- AdrenFidèle du forum
Je profite de la question de Jenny, je tenterais bien Les annales su disque monde" pour ce défi. Ce serait l'occasion de découvrir ce cycle.
Je note le titre pour la dystopie, je ne le connaissais pas.
Je note le titre pour la dystopie, je ne le connaissais pas.
- AdrenFidèle du forum
Et j'en profite aussi pour te répondre, je trouve que "La mer de la fertilité" convient parfaitement, j'en garde un souvenir puissant.
- JennyMédiateur
Merci !
J’ai très peu lu Mishima pour l’instant (j’ai juste lu Vie à vendre), c’est un auteur que j’ai très envie de découvrir plus.
J’ai très peu lu Mishima pour l’instant (j’ai juste lu Vie à vendre), c’est un auteur que j’ai très envie de découvrir plus.
- AphrodissiaMonarque
@Agripina furiosa: je prends note de ton insolence. J'ai déjà croisé ce titre de Rambaud mais je le lirai, tiens, si je le retrouve à la bibliothèque.
@Jenny : un grand cycle, je crois que c'est un cycle universellement connu: les Rougon-Macquart, La comédie humaine, La recherche du temps perdu, pourquoi pas Les Jalna? Je pense que c'est un cycle best-seller. Mishima m'a l'air de rentrer dans ce cadre.
@Jenny : un grand cycle, je crois que c'est un cycle universellement connu: les Rougon-Macquart, La comédie humaine, La recherche du temps perdu, pourquoi pas Les Jalna? Je pense que c'est un cycle best-seller. Mishima m'a l'air de rentrer dans ce cadre.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- AdrenFidèle du forum
La mer de la fertilité est très different de Vies à vendre que j'avais découvert grâce à toi.
- JennyMédiateur
J’avais lu que Vie à vendre était plutôt atypique dans son œuvre, mais je pense que ses autres livres me plairont.
- SphinxProphète
sylvie57 a écrit:Bon, je commence avec le défi 1 (auteur canadien). Des néos ont conseillé Louise PENNY sur le fil 'polars'. Je cherchais des idées cadeaux pour ma BM et cette auteure m'a tentée. Du coup, j'ai acheté le premier livre de la série Armand Gamache enquete . En français pour ma BM et en anglais pour moi !
Exactement pareil, j'ai lu ce nom sur le fil polars et j'ai commandé le premier (ma mère voulait que je commande un truc sur Amazon et y ajouter un livre évitait les frais de port). Il est arrivé avant moi et j'ai attendu hier pour le commencer. En français, comme ça je le laisse à ma mère après.
Donc c'est le genre meurtre dans un petit village, si vous aimez les serial killers et les ambiances gore, passez votre chemin. Des côtés assez conventionnels (le meurtre qui trouble un petit village paisible, l'inspecteur expérimenté) mais avec aussi des touches très personnelles, notamment un humour léger et un intérêt marqué pour la psychologie des personnages secondaires. Dans l'ensemble c'est bien écrit, y compris en traduction, et je pense que je lirai le suivant.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- Cléopatra2Guide spirituel
Ah oui, je crois que j'en ai lu un, il y a longtemps. Chez Babel?
- JennyMédiateur
Je peux lire une quinzaine de livres de ma PAL pour le défi.
- AsarteLilithBon génie
Adren a écrit:Je profite de la question de Jenny, je tenterais bien Les annales su disque monde" pour ce défi. Ce serait l'occasion de découvrir ce cycle.
Je note le titre pour la dystopie, je ne le connaissais pas.
Avec plaisir ! L'auteur est lui-même ancien policier et a écrit plusieurs polars.
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- SphinxProphète
Cléopatra2 a écrit:Ah oui, je crois que j'en ai lu un, il y a longtemps. Chez Babel?
Oui c'est ça, chez Babel Noir
Adren a écrit:Je profite de la question de Jenny, je tenterais bien Les annales su disque monde" pour ce défi. Ce serait l'occasion de découvrir ce cycle.
Je ne sais pas si Les Annales du Disque-Monde sont considérées comme un "grand cycle" (le cycle compte 41 romans, il fait partie de mon panthéon personnel, et
https://en.wikipedia.org/wiki/Discworld, mais la fantasy a encore du mal à ne pas être considérée comme un sous-genre, cf les débats pour ce même défi sur "ah non pas encore un roman de fantasy" alors qu'on ne voit aucun problème à avoir 40 romans réalistes sur 50 lectures )In the BBC's Big Read, four Discworld novels were in the top 100, and a total of fourteen in the top 200. More than 80 million Discworld books have been sold in 37 languages.
Mais, juste au cas, où, une bonne partie des romans se qualifient pour l'item "Sorcières".
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- PointàlaligneExpert
Pour le défi 43 "Enfer ou Paradis", j'ai lu Rosa Candida d'Auður Ava Ólafsdóttir. (convient aussi pour : publié aux éditions Zulma, les initiales de l'auteur sont des voyelles, relations familiales, œuvres d'art, merveille...).
