- AmaliahEmpereur
J'ai été bien déçue du troisième tome alors que j'ai adoré les deux premiers. Quelqu'un l'a lu?
- JennyMédiateur
farfalla a écrit:Est-ce que vous accepteriez Les malheurs de Sophie dans le titre à la forme négative ? Je l’ai relu hier en faisant du tri.
Pour moi, ça ne fonctionne pas.
- PointàlaligneExpert
Non plus...Jenny a écrit:farfalla a écrit:Est-ce que vous accepteriez Les malheurs de Sophie dans le titre à la forme négative ? Je l’ai relu hier en faisant du tri.
Pour moi, ça ne fonctionne pas.
- farfallaEmpereur
Merci les filles. J’ai au moins relu un livre de ma jeunesse.
Je ne sais pas si le tome 4 de La Passe Miroir est sorti en poche. Mais les 3 premiers ont des cartes à la fin.
Je ne sais pas si le tome 4 de La Passe Miroir est sorti en poche. Mais les 3 premiers ont des cartes à la fin.
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"Si nada nos salva de la muerte, al menos que el amor nos salve de la vida" Pablo Neruda
"Yo lloré porque no tenía zapatos hasta que vi un niño que no tenía pies." Oswaldo Guayasamin
- *Ombre*Grand sage
J'ai lu toute la série, Amaliah. J'ai beaucoup aimé les 2 premiers tomes (le second est mon préféré, le premier étant plus lent, avec le temps nécessaire pour mettre en place cet univers foisonnant). Le 3e m'a un peu déçue. Je n'ai pas compris l'intérêt de multiplier les personnages secondaires alors que des personnages attachants (Archibald le clochard céleste, le Rouquin dont j'ai oublié le nom et sa copine peu commune, et même la belle Bérénilde) sont complètement négligés. Quant au final, je l'ai trouvé presque incompréhensible à force de vouloir expliquer à tout prix l'inexplicable, et même peu cohérent avec l'ensemble mis en place. J'explique pourquoi en spoiler, tu décideras de lire ou pas.
- Spoiler:
- La révélation de l'identité de ce Dieu que tout le monde redoute, pour lequel on tue, on tremble, on meurt, m'a parue abracadabrante, une solution de dernière minute mal pensée : comment croire que tous ces puissants personnages servent un être aussi terne, aussi dénué de pouvoir, insignifiant au point qu'eux-mêmes en méconnaîtraient l'identité ? cela ne tient pas debout.
- AmaliahEmpereur
Merci pour ton avis, Ombre, mais je rebondissais sur le message d'Adren qui commence Au Revoir là-haut. Désolée, j'aurais dû citer le message d'Adren. C'est donc le 3e de Lemaitre dont je parlais, Miroir de nos peines, qui m'a beaucoup déçue. Tu les as lus?
- *Ombre*Grand sage
Pardon, Amaliah. Non, je ne l'ai pas lu, mais j'ai souvent entendu dire qu'il était moins bien que les deux premiers. Tu n'es manifestement pas la seule à avoir été déçue.
- *Ombre*Grand sage
De mon côté, je viens de vérifier : pour l'item histoire qui se déroule sur plusieurs continents, il est bien précisé qu'il s'agit d'un roman. J'oublie donc pour Les Neiges du Kilimandjaro. Cette lecture n'entrera pas dans le défi. Pas grave.
- celitianSage
Deux découvertes totalement différentes :
46) Un livre dont l'action se situe en Australie après ma lecture de Bill Bryson, j'ai enchaîné avec Le koala tueur et autres histoires du bush de Kenneth Cook, une lecture très drôle qui nous entraîne encore des aventures très particulières, conclusion après ces deux lectures sur l'Australie, je n'ai aucune envie d'y aller...
Cette lecture va pour plusieurs défis, le 11-26-46.
21) Un livre dont l'auteur est / a été emprisonné Toutes les choses de notre vie de Sok-yong HWANG, mon 1er livre coréen, une belle lecture sur la vie de deux enfants, de familles qui vivent sur une immense décharge à Séoul avec une écriture à la fois poétique, écologique et politique. J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture.
