Date des vacances reculées en raison de la tenue prolongée des jurys du DNB ?

Ma chef d'établissement nous a informé que nos vacances seraient reculées d'une semaine soit vers le 11 juillet en raison des commissions pour l'attribution du DNB qui risquent de trainer. Quelqu'un en sait-il un peu plus car beaucoup d'entre nous ont réservé leur vacances et partent à partir du 4 juillet?

Pour nous, si la fin officielle des cours est le 4 juillet, tous les ans un mail du rectorat nous rappelle que chacun est à la disposition du recteur jusqu'au 10. Cela ne change donc rien ici...

Si la date officielle est le 4 juillet je ne vois pas pourquoi ce serait reculé. En lycée c'est différent.

Pointàlaligne a écrit:Pour nous, si la fin officielle des cours est le 4 juillet, tous les ans un mail du rectorat nous rappelle que chacun est à la disposition du recteur jusqu'au 10. Cela ne change donc rien ici...

Je savais que tu avais raison et j'ai trouvé confirmation

Informations complémentaires

• Le départ en vacances a lieu après la classe, la reprise des cours le matin des jours indiqués. Les élèves qui n'ont pas cours le samedi sont en congés le vendredi soir après les cours. 
  
• [...]
  

Les dates fixées par le calendrier scolaire national peuvent, sous certaines conditions, être modifiées localement par le recteur.

Ce calendrier n'inclut pas les dates de fin de session des examens scolaires.

https://www.education.gouv.fr/calendrier-scolaire-100148

Oui, mais il est vrai que d'habitude au collège peu de collègues font partie des commissions du brevet, je n'en ai même jamais croisé en fait.
Au lycée on sait qu'on est potentiellement réquisitionné jusqu'à la fin des jours théoriques de rattrapage (et cette année, avec les protocoles sanitaires on risque bien d'utiliser ces 3 jours).

Pointàlaligne a écrit:Pour nous, si la fin officielle des cours est le 4 juillet, tous les ans un mail du rectorat nous rappelle que chacun est à la disposition du recteur jusqu'au 10. Cela ne change donc rien ici...

 Voila...on reçoit même un papier dans le casier pour nous rappeler l'évidence.

En lycée,bien sûr, mais en collège je n'ai jamais vu ça. Or ici il s'agit visiblement de collège.

Je n'ai pas retrouvé deux ou trois topics dans lesquels des enseignants de collège avaient été convoqués au dernier moment pour assurer des épreuves du bac. Donc tout le monde, ou presque, est tenu de rester disponible, même si les cas sont très rares.

Enseignant en collège, j'ai été plusieurs années de suite de jury de brevet. La tâche allait avec celle, hyper ingrate, de "diriger" la correction du brevet. J'avais une fin d'année d'enfer tout le temps sur la route (je suis à deux heures de la capitale académique).
Donc, oui, on peut être convoqué au jury de brevet en collège. Les "heureux" élus sont peu nombreux mais cela peut arriver.

Les concours aussi ont été reculés. Suis en collège mais régulièrement convoquée pour le CRPE, je ne sais pas quand auront lieu les corrections cette année. En tout cas chaque année on nous demande bien de rester à disposition une semaine après la fin, ce n'est pas nouveau.

Je confirme que ça arrive. J’ai été de commission d’harmonisation de DNB une année.

Isis39 a écrit:Enseignant en collège, j'ai été plusieurs années de suite de jury de brevet. La tâche allait avec celle, hyper ingrate, de "diriger" la correction du brevet. J'avais une fin d'année d'enfer tout le temps sur la route (je suis à deux heures de la capitale académique).
Donc, oui, on peut être convoqué au jury de brevet en collège. Les "heureux" élus sont peu nombreux mais cela peut arriver.

Oui bien sûr, mais vous êtes beaucoup moins nombreux que les collègues qui sont en commission de bac. Et oui, il est toujours rappelé que les examens sont prolongés après la date des vacances des élèves.

