Neo défi lecture 2021 - Ici, on papote !

gluche a écrit:12: Un livre qui évoque le grand Nord.
J’ai lu, un an après beaucoup de monde ! Tous les Hommes n’habitent pas le monde de la même façon de Jean-Paul Dubois, prix Goncourt 2019, dont une partie de l’action se passe au Canada. J’ai beaucoup aimé plein de choses : l’évocation de la vie en prison, la narration construite vers la révélation finale du crime commis, le beau personnage de la femme du narrateur, le mélange d’humanité et de violence chez chez le narrateur, la peinture sociale.

Avis radicalement opposé au mien.

Cle73, il y a une subordonnée relative dans le tite, ça remplit le défi 27

liskaya a écrit:La question avait été posée plus haut, mais je n'ai pas trouvé la réponse... Comment entendez-vous le défi 20 : Merveille ?

J'avais vu ta question et j'attendais moi aussi des réponses car je ne sais pas trop quoi y mettre, j'espérais que celle/celui qui a proposé ce défi vienne développer son idée. Un livre avec un trésor ?
Merveilleux aurait été plus simple, plus réducteur sans doute aussi ...

nath75 a écrit:
Je vous mets la chronique que j'ai écrite sur instagram:

Il y a quelques jours je proposais sur le fil du défi 2020 à ceux qui ont des comptes insta de les partager afin qu'on puisse se suivre et partager nos chroniques de lectures : si ça te dit, le lien peut passer en mp.

Médée a écrit:Que comprend le thème "merveille" ? De la fantasy comme un livre que l'on trouve être une "merveille" ?

Eloah a écrit:
Cle73, il y a une subordonnée relative dans le tite, ça remplit le défi 27  

liskaya a écrit:La question avait été posée plus haut, mais je n'ai pas trouvé la réponse... Comment entendez-vous le défi 20 : Merveille ?

J'avais vu ta question et j'attendais moi aussi des réponses car je ne sais pas trop quoi y mettre, j'espérais que celle/celui qui a proposé ce défi vienne développer son idée.   Un livre avec un trésor ?
Merveilleux aurait été plus simple, plus réducteur sans doute aussi ...  

J'avais également posé la question en proposant ce que je remets ici, mais je n'ai pas eu de réponse non plus, du coup je considère que ce que j'ai proposé est valide !

:sapin: Pour le défi 39 "C'est la guerre", je place une lecture trouvée sous le sapin : La Médecin, Une Infectiologue au temps du corona, de Karine Lacombe (l'infectiologue) et Fiamma Luzzati (auteur de BD, tient un blog de vulgarisation scientifique sur le site du Monde  : L'Avventura; on peut y voir des extraits du livre). C'est un roman graphique qui suit deux personnages : la médecin, donc, et une patiente fictive dont l'histoire est empruntée à celle de plusieurs malades. La médecin se bat au quotidien dans son hôpital contre le coronavirus et dans les media pour prendre la parole en tant que médecin et en tant que femme (la dimension féministe est très présente dans le parcours des deux personnages). Pour le côté reportage, j'aurais préféré moins de media et plus d'hôpital, c'est frustrant de ne pas voir davantage le quotidien d'un soignant alors que c'est un peu ce qu'annonce le titre... C'est le deuxième livre de Fiamma Luzzati sur le sujet, mais je n'ai pas lu l'autre.

Karine Lacombe passe plus de temps depuis quelques mois sur les plateaux télé que dans son service visiblement. Ton commentaire ne m'étonne pas trop du coup.J'aime bien Fiamma Luzzati par contre.

Eloah, je t'ai envoyé un message privé
Je suis pour ma part en train de finir Ici n'est plus ici de Tommy Orange, qui conviendra pour le défi 21: un livre qui évoque un peuple autochtone opprimé.
Je ne suis pas totalement convaincue pour l'instant. Je passe un bon moment, mais je trouve que le propos reste très superficiel. Il me reste 100 pages, j'espère donc que le récit va gagner en profondeur.

