- Clecle78Bon génie
Mais tu vas en avoir : tu oublies la mirifique prime informatique de 150 euros
Aujourd'hui à 21:00
par Clecle78
Sauf si tu es malade ou en congé maternité ou à temps partiel ...
Aujourd'hui à 21:00
par Clecle78
Sauf si tu es malade ou en congé maternité ou à temps partiel ...
- User20401Vénérable
Les temps partiels n'auront pas la prime ?Clecle78 a écrit:Sauf si tu es malade ou en congé maternité ou à temps partiel ...
- Clecle78Bon génie
A moitié, c'est ce que j'ai vu sur un autre topic
- DanskaProphète
On n'en sait rien en réalité, c'était juste une plaisanterie ou une hypothèse
- chmarmottineGuide spirituel
Khalie a écrit:Refus ici aussi. Uniquement pour les porteurs de bons et les détenteurs d'une ordonnance. Délivrance pour les autres uniquement à partir fin novembre selon la pharmacienne
oui, c'est exactement ça.
- EdithWGrand sage
zigmag17 a écrit:Il est trop bon.EdithW a écrit:Le président nous remercie pour notre « travail formidable ».
Je trouve aussi. C’est choupinou.
- EdithWGrand sage
La république Tchèque ferme ses écoles et ses bars « foyers de contamination ». Faudrait leur envoyer JM Blanquer leur expliquer que le virus s’arrête à la porte. Ils n’ont pas l’air au courant.
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2020/10/14102020Article637382578204728666.aspx?actId=ebwp0YMB8s1_OGEGSsDRkNUcvuQDVN7aFZ1E4yS5hsaQ1rXf_ucU4XOTyfGkjVXI&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=505056
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2020/10/14102020Article637382578204728666.aspx?actId=ebwp0YMB8s1_OGEGSsDRkNUcvuQDVN7aFZ1E4yS5hsaQ1rXf_ucU4XOTyfGkjVXI&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=505056
- Clecle78Bon génie
Ce n'était pas clair et du coup j'y ai cru vu que c'est en fait le fonctionnement habituel de ce type de mesure !Danska a écrit:On n'en sait rien en réalité, c'était juste une plaisanterie ou une hypothèse
- PonocratesExpert spécialisé
Moi ce que j'ai beaucoup aimé, c'est la leçon d'hygiène: il faut aérer. Et si tous les enseignants qui ont des fenêtres bloquées ou oscillo-battantes lui envoyaient une photo ?
_________________
"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- zigmag17Guide spirituel
On peut aussi lui envoyer une photo de tous les élèves qui reviennent d'EPS mal ou pas douchés, pas changés, pour participer à une heure de cours "classique"
- frimoussette77Guide spirituel
Oui ... Et dire qu'elles sont neuves chez nous !Ponocrates a écrit:Moi ce que j'ai beaucoup aimé, c'est la leçon d'hygiène: il faut aérer. Et si tous les enseignants qui ont des fenêtres bloquées ou oscillo-battantes lui envoyaient une photo ?
- eeNiveau 9
La question que je me pose, et à laquelle certains sauront peut-être répondre : d'où sait-on que les établissements scolaires ne sont pas des incubateurs de covid, se diffusant ensuite selon les voies largement médiatisées (familles, familles élargies, rassemblements festifs, entreprises dans une moindre mesure)?
Je m'explique : je ne crois pas le gouvernement cynique au point de laisser volontairement ouverts à effectifs complets, dans les conditions de promiscuité que l'on connait, des établissements scolaires qui seraient clairement identifiés comme "propagateurs" du virus.
En même temps, comme "masqué donc pas cas contact", il n'y a manifestement pas, ou très peu, de recherche de cluster potentiel lorsqu'un élève ou un agent est covid+.
Si un cluster doit apparaitre à proximité, ce sera le boulot de maman ou le mariage d'un cousin de papa, sans que l'on puisse dire que le "cas zéro" du dit cluster, c'est en fait l'élève Tartempion, porteur asymptomatique qui a choppé le virus dans sa classe de 30 mal aérée.
Le problème est un peu le même, en RP, avec les transports. L'ARS reconnait elle-même que la transmission dans le métro, on n'en a en réalité aucune idée parce que, par définition, on ne peut pas tracer un cluster potentiel 'ligne 13 le 8 octobre, 2e wagon, entre 6h30 et 7h30 le matin".
