- User22526Niveau 3
« NON POSSUM »
Par respect pour mon collègue assassiné,
Par respect pour les élèves qui me sont confiés,
Par respect pour la haute idée que je me fais du service de l’État,
Je ne peux pas...
Je ne peux pas assumer en même temps l'hommage national à un mort, au moyen duquel le Ministère de l'éducation nationale tente de faire oublier ses propres responsabilités, et sa brutale réduction à presque rien qui témoigne, au choix, d'une immense lâcheté ou d'un infini mépris.
Quelle que soit mon opinion personnelle sur les caricatures de Charlie Hebdo et sur leur prétention à constituer une traduction légitime de la liberté d'expression, je ne peux pas expliquer à mes élèves que mon collègue est mort pour la défense des Valeurs de la République et admettre, en même temps, qu'une semaine avant sa mort sa hiérarchie songeait à lui rappeler les règles de la laïcité.
Par ailleurs...
Je ne peux pas assumer un état d'urgence sanitaire qui suspend sine die toutes nos libertés fondamentales mais ne modifie, en même temps, aucune des conditions de circulation d'un virus.
Je ne peux pas accepter que le fleuriste ou le restaurateur de mon village soient contraints de baisser le rideau sous prétexte de lutter contre une pandémie et croire en même temps que celle-ci soit stoppée net parce que, dans mon établissement, des salles exiguës où se côtoient trente personnes devront être aérées dix minutes par jour au moyen de fenêtres qui ne s'ouvrent plus, ou parce qu'à la cantine les élèves n'auront plus le droit de postillonner que sur leurs camarades de la même classe.
Je ne peux pas laisser dire par le gouvernement que ma présence devant les élèves est la condition indispensable au maintien de leur socialisation et accepter en même temps la suppression méthodique par ce même gouvernement de toutes les conditions d'une vie humaine décente – réunions de familles, rencontres amicales, manifestations culturelles.
Je ne peux plus continuer à enseigner masqué devant des élèves masqués alors que le masque prive la relation éducative de son support humain fondamental – la voix et l'expression du visage – et que les conditions d'utilisation de ces masques leur retirent en même temps toute efficacité sanitaire significative.
Je ne peux plus, en tant que professeur, continuer à me prévaloir de l'esprit critique qui est au fondement de toutes les activités de l'esprit, et obéir en même temps à des consignes absurdes inventées par une bureaucratie de planqués dans le seul but de pouvoir en exciper en cas de problème.
Je n'en peux plus du mépris dont nous sommes victimes de la part de notre hiérarchie et dont le point culminant a été atteint quand nous avons découvert dans la presse de vendredi à quelle heure nous rentrerions le lundi suivant.
Je ne peux plus, je ne veux plus, être l'alibi sous-payé et déconsidéré d'une devise républicaine vidée de toute signification.
Pour toutes ces raisons, que j'ai tenu à exprimer avec mes propres mots parce qu'ils ne sont pas exactement les mêmes que les leurs, je suivrai le préavis de grève déposé à partir de lundi par plusieurs syndicats représentatifs.
Par respect pour mon collègue assassiné,
Par respect pour les élèves qui me sont confiés,
Par respect pour la haute idée que je me fais du service de l’État,
Je ne peux pas...
Je ne peux pas assumer en même temps l'hommage national à un mort, au moyen duquel le Ministère de l'éducation nationale tente de faire oublier ses propres responsabilités, et sa brutale réduction à presque rien qui témoigne, au choix, d'une immense lâcheté ou d'un infini mépris.
Quelle que soit mon opinion personnelle sur les caricatures de Charlie Hebdo et sur leur prétention à constituer une traduction légitime de la liberté d'expression, je ne peux pas expliquer à mes élèves que mon collègue est mort pour la défense des Valeurs de la République et admettre, en même temps, qu'une semaine avant sa mort sa hiérarchie songeait à lui rappeler les règles de la laïcité.
Par ailleurs...
Je ne peux pas assumer un état d'urgence sanitaire qui suspend sine die toutes nos libertés fondamentales mais ne modifie, en même temps, aucune des conditions de circulation d'un virus.
Je ne peux pas accepter que le fleuriste ou le restaurateur de mon village soient contraints de baisser le rideau sous prétexte de lutter contre une pandémie et croire en même temps que celle-ci soit stoppée net parce que, dans mon établissement, des salles exiguës où se côtoient trente personnes devront être aérées dix minutes par jour au moyen de fenêtres qui ne s'ouvrent plus, ou parce qu'à la cantine les élèves n'auront plus le droit de postillonner que sur leurs camarades de la même classe.