Ombre, je n'ai moi non plus jamais lu L'Homme qui rit, même si j'en connais l'intrigue et des extraits, cette lacune sera bientôt comblée.

J'avais lu Le contrat de mariage adolescente, dans un volume où il y avait aussi L'Interdiction, autre texte court et dense sur les dangers du mariage, ici une épouse qui veut ôter à son mari la libre disposition de ses biens ; on y voit les débuts du clairvoyant juge Popinot.
Et il y avait aussi dans ce volume La messe de l'athée, très court, une belle histoire de fidélité et de reconnaissance (je n'en dis pas plus).
Je signale ces titres pour ceux qui seraient rebutés par la longueur des oeuvres du défi 3

Dans les grands cycles littéraires du défi 3, je mettrais aussi Les Hommes de bonne volonté, considère-t-on d'ailleurs que Jules Romains entre dans le défi 10 ou dans le défi 34 ?

Je commence !
Pour le défi 20 (Merveille) mais convenant aussi pour les 22 (vie familiale, et notamment désir de maternité, amour des parents pour leurs enfants), 39 (c'est la guerre) et 46 (histoire avec un train) : La plus précieuse des marchandises de Jean-Claude Grumberg (2019).
C’est l’histoire d’une pauvre bûcheronne qui espérait un enfant qui lui fut un jour envoyé par les cieux - ou plus exactement jeté d’un train parti de Drancy, en 1943. J’ai bien aimé la façon dont Grumberg raconte avec la simplicité d’« un conte » comme l’annonce le sous-titre de l’œuvre.

miss sophie a écrit:   Je commence !
  Pour le défi 20 (Merveille) mais convenant aussi pour les 22 (vie familiale, et notamment désir de maternité, amour des parents pour leurs enfants), 39 (c'est la guerre) et 46 (histoire avec un train) : La plus précieuse des marchandises de Jean-Claude Grumberg (2019).
  C’est l’histoire d’une pauvre bûcheronne qui espérait un enfant qui lui fut un jour envoyé par les cieux - ou plus exactement jeté d’un train parti de Drancy, en 1943. J’ai bien aimé la façon dont Grumberg raconte avec la simplicité d’« un conte » comme l’annonce le sous-titre de l’œuvre.

Ce livre est absolument intéressant. Avec une collègue de Français nous sommes en train de réfléchir à l'intégrer dans une étude en 3e en filé histoire et Français. La question des repères spatiaux et temporels sont tout à fait intéressants parce que rien n'est dit, les codes du conte sont repris. Il y a beaucoup à faire avec ce livre.
Comme tu le dis c'est une écriture simple et pourtant très belle.

Bonjour ! Mille excuses, c'est moi qui avais proposé l'item "merveille". Comme vous l'avez bien supposé, j'avais pensé à la polysémie du mot. Pour moi, entrent dans l'item les ouvrages remarquables par leur beauté, mais aussi ceux traitant d'une histoire qui contient un événement ou un lieu prodigieux, extraordinaires. Chacun s'appropriera le mot dans le sens qui lui convient.

Tremere a écrit:les ouvrages remarquables par leur beauté

S'agit-il de la beauté du style de l'écriture, ou de la beauté de livres qui comportent, par exemple, des images ?
Car je suis en train de lire La Presqu'île de Gracq, et je viens de terminer, en particulier La Route. Certaines phrases touchent au sublime, à mes yeux (même si paralyse du coup toute narration), et je ne sais pas si je peux mettre ça dans "merveille".

Pour moi, oui, clairement.
Ce qui t'émerveille, en somme.

