- EuphémiaNiveau 10
Tout à fait ! Ce qui nous aura le plus manqué depuis un an, c'est l'honnêteté. Que l'école joue aussi un rôle de garderie est une évidence. Pourquoi ne pas le reconnaître franchement ?Maxinquaye a écrit:RV a écrit:En fait c'est ça qui m'énerve on peut comprendre que ce soit l'économie qui dicte leurs choix (surtout dans un pays où une majorité de femmes travaillent, c'est chaud de fermer les écoles)... Mais un peu d’honnêteté, c'est pas 3 semaines de cours en moins qui vont changer la scolarité...Maxinquaye a écrit:Le bien être des élèves et la crainte d'une rupture d'apprentissage est le cadet de leurs soucis, la non fermeture est leur Graal politique, auquel le gouvernement s'accroche pour des raisons pragmatiques et économiques. Il faut cesser d'être dupe..
Je suis parfaitement d'accord, affirmer cette nécessité avec un discours honnête faciliterait les choses car c'est le sentiment d'être pris pour des idiots qui est rude à encaisser.
Cela étant, le fait qu'il est beaucoup mieux pour la grande majorité des enfants qu'elles restent ouvertes me paraît aussi une évidence.
- Pontorson50Fidèle du forum
C'est une bonne idée parce que c'est prendre au mot le discours rassurant sur la contamination maîtrisable à l'école. Il n'y a en effet pas d'éléments tangibles pour prouver que se croiser quelques minutes masqués dans des couloirs soit déterminant. Si les établissements qui remettent les élèves en transit aux intercours n'ont pas plus de contaminations que les autres, il faudra en tenir compte.ee a écrit:
Dans mon établissement, nous avons - à la demande d'une majorité d'enseignants - retrouvé "nos" salles. Les élèves se déplacent donc à nouveau en troupeaux serrés à chaque heure. Je ne m'en plains pas et savoure de disposer à nouveau de quelques minutes de calme à chaque intercours/de pouvoir laisser mes documents et manuels sur place etc. Après tout, puisque rien de sérieux n'est fait pour lutter contre la pandémie, il aurait effectivement été absurde de garder un dispositif "emmerdement maximum, efficacité minimum".
- kaktus65Niveau 10
Pontorson50 a écrit:Danska a écrit:Non et puis il faut être sérieux deux minutes : si on admet que les écoles ne sont pas un facteur de propagation du virus, alors je veux bien qu'on m'explique pourquoi mon libraire a été obligé de fermer (pas de bol, il est installé dans la galerie commercial d'un centre de plus de 10 000 m2). On ne risque pas la contamination dans ma salle de classe où on s'entasse à 36 personnes, mais c'est dangereux d'aller acheter un livre dans une librairie où je risque de côtoyer trois personnes au maximum ?
Parce qu'il y a une obligation scolaire, pas d'aller chez le libraire. Si l'école était facultative, elle serait fermée depuis longtemps...
Personne ne va fermer les hôpitaux, en dépit du fait que le refus de soignants de se vacciner rend l'hôpital source importante de contamination.
L'école est à mi-chemin : elle est plus institutionnelle qu'une librairie, mais son ouverture est moins impérative que celle d'une structure médicale. C'est ce qu'entérine le conseil scientifique, qui estime qu'on peut encore laisser ouvert, mais n'exclut pas de fermer. Alors qu'auparavant, il estimait que le risque médical était supérieur au risque d'abandon scolaire.
L'instruction est obligatoire, pas le fait d'aller physiquement à l'école, ce n'est donc pas un argument valide. La réalité a déjà été donnée par le gouvernement : "les parents doivent pouvoir aller travailler et pour cela, les
- Pontorson50Fidèle du forum
kaktus65 a écrit:Pontorson50 a écrit:Danska a écrit:Non et puis il faut être sérieux deux minutes : si on admet que les écoles ne sont pas un facteur de propagation du virus, alors je veux bien qu'on m'explique pourquoi mon libraire a été obligé de fermer (pas de bol, il est installé dans la galerie commercial d'un centre de plus de 10 000 m2). On ne risque pas la contamination dans ma salle de classe où on s'entasse à 36 personnes, mais c'est dangereux d'aller acheter un livre dans une librairie où je risque de côtoyer trois personnes au maximum ?
Parce qu'il y a une obligation scolaire, pas d'aller chez le libraire. Si l'école était facultative, elle serait fermée depuis longtemps...
