas à l'automne.Certainement pas avant le milieu de l'été. Nous ne sommes qu'à 20% de personnes ayant reçu une injection, c'est bien trop peu pour ralentir la circulation, surtout que quasiment toutes sont retraitées... En Israël ça a commencé à se faire sentir vers 50% de personnes vaccinées (et à ce moment-là les hôpitaux étaient pleins de jeunes gens)Pontorson50 a écrit: la baisse de la pandémie est inéluctable, notamment au printemps/été, parce que la vaccination finit peu à peu par avoir un impact.
Aucun des infectiologues que j'entends ne remet en cause la baisse courant mai, leur argument pour ne pas rouvrir trop vite est d'assurer une descente plus rapide. Après on ne va pas sortir de la pandémie complètement avant la fin de l'été au mieux, ça d'accord. Mais sur le court terme, rouvrir ou non ce lundi ou le 3 mai, nous ne semblons pas raisonnables aux yeux de la plupart des infectiologues, Blachier excepté. Qui n'a jamais nié que rouvrir plus tard accélérerait la baisse, il se contente de faire semblant de croire que ses collègues affirment que rouvrir les écoles fera tout flamber.
L'aura de Blachier est fondée sur le fait d'avoir eu raison contre tous sur deux points en janvier : les Anglais avaient au moins autant été victimes du laxisme dans les pubs que de la montée de leur variant, et la contagiosité et la létalité de ce variant ont été surestimées en partie. Mais son discours actuel est plus sur la limite supposée nécessaire du pouvoir médical que sur l'infection elle-même.
- User20401Vénérable
Non, mais autour de moi (qui, je le répète, n'a pas de valeur statistique), quand ils les ont, beaucoup réalisent l'ampleur du truc. Et oui, sont bien contents de ne pas les avoir à temps plein. Après, je le redis, il y a toutes les raisons (et souvent imbriquées, d'ailleurs), dans la volonté de réouverture.Danska a écrit:kensington a écrit:Danska a écrit:kensington a écrit:
Bien sûr, et les enseignants forment un groupe particulièrement atypique parmi l'ensemble des parents.
Je ne te suis pas : en quoi les enseignants feraient des parents plus atypiques que les coiffeurs, les médecins ou n'importe quel autre corps de métier ? Ils sont sans doute un peu plus convaincus que la moyenne de l'importance de la scolarité, mais à part ça... ?
C'est déjà beaucoup, non? Ils sont aussi beaucoup plus attentifs à cette scolarité et plus disponibles pour l'accompagner. Ce qui se traduit par des performances scolaires plus élevées des enfants d'enseignants. Tout cela peut en effet laisser penser qu'ils ne prennent pas l'école pour une simple garderie.
Certes, mais que les enseignants ne prennent pas l'école pour une garderie ne signifie pas automatiquement que pour tous les autres parents c'est le cas... J'imagine que tous les parents non enseignants ne font pas des enfants uniquement pour le plaisir de s'en débarrasser le plus possible, je l'espère en tout cas, sinon c'est horriblement triste pour ces enfants.
Et puis, être favorable à la réouverture des écoles ne signifie pas grand-chose : il y a une grosse différence entre "réouverture inconditionnelle" et "réouverture avec demi-jauge partout, enseignants vaccinés et vrai protocole sanitaire" notamment.
- roxanneOracle
Moi la première. Je trouve que la place d'un enfant c'est à l'école avec d'autres adultes, des enfants et qu'être H24 avec ses parents n'est pas sain, quant à moi, je suis contente aussi d'avoir un autre horizon.
- zigmag17Guide spirituel
Il est très fort en jeux. Avec nous, c'est à la roulette russe qu'il joue.Isis39 a écrit:Il y en a un qui travaille dur pour la sécurité sanitaire des écoles.Jean-Michel Blanquer en visite dans un établissement scolaire à Livry-Gargan, le ministre joue à la marelle pic.twitter.com/d1HjMqH4F0
— CNEWS (@CNEWS) April 21, 2021
Je n'en peux plus d'écoeurement devant ces fadaises dignes du Gorafi, qui feront (font?) rire de nous à juste titre tant c'est hors de propos, surréaliste, ridicule et triste à pleurer en même temps.
- Pontorson50Fidèle du forum
roxanne a écrit:Moi la première. Je trouve que la place d'un enfant c'est à l'école avec d'autres adultes, des enfants et qu'être H24 avec ses parents n'est pas sain, quant à moi, je suis contente aussi d'avoir un autre horizon.
Sauf que à part quelques très rares familles rentières, un enfant qui n'est pas à l'école de nos jours n'est jamais H24 avec ses parents (ce qui peut d'ailleurs poser un autre problème j'en suis conscient). Et de nos jours, nombre de parents estiment leur rôle éducatif perturbé par le fait de ne pas vivre assez longtemps avec leurs enfants (car les 16 semaines de congés, là encore, ce n'est qu'exceptionnellement 16 semaines avec papa/maman).