46) Un livre dont l'action se situe en Australie après ma lecture de Bill Bryson, j'ai enchaîné avec Le koala tueur et autres histoires du bush de Kenneth Cook, une lecture très drôle qui nous entraîne encore des aventures très particulières, conclusion après ces deux lectures sur l'Australie, je n'ai aucune envie d'y aller...
Cette lecture va pour plusieurs défis, le 11-26-46.
21) Un livre dont l'auteur est / a été emprisonné Toutes les choses de notre vie de Sok-yong HWANG, mon 1er livre coréen, une belle lecture sur la vie de deux enfants, de familles qui vivent sur une immense décharge à Séoul avec une écriture à la fois poétique, écologique et politique. J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture.
- lulucastagnetteEmpereur
Même avis que toi, Ombre, pour la PAsse-miroir. Le 2e est aussi mon préféré, et de loin !
Adren, je suis une grande fan d'Au revoir là-haut, j'ai d'ailleurs fait un chapitre dessus avec mes 3e cette année. Couleurs de l'incendie est très réussi également. J'ai le dernier dans ma liseuse mais je me le garde.
En attendant, j'ai lu Le Bal des folles mais ça ne rentre pas dans les défis qu'il me reste.
Adren, je suis une grande fan d'Au revoir là-haut, j'ai d'ailleurs fait un chapitre dessus avec mes 3e cette année. Couleurs de l'incendie est très réussi également. J'ai le dernier dans ma liseuse mais je me le garde.
En attendant, j'ai lu Le Bal des folles mais ça ne rentre pas dans les défis qu'il me reste.
- Volo'Neoprof expérimenté
Lulu, Le Bal des Folles est l’histoire d’un bal organisé dans un hôpital psychiatrique, non ? Il me semble que j’en ai entendu parler. Qu’en as-tu pensé ?
- lulucastagnetteEmpereur
Oui, c'est le bal organisé chaque année à la Salpêtrière pour les aliénées du docteur Charcot.
J'ai bien aimé l'histoire, la plongée dans ce service si particulier. J'attendais encore plus de détails et de développement sur les personnages. C'est une lecture assez courte.
Le roman a obtenu le Renaudot des lycéens.
Dans le même style, j'ai préféré "La salle de bal" d'Anna Hope.
J'ai bien aimé l'histoire, la plongée dans ce service si particulier. J'attendais encore plus de détails et de développement sur les personnages. C'est une lecture assez courte.
Le roman a obtenu le Renaudot des lycéens.
Dans le même style, j'ai préféré "La salle de bal" d'Anna Hope.
- Volo'Neoprof expérimenté
Merci pour les recommandations. Je note tout cela.
- AsarteLilithBon génie
Volo' a écrit:Lulu, Le Bal des Folles est l’histoire d’un bal organisé dans un hôpital psychiatrique, non ? Il me semble que j’en ai entendu parler. Qu’en as-tu pensé ?
Il a l'air très bien ! J'ai l'ai mis dans ma liste de titres qui m'intéressent. Si en plus il permet de répondre au défi...
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- nicole 86Expert spécialisé
La salle de bal d'Anna Hope est le Prix des lectrices de Elle donc peut aussi entrer dans le défi.
- selampruNiveau 6
Je plussoie Lulu et Jenny, j'ai préféré le roman d'Anna Hope au Bal des folles dont il ne me reste plus maintenant qu'un vague souvenir, même si j'avais passé un agréable moment à sa lecture.
Pour le défi 6 "Un livre dont le titre est à la forme négative", j'ai lu Aucun de nous ne reviendra de Charlotte Delbo. Il s'agit du premier tome du récit de sa déportation à Auschwitz en 1943, en raison de son engagement dans la résistance. Elle relate non des événements chronologiques mais une succession de moments décousus, des fragments où dominent souffrances et inhumanité. Le récit est évidemment glaçant mais je n'ai pu m'empêcher de trouver une certaine grâce du fait de l'extrême sensibilité et lucidité de l'écriture . Un extrait sera certainement plus parlant:
"Et quand le sifflet siffle le réveil, ce n’est pas que la nuit s’achève. [...]
Quand le sifflet siffle le réveil c’est un autre cauchemar qui se fige, un autre cauchemar qui commence.
Il n’y a qu’un moment de lucidité entre les deux, celui où nous écoutons les battements de notre cœur en écoutant s’il a la force de battre longtemps encore.
