- ProtonExpert
En plus, la croissance de l'épidémie n'était pas aussi forte en septembre / début octobre. La météo était bien différente aussi ... j'étais encore en tshirt pour faire cours !
C'est quand même un saut vers l'inconnu. Aucun principe de précaution Mais soit. J'espère des décisions pour protéger au moins le personnel à risque.
C'est quand même un saut vers l'inconnu. Aucun principe de précaution Mais soit. J'espère des décisions pour protéger au moins le personnel à risque.
- ForsterÉrudit
Danska a écrit:Manu7 a écrit:Les ARS connaissent les nombres d'élèves testés positifs, c'est déjà un bon indicateur et on peut en déduire assez facilement le nombre réel de positifs. Donc les nombres sont connus.
Bien sûr que non : dès lors qu'un grand nombre d'élèves sont asymptomatiques ou avec très peu de symptômes et non testés, on n'a aucune idée du nombre de positifs réels.
+ ceux qui ne sont pas allés se faire tester, nombreux parmi les étudiants.
- frimoussette77Guide spirituel
Les ARS ne contactent pas (tous ?)les élèves cas contacts ensuite ...Forster a écrit:Danska a écrit:Manu7 a écrit:Les ARS connaissent les nombres d'élèves testés positifs, c'est déjà un bon indicateur et on peut en déduire assez facilement le nombre réel de positifs. Donc les nombres sont connus.
Bien sûr que non : dès lors qu'un grand nombre d'élèves sont asymptomatiques ou avec très peu de symptômes et non testés, on n'a aucune idée du nombre de positifs réels.
+ ceux qui ne sont pas allés se faire tester, nombreux parmi les étudiants.
- nc33Niveau 10
Que c'est long de devoir attendre 20 h (voire demain ou pire).
- laMissSage
anthinéa a écrit:Bah oui !
Ça peut changer d’ici ce soir voire demain !
Macron peut annoncer une « ouverture » avec protocole sanitaire strict.
Et Castex et Blanquer, demain, pas contredire mais nuancer : ouverture aux volontaires, en demi groupe, par niveau, une semaine/2, bref bien bien bien restreindre cette ouverture .
+1
Si certains secteurs professionnels sont confinés, il est évident que parmi les parents concernés, certains vont garder leurs enfants à la maison.
D'ailleurs c'est ce que fera ma coiffeuse.
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- ProtonExpert
nc33 a écrit:Que c'est long de devoir attendre 20 h (voire demain ou pire).
Cette théâtralisation de l’intervention divine est agaçante.
On pourrait diffuser à l'AFP les grandes lignes ... avec ensuite un discours du PR puis du 1er ministre pour préciser toutes les mesures.
laMiss a écrit:anthinéa a écrit:Bah oui !
Ça peut changer d’ici ce soir voire demain !
Macron peut annoncer une « ouverture » avec protocole sanitaire strict.
Et Castex et Blanquer, demain, pas contredire mais nuancer : ouverture aux volontaires, en demi groupe, par niveau, une semaine/2, bref bien bien bien restreindre cette ouverture .
+1
Si certains secteurs professionnels sont confinés, il est évident que parmi les parents concernés, certains vont garder leurs enfants à la maison.
D'ailleurs c'est ce que fera ma coiffeuse.
J'ai un très bon ami qui se pose la question de remettre son fils à l'école (CP). Sa femme est infirmière en 1ère ligne ...
- laMissSage
Perso, si j'étais dans cette situation (confinée dès lundi), je ne renverrais pas mes enfants à l'école.
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- PHLANiveau 9
Et donc ? Vous attendriez que les professeurs de vos enfants fassent du distanciel le soir en plus de leurs journées de cours en classe ?laMiss a écrit:Perso, si j'étais dans cette situation (confinée dès lundi), je ne renverrais pas mes enfants à l'école.
- BrindIfFidèle du forum
laMiss a écrit:Si certains secteurs professionnels sont confinés, il est évident que parmi les parents concernés, certains vont garder leurs enfants à la maison.
D'ailleurs c'est ce que fera ma coiffeuse.
Proton a écrit:J'ai un très bon ami qui se pose la question de remettre son fils à l'école (CP). Sa femme est infirmière en 1ère ligne ...
laMiss a écrit:Perso, si j'étais dans cette situation (confinée dès lundi), je ne renverrais pas mes enfants à l'école.