Une ancienne CE faisait tous les ans pression sur les enseignants pour que personne ne parte avant le 10 juillet. Nous étions centre d’examen pour le bac pro et chaque année il y avait au moins une personne qui était réquisitionnée pour transporter des documents, bordereaux etc après le jour officiel des vacances. En collège, notre CE nous colle systématiquement deux jours de réunion les deux derniers jours (fin à 18h) et chaque année une collègue se fait des cheveux blancs parce qu’elle oublie ça et prend un billet trop tôt, et se demande pendant des jours comment présenter les choses à la CE.
Je n’ai jamais compris cette hâte à partir (sauf impératif type garde d’enfant dans un couple séparé). Au contraire, attendre quelques jours, préparer tranquillement ses valises, ça a son charme. Mais comme je pars en général dans la famille (ou que je reste dans ma campagne) les questions de location ou de billets d’avion me sont étrangères.

EdithW a écrit:Une ancienne CE faisait tous les ans pression sur les enseignants pour que personne ne parte avant le 10 juillet. Nous étions centre d’examen pour le bac pro et chaque année il y avait au moins une personne qui était réquisitionnée pour transporter des documents, bordereaux etc après le jour officiel des vacances. En collège, notre CE nous colle systématiquement deux jours de réunion les deux derniers jours  (fin à 18h) et chaque année une collègue se fait des cheveux blancs parce qu’elle oublie ça et prend un billet trop tôt, et se demande pendant des jours comment présenter les choses à la CE.
Je n’ai jamais compris cette hâte à partir (sauf impératif type garde d’enfant dans un couple séparé). Au contraire, attendre quelques jours, préparer tranquillement ses valises, ça a son charme. Mais comme je pars en général dans la famille (ou que je reste dans ma campagne) les questions de location ou de billets d’avion me sont étrangères.

Chacun est différent

Je ne pars pas de suite non plus, mais même sans partir, en étant en collège, ça me ferait bien mal qu'on me fasse suer jusqu'au 10 juillet, et ça juste pour le principe. Le problème ce n'est pas tnat d'accomplir nos missions, le problème ce sont des réunions idiotes dont effectivement on a l'impression, face à leur inutilité patente, qu'elles ne sont là que pour que le MEN puisse dire à Jean-Paul au comptoir qu'on ne part pas trop tôt en vacances. Ajoutez à ça l'habitude prise de nous faire rentrer en août, et vous obtenez des gens désireux, pas forcément de partir vite, mais d'en finir  plus vite avec l'année scolaire. Voilà tout.

Pour ma part je ne pars que le 11. J'aime prendre mon temps. Mais en effet après le 4 j'ai tendance à ne pas me sentir concernée par grand-chose :lol:

Mais là, cette année étant ce qu'elle est, est-il absolument nécessaire de la faire encore traîner? Il y a tout de même du temps libéré puisqu'il n'y a plus les examens physiques à organiser(je sais qu'il y a d'autres chose à faire).

roxanne a écrit:Mais là, cette année étant ce qu'elle est, est-il absolument nécessaire de la faire encore traîner? Il y a tout de même du temps libéré puisqu'il n'y a plus les examens physiques à organiser(je sais qu'il y a d'autres chose à faire).

En effet, je pense aussi que là il faut que ça s'arrête, tout le monde est à bout, et j'inclus les CDE.

roxanne a écrit:Mais là, cette année étant ce qu'elle est, est-il absolument nécessaire de la faire encore traîner? Il y a tout de même du temps libéré puisqu'il n'y a plus les examens physiques à organiser(je sais qu'il y a d'autres chose à faire).

Effectivement. Les jurys pourraient avoir lieu avant le 4 juillet.

Isis39 a écrit:Enseignant en collège, j'ai été plusieurs années de suite de jury de brevet. La tâche allait avec celle, hyper ingrate, de "diriger" la correction du brevet. J'avais une fin d'année d'enfer tout le temps sur la route (je suis à deux heures de la capitale académique).
Donc, oui, on peut être convoqué au jury de brevet en collège. Les "heureux" élus sont peu nombreux mais cela peut arriver.

