- SimonellaNiveau 7
Un élève de mon mari est venu en cours à 11h en expliquant qu'il devait absolument sortir à 11h30. Mon mari lui a alors demandé pourquoi et il lui a expliqué qu'il allait se faire tester car il avait des symptômes évocateurs du covid pale Petite précision : cet élève en est 1re.
Nos élèves, malades, viennent en classe avec la complicité de leurs parents Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
Une collègue a fait la même chose, elle toussait et éternuait dans la salle des profs , sans masque, devant son café. Venant travailler en attendant le résultat de son test. Etonnée quand on lui a dit de rentrer chez elle. J'avoue ne pas comprendre du tout ces attitudes lamentables.
- Pontorson50Fidèle du forum
VanGogh59 a écrit:Pontorson50 a écrit:Là encore, et pas seulement en période de pandémie, j'attends que les pédiatres m'expliquent en quoi ces déclarations publiques en boucle depuis un an sur cette horreur-des-enfants-à-la-maison sont reçues par les intéressés, qui ne sont ni aveugles ni sourds.Elaïna a écrit:Mais c'est parfaitement cohérent avec les demandes de nombreux parents. Il y a peu encore, à la sortie de l'école, j'évoquais avec un groupe de connaissances le fait que je préférerais être reconfinée vraiment une bonne fois pour toutes, plutôt que de continuer comme ça (faux confinement et contagion galopante). Réactions outrées des six personnes du groupe : ah non, surtout pas, plus jamais les enfants en continu à la maison, c'est trop l'horreur. Et je ne parle pas de gens qui vivent à huit dans un trois pièces hein.trompettemarine a écrit:Mais c'est une blague... ?
C'est tellement indécent.
Blanquer répond à la demande des gens qui ne veulent pas avoir leurs mioches chez eux, tout bêtement. Et c'est bien pratique, le patronat veut les gens au travail (parce qu'en télétravail si ça se trouve on abuse, on fait plus de pauses pipi qu'au bureau). Tout le monde s'y retrouve. Chouette non ?
La France a d'ailleurs sa natalité qui a commencé depuis quelques années à rejoindre le lot commun d'une Europe qui ne souhaite ni migrants ni enfants. Quel message cette attitude collective renvoie à des enfants et des adolescents sur leur propre présence ici-bas?
Car je suis bien d'accord, on n'entend pas que les parents en difficulté matérielle pousser ces cris. Quelques témoignages ont quand même filtré de parents très satisfaits d'avoir pu avoir enfin une vie avec leurs enfants quelques semaines. Mais sans doute les pédiatres les ont-ils culpabilisés suffisamment pour les faire taire.
Les chiffres de violence sont certes là, indiscutables; leur cause n'est en revanche pas unique : un stresse lié à la peur de la maladie, à la fatigue, existe aussi, même avec les écoles fermées. Et les enfants battus peuvent fort bien l'être écoles ouvertes, car nous rendons tout de même les enfants à leurs parents souvent (trop nous dit-on à chaque début de vacances), et même tous les soirs.
Ce qui est juste hallucinant, ce sont tous les superlatifs utilisés par ces experts "catastrophe pour les enfants", "désastre". Alors dans ce cas, que dire des 2 mois de vacances en juillet et en août ? On ne parle pas de catastrophe ou de désastre pour les enfants me semble-t-il.
M'est avis que ça ne va pas tarder, et c'est une des logiques où nous allons tout droit. Sans le lobby touristique et celui des chronobiologistes, il y a longtemps que ce genre de propos serait relayé. Pour la plupart d'entre nous, désormais, avec le double travail des parents, la norme c'est que la vie de l'enfant la journée est confiée à l'école. Les opérations petit déjeuner, dont je comprends la pertinence médicale par ailleurs, sont un des aspects de la délégation de la vie familiale (ne parle t on pas de vie scolaire?) à l'Educ Nat, et la récente décision de passer de l'instruction à l'école obligatoire, là aussi pertinente par ailleurs, renforce cette tendance.