Je ne peux pas laisser dire par le gouvernement que ma présence devant les élèves est la condition indispensable au maintien de leur socialisation et accepter en même temps la suppression méthodique par ce même gouvernement de toutes les conditions d'une vie humaine décente – réunions de familles, rencontres amicales, manifestations culturelles.
Je ne peux plus continuer à enseigner masqué devant des élèves masqués alors que le masque prive la relation éducative de son support humain fondamental – la voix et l'expression du visage – et que les conditions d'utilisation de ces masques leur retirent en même temps toute efficacité sanitaire significative.
Je ne peux plus, en tant que professeur, continuer à me prévaloir de l'esprit critique qui est au fondement de toutes les activités de l'esprit, et obéir en même temps à des consignes absurdes inventées par une bureaucratie de planqués dans le seul but de pouvoir en exciper en cas de problème.
Je n'en peux plus du mépris dont nous sommes victimes de la part de notre hiérarchie et dont le point culminant a été atteint quand nous avons découvert dans la presse de vendredi à quelle heure nous rentrerions le lundi suivant.
Je ne peux plus, je ne veux plus, être l'alibi sous-payé et déconsidéré d'une devise républicaine vidée de toute signification.
Pour toutes ces raisons, que j'ai tenu à exprimer avec mes propres mots parce qu'ils ne sont pas exactement les mêmes que les leurs, je suivrai le préavis de grève déposé à partir de lundi par plusieurs syndicats représentatifs.
Benoît Girard
Professeur d'Histoire-Géographie au collège de Bogny/Meuse
Conseiller municipal de Tournavaux
Professeur d'Histoire-Géographie au collège de Bogny/Meuse
Conseiller municipal de Tournavaux
- SeiferÉrudit
Présent. Mardi aussi.
_________________
De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- Pourquoi 3,14159Expert
A cet instant, je dirais pas moi/nous, dans mon établissement. Car avec certains de mes collègues nous avons obtenu que seules les demi-sections soient accueillies en alternance semaines A/B sans obligation de cours à distance en direct. Cependant, selon les conditions de distanciation ou de sécurité nous ne nous retiendrons pas si cela nous semble impossible à tenir.
On se décidera rapidement.
Par contre si un mouvement national fort se présente, nous en serons par solidarité dans la seconde.
On se décidera rapidement.
Par contre si un mouvement national fort se présente, nous en serons par solidarité dans la seconde.
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- TangledingGrand Maître
Au moins aujourd'hui pour le seul motif de la réduction à quasi néant de l'hommage à Samuel Paty.
Demain sans doute aussi contre le protocole bidon.
Je dissocie les deux mots d'ordre, tout en étant assez convaincu qu'ils procèdent de la lutte contre le même mépris des enseignants et de nos missions, par le fantoche que nous avons pour ministre et le gvt/président qui lui donnent ses ordres.
Demain sans doute aussi contre le protocole bidon.
Je dissocie les deux mots d'ordre, tout en étant assez convaincu qu'ils procèdent de la lutte contre le même mépris des enseignants et de nos missions, par le fantoche que nous avons pour ministre et le gvt/président qui lui donnent ses ordres.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- Not a PandaHabitué du forum
Pas cours aujourd’hui, mais je suis en route pour la sdp pour exercer mon droit de retrait avec 5-6 autres collègues. Au moins une dizaine d’autres seront en grève.
- ChutneyNiveau 6
D'ailleurs, je profite de ce topic pour vous soumettre mon interrogation : au-delà d'une grève pour préserver notre santé, mon idée est plutôt dans un mouvement d'indignation et de protestation. Pensez-vous qu'il soit quand même pertinent de se mettre en grève si l'indifférence est générale dans l'établissement où je me trouve, et ce malgré mes diatribes ? (ce qui n'est pas certain, mais j'émets cette hypothèse)
- fanetteFidèle du forum
Je ne fais pas grève, parce que nous pouvons nous réunir et faire ensuite un hommage pas trop ridicule à Samuel. Aujourd'hui donc, il sera au cœur de mes pensées et de mes cours. Je ne ferai pas, ou très peu de maths.Ensuite, ce sera le temps de s'interroger (!) sur le protocole sanitaire...
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L'école nuit gravement à l'obscurantisme !
- TangledingGrand Maître
C'est difficile de te donner une réponse autre que strictement individuelle, @chutney .
