- VinZTDoyen
… avant, il n'y avait aucune formation pendant les vacances
… avant, les réunions parents-profs, les conseils de classe avaient lieu sur temps scolaire
… avant, les stagiaires, sauf cas exceptionnel, ne risquaient pas leur titularisation pour non-conformité aux dogmes en vigueur
… avant, le CAPES sectionnait un niveau disciplinaire et pas une conformité au jargon pédagogique en vogue
(liste non exhaustive)
… avant, les réunions parents-profs, les conseils de classe avaient lieu sur temps scolaire
… avant, les stagiaires, sauf cas exceptionnel, ne risquaient pas leur titularisation pour non-conformité aux dogmes en vigueur
… avant, le CAPES sectionnait un niveau disciplinaire et pas une conformité au jargon pédagogique en vogue
(liste non exhaustive)
- InvitéInvité
Ce fil me déprime...Cette "feuille de route", par exemple, m'est incompréhensible, je ne saisis pas ce jargon.
Mon père, qui a été professeur (en gros de 1980 à 2010), est consterné de voir que l'école est désormais aux mains des technocrates (et il nous souhaite bien du courage...)
Mon père, qui a été professeur (en gros de 1980 à 2010), est consterné de voir que l'école est désormais aux mains des technocrates (et il nous souhaite bien du courage...)
- Fesseur ProGuide spirituel
...avant, on accompagnait les enseignants en fin de carrière
... et avant, les fins de carrières n'étaient pas si tardives...
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_________________
Pourvu que ça dure...
- Cléopatra2Guide spirituel
T'inquiète, là pour la fin de carrière, on propose de t'accompagner sur un emploi complémentaire.
- TangledingGrand Maître
L'accompagnement, faut voir ce que c'est. Mais personnellement, si on me propose un accompagnement pertinent pour surmonter certaines difficultés que j'ai, que j'ai identifiées depuis longtemps, mais que je ne parviens pas à surmonter seul et qui dégradent l'efficacité de mon enseignement, je n'y verrai aucun inconvénient.
Après, oui, si c'est pour me proposer des gadgets "gestion du stress", non merci. Ce qui me stresse c'est de ne pas parvenir à avancer comme je veux, c'est d'avoir du retard par rapport aux programmes, de ne pas pouvoir mettre en oeuvre tout ce qui me semblerait intéressant pour les élèves. Donc si c'est un accompagnement pour progresser sur le plan didactique sur les points qui me posent toujours problème après 15 ans de maison, aucun problème.
Dans l'absolu ce qui est anormal, c'est qu'à part me confirmer un diagnostic que je n'ai pas spécialement eu de peine à établir seul, on ne m'a pas proposé grand chose d'efficace/adapté jusqu'ici.
En tout cas je peux dire que je n'ai jamais eu grand chose à reprocher aux inspecteurs/inspectrices qui sont venu-es m'inspecter (sauf la rapidité de restitution des rapports, ah ah, même s'il paraît que je suis mal placé pour le leur reprocher...). Et l'absence de propositions adaptées pour résoudre ces difficultés. Mais on ne m'a jamais reproché le "contenu d'enseignement" recherché, ni d'avoir de l'ambition pour des élèves (y compris de "petits" 6e), seulement mon manque de capacité à l'atteindre avec une bonne efficacité en temps limité avec une classe. Mais établir un diagnostic est une chose, permettre de dépasser ces difficultés de mise en oeuvre en est une autre. C'est ce que j'attends de mon inspection en matière d'accompagnement.
Je leur sais aussi gré de ne m'avoir jamais suggéré de passer par "le ludique" et autres emballages à vent de même farine. Mon métier c'est de permettre aux élèves d'accéder aux textes et oeuvres littéraires, pas de les amuser ou les divertir. Tant que l'inspection de lettres sera sur cette ligne, je la considérerai comme une alliée. Je suis généralement assez loin de me retrouver dans le discours des chefs d'établissement. Le jour où les IPR de lettres changeront de ligne, ce sera bien autre chose. Je leur reproche aussi et surtout leur manque de courage collectif face aux âneries de la réforme du collège, à la consternante débilité des "questionnements" de nos programmes de collège 2016. Ca oui.