C'est compliqué s'il n'y a pas d'enseignement à distance donné...
- PHLANiveau 9
C'est clair ! Hors de question de rajouter du distanciel le soir après ma journée de travail au collège pour les familles qui auront fait le choix de laisser leurs enfants à la maison !BrindIf a écrit:laMiss a écrit:Si certains secteurs professionnels sont confinés, il est évident que parmi les parents concernés, certains vont garder leurs enfants à la maison.
D'ailleurs c'est ce que fera ma coiffeuse.Proton a écrit:J'ai un très bon ami qui se pose la question de remettre son fils à l'école (CP). Sa femme est infirmière en 1ère ligne ...laMiss a écrit:Perso, si j'étais dans cette situation (confinée dès lundi), je ne renverrais pas mes enfants à l'école.
C'est compliqué s'il n'y a pas d'enseignement à distance donné...
- RogerMartinBon génie
Oui, impossible de combiner les deux, sauf si les salles étaient équipées a minima pour.
On n'a pas fait cette adaptation dans la plupart des facs, alors qu'on le pouvait matériellement, on avait le temps. Mais les présidences des facs préféraient rêver que le virus allait s'en aller. Dans le primaire/secondaire, la dépense non plus n'a pas été engagée.
On n'a pas fait cette adaptation dans la plupart des facs, alors qu'on le pouvait matériellement, on avait le temps. Mais les présidences des facs préféraient rêver que le virus allait s'en aller. Dans le primaire/secondaire, la dépense non plus n'a pas été engagée.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- DalvaVénérable
Ras-le-bol de ce catastrophisme économique alors que les gens crèvent, pour l'instant dans les hôpitaux et bientôt chez eux par manque de place à l'hôpital, et alors que les États sont capables de débloquer des milliards pour sauver les banques (2008) ou les grosses entreprises (2020), mais pas pour permettre aux gens de vivre décemment même quand il n'y a pas de travail.Dinimip! a écrit:Alors qu'un reconfinement va avoir des conséquences économiques terribles, que des millions de compatriotes vont vraisemblablement perdre leur emploi dans les mois à venir, ce genre de commentaire égoïste me laisse vraiment pantois..
L'économie, l'économie, l'économie...
https://www.mediapart.fr/journal/economie/271020/entre-une-economie-deja-malade-et-l-urgence-sanitaire-il-n-y-pas-choisir?onglet=full
Je ne sais pas si vous avez accès à l'article ou pas, donc au cas où, j'en mets des bouts.
- Spoiler:
Entre une économie déjà malade et l’urgence sanitaire, il n’y a pas à choisir
27 OCTOBRE 2020 PAR ROMARIC GODIN
Le Medef exhorte le gouvernement à éviter «l’écroulement» économique par un nouveau confinement. Céder aux sirènes des patrons qui pensent que cette économie se limite à leur chiffre d’affaires est l’assurance de perdre sur tous les tableaux à court et à long terme, sur le plan sanitaire comme économique.
Faut-il choisir entre « l’économie » et la santé ? La question hante la France, et une grande partie du monde, depuis le mois de mars. Alors que se profilent de nouvelles mesures restrictives, le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a prévenu lundi qu’un reconfinement conduirait à un « écroulement total de l’économie ». Les conséquences sociales d’un tel effondrement seraient alors terribles et le choix de sauver des patients du Covid-19 devrait alors être mis en regard des effets humains de cet « écroulement ».
L’urgence serait donc de trouver une sorte de voie médiane entre la sauvegarde a minima de « l’économie » et la maîtrise de l’épidémie. Mais ce dilemme en est-il réellement un ? Ou bien se situe-t-il ailleurs ?
[...]
Cela peut paraître audacieux ou impossible, mais le capitalisme n’a jamais traversé une crise de cette ampleur par ses propres moyens sans causer de dégâts sociaux considérables. Si l’après-Seconde Guerre mondiale est plus sereine que l’après-Première Guerre mondiale, c’est précisément parce que les pouvoirs publics ont compris cette leçon qui semble aujourd’hui perdue. Car si on ne refera plus le fordisme des années 50-60, il devient urgent de changer de paradigme.