Mon cde m'a raconté qu'une de ses collègues, directrice de centre de correction du DNB, avait demandé au rectorat de faire revenir avec une ORS dans les bureaux du dit rectorat une enseignante pour corriger de nouveau les copies car cette cde estimait que le temps passé avait été trop rapide (3H30 pour environ 40 copies). Mon cde m'a informé ensuite qu'un collègue avait visé la liasse de correction de la collègue sans y trouver à redire (respect du barème, annotations et report des notes corrects) pour vérification : la collègue a donc été dispensée de revenir sur ses copies. On ne se méfie jamais assez du zèle de certains.

Je ne pense pas que les jurys puissent avoir lieu avant le 4 juillet dans la mesure où les élèves sont censés rester jusqu'au 4 juillet, leur assiduité étant valorisée . C'est pourquoi notre CE nous explique que de nombreux jurys seraient organisés après le 4 pour l'obtention du DNB et que nous n'étions pas prêts de partir en vacances.

Charlyne a écrit:

Isis39 a écrit:Enseignant en collège, j'ai été plusieurs années de suite de jury de brevet. La tâche allait avec celle, hyper ingrate, de "diriger" la correction du brevet. J'avais une fin d'année d'enfer tout le temps sur la route (je suis à deux heures de la capitale académique).
Donc, oui, on peut être convoqué au jury de brevet en collège. Les "heureux" élus sont peu nombreux mais cela peut arriver.

Mon cde m'a raconté qu'une de ses collègues, directrice de centre de correction du DNB, avait demandé au rectorat de faire revenir avec une ORS dans les bureaux du dit rectorat une enseignante pour corriger de nouveau les copies car cette cde estimait que le temps passé avait été trop rapide (3H30 pour environ 40 copies). Mon cde m'a informé ensuite qu'un collègue avait visé la liasse de correction de la collègue sans y trouver à redire (respect du barème, annotations et report des notes corrects) pour vérification : la collègue a donc été dispensée de revenir sur ses copies. On ne se méfie jamais assez du zèle de certains.

En Français, il est vrai que c'est rapide. En HG, un temps qui ne choque pas.

Isis39 a écrit:

Charlyne a écrit:

Isis39 a écrit:Enseignant en collège, j'ai été plusieurs années de suite de jury de brevet. La tâche allait avec celle, hyper ingrate, de "diriger" la correction du brevet. J'avais une fin d'année d'enfer tout le temps sur la route (je suis à deux heures de la capitale académique).
Donc, oui, on peut être convoqué au jury de brevet en collège. Les "heureux" élus sont peu nombreux mais cela peut arriver.

Mon cde m'a raconté qu'une de ses collègues, directrice de centre de correction du DNB, avait demandé au rectorat de faire revenir avec une ORS dans les bureaux du dit rectorat une enseignante pour corriger de nouveau les copies car cette cde estimait que le temps passé avait été trop rapide (3H30 pour environ 40 copies). Mon cde m'a informé ensuite qu'un collègue avait visé la liasse de correction de la collègue sans y trouver à redire (respect du barème, annotations et report des notes corrects) pour vérification : la collègue a donc été dispensée de revenir sur ses copies. On ne se méfie jamais assez du zèle de certains.

En Français, il est vrai que c'est rapide. En HG, un temps qui ne choque pas.

Je corrige chaque année le DNB, 36 candidats en moyenne. Je ne mets jamais plus de 4h au total. Je rentre, je ne fais pas de pause, je ne bois pas de café, je ne discute pas, j'active le mode Armageddon. Je n'ai pas l'impression de me dépêcher particulièrement et je ne bâcle jamais. Il se trouve que les barèmes sont tels, et les consignes de tolérance sont telles que le moindre mot-clef dans une phrase mal fichue doit être valorisé (valorisé = accepté, en langage EN). Les copies n'ont pas non plus à être annotées, or pendant l'année c'est ce qui prend le plus de temps. Même face à une rédaction, on sait assez vite quelle note on met au DNB, en fonction des attentes.
Ensuite il y a des méthodes pour être plus efficace : manipuler + souvent les copies pour corriger la même série de questions en ayant le barème en tête fait gagner du temps (plus que si on corrige toutes les questions de chaque copie en une fois). Pour la dictée, mettre des signes selon le nombre de points enlevés permet de soustraire extrêmement vite. Bref ce temps de correction ne me choque pas. On peut même prendre dix ou vingt minutes pour soulager un collègue de quelques copies.