Mais l'accompagnement, en soi, ce n'est pas forcément le problème. Des collègues en souffrance seuls avec leurs difficultés, ça me semble un peu plus problématique, et je n'ai pas l'impression que ça soit le fruit du PPCR, loin s'en faut. Et la profession ne se montre d'ailleurs pas toujours sous son meilleur jour face à ce genre de situation.
Cela étant, les projets de Blanquer et compagnie, je n'en attends rien de positif, très clairement. Ce gouvernement de comptables sinistres a assez démontré sa vision de l'école garderie pour "vrais travailleurs utiles" (à l'économie libérale et ses merveilles). Mais je n'ai pas l'impression que l'inspection soit aux commandes de l'EN sous Blanquer, l’administration Blanquer semble plutôt souhaiter les marginaliser (et semble y parvenir).
Le Graal de ces gestionnaires c'est de tout remettre au local entre les mains des chefs d'établissement. L'inspection les gênerait plus qu'autre chose. Et je n'ai pas non plus l'impression que le corps d'inspection de l'EN se réjouisse particulièrement de la réforme des concours de recrutement.
Mais j'observe tout cela d'assez loin, après tout. Je n'officie pas au secteur emploi du SNES.
Ceci dit il est un peu cocasse qu'on en soit encore à dauber sur le PPCR qui établit quasiment le rythme unique (même si on n'a pas obtenu l'équivalent du GC malheureusement), alors que le pouvoir en place ne cherche qu'à individualiser et "rémunérer au mérite".
Bref, j'ai nettement l'impression qu'on se trompe encore de bataille. Et je souhaite que ce qui va nous tomber sur le pif d'ici peu réveille la profession, parce que ça risque d'être bien violent.
Après, oui, si c'est pour me proposer des gadgets "gestion du stress", non merci. Ce qui me stresse c'est de ne pas parvenir à avancer comme je veux, c'est d'avoir du retard par rapport aux programmes, de ne pas pouvoir mettre en oeuvre tout ce qui me semblerait intéressant pour les élèves. Donc si c'est un accompagnement pour progresser sur le plan didactique sur les points qui me posent toujours problème après 15 ans de maison, aucun problème.
Dans l'absolu ce qui est anormal, c'est qu'à part me confirmer un diagnostic que je n'ai pas spécialement eu de peine à établir seul, on ne m'a pas proposé grand chose d'efficace/adapté jusqu'ici.
En tout cas je peux dire que je n'ai jamais eu grand chose à reprocher aux inspecteurs/inspectrices qui sont venu-es m'inspecter (sauf la rapidité de restitution des rapports, ah ah, même s'il paraît que je suis mal placé pour le leur reprocher...). Et l'absence de propositions adaptées pour résoudre ces difficultés. Mais on ne m'a jamais reproché le "contenu d'enseignement" recherché, ni d'avoir de l'ambition pour des élèves (y compris de "petits" 6e), seulement mon manque de capacité à l'atteindre avec une bonne efficacité en temps limité avec une classe. Mais établir un diagnostic est une chose, permettre de dépasser ces difficultés de mise en oeuvre en est une autre. C'est ce que j'attends de mon inspection en matière d'accompagnement.
Je leur sais aussi gré de ne m'avoir jamais suggéré de passer par "le ludique" et autres emballages à vent de même farine. Mon métier c'est de permettre aux élèves d'accéder aux textes et oeuvres littéraires, pas de les amuser ou les divertir. Tant que l'inspection de lettres sera sur cette ligne, je la considérerai comme une alliée. Je suis généralement assez loin de me retrouver dans le discours des chefs d'établissement. Le jour où les IPR de lettres changeront de ligne, ce sera bien autre chose. Je leur reproche aussi et surtout leur manque de courage collectif face aux âneries de la réforme du collège, à la consternante débilité des "questionnements" de nos programmes de collège 2016. Ca oui.
Mais l'accompagnement, en soi, ce n'est pas forcément le problème. Des collègues en souffrance seuls avec leurs difficultés, ça me semble un peu plus problématique, et je n'ai pas l'impression que ça soit le fruit du PPCR, loin s'en faut. Et la profession ne se montre d'ailleurs pas toujours sous son meilleur jour face à ce genre de situation.
Cela étant, les projets de Blanquer et compagnie, je n'en attends rien de positif, très clairement. Ce gouvernement de comptables sinistres a assez démontré sa vision de l'école garderie pour "vrais travailleurs utiles" (à l'économie libérale et ses merveilles). Mais je n'ai pas l'impression que l'inspection soit aux commandes de l'EN sous Blanquer, l’administration Blanquer semble plutôt souhaiter les marginaliser (et semble y parvenir).