D'où mon interrogation. Y'a pas parce qu'on trace pas ou y'a pas parce que y a pas? Existe-t-il une étude sérieuse (par recoupement des cas covid+ d'une ville selon différents critères, dont les établissements fréquentés par les enfants, par exemple) montrant que l'école est effectivement, sinon un sanctuaire, du moins une zone de très faible circulation du virus?
Je m'explique : je ne crois pas le gouvernement cynique au point de laisser volontairement ouverts à effectifs complets, dans les conditions de promiscuité que l'on connait, des établissements scolaires qui seraient clairement identifiés comme "propagateurs" du virus.
En même temps, comme "masqué donc pas cas contact", il n'y a manifestement pas, ou très peu, de recherche de cluster potentiel lorsqu'un élève ou un agent est covid+.
Si un cluster doit apparaitre à proximité, ce sera le boulot de maman ou le mariage d'un cousin de papa, sans que l'on puisse dire que le "cas zéro" du dit cluster, c'est en fait l'élève Tartempion, porteur asymptomatique qui a choppé le virus dans sa classe de 30 mal aérée.
Le problème est un peu le même, en RP, avec les transports. L'ARS reconnait elle-même que la transmission dans le métro, on n'en a en réalité aucune idée parce que, par définition, on ne peut pas tracer un cluster potentiel 'ligne 13 le 8 octobre, 2e wagon, entre 6h30 et 7h30 le matin".
D'où mon interrogation. Y'a pas parce qu'on trace pas ou y'a pas parce que y a pas? Existe-t-il une étude sérieuse (par recoupement des cas covid+ d'une ville selon différents critères, dont les établissements fréquentés par les enfants, par exemple) montrant que l'école est effectivement, sinon un sanctuaire, du moins une zone de très faible circulation du virus?
- Clecle78Bon génie
En tout cas aujourd'hui j'ai des cas positifs dans toutes mes classes. Ils m'ont clairement dit qu'ils ne respectent pas les gestes barrière. Donc des clusters en établissement scolaire il n'y a que ça mais on ne les recense pas Tout ça continue à se contaminer joyeusement et aucune raison que ça s'arrête sauf pendant les vacances qui arrangent bien le gouvernement.
- chmarmottineGuide spirituel
Clecle78 a écrit:En tout cas aujourd'hui j'ai des cas positifs dans toutes mes classes. Ils m'ont clairement dit qu'ils ne respectent pas les gestes barrière. Donc des clusters en établissement scolaire il n'y a que ça mais on ne les recense pas Tout ça continue à se contaminer joyeusement et aucune raison que ça s'arrête sauf pendant les vacances qui arrangent bien le gouvernement.
Et nous aussi ... franchement, ça va faire un bien fou de s'éloigner du virus et de tomber les masques ...
Ras-le-bol d'être entourée de cas positifs ...
Je croise juste les doigts pour que mes filles ne l'aient pas chopé.
- Ajonc35Sage
Et ils iront contaminés Mamie-Ajonc. Donc ce sera la faute de Mamie-Ajonc en tant que parent, membre de la famille, mais pas de Mamie-Ajonc prof en LEP. Encore deux mois et j'arrête de me faire peur et de faire peur à ma famille, surtout belle-famille car les frères et soeurs de mon mari ont presque tous plus de 70 ans et approchent les 75, donc je ne les vois pas, du moins je m'interdis actuellement. De même pour la belle-mère de fils-Ajonc. Je ne voudrais pas être responsable d'un cluster familial dont un de mes élèves serait à l'origine. Ma belle-fille fait un anniversaire en deux fois et nous en dernier.Clecle78 a écrit:En tout cas aujourd'hui j'ai des cas positifs dans toutes mes classes. Ils m'ont clairement dit qu'ils ne respectent pas les gestes barrière. Donc des clusters en établissement scolaire il n'y a que ça mais on ne les recense pas Tout ça continue à se contaminer joyeusement et aucune raison que ça s'arrête sauf pendant les vacances qui arrangent bien le gouvernement.
- EnaecoVénérable
ee a écrit:La question que je me pose, et à laquelle certains sauront peut-être répondre : d'où sait-on que les établissements scolaires ne sont pas des incubateurs de covid, se diffusant ensuite selon les voies largement médiatisées (familles, familles élargies, rassemblements festifs, entreprises dans une moindre mesure)?
