Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale

Une passante a écrit:Ce que j'ai du mal à comprendre c'est qu'aucun bilan n'a été fait du premier confinement, et un autre confinement pourrait être bien différent.
L'an dernier, nous avons tous été pris par surprise, rien n'était prêt (malgré la communication ministérielle), et je crois qu'une des erreurs commises a été de nous obliger à ne faire que des révisions, sans aucune évaluation. Nous avons ainsi perdu beaucoup d'élèves (et même les élèves sérieux n'ont pas retenu grand chose, du fait de cette absence d'évaluations quand nous osions voir de nouvelles notions).
Un confinement bien organisé, avec continuité des cours (adaptés bien entendu), un meilleur suivi des élèves pour éviter les décrochages, serait moins préjudiciable à la scolarité des élèves.
Mais cela signifierait être capable de faire un vrai bilan, pour faire mieux...

EdithW a écrit:

Une passante a écrit:Ce que j'ai du mal à comprendre c'est qu'aucun bilan n'a été fait du premier confinement, et un autre confinement pourrait être bien différent.
L'an dernier, nous avons tous été pris par surprise, rien n'était prêt (malgré la communication ministérielle), et je crois qu'une des erreurs commises a été de nous obliger à ne faire que des révisions, sans aucune évaluation. Nous avons ainsi perdu beaucoup d'élèves (et même les élèves sérieux n'ont pas retenu grand chose, du fait de cette absence d'évaluations quand nous osions voir de nouvelles notions).
Un confinement bien organisé, avec continuité des cours (adaptés bien entendu), un meilleur suivi des élèves pour éviter les décrochages, serait moins préjudiciable à la scolarité des élèves.
Mais cela signifierait être capable de faire un vrai bilan, pour faire mieux...

Donc admettre qu'on s'est trompé ou qu'on n'a pas fait exactement ce qu'il fallait?
On a l'impression d'avoir des dirigeants comme les élèves qui soutiennent "c'est pas moi m'sieur" alors qu'on les a pris sur le fait.  problème d'immaturité peut-être (et d'egocentrisme)? C'est déjà insupportable chez des gamins de 14 ans alors chez des adultes censés être des "élites"

henriette a écrit:Hallucinant. Il s'est complètement ridiculisé en postant un truc pareil. Personne ne le conseille sur sa communication ?

Iphigénie a écrit:Vous l’avez sûrement vu mais c’est jouissif malgré la rage...
 
https://youtu.be/K93GG8JEELk

Ajonc35 a écrit:Si on écoute les infos, la demande de fermeture vient des enseignants parfois des parents, surtout des enseignants. 
( y a pas, je casse ma radio ou ma tv)

Enaeco a écrit:

Ajonc35 a écrit:Si on écoute les infos, la demande de fermeture vient des enseignants parfois des parents, surtout des enseignants. 
( y a pas, je casse ma radio ou ma tv)

Et si c'était le cas ?

Enaeco a écrit:

Ajonc35 a écrit:Si on écoute les infos, la demande de fermeture vient des enseignants parfois des parents, surtout des enseignants. 
( y a pas, je casse ma radio ou ma tv)

Et si c'était le cas ?

Thalia de G a écrit:

Enaeco a écrit:

Ajonc35 a écrit:Si on écoute les infos, la demande de fermeture vient des enseignants parfois des parents, surtout des enseignants. 
( y a pas, je casse ma radio ou ma tv)

Et si c'était le cas ?

C'est sans doute le cas et cela me paraît légitime de demander ces fermetures, surtout en zones confinées mais mais pas que. 
Après je ne sais pas comment tout cela est présenté aux infos.

Edit : ajonc a répondu avant moi, je cherchais une périphrase pour désigner les zones confinées, puisqu'on ne cesse de nous répéter que le confinement n'existe pas. Aire de freinage ?

AmyR a écrit:

Thalia de G a écrit:

Enaeco a écrit:

Ajonc35 a écrit:Si on écoute les infos, la demande de fermeture vient des enseignants parfois des parents, surtout des enseignants. 
( y a pas, je casse ma radio ou ma tv)

Et si c'était le cas ?

C'est sans doute le cas et cela me paraît légitime de demander ces fermetures, surtout en zones confinées mais mais pas que. 
Après je ne sais pas comment tout cela est présenté aux infos.

Edit : ajonc a répondu avant moi, je cherchais une périphrase pour désigner les zones confinées, puisqu'on ne cesse de nous répéter que le confinement n'existe pas. Aire de freinage ?

"Départements concernées par des mesures renforcées", "départements sous haute surveillance" ?
Je trouve "aire de freinage" pire que "zones confinées".

Swan a écrit:Usul est un youtubeur politique connu qui fait une chronique vidéo hebdomadaire pour médiapart. Très orienté vulgarisation en sociologie (lutte des classes/bourgeoisie etc.)

Elyas a écrit:Usul a fait sa vidéo sur Blanquer :

Swan a écrit:Usul est un youtubeur politique connu qui fait une chronique vidéo hebdomadaire pour médiapart. Très orienté vulgarisation en sociologie (lutte des classes/bourgeoisie etc.)

FloEarth a écrit:Réponse de l'artiste :

"franceinfo
#COVID_19 Le ministre Jean-Michel Blanquer a partagé hier une reprise des Pink Floyd, dans laquelle des Américains demandent le retour des enfants à l'école. L'auteure de la vidéo lui a répondu. "Elle est inspirée de la situation en Californie, où je vis, et où nos enseignants sont déjà vaccinés", écrit Ifat Orgad. "C'est assez différent de la situation en France."

Source : https://www.francetvinfo.fr/live/message/606/1d1/305/ff4/e97/0ee/7aa/7c9.html

Ça, ce sont les chiffres officiels. Certains établissements n’accueillent plus d’élèves mais restent curieusement ouverts, histoire de ne pas trop faire grossir les chiffres. Exemple en Seine-et-Marne, où seize écoles et 101 classes sont fermées selon l’académie de Créteil. «C’est une communication mensongère avec une volonté farouche de minimiser les situations, assure Thierry Grignon, co-secrétaire départemental du Snuipp-FSU. On a trois écoles quasi vides avec des équipes enseignantes positives au Covid ou cas contact et presque pas de remplaçants. Dans l’une d’elles, un seul a été dépêché pour quelque 120 élèves. Alors les familles préfèrent garder leurs enfants chez elles et le remplaçant s’est retrouvé avec cinq élèves !» Encore plus absurde : ses collègues du Snes, majoritaire dans le secondaire, rapportent le cas d’un collège et d’un lycée qui n’accueillent plus d’élèves mais qui restent officiellement ouverts. Raison invoquée par la direction académique : la continuité pédagogique. Les élèves travaillent en distanciel et les profs peuvent donner des cours de chez eux ou depuis l’établissement scolaire.