Le Graal de ces gestionnaires c'est de tout remettre au local entre les mains des chefs d'établissement. L'inspection les gênerait plus qu'autre chose. Et je n'ai pas non plus l'impression que le corps d'inspection de l'EN se réjouisse particulièrement de la réforme des concours de recrutement.
Mais j'observe tout cela d'assez loin, après tout. Je n'officie pas au secteur emploi du SNES.
Ceci dit il est un peu cocasse qu'on en soit encore à dauber sur le PPCR qui établit quasiment le rythme unique (même si on n'a pas obtenu l'équivalent du GC malheureusement), alors que le pouvoir en place ne cherche qu'à individualiser et "rémunérer au mérite".
Bref, j'ai nettement l'impression qu'on se trompe encore de bataille. Et je souhaite que ce qui va nous tomber sur le pif d'ici peu réveille la profession, parce que ça risque d'être bien violent.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- LefterisEsprit sacré
Disons qu'il y a moins de garde-fous, de notes encadrées, et de possibilités de recours, qui deviennent plus difficiles. Chacun est isolé face à sa hiérarchie, il n'y a plus de barème, et parfois des règlements de compte. Au jour le jour, il est difficile de s'en rendre compte, on n'a pas une vue globale. On voit un collègue arriver en tordant le nez, un autre dépité, mais quand on prend du recul, qu'on voit les recours sur une académie, les collègues qui racontent les propos quasiment insultants auxquels ils ont eu droit, on s'aperçoit qu'il y a quand même une bascule. Même sur le forum, on voit un écœurement perceptible, et un fil plus fourni que celui des inspections naguère. Je mesure ma chance d'avoir échappé à tout ça, mais je reconnais que devoir discuter d'"items" ahurissants me semblerait une absurdité doublée d'une humiliation.Isis39 a écrit:
Est-ce pire qu’avant le PPCR avec les inspections classiques ?
Certes, le PPCR est pire que l'ancien système (sauf pour les gens en fin de carrière -comme moi -qui ne perdent rien et ne peuvent que gagner avec la CE), mais une bénédiction à côté de ce qui se prépare. Ce gouvernement est capable du pire , et il le prépare activement : la fin des CAP est le premier palier, et CAP 2022 mettre en place le reste.Tangleding a écrit:Ceci dit il est un peu cocasse qu'on en soit encore à dauber sur le PPCR qui établit quasiment le rythme unique (même si on n'a pas obtenu l'équivalent du GC malheureusement), alors que le pouvoir en place ne cherche qu'à individualiser et "rémunérer au mérite".
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Isis39Enchanteur
Lefteris, ce n’est pas moi qui ai écrit ce que tu cites.
- TangledingGrand Maître
C'est faux. Le ppcr n'est pas pire que l'ancien système, j'ai fait 10 ans à l'ancienneté, il m'a fallu quasiment 15 ans pour franchir la barre des 2000€ mensuels. Il affecte trop les collègues moralement, certes mais ne leur porte pas spécialement préjudice financièrement, hors la petite proportion rationnée qui faisait toute sa carrière au GC.
De même que le décret Hamon censé être le mal absolu s'est avéré plutôt protecteur et a même été source de gains pour les tzr (majoration réellement réglementaire, et non plus coutumière).
De même que le décret Hamon censé être le mal absolu s'est avéré plutôt protecteur et a même été source de gains pour les tzr (majoration réellement réglementaire, et non plus coutumière).
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- LefterisEsprit sacré
Balises corrigéesIsis39 a écrit:Lefteris, ce n’est pas moi qui ai écrit ce que tu cites.
