- Lau6775Je viens de m'inscrire !
Bonsoir à tous,
Etant cette année en mi-temps annualisé (je travaille jusqu'au 1er février), j'avais pour projet de me renseigner quant à une (très) potentielle réorientation durant mes 6 mois libres. L'une des options serait de rester dans la fonction publique et de me tourner vers le patrimoine. Mais suite à une rentrée très difficile, donc je vous passerai les détails (TZR nommée la veille de la rentrée, contre toute attente, dans un collège alors que je devais être renouvelée dans le lycée où j'exerçais depuis 3 ans... Et ce malgré mes multiples demandes expresses à ne pas être nommée en collège suite à une expérience éprouvante, décevante et non épanouissante), je suis pour l'instant en arrêt maladie. J'envisage donc la démission car je ne me vois absolument pas reprendre dans ces conditions. Or j'ai cru comprendre que le préavis pouvait être de 4 mois : donc si j'envoie un courrier avec AR même rapidement, je suis tenue de continuer à prendre en charge mes classes jusqu'à la réponse du rectorat?
Pour faire face financièrement (en attendant de me renseigner sur les différents concours du domaine culturel et patrimonial, ou sur d'autres possibilités de réorientation), j'envisageais d'aller voir du côté d'Acadomia et cie. Conseilleriez-vous une plate-forme plutôt qu'une autre? Pour ceux qui se seraient retrouvés dans cette situation, comment avez-vous faire pour faire face financièrement? Je sais que des structures privées ou diverses, comme des établissements supérieurs privés, ont aussi parfois besoin d'enseignant. Mais où se renseigner pour ce type de poste?
En vous remerciant d'avance pour vos conseils,
Lau, professeure certifiée en histoire-géographie
Etant cette année en mi-temps annualisé (je travaille jusqu'au 1er février), j'avais pour projet de me renseigner quant à une (très) potentielle réorientation durant mes 6 mois libres. L'une des options serait de rester dans la fonction publique et de me tourner vers le patrimoine. Mais suite à une rentrée très difficile, donc je vous passerai les détails (TZR nommée la veille de la rentrée, contre toute attente, dans un collège alors que je devais être renouvelée dans le lycée où j'exerçais depuis 3 ans... Et ce malgré mes multiples demandes expresses à ne pas être nommée en collège suite à une expérience éprouvante, décevante et non épanouissante), je suis pour l'instant en arrêt maladie. J'envisage donc la démission car je ne me vois absolument pas reprendre dans ces conditions. Or j'ai cru comprendre que le préavis pouvait être de 4 mois : donc si j'envoie un courrier avec AR même rapidement, je suis tenue de continuer à prendre en charge mes classes jusqu'à la réponse du rectorat?
Pour faire face financièrement (en attendant de me renseigner sur les différents concours du domaine culturel et patrimonial, ou sur d'autres possibilités de réorientation), j'envisageais d'aller voir du côté d'Acadomia et cie. Conseilleriez-vous une plate-forme plutôt qu'une autre? Pour ceux qui se seraient retrouvés dans cette situation, comment avez-vous faire pour faire face financièrement? Je sais que des structures privées ou diverses, comme des établissements supérieurs privés, ont aussi parfois besoin d'enseignant. Mais où se renseigner pour ce type de poste?
En vous remerciant d'avance pour vos conseils,
Lau, professeure certifiée en histoire-géographie
- CassiusNiveau 6
Je sais que ma réponse est tardive mais je te conseille de prendre le temps de réfléchir. En effet après une démission tu n'auras droit à rien. Je te conseille de demander un clm (congé de longue maladie), tape service public clm et va à l'adresse indiquée, tout y est expliqué. Il faut chercher un médecin qui veuille bien t'arrêter mais si tu ne peux pas reprendre, tu ne peux pas inventer la santé. Bon courage.
- RendashBon génie
Un CLM au motif qu'en tant que TZR, on est nommé sur un poste qui ne convient pas suite à une "expérience éprouvante, décevante et non épanouissante" ? Ben voyons ...
Lau6775 a raison, elle peut démissionner si elle est vouée à rester TZR plusieurs années et ne supporte pas les modalités d'exercice de la fonction.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- CassiusNiveau 6
Je comprends ton point de vue.
- OudemiaBon génie
De toute façon, Lau6775 n'est pas revenue sur Néo depuis le 16 septembre...
Mais cette discussion peut être utile à d'autres
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- buttersNiveau 4
Moi j'attends la rupture conventionnelle pour pouvoir avoir droit au chômage, c'est terrible de dire ça mais je ne peux pas démissionner sinon je suis en perte sèche, donc je dois rester en attendant :/
- hook1984Niveau 1
Bonjour, c'est un message un peu tardif... Si vous démissionnez sans travail derrière, sachez que vous n'avez pas le droit à l'allocation chômage, sauf que maintenant le gouvernement a mis en place une procédure de "démission-reconversion" qui vous permet de bénéficier de l'aide au retour à l'emploi si votre projet de reconversion est solide. Dans tous les cas, avant de démissionner, allez consulter un conseiller pôle emploi qui vous donnera plus de renseignements et qui vous dira si vous y aurez le droit.
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