Un roman facile à lire, où les tourments du jeune narrateur (il est victime d'une crise d'appendicite aiguë le jour de son envol du nid familial, son frère jumeau handicapé ne parle pas, sa mère vient de mourir, il a conçu un enfant sans le vouloir, il réfléchit au deuil et au sens à donner à sa vie...) sont traités sur un ton léger, dans un monde où l'on ne fait que des rencontres bienveillantes. Contrairement à Adam chassé du jardin d'Eden, il y termine son voyage, en remettant en état une fabuleuse roseraie dans un lointain monastère, où il apprendra à connaître son enfant. Pas de serpent dans ce jardin, mais comme directeur de conscience, un moine cinéphile qui émaille leurs conversations sur la mort de références à de grands films. La contemplation de la nature rejoint celle des vitraux et des tableaux religieux pour susciter l'émerveillement du narrateur et de son enfant.
Verdict, comme dirait Ryuzaki : plaisant.
Un roman facile à lire, où les tourments du jeune narrateur (il est victime d'une crise d'appendicite aiguë le jour de son envol du nid familial, son frère jumeau handicapé ne parle pas, sa mère vient de mourir, il a conçu un enfant sans le vouloir, il réfléchit au deuil et au sens à donner à sa vie...) sont traités sur un ton léger, dans un monde où l'on ne fait que des rencontres bienveillantes. Contrairement à Adam chassé du jardin d'Eden, il y termine son voyage, en remettant en état une fabuleuse roseraie dans un lointain monastère, où il apprendra à connaître son enfant. Pas de serpent dans ce jardin, mais comme directeur de conscience, un moine cinéphile qui émaille leurs conversations sur la mort de références à de grands films. La contemplation de la nature rejoint celle des vitraux et des tableaux religieux pour susciter l'émerveillement du narrateur et de son enfant.
Verdict, comme dirait Ryuzaki : plaisant.
- AphrodissiaMonarque
De Mauvignier, j'ai lu l'an dernier Dans la foule, qui relate la finale de la coupe d'Europe de foot à Bruxelles en 1985, le drame du Heysel: les hooligans anglais s'étaient déchaînés dans les tribunes, faisant une quarantaine de morts.liskaya a écrit:Pour le défi 16, un livre qui comporte un secret, j'ai lu quasiment en apnée Histoires de la nuit de Laurent Mauvignier. Vous connaissez peut-être la particularité de ce livre, qui joue avec les nerfs du lecteur en nous livrant les pensées de chacun des personnages, toutes leurs pensées, chacune de leurs pensées... et cela dure... dure... J'ai adoré ! mais je pense que ça peut aussi agacer.
La narration est prise en charge par quatre personnages dans des monologues intérieurs qui s'enchaînent et font avancer (parfois lentement) l'action. Chacun raconte ce qu'il a vu, entendu, vécu, pensé, compris... Il n'y a pas de narrateur pour passer de l'un à l'autre. Est-ce que c'est le même procédé?
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- nicole 86Expert spécialisé
Sphinx a écrit:Adren a écrit:Je profite de la question de Jenny, je tenterais bien Les annales du disque monde" pour ce défi. Ce serait l'occasion de découvrir ce cycle.
Je ne sais pas si Les Annales du Disque-Monde sont considérées comme un "grand cycle" (le cycle compte 41 romans, il fait partie de mon panthéon personnel, et
https://en.wikipedia.org/wiki/Discworld, mais la fantasy a encore du mal à ne pas être considérée comme un sous-genre, cf les débats pour ce même défi sur "ah non pas encore un roman de fantasy" alors qu'on ne voit aucun problème à avoir 40 romans réalistes sur 50 lectures )In the BBC's Big Read, four Discworld novels were in the top 100, and a total of fourteen in the top 200. More than 80 million Discworld books have been sold in 37 languages.
Mais, juste au cas, où, une bonne partie des romans se qualifient pour l'item "Sorcières".
Je corrige : j'ai lu à sa parution en français Le Seigneur des anneaux.
Cette année peu de romans sont imposés, à nous les essais, pièces de théâtre, mémoires, biographies et autres !
- Cle73Niveau 4
Aphrodissia a écrit:De Mauvignier, j'ai lu l'an dernier Dans la foule, qui relate la finale de la coupe d'Europe de foot à Bruxelles en 1985, le drame du Heysel: les hooligans anglais s'étaient déchaînés dans les tribunes, faisant une quarantaine de morts.liskaya a écrit:Pour le défi 16, un livre qui comporte un secret, j'ai lu quasiment en apnée Histoires de la nuit de Laurent Mauvignier. Vous connaissez peut-être la particularité de ce livre, qui joue avec les nerfs du lecteur en nous livrant les pensées de chacun des personnages, toutes leurs pensées, chacune de leurs pensées... et cela dure... dure... J'ai adoré ! mais je pense que ça peut aussi agacer.
La narration est prise en charge par quatre personnages dans des monologues intérieurs qui s'enchaînent et font avancer (parfois lentement) l'action. Chacun raconte ce qu'il a vu, entendu, vécu, pensé, compris... Il n'y a pas de narrateur pour passer de l'un à l'autre. Est-ce que c'est le même procédé?