Il y a ralentissement sur l'ensemble de la carrière. Les gens qui faisaient tout à l'ancienneté étaient rares, tous les autres allaient plus vite, et surtout le gain cumulé entre le 1er et le 8e écheln était supérieur en moyenne. Quant au décret Hamon, il a immédiatement été source de conflits, notamment sur les "missions liées", dont le flou artistique faisait que certains CDE en voyaient partout. Et tout ce qui est passé en catimini : tutorat de 2000 à 1250 €, fin de la prime de 500 € (et on fait toujours autant d'HS surtout que deux sont imposées), fin de la bi-admissibilité. La dégradation des conditions d'enseignement (la réforme du collège est aussi un préjudice énorme, c'st une classe de plus et dans des conditions plus dures) Evidemment, ça va cogner encore plus fort maintenant, donc ça sera presque le bon vieux temps. Mais il nous ont quand même mis le compte.Tangleding a écrit:C'est faux. Le ppcr n'est pas pire que l'ancien système, j'ai fait 10 ans à l'ancienneté, il m'a fallu quasiment 15 ans pour franchir la barre des 2000€ mensuels. Il affecte trop les collègues moralement, certes mais ne leur porte pas spécialement préjudice financièrement, hors la petite proportion rationnée qui faisait toute sa carrière au GC.
De même que le décret Hamon censé être le mal absolu s'est avéré plutôt protecteur et a même été source de gains pour les tzr (majoration réellement réglementaire, et non plus coutumière).
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- BaldredSage
Isis39 a écrit:
Est-ce pire qu’avant le PPCR avec les inspections classiques ?
Difficile à dire. Le protocole est sans doute ( beaucoup) plus pesant mais l'enjeu sans doute moindre que lorsque sur un coup de dé pouvait se jouer l'ancienneté ou le grand choix.
J'ai vu à peu près autant de collègues laminés avant et après le PPCR et autant de satisfaits.
Le problème de la nature de l'inspection qui à la fois juge et classe reste le même, classique ou PPCR.
Difficile de se baser sur les ressentis, et sur le nombre de recours puisque l'usine à gaz nouvelle formule a plus de rouages contestables.
Mais on peut raisonnablement supposer que beaucoup d'IPR, et de chargés d'inspection, auront une vision normalisante de moins en moins ouverte à la bonne pratique d'un métier au profit de grilles et d'items à cocher pour évaluer de nouvelles "missions" "compétences" " esprit d'équipe( !) " et "acculturation" à la demande institutionnelle.
- EnaecoVénérable
Lefteris a écrit:Disons qu'il y a moins de garde-fous, de notes encadrées, et de possibilités de recours, qui deviennent plus difficiles. Chacun est isolé face à sa hiérarchie, il n'y a plus de barème, et parfois des règlements de compte. Au jour le jour, il est difficile de s'en rendre compte, on n'a pas une vue globale. On voit un collègue arriver en tordant le nez, un autre dépité, mais quand on prend du recul, qu'on voit les recours sur une académie, les collègues qui racontent les propos quasiment insultants auxquels ils ont eu droit, on s'aperçoit qu'il y a quand même une bascule. Même sur le forum, on voit un écœurement perceptible, et un fil plus fourni que celui des inspections naguère. Je mesure ma chance d'avoir échappé à tout ça, mais je reconnais que devoir discuter d'"items" ahurissants me semblerait une absurdité doublée d'une humiliation.Isis39 a écrit:
Est-ce pire qu’avant le PPCR avec les inspections classiques ?
Je ne suis pas sur...
Personnellement, j'ai l'impression qu'on en parle plus parce que c'est devenu un point de passage obligatoire à des moments clés.
Avant, la question, c'était de savoir à quel rythme passait les inspecteurs dans chaque discipline et de quand datait la dernière visite. Certains pouvant attendre une dizaine d'année avant d'en voir un arriver.
Sans savoir pourquoi et quand ça nous tomberait dessus. Chacun essayant de comprendre la logique des points attribués. Certains qui pestaient parce que les notes étaient plafonnées donc ils passaient des années à stagner.
Maintenant, on se dit "à toi aussi c'est pour cette année ? tu as eu ton rdv avec le chef ?".
Les recours dont j'ai eu vent concernaient une incohérence entre l'avis final et les items (du style 9 "très satisfaisant" + 2 "satisfaisant" pour une appréciation finale "satisfaisant". Et il y a plus extrême comme cas...).
Au final, le recours abouti à un "très satisfaisant". Le collègue est content. (Mais il ne fera pas parti des 30% pour autant...)
- TangledingGrand Maître
Les règlements de compte, ça existe mais ça existait déjà.