Personne ne va fermer les hôpitaux, en dépit du fait que le refus de soignants de se vacciner rend l'hôpital source importante de contamination.
L'école est à mi-chemin : elle est plus institutionnelle qu'une librairie, mais son ouverture est moins impérative que celle d'une structure médicale. C'est ce qu'entérine le conseil scientifique, qui estime qu'on peut encore laisser ouvert, mais n'exclut pas de fermer. Alors qu'auparavant, il estimait que le risque médical était supérieur au risque d'abandon scolaire.
L'instruction est obligatoire, pas le fait d'aller physiquement à l'école, ce n'est donc pas un argument valide.
Le maintien du présentiel fait toutefois partie de la stratégie actuelle d'obligation d'être à l'école, contre l'intervention des familles dans l'instruction, pour de toutes autres raisons que sanitaires certes...
- User20401Vénérable
Décidément, désolée de pinailler mais tu affirmes des choses dont on ne sait rien. A moins que j'aie raté une info (tout à fait possible), il n'est pas prouvé que le vaccin réduise les contaminations, notamment à l'échelle individuelle.Pontorson50 a écrit:Danska a écrit:Non et puis il faut être sérieux deux minutes : si on admet que les écoles ne sont pas un facteur de propagation du virus, alors je veux bien qu'on m'explique pourquoi mon libraire a été obligé de fermer (pas de bol, il est installé dans la galerie commercial d'un centre de plus de 10 000 m2). On ne risque pas la contamination dans ma salle de classe où on s'entasse à 36 personnes, mais c'est dangereux d'aller acheter un livre dans une librairie où je risque de côtoyer trois personnes au maximum ?
Parce qu'il y a une obligation scolaire, pas d'aller chez le libraire. Si l'école était facultative, elle serait fermée depuis longtemps...
Personne ne va fermer les hôpitaux, en dépit du fait que le refus de soignants de se vacciner rend l'hôpital source importante de contamination.
L'école est à mi-chemin : elle est plus institutionnelle qu'une librairie, mais son ouverture est moins impérative que celle d'une structure médicale. C'est ce qu'entérine le conseil scientifique, qui estime qu'on peut encore laisser ouvert, mais n'exclut pas de fermer. Alors qu'auparavant, il estimait que le risque médical était supérieur au risque d'abandon scolaire.
- ysabelDevin
J'ai appris cette après-midi par mes élèves qu'une classe de 1e générale était fermée... Rien de la part de l'administration
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Pontorson50Fidèle du forum
Cicyle a écrit:Décidément, désolée de pinailler mais tu affirmes des choses dont on ne sait rien. A moins que j'aie raté une info (tout à fait possible), il n'est pas prouvé que le vaccin réduise les contaminations, notamment à l'échelle individuelle.Pontorson50 a écrit:Danska a écrit:Non et puis il faut être sérieux deux minutes : si on admet que les écoles ne sont pas un facteur de propagation du virus, alors je veux bien qu'on m'explique pourquoi mon libraire a été obligé de fermer (pas de bol, il est installé dans la galerie commercial d'un centre de plus de 10 000 m2). On ne risque pas la contamination dans ma salle de classe où on s'entasse à 36 personnes, mais c'est dangereux d'aller acheter un livre dans une librairie où je risque de côtoyer trois personnes au maximum ?
Parce qu'il y a une obligation scolaire, pas d'aller chez le libraire. Si l'école était facultative, elle serait fermée depuis longtemps...
Personne ne va fermer les hôpitaux, en dépit du fait que le refus de soignants de se vacciner rend l'hôpital source importante de contamination.
L'école est à mi-chemin : elle est plus institutionnelle qu'une librairie, mais son ouverture est moins impérative que celle d'une structure médicale. C'est ce qu'entérine le conseil scientifique, qui estime qu'on peut encore laisser ouvert, mais n'exclut pas de fermer. Alors qu'auparavant, il estimait que le risque médical était supérieur au risque d'abandon scolaire.
Les médecins israëliens l'affirment. Et Véran est à genoux depuis des semaines pour que les soignants se vaccinent, ce n'est pas pour rien.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-le-vaccin-reduit-il-vraiment-la-transmission-du-virus_4326561.html
Une fois vacciné, tout change. "Les études (…), celles qui ont permis d’obtenir l’autorisation des médicaments, avaient montré qu’on réduisait le risque d’être infecté avec des symptômes, mais les vaccins ont maintenant montré que (…) on réduisait même, en amont de ça, le risque de s’infecter." Or si l’on n'est pas infecté, pas de symptômes ni d’absence de symptôme ; on n’est donc pas contagieux, et le risque de transmission est bel et bien réduit.