Je m'explique : je ne crois pas le gouvernement cynique au point de laisser volontairement ouverts à effectifs complets, dans les conditions de promiscuité que l'on connait, des établissements scolaires qui seraient clairement identifiés comme "propagateurs" du virus.
En même temps, comme "masqué donc pas cas contact", il n'y a manifestement pas, ou très peu, de recherche de cluster potentiel lorsqu'un élève ou un agent est covid+.
Si un cluster doit apparaitre à proximité, ce sera le boulot de maman ou le mariage d'un cousin de papa, sans que l'on puisse dire que le "cas zéro" du dit cluster, c'est en fait l'élève Tartempion, porteur asymptomatique qui a choppé le virus dans sa classe de 30 mal aérée.
Le problème est un peu le même, en RP, avec les transports. L'ARS reconnait elle-même que la transmission dans le métro, on n'en a en réalité aucune idée parce que, par définition, on ne peut pas tracer un cluster potentiel 'ligne 13 le 8 octobre, 2e wagon, entre 6h30 et 7h30 le matin".
D'où mon interrogation. Y'a pas parce qu'on trace pas ou y'a pas parce que y a pas? Existe-t-il une étude sérieuse (par recoupement des cas covid+ d'une ville selon différents critères, dont les établissements fréquentés par les enfants, par exemple) montrant que l'école est effectivement, sinon un sanctuaire, du moins une zone de très faible circulation du virus?
Je ne pense pas qu'il y ait d'étude sérieuse. Déjà parce que c'est quasiment impossible.
Concernant les établissements, il y a plusieurs situations distinctes. Est-ce qu'on cherche à savoir si un élève en classe propage facilement le virus ou si un élève à l'école va faciliter la propagation du virus.
Dans le 2ème cas, il faut prendre toutes les interactions (check avec les copains dans le couloir, chamailles et autres contacts physiques, file d'attente de la cantine puis repas...).
Le seul indicateur que je vois serait la distribution des cas au sein d'un établissement. Est-ce qu'une classe est beaucoup plus touchée qu'une autre ? Est-ce que ces élèves avaient d'autres interactions que la salle de classe ?
Ce n'est pas avec le nombre de cas positifs et les isolements qu'on va pouvoir déduire grand chose à mon avis...
Chez nous, avec le peu de données que j'ai, les cas semblent répartis sur les classes et les niveaux, sans lien particulier.
- EnaecoVénérable
Clecle78 a écrit:En tout cas aujourd'hui j'ai des cas positifs dans toutes mes classes. Ils m'ont clairement dit qu'ils ne respectent pas les gestes barrière. Donc des clusters en établissement scolaire il n'y a que ça mais on ne les recense pas Tout ça continue à se contaminer joyeusement et aucune raison que ça s'arrête sauf pendant les vacances qui arrangent bien le gouvernement.
Donc on va reprendre à la rentrée avec une diminution spectaculaire des cas, si je suis bien ton raisonnement.
Enfin une bonne nouvelle !
- Clecle78Bon génie
Si c'est le cas le gouvernement dira que c'est grâce à sa merveilleuse politique...
- eeNiveau 9
Donc, ça vaudrait peut-être le coup de demander/exiger/proposer une étude épidémiologique dans quelques établissements scolaires (primaires, secondaires, grosses cités scolaires) de différentes régions? Que pour un élève covid +, on considère par hypothèse tous ses camarades de classe, enseignants et surveillants comme "cas contacts" et qu'on leur propose un test. En réitérant l'opération dans plusieurs villes et plusieurs types d'établissement, on aurait ainsi la confirmation - ou l'infirmation - de l'idée qu'on ne se contamine pas à l'école.Enaeco a écrit:Je ne pense pas qu'il y ait d'étude sérieuse. Déjà parce que c'est quasiment impossible.ee a écrit:La question que je me pose, et à laquelle certains sauront peut-être répondre : d'où sait-on que les établissements scolaires ne sont pas des incubateurs de covid, se diffusant ensuite selon les voies largement médiatisées (familles, familles élargies, rassemblements festifs, entreprises dans une moindre mesure)?
Je m'explique : je ne crois pas le gouvernement cynique au point de laisser volontairement ouverts à effectifs complets, dans les conditions de promiscuité que l'on connait, des établissements scolaires qui seraient clairement identifiés comme "propagateurs" du virus.