Edit : je suis professeur de lettres.

EdithW a écrit:Une ancienne CE faisait tous les ans pression sur les enseignants pour que personne ne parte avant le 10 juillet. Nous étions centre d’examen pour le bac pro et chaque année il y avait au moins une personne qui était réquisitionnée pour transporter des documents, bordereaux etc après le jour officiel des vacances. En collège, notre CE nous colle systématiquement deux jours de réunion les deux derniers jours  (fin à 18h) et chaque année une collègue se fait des cheveux blancs parce qu’elle oublie ça et prend un billet trop tôt, et se demande pendant des jours comment présenter les choses à la CE.
Je n’ai jamais compris cette hâte à partir (sauf impératif type garde d’enfant dans un couple séparé). Au contraire, attendre quelques jours, préparer tranquillement ses valises, ça a son charme. Mais comme je pars en général dans la famille (ou que je reste dans ma campagne) les questions de location ou de billets d’avion me sont étrangères.

J'aime partir tout de suite car ça me permet une vraie coupure dès le départ et je profite davantage du reste des vacances. Après, l'autre chose à prendre en compte, c'est les vacances du conjoint. Là, il sera en vacances à partir du 4 juillet et il n'a souvent que deux semaines donc bon...

Cela dit je n'avais pas envisagé que l'on pourrait me convoquer pour des jurys. J'ose espérer en effet que les jurys se tiendront un peu plus tôt vu le contexte.

Fires of Pompeii a écrit:

Isis39 a écrit:

Charlyne a écrit:

Isis39 a écrit:Enseignant en collège, j'ai été plusieurs années de suite de jury de brevet. La tâche allait avec celle, hyper ingrate, de "diriger" la correction du brevet. J'avais une fin d'année d'enfer tout le temps sur la route (je suis à deux heures de la capitale académique).
Donc, oui, on peut être convoqué au jury de brevet en collège. Les "heureux" élus sont peu nombreux mais cela peut arriver.

Mon cde m'a raconté qu'une de ses collègues, directrice de centre de correction du DNB, avait demandé au rectorat de faire revenir avec une ORS dans les bureaux du dit rectorat une enseignante pour corriger de nouveau les copies car cette cde estimait que le temps passé avait été trop rapide (3H30 pour environ 40 copies). Mon cde m'a informé ensuite qu'un collègue avait visé la liasse de correction de la collègue sans y trouver à redire (respect du barème, annotations et report des notes corrects) pour vérification : la collègue a donc été dispensée de revenir sur ses copies. On ne se méfie jamais assez du zèle de certains.

En Français, il est vrai que c'est rapide. En HG, un temps qui ne choque pas.

Je corrige chaque année le DNB, 36 candidats en moyenne. Je ne mets jamais plus de 4h au total. Je rentre, je ne fais pas de pause, je ne bois pas de café, je ne discute pas, j'active le mode Armageddon. Je n'ai pas l'impression de me dépêcher particulièrement et je ne bâcle jamais. Il se trouve que les barèmes sont tels, et les consignes de tolérance sont telles que le moindre mot-clef dans une phrase mal fichue doit être valorisé (valorisé = accepté, en langage EN). Les copies n'ont pas non plus à être annotées, or pendant l'année c'est ce qui prend le plus de temps. Même face à une rédaction, on sait assez vite quelle note on met au DNB, en fonction des attentes.
Ensuite il y a des méthodes pour être plus efficace : manipuler + souvent les copies pour corriger la même série de questions en ayant le barème en tête fait gagner du temps (plus que si on corrige toutes les questions de chaque copie en une fois). Pour la dictée, mettre des signes selon le nombre de points enlevés permet de soustraire extrêmement vite. Bref ce temps de correction ne me choque pas. On peut même prendre dix ou vingt minutes pour soulager un collègue de quelques copies.