Longtemps c’est à dire des jours parce que notre cœur ne peut compter en semaines ni en mois, nous comptons en jours et chaque jour compte mille agonies et mille éternités."
Défi 25: Un roman qui fait peur: Maxime Chattam Le Signal. Mon avis est très mitigé sur ce roman. La première partie installe une atmosphère inquiétante dans une petite ville où une famille new-yorkaise s'installe: disparitions suspectes, morts trop nombreuses, cauchemars et bruits terrifiants... Certaines descriptions sont vraiment effrayantes mais au-delà des 300 premières pages le roman sombre dans la complaisance morbide et le glauque, perdant toute crédibilité. J'ai dû me forcer pour terminer (il y a quand même 700 pages). Je pense que je ne maîtrise pas suffisamment les références au littéraire fantastique, j'ai cru reconnaître quelques allusions à Stephen King ou Lovecraft mais ces clins d'oeil sont un peu tombés à plat.
Défi 8 Un roman qui se déroule sur plusieurs années: Jonathan Coe, La Maison du sommeil. Je ne vais pas être objective vu que j'adore cet auteur. Coe entremêle deux temps: 1984 pour les chapitres impairs et 1996 pour les chapitres pairs. On retrouve les mêmes personnages dans une demeure au bord des falaises Ashdown, d'abord résidence pour étudiants puis clinique spécialisée dans les troubles du sommeil. C'est habilement conçu, les personnages sont attachants et les situations oscillent entre le loufoque et le tragique. Je recommande vivement.
Pour le défi 6 "Un livre dont le titre est à la forme négative", j'ai lu Aucun de nous ne reviendra de Charlotte Delbo. Il s'agit du premier tome du récit de sa déportation à Auschwitz en 1943, en raison de son engagement dans la résistance. Elle relate non des événements chronologiques mais une succession de moments décousus, des fragments où dominent souffrances et inhumanité. Le récit est évidemment glaçant mais je n'ai pu m'empêcher de trouver une certaine grâce du fait de l'extrême sensibilité et lucidité de l'écriture . Un extrait sera certainement plus parlant:
"Et quand le sifflet siffle le réveil, ce n’est pas que la nuit s’achève. [...]
Quand le sifflet siffle le réveil c’est un autre cauchemar qui se fige, un autre cauchemar qui commence.
Il n’y a qu’un moment de lucidité entre les deux, celui où nous écoutons les battements de notre cœur en écoutant s’il a la force de battre longtemps encore.
Longtemps c’est à dire des jours parce que notre cœur ne peut compter en semaines ni en mois, nous comptons en jours et chaque jour compte mille agonies et mille éternités."
Défi 25: Un roman qui fait peur: Maxime Chattam Le Signal. Mon avis est très mitigé sur ce roman. La première partie installe une atmosphère inquiétante dans une petite ville où une famille new-yorkaise s'installe: disparitions suspectes, morts trop nombreuses, cauchemars et bruits terrifiants... Certaines descriptions sont vraiment effrayantes mais au-delà des 300 premières pages le roman sombre dans la complaisance morbide et le glauque, perdant toute crédibilité. J'ai dû me forcer pour terminer (il y a quand même 700 pages). Je pense que je ne maîtrise pas suffisamment les références au littéraire fantastique, j'ai cru reconnaître quelques allusions à Stephen King ou Lovecraft mais ces clins d'oeil sont un peu tombés à plat.
Défi 8 Un roman qui se déroule sur plusieurs années: Jonathan Coe, La Maison du sommeil. Je ne vais pas être objective vu que j'adore cet auteur. Coe entremêle deux temps: 1984 pour les chapitres impairs et 1996 pour les chapitres pairs. On retrouve les mêmes personnages dans une demeure au bord des falaises Ashdown, d'abord résidence pour étudiants puis clinique spécialisée dans les troubles du sommeil. C'est habilement conçu, les personnages sont attachants et les situations oscillent entre le loufoque et le tragique. Je recommande vivement.
- lulucastagnetteEmpereur
Pour le défi 36 : L'or et la boue, j'ai lu Les Choses humaines de Karine Tuil.
Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussi. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale.
J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire et puis finalement j'ai tout lu d'une traite quasiment. La plus grosse partie du roman se concentre sur le procès et même s'il y a beaucoup de redites (forcément, le rappel des faits, les témoignages...), j'ai trouvé cette partie intéressante.