En même temps, comme "masqué donc pas cas contact", il n'y a manifestement pas, ou très peu, de recherche de cluster potentiel lorsqu'un élève ou un agent est covid+.
Si un cluster doit apparaitre à proximité, ce sera le boulot de maman ou le mariage d'un cousin de papa, sans que l'on puisse dire que le "cas zéro" du dit cluster, c'est en fait l'élève Tartempion, porteur asymptomatique qui a choppé le virus dans sa classe de 30 mal aérée.
Le problème est un peu le même, en RP, avec les transports. L'ARS reconnait elle-même que la transmission dans le métro, on n'en a en réalité aucune idée parce que, par définition, on ne peut pas tracer un cluster potentiel 'ligne 13 le 8 octobre, 2e wagon, entre 6h30 et 7h30 le matin".
D'où mon interrogation. Y'a pas parce qu'on trace pas ou y'a pas parce que y a pas? Existe-t-il une étude sérieuse (par recoupement des cas covid+ d'une ville selon différents critères, dont les établissements fréquentés par les enfants, par exemple) montrant que l'école est effectivement, sinon un sanctuaire, du moins une zone de très faible circulation du virus?
Concernant les établissements, il y a plusieurs situations distinctes. Est-ce qu'on cherche à savoir si un élève en classe propage facilement le virus ou si un élève à l'école va faciliter la propagation du virus.
Dans le 2ème cas, il faut prendre toutes les interactions (check avec les copains dans le couloir, chamailles et autres contacts physiques, file d'attente de la cantine puis repas...).
Le seul indicateur que je vois serait la distribution des cas au sein d'un établissement. Est-ce qu'une classe est beaucoup plus touchée qu'une autre ? Est-ce que ces élèves avaient d'autres interactions que la salle de classe ?
Ce n'est pas avec le nombre de cas positifs et les isolements qu'on va pouvoir déduire grand chose à mon avis...
Chez nous, avec le peu de données que j'ai, les cas semblent répartis sur les classes et les niveaux, sans lien particulier.
- Clecle78Bon génie
Mais tout cela contredirait la doxa et le mantra du gouvernement : les enfants ne sont pas contagieux et le masque protège de tout...
- mgb35Érudit
Ah c'est pour ça qu'il n'y a pas d'étude de ce type... À cause de la doxa de notre gouvernement. Les méchants veulent nous cacher la vérité. C'est Macron et toute sa clique qui veulent nous tuer ! Avec une telle étude cela se verrait... Ils ne pourraient plus mettre leur plan à exécution.Clecle78 a écrit:Mais tout cela contredirait la doxa et le mantra du gouvernement : les enfants ne sont pas contagieux et le masque protège de tout...
Bon reste plus qu'à expliquer pourquoi ce genre d'étude n'existe pas dans les autres pays... C est Macron qui les à soudoyé ?
- EnaecoVénérable
ee a écrit:
Donc, ça vaudrait peut-être le coup de demander/exiger/proposer une étude épidémiologique dans quelques établissements scolaires (primaires, secondaires, grosses cités scolaires) de différentes régions? Que pour un élève covid +, on considère par hypothèse tous ses camarades de classe, enseignants et surveillants comme "cas contacts" et qu'on leur propose un test. En réitérant l'opération dans plusieurs villes et plusieurs types d'établissement, on aurait ainsi la confirmation - ou l'infirmation - de l'idée qu'on ne se contamine pas à l'école.
Oui, on pourrait faire ça.
Peut-être qu'ils croient vraiment à leur protocole et à leur "vos enfants ne risquent rien" ou qu'ils ne veulent pas avouer qu'ils ne savent pas...
Mon avis au doigt mouillé qui ne vaut pas grand chose : vu le nombre d'heures passées et le nombre d'élèves, dans les conditions que nous connaissons, le nombre de cas n'a rien de spectaculaire, même si on considère un grand nombre d'asymptomatiques.
Quand des élèves sont covid+ et que les copains sont cas contact et testés, ça revient très rarement positif.
Quand des élèves sont covid+ et que les copains sont cas contact et non-testés, ils continuent leur vie d'élève sans que tout le monde autour d'eux ne tombe comme des mouches.
- EnaecoVénérable
Clecle78 a écrit:Mais tout cela contredirait la doxa et le mantra du gouvernement : les enfants ne sont pas contagieux et le masque protège de tout...
