- CloBJe viens de m'inscrire !
Cher.e.s. s enseignant·e·s,
Depuis la loi 2005 sur la scolarisation des enfants en situation de handicap, votre établissement est susceptible d’accueillir des enfants et des adolescents qui présentent des troubles autistiques. Dans ce cadre nous vous proposons de participer à une étude pour recueillir votre propre perception de l’inclusion scolaire des enfants et adolescents avec autisme. En tant qu'acteur de première ligne de l'inclusion, votre avis est vraiment primordial.
Pour participer, veuillez cliquer sur le lien suivant : https://sondage.app.u-paris.fr/289962?lang=fr
N’hésitez pas à partager ce lien à vos collègues exerçant en primaire ou secondaire, pour nous aider à recueillir les réponses les plus représentatives possibles de la communauté enseignante.
Une fois l'étude terminée, vous pourrez être informé·e·s des conclusions générales via un lien qui vous sera communiqué à la fin de votre participation.
En cas de question vous pouvez adresser un mail à Mme Clotilde Bouteyre à l’adresse suivante : clotilde.bouteyre@etu.u-paris.fr
Nous vous remercions de votre participation !
Bien cordialement,
L’équipe du projet IDEAL
Responsables de projet : Cyrielle Derguy et Benoite Aubé
Institut de Psychologie
Laboratoire Psychopathologie et Processus de Santé (UR 4057)
Depuis la loi 2005 sur la scolarisation des enfants en situation de handicap, votre établissement est susceptible d’accueillir des enfants et des adolescents qui présentent des troubles autistiques. Dans ce cadre nous vous proposons de participer à une étude pour recueillir votre propre perception de l’inclusion scolaire des enfants et adolescents avec autisme. En tant qu'acteur de première ligne de l'inclusion, votre avis est vraiment primordial.
Pour participer, veuillez cliquer sur le lien suivant : https://sondage.app.u-paris.fr/289962?lang=fr
N’hésitez pas à partager ce lien à vos collègues exerçant en primaire ou secondaire, pour nous aider à recueillir les réponses les plus représentatives possibles de la communauté enseignante.
Une fois l'étude terminée, vous pourrez être informé·e·s des conclusions générales via un lien qui vous sera communiqué à la fin de votre participation.
En cas de question vous pouvez adresser un mail à Mme Clotilde Bouteyre à l’adresse suivante : clotilde.bouteyre@etu.u-paris.fr
Nous vous remercions de votre participation !
Bien cordialement,
L’équipe du projet IDEAL
Responsables de projet : Cyrielle Derguy et Benoite Aubé
Institut de Psychologie
Laboratoire Psychopathologie et Processus de Santé (UR 4057)
- Cléopatra2Guide spirituel
Je voulais répondre, mais dès la première page, il est impossible de répondre. Il est évident qu'il existe tant de formes d'autisme que les questions n'ont aucun intérêt. Dommage.
Ex : les élèves avec autisme et sans handicap doivent être séparés à l'école. Réponse : ça dépend de la forme d'autisme. Un autiste non verbal qui ne sait ni lire ni écrire ne peut être scolarisé en classe normale avec profit au-delà de l'élémentaire (et peut-être avant). En revanche, un autiste "haut niveau" peut tout à fait réussir des études supérieures et doit donc être scolarisé "normalement" même si ça peut être difficile en raison du bruit, de l'incompréhension des autres...
Bref, encore une déception que ces études hors sol.
Ex : les élèves avec autisme et sans handicap doivent être séparés à l'école. Réponse : ça dépend de la forme d'autisme. Un autiste non verbal qui ne sait ni lire ni écrire ne peut être scolarisé en classe normale avec profit au-delà de l'élémentaire (et peut-être avant). En revanche, un autiste "haut niveau" peut tout à fait réussir des études supérieures et doit donc être scolarisé "normalement" même si ça peut être difficile en raison du bruit, de l'incompréhension des autres...
Bref, encore une déception que ces études hors sol.
- Clecle78Bon génie
Et je n'ai pas trouvé les références aux bons professeurs (écriture inclusive incluse) très judicieuse. Tout semble fait pour induire que si on éprouve des difficultés c'est parce qu'on n'est pas un bon enseignant, qu'on n'est pas bien formé, pas parce que l'institution ne donne pas les moyens de travailler correctement. . Bref je confirme que ça semble un peu simpliste.même si je ne suis pas qualifiée sur le sujet.
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