Je n'ai pas lu tous les romans de Mauvignier, mais l'auteur utilise souvent ce procédé. C'était le cas dans son premier roman, Loin d'eux, qui évoque le suicide d'un jeune de 25 ans vu par les membres de sa famille. Egalement le cas dans un roman que j'avais beaucoup aimé, Des Hommes, qui traite de la guerre d'Algérie. Des trois que j'ai lus, Dans la foule est peut-être celui que j'ai préféré.
- miss sophieExpert spécialisé
Lu pour le défi 8 (Résister / Se soumettre) : La tresse de Laetitia Colombani (2017), un beau roman qui entremêle trois vies de femmes qui décident de ne pas se laisser faire, en Inde, en Italie et au Canada.
- nath75Niveau 6
Cle73 a écrit:Aphrodissia a écrit:De Mauvignier, j'ai lu l'an dernier Dans la foule, qui relate la finale de la coupe d'Europe de foot à Bruxelles en 1985, le drame du Heysel: les hooligans anglais s'étaient déchaînés dans les tribunes, faisant une quarantaine de morts.liskaya a écrit:Pour le défi 16, un livre qui comporte un secret, j'ai lu quasiment en apnée Histoires de la nuit de Laurent Mauvignier. Vous connaissez peut-être la particularité de ce livre, qui joue avec les nerfs du lecteur en nous livrant les pensées de chacun des personnages, toutes leurs pensées, chacune de leurs pensées... et cela dure... dure... J'ai adoré ! mais je pense que ça peut aussi agacer.
La narration est prise en charge par quatre personnages dans des monologues intérieurs qui s'enchaînent et font avancer (parfois lentement) l'action. Chacun raconte ce qu'il a vu, entendu, vécu, pensé, compris... Il n'y a pas de narrateur pour passer de l'un à l'autre. Est-ce que c'est le même procédé?
Je n'ai pas lu tous les romans de Mauvignier, mais l'auteur utilise souvent ce procédé. C'était le cas dans son premier roman, Loin d'eux, qui évoque le suicide d'un jeune de 25 ans vu par les membres de sa famille. Egalement le cas dans un roman que j'avais beaucoup aimé, Des Hommes, qui traite de la guerre d'Algérie. Des trois que j'ai lus, Dans la foule est peut-être celui que j'ai préféré.
L'usage du monologue intérieur est la caractéristique principale de son style, que l'on retrouve de fait dans chacun de ses textes
- chtitenonoNiveau 1
Bonjour,
Je vais essayer de me joindre au défi.... Pour celui n°31, je viens de commencer Le frère de sang de Giacometti et Ravenne. Livre de saga policière sur fond de franc maconnerie. Ca rentre bien dans les clous de ce défi n'est ce pas?
Je vais essayer de me joindre au défi.... Pour celui n°31, je viens de commencer Le frère de sang de Giacometti et Ravenne. Livre de saga policière sur fond de franc maconnerie. Ca rentre bien dans les clous de ce défi n'est ce pas?
- Sandrine MainardNiveau 1
Moi, A la recherche du temps perdu. Cela fait des années que ce roman-fleuve m'accompagne. Il serait temps d'y mettre un terme.
- gregforeverGrand sage
chtitenono a écrit:Bonjour,
Je vais essayer de me joindre au défi.... Pour celui n°31, je viens de commencer Le frère de sang de Giacometti et Ravenne. Livre de saga policière sur fond de franc maconnerie. Ca rentre bien dans les clous de ce défi n'est ce pas?
Oui nickel!
- chtitenonoNiveau 1
Petite question : je n'ai pas d'abonnement à Télérama et je ne peux donc pas accéder à la bibliothèque idéale. Quelqu'un peut-il / elle me fournir la liste please?
- miss sophieExpert spécialisé
Les listes sont accessibles là : https://www.telerama.fr/livre/bibliotheque-ideale-les-100-livres-preferes-de-telerama-6658929.php
- AsarteLilithBon génie
chtitenono a écrit:Bonjour,
Je vais essayer de me joindre au défi.... Pour celui n°31, je viens de commencer Le frère de sang de Giacometti et Ravenne. Livre de saga policière sur fond de franc maconnerie. Ca rentre bien dans les clous de ce défi n'est ce pas?
Plutôt je trouve !
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- EdithWGrand sage
miss sophie a écrit:Lu pour le défi 8 (Résister / Se soumettre) : La tresse de Laetitia Colombani (2017), un beau roman qui entremêle trois vies de femmes qui décident de ne pas se laisser faire, en Inde, en Italie et au Canada.
Le dernier Goncourt des lycéens est aussi sur ce thème : trois monologues de femmes africaines (Cameroun du nord, ethnie peul), c'est assez fort et pas trop long à lire. Je l'ai acheté pour mes filles et je l'ai lu pour vérifier que ce n'était pas trop violent. Les Impatientes de Djaïli Amadou Amal, édition Emmanuelle Colas.
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