Je le mets donc dans "l'or et la boue" : l'or de cette vie de privilégiés où tout semble réussir à la famille Farel, la boue de leurs secrets honteux.
Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussi. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale.
J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire et puis finalement j'ai tout lu d'une traite quasiment. La plus grosse partie du roman se concentre sur le procès et même s'il y a beaucoup de redites (forcément, le rappel des faits, les témoignages...), j'ai trouvé cette partie intéressante.
Je le mets donc dans "l'or et la boue" : l'or de cette vie de privilégiés où tout semble réussir à la famille Farel, la boue de leurs secrets honteux.
- selampruNiveau 6
J'avais trouvé intéressant aussi ce récit même si effectivement j'ai peiné à lire le début : les personnages m'horripilaient par leur nombrilisme.
- lulucastagnetteEmpereur
Selon vous, Miroir de nos peines ça peut rentrer dans "livre avec une figure de style dans le titre" ?
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
Lulu, je ne suis pas très calée en figures de style...
J'ai terminé le tome 4 de La Passe-miroir La tempête des échos que j'ai déjà vu classé dans le défi n°31 "fin d'un monde". Des passages un peu emberlificotés parfois, mais une lecture qui reste agréable. Un peu décevant de se dire que c'est fini, puisque c'est la fin de ce monde...
Lulu, je ne suis pas très calée en figures de style...
J'ai terminé le tome 4 de La Passe-miroir La tempête des échos que j'ai déjà vu classé dans le défi n°31 "fin d'un monde". Des passages un peu emberlificotés parfois, mais une lecture qui reste agréable. Un peu décevant de se dire que c'est fini, puisque c'est la fin de ce monde...
- *Ombre*Grand sage
Lulu, ça ressemble à une métaphore, une image en tout cas, alors pourquoi pas ?
De mon côté, pour l'auteur de langue allemande mais pas allemand, je suis retournée vers Zweig, avec Lettre d'une inconnue. Un peu mélo, mais pas mal.
De mon côté, pour l'auteur de langue allemande mais pas allemand, je suis retournée vers Zweig, avec Lettre d'une inconnue. Un peu mélo, mais pas mal.
- lulucastagnetteEmpereur
Oui, j'aurais dit métaphore aussi.
Bon, alors pour le défi 45 : un jeu de mots ou une figure de style dans le titre, j'ai lu Miroir de nos peines de Pierre Lemaître.
On ne retrouve pas le souffle narratif des deux premiers tomes, car il me semble qu'il manque tout simplement une vraie histoire forte. L'auteur a fait le choix de proposer une galerie de personnages (tous caricaturaux, c'est dommage) et de les faire se retrouver de manière absolument invraisemblable (mais bon, dans les deux premiers tomes, on s'assoit sur la vraisemblance aussi).
Il manque un personnage fort. Louise n'a pas la carrure d'endosser le rôle qu'ont si bien joué Edouard et Madeleine Péricourt.
Ceci dit, ce n'est pas non plus une énorme déception. J'imagine que réussir le tour de force d'un troisième tome à la hauteur des deux autres n'est pas une mince entreprise.
Bon, alors pour le défi 45 : un jeu de mots ou une figure de style dans le titre, j'ai lu Miroir de nos peines de Pierre Lemaître.
On ne retrouve pas le souffle narratif des deux premiers tomes, car il me semble qu'il manque tout simplement une vraie histoire forte. L'auteur a fait le choix de proposer une galerie de personnages (tous caricaturaux, c'est dommage) et de les faire se retrouver de manière absolument invraisemblable (mais bon, dans les deux premiers tomes, on s'assoit sur la vraisemblance aussi).
Il manque un personnage fort. Louise n'a pas la carrure d'endosser le rôle qu'ont si bien joué Edouard et Madeleine Péricourt.
Ceci dit, ce n'est pas non plus une énorme déception. J'imagine que réussir le tour de force d'un troisième tome à la hauteur des deux autres n'est pas une mince entreprise.