- User20401Vénérable
Il y a un "soignants-bashing" à organiser, pour qu'ils ne réclament pas de trop trop grosses augmentations. Les "profs décrocheurs", ça ne te rappelle rien ?Pontorson50 a écrit:Cicyle a écrit:Décidément, désolée de pinailler mais tu affirmes des choses dont on ne sait rien. A moins que j'aie raté une info (tout à fait possible), il n'est pas prouvé que le vaccin réduise les contaminations, notamment à l'échelle individuelle.Pontorson50 a écrit:Danska a écrit:Non et puis il faut être sérieux deux minutes : si on admet que les écoles ne sont pas un facteur de propagation du virus, alors je veux bien qu'on m'explique pourquoi mon libraire a été obligé de fermer (pas de bol, il est installé dans la galerie commercial d'un centre de plus de 10 000 m2). On ne risque pas la contamination dans ma salle de classe où on s'entasse à 36 personnes, mais c'est dangereux d'aller acheter un livre dans une librairie où je risque de côtoyer trois personnes au maximum ?
Parce qu'il y a une obligation scolaire, pas d'aller chez le libraire. Si l'école était facultative, elle serait fermée depuis longtemps...
Personne ne va fermer les hôpitaux, en dépit du fait que le refus de soignants de se vacciner rend l'hôpital source importante de contamination.
L'école est à mi-chemin : elle est plus institutionnelle qu'une librairie, mais son ouverture est moins impérative que celle d'une structure médicale. C'est ce qu'entérine le conseil scientifique, qui estime qu'on peut encore laisser ouvert, mais n'exclut pas de fermer. Alors qu'auparavant, il estimait que le risque médical était supérieur au risque d'abandon scolaire.
Les médecins israëliens l'affirment. Et Véran est à genou depuis des semaines pour que les soignants se vaccinent, ce n'est pas pour rien.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-le-vaccin-reduit-il-vraiment-la-transmission-du-virus_4326561.html
Une fois vacciné, tout change. "Les études (…), celles qui ont permis d’obtenir l’autorisation des médicaments, avaient montré qu’on réduisait le risque d’être infecté avec des symptômes, mais les vaccins ont maintenant montré que (…) on réduisait même, en amont de ça, le risque de s’infecter." Or si l’on n'est pas infecté, pas de symptômes ni d’absence de symptôme ; on n’est donc pas contagieux, et le risque de transmission est bel et bien réduit.
- InvitéInvité
Si on ferme les écoles quelques semaines maintenant on aura peut-être une chance de pouvoir tout rouvrir un peu plus tôt quand les beaux jours arriveront surtout si la vaccination a bien progressé d'ici là.Cassandrine a écrit:Pontorson50 a écrit:Cicyle a écrit:Qu'en sait-on ? Sans écoles, le virus aurait peut-être moins circulé et il y aurait donc peut-être eu moins de morts. Personne n'en sait rien.Pontorson50 a écrit:
Sans doute pas : Macron sait que les bilans américains et européens seront de toutes façons très mauvais (peut-être un million d'Européens décédés, on est déjà à 900 000!) face à l'Asie sud-est, quels que soient les pays, et que les raisons en sont fondamentalement juridiques (impossibilité dans une société individualiste de confiner strictement à domicile dès le départ les positifs, malades comme asymptomatiques, et leurs contacts).
Là où il eu la baraka, c'est qu'il a parié avec succès, et avant que les médecins l'admettent, que le bilan final devrait peu à l'ouverture ou à la fermeture des écoles.
Le seul fait d'admettre qu'on n'en sait rien est une bascule par rapport à ce que nous étions très nombreux à croire en avril, à savoir que cela ne se discutait même pas : je n'oublie pas que Macron avait d'abord commencé par fermer les écoles avant de fermer le reste du pays. Il a rudement changé. Et même le conseil scientifique évolue et ne l'envisage plus qu'à la dernière des extrémités.
@Pontorson50,
Les écoles ne sont pas fermées pour ne pas encore plus ruiner notre économie. Tous les autres motifs invoqués (retards scolaires, maltraitance, repas équilibrés...) ne sont que des prétextes. Rien n'a été fait pour rattraper réellement le pseudo retard lié au covid, ni pour les autres motifs depuis septembre.
Les fermer trop longtemps n'est pas viable pour l'économie mais je pense que les fermer à des moments stratégiques peut aider à limiter les dégâts.