J'ai découvert sur le tard L'Homme qui rit également et j'ai littéralement adoré ! J'ai hâte de voir ce que vous en aurez pensé.
De mon côté, j'ai lu Personnages désespérés de Paula Fox qui me permet de valider le défi 22 (un livre qui évoque la vie familiale).
J'avais lu un article qui parlait de ce roman il y a quelques mois comme étant un incontournable de la littérature américaine du XXe.
Otto et Sophie vivent sans enfants dans une belle maison bourgeoise. Un soir, Sophie se fait mordre par un chat errant alors qu'elle voulait le nourrir. C'est le début d'une série de petits désastres qui viennent gâcher leur vie de couple et révèlent les fêlures de leur mariage.
Le roman date de 1970, je n'en avais jamais entendu parler ! J'ai trouvé la lecture plaisante, et même s'il ne se passe pas grand chose on ne s'ennuie pas. Le ton oscille entre humour, absurde et réflexion plus profonde sur le couple. Une découverte sympa.

Tremere a écrit:Pour moi, oui, clairement.
Ce qui t'émerveille, en somme.

Merci pour ta réponse.
Ce sera assurément ma merveille, alors.

Volo' a écrit:

miss sophie a écrit:   Je commence !
  Pour le défi 20 (Merveille) mais convenant aussi pour les 22 (vie familiale, et notamment désir de maternité, amour des parents pour leurs enfants), 39 (c'est la guerre) et 46 (histoire avec un train) : La plus précieuse des marchandises de Jean-Claude Grumberg (2019).
  C’est l’histoire d’une pauvre bûcheronne qui espérait un enfant qui lui fut un jour envoyé par les cieux - ou plus exactement jeté d’un train parti de Drancy, en 1943. J’ai bien aimé la façon dont Grumberg raconte avec la simplicité d’« un conte » comme l’annonce le sous-titre de l’œuvre.

Ce livre est absolument intéressant. Avec une collègue de Français nous sommes en train de réfléchir à l'intégrer dans une étude en 3e en filé histoire et Français. La question des repères spatiaux et temporels sont tout à fait intéressants parce que rien n'est dit, les codes du conte sont repris. Il y a beaucoup à faire avec ce livre.
Comme tu le dis c'est une écriture simple et pourtant très belle.

Je pense aussi à l'étudier avec des 3e. Nous avons commandé une série, il vient de sortir en poche.

lisontine a écrit:

Volo' a écrit:

miss sophie a écrit:   Je commence !
  Pour le défi 20 (Merveille) mais convenant aussi pour les 22 (vie familiale, et notamment désir de maternité, amour des parents pour leurs enfants), 39 (c'est la guerre) et 46 (histoire avec un train) : La plus précieuse des marchandises de Jean-Claude Grumberg (2019).
  C’est l’histoire d’une pauvre bûcheronne qui espérait un enfant qui lui fut un jour envoyé par les cieux - ou plus exactement jeté d’un train parti de Drancy, en 1943. J’ai bien aimé la façon dont Grumberg raconte avec la simplicité d’« un conte » comme l’annonce le sous-titre de l’œuvre.

Ce livre est absolument intéressant. Avec une collègue de Français nous sommes en train de réfléchir à l'intégrer dans une étude en 3e en filé histoire et Français. La question des repères spatiaux et temporels sont tout à fait intéressants parce que rien n'est dit, les codes du conte sont repris. Il y a beaucoup à faire avec ce livre.
Comme tu le dis c'est une écriture simple et pourtant très belle.

Je pense aussi à l'étudier avec des 3e. Nous avons commandé une série, il vient de sortir en poche.

Merci pour l'information, je ne savais pas qu'il était paru en poche. Cela donne un argument supplémentaire puisqu'il diminue de moitié prix, de fait.

Tu nous diras s'il plaît à tes élèves, Lisontine ?