L'un des résultats est que l'échec scolaire devient celui de toute la famille, un désastre. Dit autrement, autrefois, réussir à l'école ouvrait toutes les portes, mais y échouer n'était pas grave. C'est l'inverse aujourd'hui : au mieux réussir sa formation initiale est la norme et ne suffit plus à ouvrir les portes, mais l'échec scolaire laisse de moins en moins d'échappatoire à une réussite ailleurs. Les réactions exagérées des pédiatres dans cette pandémie illustrent à merveille leur croyance dans l'école unique porte pour le développement de l'enfant. L'absence scolaire, même provisoire, relève de l'abandon.
- JennyMédiateur
Ce midi, on mangeait dans la salle prévue à cet effet.
Une collègue qui mangeait nous dit en fin de repas qu’elle s’est faite tester parce qu’elle est cas contact mais que bon, elle n’allait pas rester 10 jours chez elle parce que sinon son programme ne serait pas bouclé.
Une collègue qui mangeait nous dit en fin de repas qu’elle s’est faite tester parce qu’elle est cas contact mais que bon, elle n’allait pas rester 10 jours chez elle parce que sinon son programme ne serait pas bouclé.
- Thalia de GMédiateur
J'ai écrit une bêtise, ce ne sera ni la première, ni la dernière. On peut alors s'interroger sur les raisons de cette inertie.maikreeeesse a écrit:Pourquoi ? Ce serait un problème de droit ?
Ils doivent bien nous défendre.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- roxanneOracle
J'ai passé 4 heures aujourd'hui avec deux classes à cluster dont une fermée une heure après...
- chmarmottineGuide spirituel
Olivier Véran lors de la conférence de presse : "Véran : "nous travaillerons a des protocoles sanitaires renforcés. Nous ne fermerions les écoles qu'en dernière nécessité"
C'est toujours la même histoire ...
Faudra m'expliquer les critères de reconnaissance de ce qu'ils appellent "dernière nécessité".
Dans mon lycée, retour en classe entière lundi : il n'y aura alors clairement plus de protocole ...
C'est toujours la même histoire ...
Faudra m'expliquer les critères de reconnaissance de ce qu'ils appellent "dernière nécessité".
Dans mon lycée, retour en classe entière lundi : il n'y aura alors clairement plus de protocole ...
- Dame JouanneÉrudit
Il serait donc intéressant pour eux de déconstruire un peu leur vision mythifiée de l'école. Parce qu'en "temps normal", on voit de plus en plus fleurir les cas de phobie scolaire, phobie validée par les psychiatres. Il serait intéressant de savoir si ce sont les mêmes qui aujourd'hui militent pour la non fermeture des écoles à tout prix.Pontorson50 a écrit:M'est avis que ça ne va pas tarder, et c'est une des logiques où nous allons tout droit. Sans le lobby touristique et celui des chronobiologistes, il y a longtemps que ce genre de propos serait relayé. Pour la plupart d'entre nous, désormais, avec le double travail des parents, la norme c'est que la vie de l'enfant la journée est confiée à l'école. Les opérations petit déjeuner, dont je comprends la pertinence médicale par ailleurs, sont un des aspects de la délégation de la vie familiale (ne parle t on pas de vie scolaire?) à l'Educ Nat, et la récente décision de passer de l'instruction à l'école obligatoire, là aussi pertinente par ailleurs, renforce cette tendance.VanGogh59 a écrit:Ce qui est juste hallucinant, ce sont tous les superlatifs utilisés par ces experts "catastrophe pour les enfants", "désastre". Alors dans ce cas, que dire des 2 mois de vacances en juillet et en août ? On ne parle pas de catastrophe ou de désastre pour les enfants me semble-t-il.Pontorson50 a écrit:Là encore, et pas seulement en période de pandémie, j'attends que les pédiatres m'expliquent en quoi ces déclarations publiques en boucle depuis un an sur cette horreur-des-enfants-à-la-maison sont reçues par les intéressés, qui ne sont ni aveugles ni sourds.Elaïna a écrit:Mais c'est parfaitement cohérent avec les demandes de nombreux parents. Il y a peu encore, à la sortie de l'école, j'évoquais avec un groupe de connaissances le fait que je préférerais être reconfinée vraiment une bonne fois pour toutes, plutôt que de continuer comme ça (faux confinement et contagion galopante). Réactions outrées des six personnes du groupe : ah non, surtout pas, plus jamais les enfants en continu à la maison, c'est trop l'horreur. Et je ne parle pas de gens qui vivent à huit dans un trois pièces hein.