Un collègue bon camarade et respecté s'est fait démonter par un jeune inspecteur, je l'ai accompagné dans ses démarches de recours au niveau du bahut, les camarades de la section académique l'ont conseillé tout au long de la procédure de recours. Le recours semble avoir été vain, sinon qu'il a pu contester des éléments factuels à charge et fallacieux. Mais que va-t-il perdre ? Rien. Il se serait fait démonter avant le PPCR, et sa note péda aurait peut-être été baissée.
Quant au chef d'établissement, il n'aurait pu compenser dans les limites étroites de la grille de notation admin. Là avec le PPCR la cheffe aurait pu s'imposer sur les items communs, mais de fait elle n'a fait pas son boulot car le collègue est irréprochable et la cheffe s'est visiblement écrasée (même pas pour lui nuire).
Bref, factuellement, je ne vois pas comment on peut affirmer que le PPCR est pire que l'ancien système. Dans lequel les règlements de compte par IPR avaient déjà lieu, et largement.
Ce qui change c'est que l'impact financier négatif est largement minoré.
Ce qui est vrai c'est que les recours pour notation admin fonctionnaient bien parce que les CE n'étaient souvent pas des lumières. Tandis que maintenant avec l'évaluation mixte, cela semble plus compliqué. Mais aussi l'enjeu matériel devient quasiment inexistant.
Pour ce qui est du rythme d'avancement, je regrette aussi le que GC n'ait pas été obtenu. Mais d'après les calculs qu'on nous avait présentés, le rythme de base actuel était un peu plus rapide que l'ancien choix (sans atteindre le GC). Outre les collègues qui se tapaient l'ancienneté non stop, pour des raisons plus ou moins valables (mais en quoi est-il valable d'être si mal payé quand on fait son boulot ?), il y avait le poids des retards d'inspection parfois très lourds. Et la nuisance extrême de certains IPR réputés pour avoir la gâchette facile.
Pour les décrets Hamon, la bi admissibilité oui, c'est sûr. La prime de 500€ pour les HSA je continue de ne pas la pleurer, désolé. Avant même d'être militant j'ai toujours refusé toute HS. C'était possible, et ma foi, en étant un peu persuasif ça pourrait l'être toujours. Ils n'ont pas rencontré beaucoup de résistance quand ils ont rendu la 2e HSA obligatoire.
Quant aux IMP, c'est un peu la foire du slip, mais ça se passait en catimini par HSE, c'est juste qu'on l'ignorait le plus souvent. Le coup du tutorat diminué ce n'est pas dans les décrets statutaires il me semble.
Depuis que ce décret statutaire est passé, on ne m'a rien imposé de plus qu'avant. Rien. On a même fini par cesser de m'enquiquiner de guerre lasse avec les devoirs communs et cie. J'étais inquiet de ces décrets à cause de la bivalence, mais en fait il est désormais écrit noir sur blanc qu'il faut l'accord du collègue. Bref, il y a une micro garantie de plus.
Pour le coup le délire du mérite qui va nous revenir dans la face d'ici peu, on va vite comprendre ce que ça signifie. Y compris ceux qui pensent d'abord en bénéficier, et qui ne tarderont pas à cracher du sang, dans quelques années.
Pour finir, si ces décrets statutaires n'avaient pas été refondus en août 2014, je pense que les projets actuels de Macron/Blanquer se seraient imposés depuis un bon moment avec l'inénarrable : "statut datant de plus de 50 ans"...
La question c'est maintenant de savoir si la profession est prête à se battre en cas de remise en cause, sans même qu'il soit besoin de ces éléments de langage...
Un collègue bon camarade et respecté s'est fait démonter par un jeune inspecteur, je l'ai accompagné dans ses démarches de recours au niveau du bahut, les camarades de la section académique l'ont conseillé tout au long de la procédure de recours. Le recours semble avoir été vain, sinon qu'il a pu contester des éléments factuels à charge et fallacieux. Mais que va-t-il perdre ? Rien. Il se serait fait démonter avant le PPCR, et sa note péda aurait peut-être été baissée.
Quant au chef d'établissement, il n'aurait pu compenser dans les limites étroites de la grille de notation admin. Là avec le PPCR la cheffe aurait pu s'imposer sur les items communs, mais de fait elle n'a fait pas son boulot car le collègue est irréprochable et la cheffe s'est visiblement écrasée (même pas pour lui nuire).
Bref, factuellement, je ne vois pas comment on peut affirmer que le PPCR est pire que l'ancien système. Dans lequel les règlements de compte par IPR avaient déjà lieu, et largement.
