- TimNiveau 5
Bonjour,
Ca fait un moment que l'idée nous trotte dans la tête et nous nous demandons si nous n'allons pas sauter le pas, conjoint et enfants, d'une installation dans le Lot, de préférence, ou en Aveyron. Je connais l'Aveyron Nord, mes grands-parents en sont originaires. Le Lot, je le connais de ci, de là, mais moins en profondeur.
Nous sommes dans toutes les questions que l'on peut se poser avant un possible changement de vie. Notamment, nous nous demandons si nous ne nous faisons pas une image trop vacancière (nous sommes dans la petite couronne), trop douce de ces départements.
Si vous y vivez et y enseignez, pouvez-vous, en MP ou ici, me livrer votre ressenti personnel de votre rythme de travail, de votre temps dégagé pour être avec votre famille, de ce que vous aimez plus, ou moins... ?
Je me sens usée par la rythmique de notre administration, et je me demande s'il n'y a pas un recul, une humanité (pas taper si cliché) plus grandes dans ce type de département, du fait de la présence de la nature, de l'envie de vivre autrement que par son travail, que ce soit pour les enseignants comme pour ceux qui les dirigent. Mais échappe-t-on à l'administration ? Un art de vivre, s'il existe, est-il un contrepoids face à l'absurdie galopante... ?
Ce sont mes questions, en somme...
Ca fait un moment que l'idée nous trotte dans la tête et nous nous demandons si nous n'allons pas sauter le pas, conjoint et enfants, d'une installation dans le Lot, de préférence, ou en Aveyron. Je connais l'Aveyron Nord, mes grands-parents en sont originaires. Le Lot, je le connais de ci, de là, mais moins en profondeur.
Nous sommes dans toutes les questions que l'on peut se poser avant un possible changement de vie. Notamment, nous nous demandons si nous ne nous faisons pas une image trop vacancière (nous sommes dans la petite couronne), trop douce de ces départements.
Si vous y vivez et y enseignez, pouvez-vous, en MP ou ici, me livrer votre ressenti personnel de votre rythme de travail, de votre temps dégagé pour être avec votre famille, de ce que vous aimez plus, ou moins... ?
Je me sens usée par la rythmique de notre administration, et je me demande s'il n'y a pas un recul, une humanité (pas taper si cliché) plus grandes dans ce type de département, du fait de la présence de la nature, de l'envie de vivre autrement que par son travail, que ce soit pour les enseignants comme pour ceux qui les dirigent. Mais échappe-t-on à l'administration ? Un art de vivre, s'il existe, est-il un contrepoids face à l'absurdie galopante... ?
Ce sont mes questions, en somme...
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