Se télescopent ainsi deux arguments (je ne dis pas que vous avez employé les deux) : les écoles ne peuvent pas fermer parce que les parents ne sont pas là, ou elles ne peuvent pas fermer parce que les parents sont trop là.
- User20401Vénérable
Qui a dit le contraire ? Ceux qui pensent le contraire ont leurs enfants en IEF.roxanne a écrit:Moi la première. Je trouve que la place d'un enfant c'est à l'école avec d'autres adultes, des enfants et qu'être H24 avec ses parents n'est pas sain, quant à moi, je suis contente aussi d'avoir un autre horizon.
Mais peut-être pas à n'importe quel prix, pour la société.
Je fais partie de ceux qui pensent qu'il faut rouvrir avec des demi-groupes à tous les niveaux. Pour assurer réellement la sécurité sanitaire. La semaine où la moitié de ma classe a été cas-contact, j'ai très bien vu la différence : là, je pouvais assurer une réelle sécurité sanitaire. Bien entendu, ce n'est jamais à 100%, mais pour le coup, le risque qu'on prenait, mes élèves et moi, "valait la peine" pour le bénéfice retiré (pédagogique, social, etc.). En classe entière, le risque est démesuré. On ne peut rien assurer en classe entière, en terme de sécurité sanitaire. Et autour de moi, tous mes collègues, quel que soit leur point de vue par ailleurs, disent la même chose.
Mais ça s'organise. On ne peut pas jouer à la marelle et organiser ça. Et je crois que c'est ça qui nous met hors de nous et entraine parfois des propos un tantinet virulents ou réducteurs. En tous cas, en ce qui me concerne, c'est ça.
- DanskaProphète
Cicyle a écrit:Non, mais autour de moi (qui, je le répète, n'a pas de valeur statistique), quand ils les ont, beaucoup réalisent l'ampleur du truc. Et oui, sont bien contents de ne pas les avoir à temps plein. Après, je le redis, il y a toutes les raisons (et souvent imbriquées, d'ailleurs), dans la volonté de réouverture.Danska a écrit:kensington a écrit:Danska a écrit:
Je ne te suis pas : en quoi les enseignants feraient des parents plus atypiques que les coiffeurs, les médecins ou n'importe quel autre corps de métier ? Ils sont sans doute un peu plus convaincus que la moyenne de l'importance de la scolarité, mais à part ça... ?
C'est déjà beaucoup, non? Ils sont aussi beaucoup plus attentifs à cette scolarité et plus disponibles pour l'accompagner. Ce qui se traduit par des performances scolaires plus élevées des enfants d'enseignants. Tout cela peut en effet laisser penser qu'ils ne prennent pas l'école pour une simple garderie.
Certes, mais que les enseignants ne prennent pas l'école pour une garderie ne signifie pas automatiquement que pour tous les autres parents c'est le cas... J'imagine que tous les parents non enseignants ne font pas des enfants uniquement pour le plaisir de s'en débarrasser le plus possible, je l'espère en tout cas, sinon c'est horriblement triste pour ces enfants.
Et puis, être favorable à la réouverture des écoles ne signifie pas grand-chose : il y a une grosse différence entre "réouverture inconditionnelle" et "réouverture avec demi-jauge partout, enseignants vaccinés et vrai protocole sanitaire" notamment.
Mais je suis bien d'accord, et bien sûr qu'il y a des parents qui ne veulent qu'une chose, c'est renvoyer leurs enfants à l'école pour être tranquilles (ma cité scolaire comporte un collège REP, je vois bien comment se comportent certains parents - enfin, quand on arrive à les voir).
Ce que je trouve fatigant, c'est le discours sans nuance "les parents - tous sans exception - prennent l'école pour une garderie épicétou" (pas le tien, donc, je précise au cas où). Comme si les choses étaient forcément simples et identiques pour tout le monde... En fait c'est l'exact envers du discours gouvernemental qui à l'inverse n'assume pas du tout cette dimension de garderie, et que je suis la première à trouver exaspérant et dégoulinant d'hypocrisie - dommage qu'on se retrouve à tenir le même genre de propos réducteurs mais dans le sens opposé.
- sebiNiveau 1
Et les salaires on va le faire au CHIFOUMI ?
- nonorenoNiveau 9
Retour d'un protocole assez strict :
1 test par élève par semaine en lycée et collège.
Source : BFM en ce moment.
1 test par élève par semaine en lycée et collège.
Source : BFM en ce moment.
- CathEnchanteur
"retour" ?
Mais il n'y a jamais eu 1 test/élève/semaine.
Mais il n'y a jamais eu 1 test/élève/semaine.