Je suis dans le même genre de bahut que toi sans doute. Si je me basais sur ma "salle des professeurs", je ne ferais jamais grève, peu ou prou.
Pour aujourd'hui c'est un strict positionnement moral, impossible pour moi de cautionner cette journée d'insulte à la mémoire d'un collègue assassiné et à la profession titre entière, à notre deuil d'un collègue assassiné parce qu'il faisait son métier.
Faire grève est le seul moyen de lui rendre hommage dignement au collège.
Demain et par la suite le combat redeviendra strictement politique. Je verrai comment m'y prendre pour essayer d'entraîner les collègues. J'ai fait aussi mon possible pour Samuel mais en vain. J'ai l'impression que les collègues ou une partie d'entre eux, veulent... "tourner la page". Ça m'accable plus que ça ne me révolte.
Je suis dans le même genre de bahut que toi sans doute. Si je me basais sur ma "salle des professeurs", je ne ferais jamais grève, peu ou prou.
Pour aujourd'hui c'est un strict positionnement moral, impossible pour moi de cautionner cette journée d'insulte à la mémoire d'un collègue assassiné et à la profession titre entière, à notre deuil d'un collègue assassiné parce qu'il faisait son métier.
Faire grève est le seul moyen de lui rendre hommage dignement au collège.
Demain et par la suite le combat redeviendra strictement politique. Je verrai comment m'y prendre pour essayer d'entraîner les collègues. J'ai fait aussi mon possible pour Samuel mais en vain. J'ai l'impression que les collègues ou une partie d'entre eux, veulent... "tourner la page". Ça m'accable plus que ça ne me révolte.
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- ChutneyNiveau 6
Je reconnais que participer à ce que je perçois comme une mascarade m'eût été trop pénible. C'est en effet pour la suite que la pertinence de ma démarche se pose.
Quand je vois les sacrifices que certaines générations étaient prêtes à faire pour se mettre en grève, et la mollesse de la nôtre qui ne sait que dire que ça ne sert à rien, excellent moyen pour ne jamais s'engager et subir avec passivité toutes les avanies imaginables, je commence à penser que nous méritons le mépris dont nous sommes accablés.
Quand je vois les sacrifices que certaines générations étaient prêtes à faire pour se mettre en grève, et la mollesse de la nôtre qui ne sait que dire que ça ne sert à rien, excellent moyen pour ne jamais s'engager et subir avec passivité toutes les avanies imaginables, je commence à penser que nous méritons le mépris dont nous sommes accablés.
- Miss MessyNiveau 7
Pas cours aujourd'hui, mais je me rendrai tout de même au collège. Je suis pour la grève / le droit de retrait ou toute autre forme de protestation et ai essayé d'avoir l'avis de mes collègues hier par nos mails privés mais la seule qui a répondu était la seule à avoir interpelé la direction par voie pro … Merci à elle car j'en étais à me demander si j'étais dans la 4e dimension ou si ma boîte mail ne fonctionnait plus …
Pour répondre à la question : j'aimerais tenter le droit de retrait cette semaine, mais pas sûre que les collègues suivent.
Pour répondre à la question : j'aimerais tenter le droit de retrait cette semaine, mais pas sûre que les collègues suivent.
- LefterisEsprit sacré
Je verrai sur place : des décisions vont être prises en cours de matinée, et la présence d'enseignants peut influencer ces décisions. Si nous sommes livrés à nous- mêmes, avec le dérapage des élèves quasi assuré, pour lire une lettre semble-t-il tronquée, traitant uniquement de cette mort comme un fait divers tragique et non comme une attaque d'uen gravité inouïe, je repars après la première heure. Il est fort probable que je sois seul ou l'un des seuls, comme d'habitude. D'accord avec Chutney sur bien des points. Les enseignants auront bien contribué à saborder leur profession.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Pat BÉrudit
Je ne fais pas grève aujourd'hui, parce qu'il faut que je sois sur place pour motiver les collègues, mobiliser, et essayer d'obtenir des demi-groupes pour les semaines à venir. Il se peut qu'on décide collectivement d'une grève... mais j'en doute fort, le dialogue suffira peut-être, mon cde n'est pas totalement fermé. Mais il a tendance à appliquer les textes et rien que les textes hélas, et on craint qu'en échange de ce "geste" (passer en demi-groupe), il ne remette sur la table ce qu'on a collectivement refusé l'an passé (passer en cours de 50 min et rattraper 18*5 minutes sous forme d'AP, tutorat et autre)
Je ne sais pas quelle est leur réaction face à l'hommage très allégé (les connaissant, personne ne protestera), et je n'ai pas cours ce matin pour voir ça.