La crise sanitaire ne sera maîtrisée que lorsqu’on sortira du « stop-and-go » de la politique gouvernementale mais elle ne s’arrêtera pas avec le Covid. Et c’est pourquoi il faudra assumer et poursuivre le choix de ne pas donner la priorité à « l’économie », mais au contraire s’organiser pour que l’économie soit placée au service des besoins.
Il n’y a donc pas à choisir entre une « économie » déjà malade et une urgence sanitaire. Céder aux sirènes de chefs d’entreprise qui pensent que cette économie se limite à leur chiffre d’affaires est l’assurance de perdre sur tous les tableaux à court et à long terme, sur le plan sanitaire comme économique. Il faut, au contraire, assumer le choix d’une organisation centrée sur les besoins humains et la sauvegarde de leur bien-être, ce qui implique aussi la gestion de la question écologique.
Remettre l’économie à sa place, celle qui vient après le bien-être général et qui, au reste, dépend de ce bien-être, c’est se donner les moyens de gérer au mieux cette crise sanitaire et ses conséquences. C’est aussi se donner les moyens de faire face aux vrais défis de cette crise : celle de sa gestion démocratique et des libertés publiques. Car comme l’a montré le choix du couvre-feu et la gestion actuelle de la crise en France, donner la priorité à l’économique n’est guère le garant d’un meilleur respect de ces libertés.
- HalybelÉrudit
Dalva a écrit:Ras-le-bol de ce catastrophisme économique alors que les gens crèvent, pour l'instant dans les hôpitaux et bientôt chez eux par manque de place à l'hôpital, et alors que les États sont capables de débloquer des milliards pour sauver les banques (2008) ou les grosses entreprises (2020), mais pas pour permettre aux gens de vivre décemment même quand il n'y a pas de travail.Dinimip! a écrit:Alors qu'un reconfinement va avoir des conséquences économiques terribles, que des millions de compatriotes vont vraisemblablement perdre leur emploi dans les mois à venir, ce genre de commentaire égoïste me laisse vraiment pantois..
L'économie, l'économie, l'économie...
https://www.mediapart.fr/journal/economie/271020/entre-une-economie-deja-malade-et-l-urgence-sanitaire-il-n-y-pas-choisir?onglet=full
Je ne sais pas si vous avez accès à l'article ou pas, donc au cas où, j'en mets des bouts.
- Spoiler:
Entre une économie déjà malade et l’urgence sanitaire, il n’y a pas à choisir
27 OCTOBRE 2020 PAR ROMARIC GODIN
Le Medef exhorte le gouvernement à éviter «l’écroulement» économique par un nouveau confinement. Céder aux sirènes des patrons qui pensent que cette économie se limite à leur chiffre d’affaires est l’assurance de perdre sur tous les tableaux à court et à long terme, sur le plan sanitaire comme économique.
Faut-il choisir entre « l’économie » et la santé ? La question hante la France, et une grande partie du monde, depuis le mois de mars. Alors que se profilent de nouvelles mesures restrictives, le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a prévenu lundi qu’un reconfinement conduirait à un « écroulement total de l’économie ». Les conséquences sociales d’un tel effondrement seraient alors terribles et le choix de sauver des patients du Covid-19 devrait alors être mis en regard des effets humains de cet « écroulement ».
L’urgence serait donc de trouver une sorte de voie médiane entre la sauvegarde a minima de « l’économie » et la maîtrise de l’épidémie. Mais ce dilemme en est-il réellement un ? Ou bien se situe-t-il ailleurs ?
[...]
Cela peut paraître audacieux ou impossible, mais le capitalisme n’a jamais traversé une crise de cette ampleur par ses propres moyens sans causer de dégâts sociaux considérables. Si l’après-Seconde Guerre mondiale est plus sereine que l’après-Première Guerre mondiale, c’est précisément parce que les pouvoirs publics ont compris cette leçon qui semble aujourd’hui perdue. Car si on ne refera plus le fordisme des années 50-60, il devient urgent de changer de paradigme.
La crise sanitaire ne sera maîtrisée que lorsqu’on sortira du « stop-and-go » de la politique gouvernementale mais elle ne s’arrêtera pas avec le Covid. Et c’est pourquoi il faudra assumer et poursuivre le choix de ne pas donner la priorité à « l’économie », mais au contraire s’organiser pour que l’économie soit placée au service des besoins.