Blanquer répond à la demande des gens qui ne veulent pas avoir leurs mioches chez eux, tout bêtement. Et c'est bien pratique, le patronat veut les gens au travail (parce qu'en télétravail si ça se trouve on abuse, on fait plus de pauses pipi qu'au bureau). Tout le monde s'y retrouve. Chouette non ?
La France a d'ailleurs sa natalité qui a commencé depuis quelques années à rejoindre le lot commun d'une Europe qui ne souhaite ni migrants ni enfants. Quel message cette attitude collective renvoie à des enfants et des adolescents sur leur propre présence ici-bas?
Car je suis bien d'accord, on n'entend pas que les parents en difficulté matérielle pousser ces cris. Quelques témoignages ont quand même filtré de parents très satisfaits d'avoir pu avoir enfin une vie avec leurs enfants quelques semaines. Mais sans doute les pédiatres les ont-ils culpabilisés suffisamment pour les faire taire.
Les chiffres de violence sont certes là, indiscutables; leur cause n'est en revanche pas unique : un stresse lié à la peur de la maladie, à la fatigue, existe aussi, même avec les écoles fermées. Et les enfants battus peuvent fort bien l'être écoles ouvertes, car nous rendons tout de même les enfants à leurs parents souvent (trop nous dit-on à chaque début de vacances), et même tous les soirs.
L'un des résultats est que l'échec scolaire devient celui de toute la famille, un désastre. Dit autrement, autrefois, réussir à l'école ouvrait toutes les portes, mais y échouer n'était pas grave. C'est l'inverse aujourd'hui : au mieux réussir sa formation initiale est la norme et ne suffit plus à ouvrir les portes, mais l'échec scolaire laisse de moins en moins d'échappatoire à une réussite ailleurs. Les réactions exagérées des pédiatres dans cette pandémie illustrent à merveille leur croyance dans l'école unique porte pour le développement de l'enfant. L'absence scolaire, même provisoire, relève de l'abandon.
- ProtonExpert
Le protocole renforcé va être encore renforcé apparemment ? Serait-ce l'arrivée des demi-groupes au collège ?
- SimonellaNiveau 7
S'ils ne passent pas aux 1/2 groupes-collèges, pouvons-nous faire valoir notre droit de retrait dans les zones les plus touchées?
- Dame JouanneÉrudit
Protocole sanitaire renforcé : la bonne blague!chmarmottine a écrit:Olivier Véran lors de la conférence de presse : "Véran : "nous travaillerons a des protocoles sanitaires renforcés. Nous ne fermerions les écoles qu'en dernière nécessité"
C'est toujours la même histoire ...
Faudra m'expliquer les critères de reconnaissance de ce qu'ils appellent "dernière nécessité".
Dans mon lycée, retour en classe entière lundi : il n'y aura alors clairement plus de protocole ...
A un moment, les locaux ne sont pas extensibles, les enseignants ne se clonent pas, les cantines ne peuvent pas multiplier les services de 10h du matin à 16h de l'après-midi et personne n'oblige les services de transport scolaire à multiplier ou décaler leurs horaires de passage...
- Pontorson50Fidèle du forum
Exact, c'est vrai que là comme ailleurs, il y a des discours contradictoires. Qu'il nous arrive parfois de tenir comme profs.Dame Jouanne a écrit:Il serait donc intéressant pour eux de déconstruire un peu leur vision mythifiée de l'école. Parce qu'en "temps normal", on voit de plus en plus fleurir les cas de phobie scolaire, phobie validée par les psychiatres. Il serait intéressant de savoir si ce sont les mêmes qui aujourd'hui militent pour la non fermeture des écoles à tout prix.Pontorson50 a écrit:
Les réactions exagérées des pédiatres dans cette pandémie illustrent à merveille leur croyance dans l'école unique porte pour le développement de l'enfant. L'absence scolaire, même provisoire, relève de l'abandon.