  En HG c'est gérable je pense à condition de corriger question par questions (ou par série) histoire d'avoir le barème bien en tête de la copie 1 à 40 : c'est rapide et équitable et ça permet de souffler avant de reprendre lm'ouvrage sur une nouvelle série.

Ces jurys ou commissions d'harmonisation sont convoqués par le rectorat tout comme les correcteurs, n'est-ce pas ? Quelqu'un peut-il me dire où ils se réunissent ? Nous sommes (enfin plutôt nous aurions dû être) centre de correction pour la première fois et ma CDE est persuadée que cela veut dire que nous aurons un jury chez nous et que nous sommes tous mobilisés je ne sais plus quels deux jours de la première semaine de juillet. (Enfin c'est ce qu'on a tous cru comprendre parce que les infos sont tout aussi claires que d'habitude.)

Mahaut a écrit:Je ne pense pas que les jurys puissent avoir lieu avant le 4 juillet dans la mesure où les élèves sont censés rester jusqu'au 4 juillet, leur assiduité étant valorisée . C'est pourquoi notre CE nous explique que de nombreux jurys seraient organisés après le 4 pour l'obtention du DNB et que nous n'étions pas prêts de partir en vacances.

Je ne crois pas qu'il soit encore d'actualité de se préoccuper de l'assiduité. On m'a fait remplir les compétences de fin de cycle pour les conseils, qui étaient cette semaine (je ne vois pas le rapport mais passons) et j'ai cru lire sur le topic concerné que certains avaient déjà des dates limites mi-juin pur saisir les moyennes qui correspondraient aux notes des épreuves.

Charlyne a écrit:

Fires of Pompeii a écrit:

Isis39 a écrit:

Charlyne a écrit:


Mon cde m'a raconté qu'une de ses collègues, directrice de centre de correction du DNB, avait demandé au rectorat de faire revenir avec une ORS dans les bureaux du dit rectorat une enseignante pour corriger de nouveau les copies car cette cde estimait que le temps passé avait été trop rapide (3H30 pour environ 40 copies). Mon cde m'a informé ensuite qu'un collègue avait visé la liasse de correction de la collègue sans y trouver à redire (respect du barème, annotations et report des notes corrects) pour vérification : la collègue a donc été dispensée de revenir sur ses copies. On ne se méfie jamais assez du zèle de certains.

En Français, il est vrai que c'est rapide. En HG, un temps qui ne choque pas.

Je corrige chaque année le DNB, 36 candidats en moyenne. Je ne mets jamais plus de 4h au total. Je rentre, je ne fais pas de pause, je ne bois pas de café, je ne discute pas, j'active le mode Armageddon. Je n'ai pas l'impression de me dépêcher particulièrement et je ne bâcle jamais. Il se trouve que les barèmes sont tels, et les consignes de tolérance sont telles que le moindre mot-clef dans une phrase mal fichue doit être valorisé (valorisé = accepté, en langage EN). Les copies n'ont pas non plus à être annotées, or pendant l'année c'est ce qui prend le plus de temps. Même face à une rédaction, on sait assez vite quelle note on met au DNB, en fonction des attentes.
Ensuite il y a des méthodes pour être plus efficace : manipuler + souvent les copies pour corriger la même série de questions en ayant le barème en tête fait gagner du temps (plus que si on corrige toutes les questions de chaque copie en une fois). Pour la dictée, mettre des signes selon le nombre de points enlevés permet de soustraire extrêmement vite. Bref ce temps de correction ne me choque pas. On peut même prendre dix ou vingt minutes pour soulager un collègue de quelques copies.

  En HG c'est gérable je pense à condition de corriger question par questions (ou par série) histoire d'avoir le barème bien en tête de la copie 1 à 40 : c'est rapide et équitable et ça permet de souffler avant de reprendre lm'ouvrage sur une nouvelle série.

Je précise que je suis en lettres