Ce qui change c'est que l'impact financier négatif est largement minoré.
Ce qui est vrai c'est que les recours pour notation admin fonctionnaient bien parce que les CE n'étaient souvent pas des lumières. Tandis que maintenant avec l'évaluation mixte, cela semble plus compliqué. Mais aussi l'enjeu matériel devient quasiment inexistant.
Pour ce qui est du rythme d'avancement, je regrette aussi le que GC n'ait pas été obtenu. Mais d'après les calculs qu'on nous avait présentés, le rythme de base actuel était un peu plus rapide que l'ancien choix (sans atteindre le GC). Outre les collègues qui se tapaient l'ancienneté non stop, pour des raisons plus ou moins valables (mais en quoi est-il valable d'être si mal payé quand on fait son boulot ?), il y avait le poids des retards d'inspection parfois très lourds. Et la nuisance extrême de certains IPR réputés pour avoir la gâchette facile.
Pour les décrets Hamon, la bi admissibilité oui, c'est sûr. La prime de 500€ pour les HSA je continue de ne pas la pleurer, désolé. Avant même d'être militant j'ai toujours refusé toute HS. C'était possible, et ma foi, en étant un peu persuasif ça pourrait l'être toujours. Ils n'ont pas rencontré beaucoup de résistance quand ils ont rendu la 2e HSA obligatoire.
Quant aux IMP, c'est un peu la foire du slip, mais ça se passait en catimini par HSE, c'est juste qu'on l'ignorait le plus souvent. Le coup du tutorat diminué ce n'est pas dans les décrets statutaires il me semble.
Depuis que ce décret statutaire est passé, on ne m'a rien imposé de plus qu'avant. Rien. On a même fini par cesser de m'enquiquiner de guerre lasse avec les devoirs communs et cie. J'étais inquiet de ces décrets à cause de la bivalence, mais en fait il est désormais écrit noir sur blanc qu'il faut l'accord du collègue. Bref, il y a une micro garantie de plus.
Pour le coup le délire du mérite qui va nous revenir dans la face d'ici peu, on va vite comprendre ce que ça signifie. Y compris ceux qui pensent d'abord en bénéficier, et qui ne tarderont pas à cracher du sang, dans quelques années.
Pour finir, si ces décrets statutaires n'avaient pas été refondus en août 2014, je pense que les projets actuels de Macron/Blanquer se seraient imposés depuis un bon moment avec l'inénarrable : "statut datant de plus de 50 ans"...
La question c'est maintenant de savoir si la profession est prête à se battre en cas de remise en cause, sans même qu'il soit besoin de ces éléments de langage...
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- FloxidNiveau 2
Je vais peut être dire de grosses bêtises alors que les anciens n'hésitent pas à me corriger avec des calculs savants^^Tangleding a écrit:
Bref, factuellement, je ne vois pas comment on peut affirmer que le PPCR est pire que l'ancien système. Dans lequel les règlements de compte par IPR avaient déjà lieu, et largement.
Dans la mesure ou PPCR a remplacé l'indexation de notre salaire sur l'inflation de manière semble-t-il définitive et que le compte n'y est pas, il semble que, même pour ceux qui ne bénéficiaient pas d'accélération de carrière, on y ait sacrément perdu au change.
Faudrait faire le calcul mais quand je vois les sommes monstrueuses qu'on y laisse, peu de chance que PPCR y fasse quoi que ce soit. Rien que sur ce mandat, c'est 5% de notre pouvoir d'achat en moins (j'anticipe pour le calcul une inflation cette année et l'an prochain avec un raisonnable 1% même si je pense que ce sera bien plus au vu des impressions récentes de monnaies, l'explosion du coût actuel des matières premières et la tentation certaines pour pas mal d'acteurs privés de jouer le rattrapage du covid quand viendra l'heure de la reprise en augmentant les prix). Je ne fais pas le calcul depuis le début du gel du point d'indice, on le trouve partout, et c'est trop déprimant.
Ajouté à ça qu'en changeant tout le temps d'échelon, y'a une prime dans la fonction publique qui justement est supposée compenser en partie l'inflation depuis le gel du point d'indice mais qu'on ne touche jamais puisque le calcul s'effectue tous les x années, et qu'on n'augmente que ceux qui n'ont pas changé de salaire et donc d'échelon. Forcément, si on change d'échelon tous les x -0.5 années, c'est embêtant à cet égard... Il vaudrait mieux des échelons plus longs et une augmentation substantielles entre chaque (ou alors un calcul de cette prime dont le nom m'échappe sur des périodes plus courtes). Mais en attendant, avec PPCR, cette prime on peut l'oublier une bonne partie de la carrière.