- EnaecoVénérable
Il n'est pas contradictoire de reconnaître l'effet néfaste de l'école chez quelques élèves et de militer activement pour la non-fermeture des écoles au nom du bien-être des enfants
- User20401Vénérable
Sur Inter au journal de 18h : "l'Allemagne a fermé ses écoles, sans effet sur l'incidence, au contraire". J'ai failli avoir un accident de voiture ! Ces journalistes qui reprennent la parole gouvernementale sans jamais la remettre en question me sortent par les yeux !
Quant au protocole renforcé, j'hésite entre le rire et les larmes.
Quant au protocole renforcé, j'hésite entre le rire et les larmes.
- Clecle78Bon génie
Mais qu'avons nous fait au bon dieu pour mériter une telle incompétence journalistique, une telle paresse intellectuelle ?
- VerduretteModérateur
Je suis hallucinée de ce que vous racontez. Des élèves inconscients, ça peut encore se comprendre, mais de la part de profs, adultes, censés être capables de réflexion... c'est inimaginable. Ca fait tout de même un an qu'on patauge dans le virus.
Une première injection en 2ème quinzaine d'avril signifie la deuxième la première /deuxième semaine de mai.
Et si on est vacciné avec Janssens ça peut être en une seule fois.
Mais bon, il faudrait peut-être arrêter de promettre et s'activer.
Sinon on attend les cantines avec 8m2 par élève, comme dans les entreprises ...
Tivinou a écrit:Au mieux: 2e quinzaine d'avril pour la première dose.e-Wanderer a écrit:Pour mémoire, Blanquer déclarait le 3 janvier 2021 sur BFMacron-TV que la vaccination de tous les enseignants "serait souhaitable au mois de mars, au plus tard", et que "si on arrivait à la faire avant, ce serait bien".
https://www.bfmtv.com/politique/selon-jean-michel-blanquer-la-vaccination-des-enseignants-serait-souhaitable-au-mois-de-mars-au-plus-tard_VN-202101030121.html
Maintenant, c'est pour la deuxième quinzaine d'avril, selon Darmanin.
Donc 2e quinzaine de juin pour la seconde.
On sera protégés au mois de juillet !
Une première injection en 2ème quinzaine d'avril signifie la deuxième la première /deuxième semaine de mai.
Et si on est vacciné avec Janssens ça peut être en une seule fois.
Mais bon, il faudrait peut-être arrêter de promettre et s'activer.
Sinon on attend les cantines avec 8m2 par élève, comme dans les entreprises ...
- Ramanujan974Érudit
VanGogh59 a écrit:
Ce qui est juste hallucinant, ce sont tous les superlatifs utilisés par ces experts "catastrophe pour les enfants", "désastre". Alors dans ce cas, que dire des 2 mois de vacances en juillet et en août ? On ne parle pas de catastrophe ou de désastre pour les enfants me semble-t-il. La seule explication à cet espèce de credo sur la non fermeture des écoles réside dans le fait que les parents ne supportent par leurs mioches 24 h sur 24 à la maison et qu'ils en voudront à Macron s'il touche aux écoles. C'est une mesure jusqu'au boutiste uniquement électoraliste qui se sert des pédiatres pour diffuser la propagande...
Selon ce raisonnement, que dire des milliers (millions ?) d'enfants nés dans les années 30, et qui ont dû faire 6 ans de leur scolarité entre 1939 et 1945...
- Isis39Enchanteur
Les écoles n’étaient pas fermées.Ramanujan974 a écrit:Selon ce raisonnement, que dire des milliers (millions ?) d'enfants nés dans les années 30, et qui ont dû faire 6 ans de leur scolarité entre 1939 et 1945...VanGogh59 a écrit:Ce qui est juste hallucinant, ce sont tous les superlatifs utilisés par ces experts "catastrophe pour les enfants", "désastre". Alors dans ce cas, que dire des 2 mois de vacances en juillet et en août ? On ne parle pas de catastrophe ou de désastre pour les enfants me semble-t-il. La seule explication à cet espèce de credo sur la non fermeture des écoles réside dans le fait que les parents ne supportent par leurs mioches 24 h sur 24 à la maison et qu'ils en voudront à Macron s'il touche aux écoles. C'est une mesure jusqu'au boutiste uniquement électoraliste qui se sert des pédiatres pour diffuser la propagande...