J'espère que la théorie du complot est la bonne !
Comme ça, les vacances vont mettre un gros coup à la propagation du virus et dans quelques semaines, on observera des baisses exceptionnelles (et en plus de ça le gouvernement ne pourra plus fermer les yeux !)
- ditaNeoprof expérimenté
Le Président a répété à plusieurs reprises que les établissements devaient être ouverts pour permettre aux Français de travailler. Nous sommes des nou(ille)nou(illes).
- chmarmottineGuide spirituel
Je partage localement ce constat, avec un doute depuis une semaine, où les choses semblent donner un contre-exemple dans une de mes classes.Enaeco a écrit:Oui, on pourrait faire ça.ee a écrit:
Donc, ça vaudrait peut-être le coup de demander/exiger/proposer une étude épidémiologique dans quelques établissements scolaires (primaires, secondaires, grosses cités scolaires) de différentes régions? Que pour un élève covid +, on considère par hypothèse tous ses camarades de classe, enseignants et surveillants comme "cas contacts" et qu'on leur propose un test. En réitérant l'opération dans plusieurs villes et plusieurs types d'établissement, on aurait ainsi la confirmation - ou l'infirmation - de l'idée qu'on ne se contamine pas à l'école.
Peut-être qu'ils croient vraiment à leur protocole et à leur "vos enfants ne risquent rien" ou qu'ils ne veulent pas avouer qu'ils ne savent pas...
Mon avis au doigt mouillé qui ne vaut pas grand chose : vu le nombre d'heures passées et le nombre d'élèves, dans les conditions que nous connaissons, le nombre de cas n'a rien de spectaculaire, même si on considère un grand nombre d'asymptomatiques.
Quand des élèves sont covid+ et que les copains sont cas contact et testés, ça revient très rarement positif.
Quand des élèves sont covid+ et que les copains sont cas contact et non-testés, ils continuent leur vie d'élève sans que tout le monde autour d'eux ne tombe comme des mouches.
Par contre, il faudrait vraiment un retour sur ce qui se passe dans les familles pour les cas "positivés" au sein de l'établissement.
Je pense tout de même qu'on passe à côté de pas mal de cas. Les malades non testés ou les cas contact non testés sont des contaminateurs potentiels à l'extérieur.
- eeNiveau 9
Au doigt mouillé, je crois aussi que ce que nous vivons depuis septembre confirme que les élèves se contaminent très peu entre eux (parce que vu l'extrême faiblesse du protocole sanitaire et l'extrême entassement des élèves, sinon, on aurait des classes entières malades un peu partout en France!)... ou simplement qu'ils sont asymptomatiques dans leur écrasante majorité (ce que l'on savait déjà).Enaeco a écrit:Oui, on pourrait faire ça.ee a écrit:
Donc, ça vaudrait peut-être le coup de demander/exiger/proposer une étude épidémiologique dans quelques établissements scolaires (primaires, secondaires, grosses cités scolaires) de différentes régions? Que pour un élève covid +, on considère par hypothèse tous ses camarades de classe, enseignants et surveillants comme "cas contacts" et qu'on leur propose un test. En réitérant l'opération dans plusieurs villes et plusieurs types d'établissement, on aurait ainsi la confirmation - ou l'infirmation - de l'idée qu'on ne se contamine pas à l'école.
Peut-être qu'ils croient vraiment à leur protocole et à leur "vos enfants ne risquent rien" ou qu'ils ne veulent pas avouer qu'ils ne savent pas...
Mon avis au doigt mouillé qui ne vaut pas grand chose : vu le nombre d'heures passées et le nombre d'élèves, dans les conditions que nous connaissons, le nombre de cas n'a rien de spectaculaire, même si on considère un grand nombre d'asymptomatiques.
Quand des élèves sont covid+ et que les copains sont cas contact et testés, ça revient très rarement positif.
Quand des élèves sont covid+ et que les copains sont cas contact et non-testés, ils continuent leur vie d'élève sans que tout le monde autour d'eux ne tombe comme des mouches.
Et en termes de diffusion de l'épidémie chez des publics plus fragiles (leurs parents, grands parents, entourages divers...), savoir si nos élèves transmettent peu le virus ou si c'est seulement qu'ils ne développent pas eux-mêmes la maladie, ça pourrait quand même être intéressant!
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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