Pour le défi "montagnes françaises", j'ai lu Laure du bout du monde, de Pierre Magnan, qui se passe dans les Alpes (il devrait convenir aussi pour "le Sud"). Ce livre n'a pas la force du Sang des Atrides ou de La Maison Assassinée, mais il est très attachant. On suit le destin d'une fillette rejetée par sa mère, qui pousse comme elle peut grâce à ses grands parents et à ses tantes (convient aussi pour le défi "relations familiales"). La famille est très pauvre, les mariages sont arrangés, l'avenir semble noir malgré le succès au concours des bourses et l'arrivée du progrès à la ferme sous l'apparence d'un tracteur acheté à crédit, mais Laure, enfant précoce, est obstinée et combattive (convient aussi pour le défi "résister / se soumettre"). La montagne prend toute sa place, source de beauté (l'émerveillement devant une source, une géode, le ciel...), de labeur (le dur travail du berger, du bûcheron, de la culture de la lavande...) et de douleur (le froid terrible de l'hiver, l'isolement...). Cela pourrait n'être qu'un roman du terroir, mais l'auteur ne cède pas à la facilité des bons sentiments et du mélodrame. Même les personnages secondaires ont droit à des noms savoureux (Flavie Sorgues, Scolastique Chabassut, Népomucène Chantefleur...) et on retrouve le style de Pierre Magnan. Un petit passage pour le plaisir (c'est le premier jour tant espéré e sixième pour l'héroine) :

Pierre Magnan a écrit: Dès que les élèves en blouse bleue se levèrent pour décliner leur nom et leurs origines devant les professeurs qui changeaient d'heure en heure, toute la géographie de la pauvreté se mit debout avec eux : Meyssonnier de Chauvac, Pourpre de Monguers, Crémat de Vercoiran, Philippe de la Penne-sur-Ouvèze, Testanière Odette et Alain, deux jumeaux de Pierrelongue, et les Colomb et les Michel et les Chaufran, tous de Plaisians, et les quatre Romans, homonymes, tous d'Eygaliers. Il y en avait trente-cinq ainsi fils et filles de tonneliers, paysans, bistrots, apiculteurs, braconniers, ouvriers agricoles, quelques enfants de facteurs, de cantonniers, d'employés municipaux. On avait déjà vu leur nom sur les monuments aux morts des deux guerres. Ils étaient le tissu conjonctif de la nation ; quand ils auraient disparu, il n'y aurait plus de pays.  

lisontine a écrit:

Volo' a écrit:

miss sophie a écrit:   Je commence !
  Pour le défi 20 (Merveille) mais convenant aussi pour les 22 (vie familiale, et notamment désir de maternité, amour des parents pour leurs enfants), 39 (c'est la guerre) et 46 (histoire avec un train) : La plus précieuse des marchandises de Jean-Claude Grumberg (2019).
  C’est l’histoire d’une pauvre bûcheronne qui espérait un enfant qui lui fut un jour envoyé par les cieux - ou plus exactement jeté d’un train parti de Drancy, en 1943. J’ai bien aimé la façon dont Grumberg raconte avec la simplicité d’« un conte » comme l’annonce le sous-titre de l’œuvre.

Ce livre est absolument intéressant. Avec une collègue de Français nous sommes en train de réfléchir à l'intégrer dans une étude en 3e en filé histoire et Français. La question des repères spatiaux et temporels sont tout à fait intéressants parce que rien n'est dit, les codes du conte sont repris. Il y a beaucoup à faire avec ce livre.
Comme tu le dis c'est une écriture simple et pourtant très belle.

Je pense aussi à l'étudier avec des 3e. Nous avons commandé une série, il vient de sortir en poche.

Cela fait deux ans que je le lis à mes élèves en guise de lecture offerte, toujours avec beaucoup de succès! L'an prochain, je pense que je me lancerai dans une étude en bonne et due forme!

Merci pour tous ces titres suggérés! C'est ce que j'aime dans ce défi. Hier je suis allée acheter La Femme gelée, conseillé par Lulu et cet après-midi ce petit livre de Grumberg que je vais lire ce soir avant de continuer Le Contrat de mariage. Autant dire que l'item "avec un train" ne m'emballait pas plus que cela, mais le début de ce livre a l'air magnifique.
Bref, ma PAL est plus longue que jamais!