- Dame JouanneÉrudit
Actuellement, je m'interroge quand même sur l'effet positif de garder coûte que coûte l'école ouverte avec un bon quart des élèves absents car malades ou cas contacts, et des élèves qui ramènent (ou peuvent craindre de ramener) à la maison le covid car ils ont mangé à côté d'un élève contaminé à la cantine...Enaeco a écrit:Il n'est pas contradictoire de reconnaître l'effet néfaste de l'école chez quelques élèves et de militer activement pour la non-fermeture des écoles au nom du bien-être des enfants
Laisser ouvertes les écoles quand la contamination est contenue dans des niveaux raisonnables est souhaitable, mais là, vu la situation et la flambée des contaminations avec les variants (qui rendent d'ailleurs bien plus malades les enfants que le virus d'origine) c'est juste hallucinant.
- Clecle78Bon génie
Astra Zeneca c'est 12 semaines entre les injections. Donc 3 mois ! Donc pour les profs il faut un autre vaccin si on veut une protection complète et rapide.Verdurette a écrit:Je suis hallucinée de ce que vous racontez. Des élèves inconscients, ça peut encore se comprendre, mais de la part de profs, adultes, censés être capables de réflexion... c'est inimaginable. Ca fait tout de même un an qu'on patauge dans le virus.Tivinou a écrit:Au mieux: 2e quinzaine d'avril pour la première dose.e-Wanderer a écrit:Pour mémoire, Blanquer déclarait le 3 janvier 2021 sur BFMacron-TV que la vaccination de tous les enseignants "serait souhaitable au mois de mars, au plus tard", et que "si on arrivait à la faire avant, ce serait bien".
https://www.bfmtv.com/politique/selon-jean-michel-blanquer-la-vaccination-des-enseignants-serait-souhaitable-au-mois-de-mars-au-plus-tard_VN-202101030121.html
Maintenant, c'est pour la deuxième quinzaine d'avril, selon Darmanin.
Donc 2e quinzaine de juin pour la seconde.
On sera protégés au mois de juillet !
Une première injection en 2ème quinzaine d'avril signifie la deuxième la première /deuxième semaine de mai.
Et si on est vacciné avec Janssens ça peut être en une seule fois.
Mais bon, il faudrait peut-être arrêter de promettre et s'activer.
Sinon on attend les cantines avec 8m2 par élève, comme dans les entreprises ...
- VerduretteModérateur
Isis39 a écrit:Les écoles n’étaient pas fermées.Ramanujan974 a écrit:Selon ce raisonnement, que dire des milliers (millions ?) d'enfants nés dans les années 30, et qui ont dû faire 6 ans de leur scolarité entre 1939 et 1945...VanGogh59 a écrit:Ce qui est juste hallucinant, ce sont tous les superlatifs utilisés par ces experts "catastrophe pour les enfants", "désastre". Alors dans ce cas, que dire des 2 mois de vacances en juillet et en août ? On ne parle pas de catastrophe ou de désastre pour les enfants me semble-t-il. La seule explication à cet espèce de credo sur la non fermeture des écoles réside dans le fait que les parents ne supportent par leurs mioches 24 h sur 24 à la maison et qu'ils en voudront à Macron s'il touche aux écoles. C'est une mesure jusqu'au boutiste uniquement électoraliste qui se sert des pédiatres pour diffuser la propagande...
Mais pendant plusieurs mois les écoliers devaient avoir leur masque à gaz avec leur cartable et descendaient régulièrement dans les abris pendant les bombardements. Un peu d'EPS salutaire et détendant.
- chmarmottineGuide spirituel
Clecle78 a écrit:Astra Zeneca c'est 12 semaines entre les injections. Donc 3 mois ! Donc pour les profs il faut un autre vaccin si on veut une protection complète et rapide.Verdurette a écrit:Je suis hallucinée de ce que vous racontez. Des élèves inconscients, ça peut encore se comprendre, mais de la part de profs, adultes, censés être capables de réflexion... c'est inimaginable. Ca fait tout de même un an qu'on patauge dans le virus.Tivinou a écrit:Au mieux: 2e quinzaine d'avril pour la première dose.e-Wanderer a écrit:Pour mémoire, Blanquer déclarait le 3 janvier 2021 sur BFMacron-TV que la vaccination de tous les enseignants "serait souhaitable au mois de mars, au plus tard", et que "si on arrivait à la faire avant, ce serait bien".
https://www.bfmtv.com/politique/selon-jean-michel-blanquer-la-vaccination-des-enseignants-serait-souhaitable-au-mois-de-mars-au-plus-tard_VN-202101030121.html
Maintenant, c'est pour la deuxième quinzaine d'avril, selon Darmanin.