- Pontorson50Fidèle du forum
Cicyle a écrit:Il y a un "soignants-bashing" à organiser, pour qu'ils ne réclament pas de trop trop grosses augmentations. Les "profs décrocheurs", ça ne te rappelle rien ?Pontorson50 a écrit:Cicyle a écrit:Décidément, désolée de pinailler mais tu affirmes des choses dont on ne sait rien. A moins que j'aie raté une info (tout à fait possible), il n'est pas prouvé que le vaccin réduise les contaminations, notamment à l'échelle individuelle.Pontorson50 a écrit:
Parce qu'il y a une obligation scolaire, pas d'aller chez le libraire. Si l'école était facultative, elle serait fermée depuis longtemps...
Personne ne va fermer les hôpitaux, en dépit du fait que le refus de soignants de se vacciner rend l'hôpital source importante de contamination.
L'école est à mi-chemin : elle est plus institutionnelle qu'une librairie, mais son ouverture est moins impérative que celle d'une structure médicale. C'est ce qu'entérine le conseil scientifique, qui estime qu'on peut encore laisser ouvert, mais n'exclut pas de fermer. Alors qu'auparavant, il estimait que le risque médical était supérieur au risque d'abandon scolaire.
Les médecins israëliens l'affirment. Et Véran est à genou depuis des semaines pour que les soignants se vaccinent, ce n'est pas pour rien.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-le-vaccin-reduit-il-vraiment-la-transmission-du-virus_4326561.html
Une fois vacciné, tout change. "Les études (…), celles qui ont permis d’obtenir l’autorisation des médicaments, avaient montré qu’on réduisait le risque d’être infecté avec des symptômes, mais les vaccins ont maintenant montré que (…) on réduisait même, en amont de ça, le risque de s’infecter." Or si l’on n'est pas infecté, pas de symptômes ni d’absence de symptôme ; on n’est donc pas contagieux, et le risque de transmission est bel et bien réduit.
Bien sûr que la tactique fait partie du jeu politique, mais ça n'infirme pas la sécurisation des hôpitaux par la vaccination.
- RVNiveau 1
Maxinquaye a écrit:RV a écrit:En fait c'est ça qui m'énerve on peut comprendre que ce soit l'économie qui dicte leurs choix (surtout dans un pays où une majorité de femmes travaillent, c'est chaud de fermer les écoles)... Mais un peu d’honnêteté, c'est pas 3 semaines de cours en moins qui vont changer la scolarité...Maxinquaye a écrit:Le bien être des élèves et la crainte d'une rupture d'apprentissage est le cadet de leurs soucis, la non fermeture est leur Graal politique, auquel le gouvernement s'accroche pour des raisons pragmatiques et économiques. Il faut cesser d'être dupe..
Je suis parfaitement d'accord, affirmer cette nécessité avec un discours honnête faciliterait les choses car c'est le sentiment d'être pris pour des idiots qui est rude à encaisser.
Ouais et puis bon ils sont gentils on aura juste le droit d'aller bosser ok mais qu'ils nous mettent prioritaires sur les vaccins comme c'est le cas dans plein de pays qui ferment pourtant les écoles régulièrement...
- Pontorson50Fidèle du forum
AmyR a écrit:Si on ferme les écoles quelques semaines maintenant on aura peut-être une chance de pouvoir tout rouvrir un peu plus tôt quand les beaux jours arriveront surtout si la vaccination a bien progressé d'ici là.Cassandrine a écrit:Pontorson50 a écrit:Cicyle a écrit:
Qu'en sait-on ? Sans écoles, le virus aurait peut-être moins circulé et il y aurait donc peut-être eu moins de morts. Personne n'en sait rien.
Le seul fait d'admettre qu'on n'en sait rien est une bascule par rapport à ce que nous étions très nombreux à croire en avril, à savoir que cela ne se discutait même pas : je n'oublie pas que Macron avait d'abord commencé par fermer les écoles avant de fermer le reste du pays. Il a rudement changé. Et même le conseil scientifique évolue et ne l'envisage plus qu'à la dernière des extrémités.
@Pontorson50,
Les écoles ne sont pas fermées pour ne pas encore plus ruiner notre économie. Tous les autres motifs invoqués (retards scolaires, maltraitance, repas équilibrés...) ne sont que des prétextes. Rien n'a été fait pour rattraper réellement le pseudo retard lié au covid, ni pour les autres motifs depuis septembre.