Je ne sais pas quelle est leur réaction face à l'hommage très allégé (les connaissant, personne ne protestera), et je n'ai pas cours ce matin pour voir ça.
- UpstartNiveau 5
Chutney a écrit:D'ailleurs, je profite de ce topic pour vous soumettre mon interrogation : au-delà d'une grève pour préserver notre santé, mon idée est plutôt dans un mouvement d'indignation et de protestation. Pensez-vous qu'il soit quand même pertinent de se mettre en grève si l'indifférence est générale dans l'établissement où je me trouve, et ce malgré mes diatribes ? (ce qui n'est pas certain, mais j'émets cette hypothèse)
Je suis dans la même situation que toi, syndiqué, mais sans doute seul à faire grève dans mon lycée. Je me rendrai à une réunion de collègues à la récré de 10h. Ensuite, à 11h, je prendrai la classe dont je suis chargé pour rendre un hommage digne et sobre à Samuel Paty. Ensuite, je passerai à la vie scolaire me déclarer gréviste, et, soit je rentre chez moi, soit je participe à une hypothétique AG, mais je ne ferai pas cours l'aprèm.
J'ai pris cette décision dès le 17/10, je n'imaginais pas qu'il n'y aurait pas, dès ce jour là, un préavis de grève le 2/11, finalement, il est tombé hier au soir.
- Clecle78Bon génie
Il y avait plein de préavis déposés depuis la semaine dernière !
- glucheNiveau 10
Pas de grève aujourd'hui parce que nous avons fait en visio une HIS ce week-end et obtenu du proviseur de faire un hommage digne de ce nom à Samuel Paty d'une part, et, d'autre part, de nous réunir lors d'une demi-journée banalisée pour discuter du nouveau protocole. Ensuite, on verra.
- UpstartNiveau 5
Clecle78 a écrit:Il y avait plein de préavis déposés depuis la semaine dernière !
Oui, mais, si j'ai bien lu les mêmes, ils disaient prudemment de ne mettre ce moyen en œuvre que si, après avoir négocié avec l'administration, celle ci s'opposait à une AG de 8 à 10. L'organisation proposée par le ministre semblait rendre cela acquis. Cela ne semblait pas protéger une personne désirant se porter gréviste toute la journée. Cela dédouanait même ceux qui étaient satisfaits de l'organisation prévue, faisant passer le gréviste pour un allumé. Le nouveau mot d'ordre est plus large, résultat peut-être d'une colère remontée des syndiqués.
Je pense qu'une telle situation ne pouvait souffrir aucune ambiguïté: couvrir toute initiative, collective, et à défaut individuelle.
- BendingLightNiveau 5
Concrètement, quelle(s) démarche(s) faudrait-il faire auprès de l'établissement pour se déclarer en grève? (oui, je suis néophyte..)
Juste envoyer un message à la vie scolaire?
Juste envoyer un message à la vie scolaire?
- AlcyoneFidèle du forum
En grève aujourd'hui mais seule à la faire dans mon établissement.
- X.Y.U.Niveau 7
Rien du tout. Ils constateront ton absence.BendingLight a écrit:Concrètement, quelle(s) démarche(s) faudrait-il faire auprès de l'établissement pour se déclarer en grève? (oui, je suis néophyte..)
Juste envoyer un message à la vie scolaire?
- BendingLightNiveau 5
X.Y.U. a écrit:Rien du tout. Ils constateront ton absence.BendingLight a écrit:Concrètement, quelle(s) démarche(s) faudrait-il faire auprès de l'établissement pour se déclarer en grève? (oui, je suis néophyte..)
Juste envoyer un message à la vie scolaire?
Merci de ta réponse.
- UpstartNiveau 5
Bon ben voilà, rentré à la maison avec l'impression d'être un exalté. Les collègues m'ont parlé avec précaution. Comme à un convalescent... (ça n'a pas été contagieux).
- User22526Niveau 3
Upstart a écrit:Bon ben voilà, rentré à la maison avec l'impression d'être un exalté. Les collègues m'ont parlé avec précaution. Comme à un convalescent... (ça n'a pas été contagieux).
Si bien dit ! Que de fois j'ai eu cette impression !
- Grève correction DNB: qui l'a fait aujourd'hui et/ ou demain?
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