Il n’y a donc pas à choisir entre une « économie » déjà malade et une urgence sanitaire. Céder aux sirènes de chefs d’entreprise qui pensent que cette économie se limite à leur chiffre d’affaires est l’assurance de perdre sur tous les tableaux à court et à long terme, sur le plan sanitaire comme économique. Il faut, au contraire, assumer le choix d’une organisation centrée sur les besoins humains et la sauvegarde de leur bien-être, ce qui implique aussi la gestion de la question écologique.
Remettre l’économie à sa place, celle qui vient après le bien-être général et qui, au reste, dépend de ce bien-être, c’est se donner les moyens de gérer au mieux cette crise sanitaire et ses conséquences. C’est aussi se donner les moyens de faire face aux vrais défis de cette crise : celle de sa gestion démocratique et des libertés publiques. Car comme l’a montré le choix du couvre-feu et la gestion actuelle de la crise en France, donner la priorité à l’économique n’est guère le garant d’un meilleur respect de ces libertés.
Merci Dalva.
La réponse me demangé mais j'avais peur d'être hors charte.
Avec un tel raisonnement pourquoi même dinimip ne bosse pas gratuit. Vu qu'en Afrique on bosse pour 200e...
_________________
Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- laMissSage
Ah mais ne vous en faites pas.
On va nous "donner le choix" entre le distanciel (en plus du présentiel) et la visio là où elle sera installée. :diable:
Ce n'est pas une élucubration de ma part : j'ai un collègue à qui le CDE a présenté ce "choix" en cas de reprise avec des demi groupes.
On va nous "donner le choix" entre le distanciel (en plus du présentiel) et la visio là où elle sera installée. :diable:
Ce n'est pas une élucubration de ma part : j'ai un collègue à qui le CDE a présenté ce "choix" en cas de reprise avec des demi groupes.
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- HalybelÉrudit
laMiss a écrit:Ah mais ne vous en faites pas.
On va nous "donner le choix" entre le distanciel (en plus du présentiel) et la visio là où elle sera installée. :diable:
Ce n'est pas une élucubration de ma part : j'ai un collègue à qui le CDE a présenté ce "choix" en cas de reprise avec des demi groupes.
Il suffit de dire : "Non".
_________________
Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- lilith888Grand sage
Mais qu'entend-on par "économie" ? Si ce sont les gros bonnets, on a vu plus haut dans le topic qu'ils s'étaient enrichis même durant cette crise. Si l'on parles des petits patrons, restaurateurs, artisans, donc soit 90% de la masse, oui, c'est une catastrophe. Et les sacrifier au nom du covid n'a aucun sens ni aucune logique.
- InvitéInvité
Halybel a écrit:laMiss a écrit:Ah mais ne vous en faites pas.
On va nous "donner le choix" entre le distanciel (en plus du présentiel) et la visio là où elle sera installée. :diable:
Ce n'est pas une élucubration de ma part : j'ai un collègue à qui le CDE a présenté ce "choix" en cas de reprise avec des demi groupes.
Il suffit de dire : "Non".
Exactement. De toute façon, c'est toujours pareil : libre à nous d'accepter de rester des moutons, ou bien d'arrêter d'avaler toutes les couleuvres.
- Pat BÉrudit
J'espère, de tout coeur, que s'ils nous font reprendre sans protocole valable (c'est-à-dire sans distanciation, en classe entière), les syndicats vont appeler à faire jouer le droit de retrait ou à se mettre en grève...
Mon syndicat m'a fait passer les consignes officielles donnée par le gouvernement aux entreprises, quand on les lit on hallucine : le MEN ne les respecte pas pour nous...
Lien : https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/guide_covid_employeur_v201020.pdf
Je cite page 5 :
Bref... le droit de retrait est justifié, non ?
Mon syndicat m'a fait passer les consignes officielles donnée par le gouvernement aux entreprises, quand on les lit on hallucine : le MEN ne les respecte pas pour nous...
Lien : https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/guide_covid_employeur_v201020.pdf
Je cite page 5 :
Veiller à la distanciation physique : chaque collaborateur doit disposer d’un espace suffisant pour pouvoir respecter la distanciation d’un mètre minimum par rapport à une autre personne (collègue, client...). Les circulations doivent être revues pour éviter les croisements entre personnes. Je dois prendre en compte les personnes présentant un handicap.