Les fermer trop longtemps n'est pas viable pour l'économie mais je pense que les fermer à des moments stratégiques peut aider à limiter les dégâts.
Les fermer était plus sérieux en février compte tenu de la saison et des congés. Macron a raté l'occasion de fermer au coeur de l'hiver. Les beaux jours, ça peut arriver d'ici 15 jours, et je ne vois pas de bouclage des écoles sur seulement deux semaines. La bascule sur l'heure d'été d'ici 10 jours va rendre tout confinement odieux, même école ouvertes. Enfin, les beaux jours permettent vraisemblablement d'accélérer la sortie de la pandémie (sf variants africains ou brésiliens, qui, par nature, sont peu hivernaux j'imagine) donc rendent moins indispensable un confinement.
- HalybelÉrudit
Entendu sur France info ce matin : les enseignants devront payer 1€ pour pratiquer un test salivaire. Cela sera gratuit pour les élèves.
Voila ce que pense notre employeur de notre santé. Économie de bout de chandelle.
Voila ce que pense notre employeur de notre santé. Économie de bout de chandelle.
_________________
Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- roxanneOracle
Autan je suis pour l'ouverture des écoles au maximum, autant ce genre de trucs me rend folle.
- TulipiaNiveau 7
Je suis sans voix.Halybel a écrit:Entendu sur France info ce matin : les enseignants devront payer 1e pour pratiquer un test salivaire. Cela sera gratuit pour les élèves.
Voila ce que pense notre employeur de notre santé. Économie de bout de chandelle.
Ces tests salivaires, présentés par le ministre de l'Éducation nationale comme l'outil majeur pour maintenir les écoles ouvertes, seront gratuits pour les enfants. Les enseignants peuvent en bénéficier à l'occasion du passage des équipes des laboratoires dans les établissements. Mais ils devront débourser un euro, soit le reste à charge appliqué par l'Assurance maladie. Cette somme sera prélevée sur leur prochain remboursement des frais médicaux. "Pour les personnels, une participation forfaitaire d'un euro sera appliquée automatiquement par la CPAM, par prélèvement sur le prochain acte remboursé", peut on ainsi lire dans une note d'information.
www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/info-franceinfo-covid-19-les-enseignants-contraints-de-payer-le-reste-a-charge-de-leurs-tests-salivaires_4337053.amp
- henrietteMédiateur
En effet ! L'info sourcée :
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/info-franceinfo-covid-19-les-enseignants-contraints-de-payer-le-reste-a-charge-de-leurs-tests-salivaires_4337053.html
Ces tests salivaires, présentés par le ministre de l'Éducation nationale comme l'outil majeur pour maintenir les écoles ouvertes, seront gratuits pour les enfants. Les enseignants peuvent en bénéficier à l'occasion du passage des équipes des laboratoires dans les établissements. Mais ils devront débourser un euro, soit le reste à charge appliqué par l'Assurance maladie. Cette somme sera prélevée sur leur prochain remboursement des frais médicaux.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- User20401Vénérable
Ici, dans ces conditions, je ne le ferai pas. Franchement, faut pas charrier. Je ne vais pas payer pour protéger mes élèves (parce que vue ma vie sociale en ce moment, ce sont les seuls que je risque de contaminer…).
Tant pis si on me taxe d'irresponsable. Les irresponsables sont nos dirigeants, avec leur gestion à la petite semaine. "Quoi qu'il en coûte…". La marmotte, le papier alu, tout ça. Chaque jour me met de plus en plus en colère.
Tant pis si on me taxe d'irresponsable. Les irresponsables sont nos dirigeants, avec leur gestion à la petite semaine. "Quoi qu'il en coûte…". La marmotte, le papier alu, tout ça. Chaque jour me met de plus en plus en colère.
- User20401Vénérable
Et passons sur les conditions. On en est à la troisième autorisation parentale différente (les parents craquent). On n'en sait pas plus sur les conditions. Et ce qui devait commencer lundi il y a 10 jours (mon école doit être dans les premières) n'a pas commencé. On n'a même pas de date précise. C'est le grand n'importe quoi !
- roxanneOracle
Et pas partout. Je n'en ai pas vu la trace ici.
- nath75Niveau 6
Ile-de-France, je pense qu'on avoisine les 60 ou 70 élèves absents pour cause de Covid (qu'ils soient positifs ou cas contact) dans l'établissement mais aucun chiffre officiel ne nous parvient, et nous n'avons pas vu l'ombre d'un test...Par contre, on veut nous enfermer le week-end...