Donc 2e quinzaine de juin pour la seconde.
On sera protégés au mois de juillet !
Une première injection en 2ème quinzaine d'avril signifie la deuxième la première /deuxième semaine de mai.
Et si on est vacciné avec Janssens ça peut être en une seule fois.
Mais bon, il faudrait peut-être arrêter de promettre et s'activer.
Sinon on attend les cantines avec 8m2 par élève, comme dans les entreprises ...
Oh mais pas d'inquiétude :
Olivier Véran a écrit:"Je n'ai pas entendu qu'il y ait un plan pour la vaccination des forces de l'ordre ou d'autres catégories socio-professionnelles. Cela est en discussion."
Il faut comprendre ça comme une allusion aux enseignants.
- TivinouDoyen
Verdurette a écrit:Je suis hallucinée de ce que vous racontez. Des élèves inconscients, ça peut encore se comprendre, mais de la part de profs, adultes, censés être capables de réflexion... c'est inimaginable. Ca fait tout de même un an qu'on patauge dans le virus.Tivinou a écrit:Au mieux: 2e quinzaine d'avril pour la première dose.e-Wanderer a écrit:Pour mémoire, Blanquer déclarait le 3 janvier 2021 sur BFMacron-TV que la vaccination de tous les enseignants "serait souhaitable au mois de mars, au plus tard", et que "si on arrivait à la faire avant, ce serait bien".
https://www.bfmtv.com/politique/selon-jean-michel-blanquer-la-vaccination-des-enseignants-serait-souhaitable-au-mois-de-mars-au-plus-tard_VN-202101030121.html
Maintenant, c'est pour la deuxième quinzaine d'avril, selon Darmanin.
Donc 2e quinzaine de juin pour la seconde.
On sera protégés au mois de juillet !
Une première injection en 2ème quinzaine d'avril signifie la deuxième la première /deuxième semaine de mai.
Et si on est vacciné avec Janssens ça peut être en une seule fois.
Mais bon, il faudrait peut-être arrêter de promettre et s'activer.
Sinon on attend les cantines avec 8m2 par élève, comme dans les entreprises ...
Pas avec l'Astra Zeneca. Tu crois que nous aurons accès au Pfizer?
Et Veran n'était pas très affirmatif sur la date de début de cette vaccination. Il a bafouillé de façon pathétique au moment des questions.
Bref. La dernière fois que le protocole a été renforcé, il a été allégé en catimini 5 jours après. Et là ce nouveau protocole n'est même pas encore écrit.
- SimonellaNiveau 7
Quand le journaliste a parlé de la vaccination-profs mi-avril, le ministre a été évasif, rappelant la parole mémorable du président :"mi-fin avril".
Quand un autre a demandé si on allait passer à la demi-jauge au collège, évasif de nouveau, voire abstrait.
Quand un autre a demandé si on allait passer à la demi-jauge au collège, évasif de nouveau, voire abstrait.
- VerduretteModérateur
Clecle78 a écrit:
Astra Zeneca c'est 12 semaines entre les injections. Donc 3 mois ! Donc pour les profs il faut un autre vaccin si on veut une protection complète et rapide.
Il est exact qu'on a allongé le délai. Mais n'oublions pas que la première dose a un début d'efficacité, on le voit en Grande-Bretagne.
Et on pourrait imaginer qu'on choisisse le Janssens précisément pour aller plus vite.
- Dame JouanneÉrudit
Simonella a écrit:Quand le journaliste a parlé de la vaccination-profs mi-avril, le ministre a été évasif, rappelant la parole mémorable du président :"mi-fin avril".
Quand un autre a demandé si on allait passer à la demi-jauge au collège, évasif de nouveau, voire abstrait.
Pas pu résister... :dehors2:
- SimonellaNiveau 7
Très drôle, Dame Jouanne !!!!!
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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