J'ai validé aujourd'hui le défi 34 (Seconds couteaux) en lisant trois récits de Claire de Duras. J'ai découvert l'existence de cette contemporaine de Chateaubriand l'an dernier en trouvant Ourika dans mon casier.
J'ai donc relu Ourika (l'histoire d'une jeune Noire sauvée de l'esclavage et qui reçoit l'éducation la plus raffinée) et découvert Edouard (une histoire d'amour entre un jeune roturier et une duchesse) et Olivier ou le Secret (deux jeunes gens promis au mariage dès le plus jeune âge séparés par un mystérieux secret). Ces oeuvres ont rencontré un grand succès à leur époque mais sont tombées dans l'oubli.
Je vous conseille vivement Ourika si vous ne connaissez pas. C'est une nouvelle d'une quarantaine de pages.
Olivier ou le Secret valide le défi 38 car c'est un récit par lettres. Je le conseille également.

J'ai lu les trois récits (qui font 250 pages en tout) car un seul me semblait un peu léger pour un défi.

J'ai fait un tour à la médiathèque du coin cet après-midi et j'ai trouvé quatre livres pouvant valider des défis.
Comme Amaliah, j'apprécie beaucoup nos échanges et les suggestions des uns et des autres ! Pour le train, je partais a priori sur une relecture de La Bête humaine.

J'avais lu (et à peu près oublié ) Ourika, je note les deux autres titres.
Cette année, d'ailleurs, je note beaucoup.

Oui, ces découvertes par personne interposée sont précieuses !

Pour le n°19. Un livre dont le titre comporte un verbe à l'infinitif, j'ai lu L'Art d'écouter les battements de cœur de Jean-Philipp Sendker, pris à la brocante pour cet infinitif. Une jeune avocate new-yorkaise part en Birmanie sur les traces de son père parti sans explication vers le pays de son enfance. Elle y rencontre un homme âgé qui en sait beaucoup sur l'histoire de sa famille (convient aussi pour le défi 16 : un livre qui comporte un secret, et pour le défi 22 s ur la vie familiale). Le roman se lit vite et facilement, c'est une jolie histoire dépaysante pleine d'une spiritualité facile d'accès, on voit pourquoi c'est un best seller ; mais je ne crois pas que je le relirai. Il existe apparemment une suite, j'irai peut-être voir tout de même.

Je lis actuellement Blas de Roblès L'île du point Némo, conseillé par un(e) Néo et j'apprécie énormément. Je ne l'ai pas encore fini mais je rappelle ce titre qui peut rentrer dans nombre de défis de cette année: il est aux éditions Zulma (25) et c'est là que je vais le mettre; mais il y a un dandy , une partie de l'histoire se passe dans un train en hiver...n'hésitez pas!

Désolée pour le doublon: question sur l'item 9 roman dans l'empire colonial. Est-ce obligatoire au niveau du genre? "roman" car on vient de m'offrir un magnifique livre sur Toussaint Louverture (une biographie).

gregforever a écrit:Désolée pour le doublon: question sur l'item 9 roman dans l'empire colonial. Est-ce obligatoire au niveau du genre? "roman" car on vient de m'offrir un magnifique livre sur Toussaint Louverture (une biographie).

Ton livre ne peut-il entrer plutôt dans les défis 8 ou 21 ?

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J'ai lu La Reine du Silence de Marie Nimier pour le défi 7 (livre publié votre première année devant des élèves, soit 2004 pour moi). J'ai choisi au hasard dans les prix littéraires de cette année.
Prix Médicis 2004 pour ce roman qui m'a plutôt ennuyée. L'autrice évoque son père, mort à 36 ans dans un accident de voiture, essaie de reconstituer sa personnalité tout en s'auto analysant. J'ai trouvé ça nombriliste et pompeux. Ca ne me donne ni l'envie de lire le père ni l'envie de lire la fille !