- Isis39Enchanteur
henriette a écrit:En effet ! L'info sourcée :
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/info-franceinfo-covid-19-les-enseignants-contraints-de-payer-le-reste-a-charge-de-leurs-tests-salivaires_4337053.htmlCes tests salivaires, présentés par le ministre de l'Éducation nationale comme l'outil majeur pour maintenir les écoles ouvertes, seront gratuits pour les enfants. Les enseignants peuvent en bénéficier à l'occasion du passage des équipes des laboratoires dans les établissements. Mais ils devront débourser un euro, soit le reste à charge appliqué par l'Assurance maladie. Cette somme sera prélevée sur leur prochain remboursement des frais médicaux.
Pourtant les tests antigéniques (dont j'ai bénéficié au collège à 3 reprises) sont gratuits.
- LadKlimaHabitué du forum
Concernant la météo je serai méfiant : au Brésil c'est la catastrophe en ce moment, et il fait plus de 20° (si je ne dis pas de bêtise)Pontorson50 a écrit:Les fermer était plus sérieux en février compte tenu de la saison et des congés. Macron a raté l'occasion de fermer au coeur de l'hiver. Les beaux jours, ça peut arriver d'ici 15 jours, et je ne vois pas de bouclage des écoles sur seulement deux semaines. La bascule sur l'heure d'été d'ici 10 jours va rendre tout confinement odieux, même école ouvertes. Enfin, les beaux jours permettent vraisemblablement d'accélérer la sortie de la pandémie (sf variants africains ou brésiliens, qui, par nature, sont peu hivernaux j'imagine) donc rendent moins indispensable un confinement.AmyR a écrit:Si on ferme les écoles quelques semaines maintenant on aura peut-être une chance de pouvoir tout rouvrir un peu plus tôt quand les beaux jours arriveront surtout si la vaccination a bien progressé d'ici là.Cassandrine a écrit:@Pontorson50,Pontorson50 a écrit:Le seul fait d'admettre qu'on n'en sait rien est une bascule par rapport à ce que nous étions très nombreux à croire en avril, à savoir que cela ne se discutait même pas : je n'oublie pas que Macron avait d'abord commencé par fermer les écoles avant de fermer le reste du pays. Il a rudement changé. Et même le conseil scientifique évolue et ne l'envisage plus qu'à la dernière des extrémités.
Les écoles ne sont pas fermées pour ne pas encore plus ruiner notre économie. Tous les autres motifs invoqués (retards scolaires, maltraitance, repas équilibrés...) ne sont que des prétextes. Rien n'a été fait pour rattraper réellement le pseudo retard lié au covid, ni pour les autres motifs depuis septembre.
Les fermer trop longtemps n'est pas viable pour l'économie mais je pense que les fermer à des moments stratégiques peut aider à limiter les dégâts.
- JacqGuide spirituel
henriette a écrit:En effet ! L'info sourcée :
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/info-franceinfo-covid-19-les-enseignants-contraints-de-payer-le-reste-a-charge-de-leurs-tests-salivaires_4337053.htmlCes tests salivaires, présentés par le ministre de l'Éducation nationale comme l'outil majeur pour maintenir les écoles ouvertes, seront gratuits pour les enfants. Les enseignants peuvent en bénéficier à l'occasion du passage des équipes des laboratoires dans les établissements. Mais ils devront débourser un euro, soit le reste à charge appliqué par l'Assurance maladie. Cette somme sera prélevée sur leur prochain remboursement des frais médicaux.
Korémuse a écrit:C'est honteux !!
Plus que honteux, c'est totalement minable et pitoyable. Si le test sert à quelque chose (parce que savoir que je ne l'ai pas le lundi mais ne pas savoir le mardi car je suis allé faire mes courses le soir et que je l'ai choppé) n 'importe quelle entreprise qui souhaiterait protéger ses salariés pour éviter qu'un contamine les autres payerait sans hésiter parce que une contamination en interne c'est une perte de rentabilité. Mais non, l'Education nationale est trop mesquine et stupide pour s'en rendre compte. Concluons sur cette situation grotesque : l'EN préfère ne pas payer un euro et risquer de perdre un ou deux enseignants. Dont acte !
- henrietteMédiateur
D'après l'article, ce n'est pas un choix du MEN, c'est lié au fonctionnement de l'Assurance maladie et le MEN dit chercher une solution. Mais comme dit Isis39, pourquoi alors cela ne concerne-il pas les tests antigéniques dans les EPLE. A moins qu'en fait, eux aussi soient concernés ?
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- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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