- RyuzakiNiveau 9
Défi 37, Un livre qui évoque l'idée de bonheur : Le Grand Meaulnes, Alain-Fournier
La recherche d'un bonheur inaccessible est un thème essentiel de ce roman, qui raconte la quête d'un jeune homme, Augustin Meaulnes, pour retrouver la femme de ses rêves, qu'il a à peine connue. J'imagine que vous êtes nombreux à connaître déjà, c'est un classique, mais je ne l'avais encore jamais lu. Voilà une lacune comblée, donc.
Je comprends très bien ce qui a fait sa renommée : c'est à la fois suffisamment dramatique pour être captivant et poétique, dépaysant, avec une atmosphère romantique et onirique. Je suis content de l'avoir lu, et je vous conseille de le lire ou le relire.
Verdict : passionnant
Alain-Fournier a écrit:Avec quel émoi Meaulnes se rappelait dans la suite cette minute où, sur le bord de l'étang, il avait eu très près du sien le visage désormais perdu de la jeune fille ! Il avait regardé ce profil si pur, de tous ses yeux, jusqu'à ce qu'il fussent près à s'emplir de larmes. Et il se rappelait avoir vu, comme un secret délicat qu'elle lui eût confié, un peu de poudre restée sur sa joue...
La recherche d'un bonheur inaccessible est un thème essentiel de ce roman, qui raconte la quête d'un jeune homme, Augustin Meaulnes, pour retrouver la femme de ses rêves, qu'il a à peine connue. J'imagine que vous êtes nombreux à connaître déjà, c'est un classique, mais je ne l'avais encore jamais lu. Voilà une lacune comblée, donc.
Je comprends très bien ce qui a fait sa renommée : c'est à la fois suffisamment dramatique pour être captivant et poétique, dépaysant, avec une atmosphère romantique et onirique. Je suis content de l'avoir lu, et je vous conseille de le lire ou le relire.
Verdict : passionnant
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
pour le défi n°16 "un livre représentatif du romantisme", L'étrange histoire de Peter Schlemihl d'Adelbert de Chamisso. L'histoire est connue, Peter Schlemihl donne son ombre à un petit vieil homme en gris en échange d'une bourse qui se remplit sans fin. Or sans son ombre, sa vie n'est plus du tout la même et la richesse n'y change rien...
pour le défi n°16 "un livre représentatif du romantisme", L'étrange histoire de Peter Schlemihl d'Adelbert de Chamisso. L'histoire est connue, Peter Schlemihl donne son ombre à un petit vieil homme en gris en échange d'une bourse qui se remplit sans fin. Or sans son ombre, sa vie n'est plus du tout la même et la richesse n'y change rien...
- lulucastagnetteEmpereur
Pour le défi 10 : un roman dont l'histoire se déroule sur plusieurs continents, j'ai lu une enquête du commissaire "aux morts étranges", Petits meurtres au Caire d'Olivier Barde-Cabuçon qui commence en Italie et se finit en Egypte.
Coursés par un navire barbaresque alors qu'ils quittent Venise, le commissaire aux morts étranges et son père, le moine hérétique, font naufrage et sont séparés. Le moine se retrouve prisonnier de l'île de la mystérieuse Calypso, et le chevalier de Volnay est emmené comme esclave au Caire ! Il y est retenu dans l'étrange demeure d'une princesse mamelouke adepte des dieux anciens, et de ses trois suivantes orientales au comportement singulier. Tandis que son père fait tout pour se précipiter à son secours, on découvre dans la maison de la princesse les corps des deux amants, visiblement morts au milieu de leurs ébats.
C'est avec ce roman policier que je valide le défi 2020. Je suis ravie des découvertes qu'il m'a permis de faire.
Coursés par un navire barbaresque alors qu'ils quittent Venise, le commissaire aux morts étranges et son père, le moine hérétique, font naufrage et sont séparés. Le moine se retrouve prisonnier de l'île de la mystérieuse Calypso, et le chevalier de Volnay est emmené comme esclave au Caire ! Il y est retenu dans l'étrange demeure d'une princesse mamelouke adepte des dieux anciens, et de ses trois suivantes orientales au comportement singulier. Tandis que son père fait tout pour se précipiter à son secours, on découvre dans la maison de la princesse les corps des deux amants, visiblement morts au milieu de leurs ébats.
C'est avec ce roman policier que je valide le défi 2020. Je suis ravie des découvertes qu'il m'a permis de faire.
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