- Madame_ProfEsprit sacré
1 test par élève par semaine, j'attends de voir !!!
Et de savoir qui va leur faire faire aussi...
Mais, ce serait bien.
Et de savoir qui va leur faire faire aussi...
Mais, ce serait bien.
_________________
2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- NaooFidèle du forum
Si c'est sur la base du volontariat / de l'accord des parents, ils ne vont pas tester grand monde.
- DanskaProphète
Cath a écrit:"retour" ?
Mais il n'y a jamais eu 1 test/élève/semaine.
Non, mais le terme "retour" est un bel aveu du fait que le protocole a été allégé avant la fermeture des écoles... :diable:
(Ok, il sous-entend aussi qu'il y a eu un jour un protocole strict, là je cherche encore où, quand et comment. )
- nonorenoNiveau 9
Cath a écrit:"retour" ?
Mais il n'y a jamais eu 1 test/élève/semaine.
C'est ce qui serait prévu : 1 autotest par semaine et par élève en collège et lycée.
Évidemment, quand je dis "retour", c'est le fait que la classe ferme dès le premier cas...
- InvitéInvité
Si la règle "classe fermée dès le premier cas" est bel et bien maintenue, beaucoup vont fermer à peine ouvertes...
- ProtonExpert
Si j'ai bien compris on organisera une marelle dans la cour pour faire passer le test aux élèves ?
- nonorenoNiveau 9
On aura la confirmation demain soir...
- mistinguetteFidèle du forum
par vengeance j aimerais qu'on devienne cas contact...fallait nous vacciner !
_________________
.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- roxanneOracle
Autant dire que si c'et vraiment appliqué, je ne vois pas comment on peut maintenir des épreuves de bac..
- ProtonExpert
Classe fermée au 1er cas, usine à gaz en perspective ... Impossible d'avoir une progression / évaluation dans ces conditions ...
Plutôt que le grand oral que Fortnite
roxanne a écrit:Autant dire que si c'et vraiment appliqué, je ne vois pas comment on peut maintenir des épreuves de bac..
Plutôt que le grand oral que Fortnite
- TangledingGrand Maître
Malavita a écrit:Cicyle a écrit:Non mais là, concrètement, cette fois ci, il y a eu 1 semaine d'école à distance (2 pour les plus grands). C'est pas le bout du monde non plus. Et en vrai de vrai, je pense qu'il n'y a rien eu pour beaucoup. Je n'ai eu aucun retour de ma classe principale. Je verrai à la rentrée, mais j'ai de gros doutes…Flo44 a écrit:Je suis totalement de cet avis. La majorité des parents n'arrive pas à gérer l'école à distance. C'est pourquoi il aurait fallu fermer (complètement) 2-3 semaines en janvier ou février, assorti d' un vrai confinement. Puis reprise des cours, et réouverture progressive du reste une fois le seuil de 5000 cas-jour franchi. Ça aurait fait bien moins d'emmerdements pour tout le monde.henriette a écrit:Je crois aussi qu'il y a une différence entre avoir les enfants à la maison parce que l'école est fermée, et avoir les enfants à la maison en école à distance qu'il faut donc superviser pour qu'ils travaillent, apprennent et ne décrochent pas.
Beaucoup de parents ne se sentent pas capables de gérer cela, pour x ou y raisons, et de ce fait souhaitent le retour de leur enfant à l'école, non pour qu'il soit juste "gardé" mais pour être, eux, déchargés de l'encadrement de l'enseignement, ce qui n'est pas illégitime comme demande il me semble.
De toute manière, avec l'école à distance, ces semaines sont perdues pour beaucoup d'élèves (pour la majorité des miens, c'est sûr)
La vidéo de Blanquer, c'est aujourd'hui ?? Non mais sérieusement ? Il est où le protocole pour lundi ? Et les capteurs de CO2, ils sont livrés ? Et le personnel pour assurer les demi-groupes en primaire, il est où ? Pauvre type… Vraiment, je n'ai que mépris pour ces gens là.
En fait, ce n'était même que 3 jours avec le lundi férié ! D'ailleurs, en calculant en jours, finalement, cela fait beaucoup moins, en réalité !
Je n'ai jamais compris ce délire, les parents n'ont rien de plus à faire dans le cadre de l'école à distance que dans le cadre de l'école tout court : à savoir s'assurer que leur enfant dispose des conditions matérielles d'apprentissage/d'étude, l'aider à planifier son travail, s'assurer qu'il l'a fait (et non que le travail est juste, ça c'est notre boulot).
Au nom de quelle aberration les parents dans le cadre de l'école à distance devraient-ils devenir professeurs (de toutes les disciplines) ? C'est nous qui sommes professeurs et c'est à nous de vérifier que les apprentissages sont faits et de permettre aux enfants d'apprendre, en classe ou à distance.
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"Never complain, just fight."
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