Et pour finir, PPCR, c'est bien joli car ca permet d'avancer vite, mais il semble que ça bouchonne à la fin de la classe normale et qu'on est très vite bloqué au bout d'une quinzaine d'années... L'occasion de retrouver le nom de cette fameuse prime suscitée quand elle apparaitra enfin sur sa fiche de paye en attendant le passage à la HC s'il arrive un jour, j'imagine.
- VicomteDeValmontGrand sage
_________________
Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- AudreyOracle
Cassandrine a écrit:Certains ont reçu la feuille de route RH de leur académie. Le vocabulaire employé m'interpelle. Je ne comprends pas tout ou plutôt, je crois comprendre des choses très bizarres.
En voici, quelques lignes:
"C'est dans cette perspective que s'inscrit notre feuille de route académique dont l'enjeu essentiel est d'améliorer notre qualité de vie au travail et que j'ai le plaisir
de vous adresser en PJ.
Elle s'articule autour de quatre axes :
- favoriser la transversalité en décloisonnant nos modes de pilotage et d'animation du territoire et des personnels
- proposer plus de proximité grâce à l'accompagnement RH et la digitalisation des process
- déployer une formation plus agile et plus moderne
- rendre notre académie plus attractive en facilitant les mobilités, les transitions professionnelles, en réinventant du collectif.".
Ce vocabulaire vient du management non?
Voilà voilà.... notre qualité de vie à nous, les profs, ils s'en fichent: ils veulent améliorer la leur.
- Clecle78Bon génie
La novlangue à vomir ...
- StorkNiveau 4
Audrey a écrit:Voilà voilà.... notre qualité de vie à nous, les profs, ils s'en fichent: ils veulent améliorer la leur.
Ouaip. Et pendant ce temps, les gamins français (enfin les normaux ^^, pas ceux des hautes castes) sont toujours 30 par classe dans le bruit et la fureur, de plus en plus souvent en cours double pourri dans l’enseignement primaire, avec un prof qui fait ce qu’il peut sans moyens ou même sans prof du tout vu qu’il n’y a pas de remplaçant quand le dit prof a fini par faire son burn-out.
- nonorenoNiveau 9
Elle s'articule autour de quatre axes :
- favoriser la transversalité en décloisonnant nos modes de pilotage et d'animation du territoire et des personnels
- proposer plus de proximité grâce à l'accompagnement RH et la digitalisation des process
- déployer une formation plus agile et plus moderne
- rendre notre académie plus attractive en facilitant les mobilités, les transitions professionnelles, en réinventant du collectif.".
Je pensais à une parodie / blague, et puis j'ai copié/collé ce verbiage marketing-pseudo-startup-branchouille dans google...
On se croirait à la COGIP, mais sans les avantages. On attend désormais de pied ferme le comité d'entreprise de notre ent..établissement.
https://www.pipotronic.com/
Je rajoute un complément : au cœur de l'opportunité formation, il faut un signal fort : dématerialiser les référents établissement, pour optimiser le process d'agilité digital, afin d'obtenir une convergence motivationnelle.
Du pipotron IUFMesque au pipotron start-up nation, la boucle est bouclée.
Edit : le PDF fait parler sur un autre site, bonne lecture : https://forums.jeuxonline.info/sujet/1197455-367/l-enseignement-en-france-et-a-l-etranger
- Isis39Enchanteur
Tangleding a écrit:Les règlements de compte, ça existe mais ça existait déjà.
Un collègue bon camarade et respecté s'est fait démonter par un jeune inspecteur, je l'ai accompagné dans ses démarches de recours au niveau du bahut, les camarades de la section académique l'ont conseillé tout au long de la procédure de recours. Le recours semble avoir été vain, sinon qu'il a pu contester des éléments factuels à charge et fallacieux. Mais que va-t-il perdre ? Rien. Il se serait fait démonter avant le PPCR, et sa note péda aurait peut-être été baissée.