• Développer le télétravail quand les postes s’y prêtent. Cela permet de limiter l’affluence dans les transports en commun et la densité de sala-riés dans les lieux de travail habituels. Dans les zones soumises à couvre-feu, fixer, dans le dialogue avec les salariés et leurs représen-tants un nombre minimum de jours de télétra-vail par semaine. Le télétravail peut faire l’objet d’un accord d’entreprise, d’une charte ou d’un simple accord entre l’employeur et les salariés concernés. Les salariés en télétravail conservent leurs droits (tickets restaurants, par exemple).
• Mettre en place des séparations de types écrans transparents pour les postes en contact avec le public ou sur certains postes de travail (comptoirs d’accueil, caisses, open-space...).
Bref... le droit de retrait est justifié, non ?
- HalybelÉrudit
lilith888 a écrit:Mais qu'entend-on par "économie" ? Si ce sont les gros bonnets, on a vu plus haut dans le topic qu'ils s'étaient enrichis même durant cette crise. Si l'on parles des petits patrons, restaurateurs, artisans, donc soit 90% de la masse, oui, c'est une catastrophe. Et les sacrifier au nom du covid n'a aucun sens ni aucune logique.
Je n'en dirai pas plus car par le bon fil pour cela. Mais personne n'a demandé de les sacrifier ici. Personne. Par contre l'inverse n'est pas forcément vrai.
_________________
Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- lilith888Grand sage
Leur probabilité de tout perdre et de ruiner leur vie est quand même plus forte que celle de mourir du covid.
- HalybelÉrudit
lilith888 a écrit:Leur probabilité de tout perdre et de ruiner leur vie est quand même plus forte que celle de mourir du covid.
Et, comme beaucoup ici je suis pour des mesures d'aides plutôt que débloquer 100 milliards pour des entreprises qui ne paient pas un euro d'impôts en France.
Bon sang, c'est pas nous qui les affamons. Si l'état avait mis en place le tester/tracer/isoler sérieusement on n'en serait pas là.
J'ai assez manifesté. Si tout cela ne les réveille pas alors rien les réveillera.
_________________
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Le téléphone ne m’aide pas.
- lilith888Grand sage
Halybel a écrit:lilith888 a écrit:Leur probabilité de tout perdre et de ruiner leur vie est quand même plus forte que celle de mourir du covid.
Et, comme beaucoup ici je suis pour des mesures d'aides plutôt que débloquer 100 milliards pour des entreprises qui ne paient pas un euro d'impôts en France.
Bon sang, c'est pas nous qui les affamons. Si l'état avait mis en place le tester/tracer/isoler sérieusement on n'en serait pas là.
J'ai assez manifesté. Si tout cela ne les réveille pas alors rien les réveillera.
Ah mais je suis totalement d'accord avec ceci !
- FireflyNiveau 9
ma soeur infirmière m'a dit qu'entre les 2 hôpitaux de la ville, plus de 200 infirmiers ont démissionné pendant l'été...plein de collègues partent dans le privé ou en Allemagne (une clinique privée vient de débaucher un de ses collègues et il gagnera 400 euros net de plus... et sans bosser le weekend)anthinéa a écrit:mistinguette a écrit:Bon ben on en reparle dans 15j
C’est certain ! Mais avec combien de morts ensuite ?
Les gars, on ne fait pas d’AVC, de crise cardiaque, de pneumonie, on ne décompense pas la grippe, on ne fait pas d’accident de voiture surtout ....
- anthinéaGuide spirituel
Bah oui ! Et, je les comprends ...
On fait des appels sur Facebook aux étudiants pour la France et la Belgique.
On va mobiliser les médecins militaires .
On va demander aux retraités de venir .
Bref, c’est le demerdentiel ! Et la CATA !
On fait des appels sur Facebook aux étudiants pour la France et la Belgique.
On va mobiliser les médecins militaires .
On va demander aux retraités de venir .
Bref, c’est le demerdentiel ! Et la CATA !
- Clecle78Bon génie
Mais on va continuer à encombrer les hôpitaux en faisant circuler le virus dans les établissements. On marche sur la tête.
- HalybelÉrudit
Les services publics restent ouverts, je vais enfin pouvoir aller aux impôts. Ah non pardon.
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- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Education Nationale
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