Quant au chef d'établissement, il n'aurait pu compenser dans les limites étroites de la grille de notation admin. Là avec le PPCR la cheffe aurait pu s'imposer sur les items communs, mais de fait elle n'a fait pas son boulot car le collègue est irréprochable et la cheffe s'est visiblement écrasée (même pas pour lui nuire).
Bref, factuellement, je ne vois pas comment on peut affirmer que le PPCR est pire que l'ancien système. Dans lequel les règlements de compte par IPR avaient déjà lieu, et largement.
Ce qui change c'est que l'impact financier négatif est largement minoré.
Quant aux IMP, c'est un peu la foire du slip, mais ça se passait en catimini par HSE, c'est juste qu'on l'ignorait le plus souvent. .
Ce qui change, c'est que, en tant que référent numérique, je pouvais avoir une décharge. Et qu'une IMP c'est des économies par rapport à une HSA. Donc c'est pire qu'avant. J'y ai perdu.
Edit : je ne suis pas concernée par les RV de carrière. Je suis bien contente d'être trop vieille pour le coup. J'ai aidé une collègue à remplir son dossier. Quelle horreur !
- TangledingGrand Maître
Ça devrait être une décharge la mission de référent numérique, c'est certain.
Pour le rdvc on n'est pas obligé de remplir ce machin, il me semble. Je n'ai rien rempli. Mon objectif était certes seulement de réussir une belle séance de lecture analytique. Objectif une fois de plus manqué, mais c'est une autre histoire. Les enjeux financiers des rdvc sont si minces que l'essentiel devrait être l'enjeu didactique/pédagogique, de mon point de vue. Ce serait nettement plus sain, accessoirement, vu que c'est le cœur du métier.
Pour le rdvc on n'est pas obligé de remplir ce machin, il me semble. Je n'ai rien rempli. Mon objectif était certes seulement de réussir une belle séance de lecture analytique. Objectif une fois de plus manqué, mais c'est une autre histoire. Les enjeux financiers des rdvc sont si minces que l'essentiel devrait être l'enjeu didactique/pédagogique, de mon point de vue. Ce serait nettement plus sain, accessoirement, vu que c'est le cœur du métier.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- trompettemarineMonarque
Voici le message reçu de la part du rectorat. Ils ont même osé la couleur Orange. Cela m'a fait frémir. J'espère que cela restera des mots et qu'on ne vivra pas ce qu'ont vécu les salariés de France-télécom.
- Fichiers joints
- A TuinVénérable
On dirait une annonce de plan social.
Pourquoi les acteurs principaux, à savoir les élèves, ne sont jamais évoqués ? L'idée serait quand même de valoriser leurs apprentissages par un enseignement qualitatif non ?
Pourquoi les acteurs principaux, à savoir les élèves, ne sont jamais évoqués ? L'idée serait quand même de valoriser leurs apprentissages par un enseignement qualitatif non ?
- tAoKHabitué du forum
tAoK a écrit:Du coup cela m'interpelle. Je suis stagiaire, mais échelon 3 après reclassement.
Est-ce ce statut de stagiaire qui fait que je n'ai rien touché ?
Je me permets un petit auto-quote.
Y a-t-il des stagiaires qui ne seraient pas échelon 1 dans les parages ? Avez-vous touché la revalorisation sur la paie de mai ?
- trompettemarineMonarque
@tAoK, ta question est très spécifique. Je pense qu'il vaut mieux que tu contactes un syndicat qui pourra te conseiller et te défendre.
- trompettemarineMonarque
Oui, ça fait peur. J'avoue que j'ai ressenti comme une immense tristesse qui s'abattait brutalement sur moi.A Tuin a écrit:On dirait une annonce de plan social.
Pourquoi les acteurs principaux, à savoir les élèves, ne sont jamais évoqués ? L'idée serait quand même de valoriser leurs apprentissages par un enseignement qualitatif non ?
- LordAnthonyNiveau 6
tAoK a écrit:tAoK a écrit:Du coup cela m'interpelle. Je suis stagiaire, mais échelon 3 après reclassement.
Est-ce ce statut de stagiaire qui fait que je n'ai rien touché ?
Je me permets un petit auto-quote.
Y a-t-il des stagiaires qui ne seraient pas échelon 1 dans les parages ? Avez-vous touché la revalorisation sur la paie de mai ?
Stagiaire échelon 7, je n'ai pas touché un centime...
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