- lectioleHabitué du forum
Je ne l'ai jamais fait. Mais puisqu'on parle de "bienveillance" envers les parents (mais ça ne doit pas englober les enseignants parents).
- RendashBon génie
Je ne suis pas certain que ça réponde à ma question
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- lectioleHabitué du forum
Ce qui m'empêche de le faire est que je n'ai jamais écrit par la voie hiérarchique et encore moins pour me plaindre de l'échelon intermédiaire. Le CDE peut lire ma lettre contre mon CDE ?
Je peux aussi m'adresser à la ministre déléguée au handicap. Là, ça serait sans passer par la voie hiérarchique.
Disons que je viens de lire leur interview et que finalement je suis bien d'accord : 90% des mères d'enfants handicapés ne peuvent plus travailler, ça occupe 1 journée 1/2 par semaine (transports vers le CAMSP, etc) en rendez-vous médicaux.
Seulement tous les critères du PPCR sont sur l'investissement dans la vie de l'établissement.
Il faudrait que je vois comment formuler le problème.
Je peux aussi m'adresser à la ministre déléguée au handicap. Là, ça serait sans passer par la voie hiérarchique.
Disons que je viens de lire leur interview et que finalement je suis bien d'accord : 90% des mères d'enfants handicapés ne peuvent plus travailler, ça occupe 1 journée 1/2 par semaine (transports vers le CAMSP, etc) en rendez-vous médicaux.
Seulement tous les critères du PPCR sont sur l'investissement dans la vie de l'établissement.
Il faudrait que je vois comment formuler le problème.
_________________
Vivre dans l'instant me semble une mort constante.
- olive-in-oilSage
Je doute de plus en plus du fameux calcul des 30%...
J'ai eu mes rdv carrière en novembre 2018, je n'ai toujours pas l'avis final !! Demain, ça fera pile un an !! (C'est pour l'avancement du 8 au 9).
Comment alors être dans les 30% qui, me semble-t-il, sont sans doute atteints puisque la plupart ont reçu l'appréciation finale ?
Je trouve ça vraiment naze ce système hypocrite. Le précédent était très bof aussi mais au moins, si le CDE nous avait sabré, un petit tour dans son bureau pour gueuler un coup ça faisait du bien ! Là, on est comme des c*** à attendre, comparer l'incomparable, faire des stats pour finir frustrés d'être si peu considéré !
J'ai eu mes rdv carrière en novembre 2018, je n'ai toujours pas l'avis final !! Demain, ça fera pile un an !! (C'est pour l'avancement du 8 au 9).
Comment alors être dans les 30% qui, me semble-t-il, sont sans doute atteints puisque la plupart ont reçu l'appréciation finale ?
Je trouve ça vraiment naze ce système hypocrite. Le précédent était très bof aussi mais au moins, si le CDE nous avait sabré, un petit tour dans son bureau pour gueuler un coup ça faisait du bien ! Là, on est comme des c*** à attendre, comparer l'incomparable, faire des stats pour finir frustrés d'être si peu considéré !
- lectioleHabitué du forum
Le précédent n'était pas si mal. Et puis on a attendu des années le 0,5 avec les trois pavés TB, avec des inspections, et un beau jour, tout ça pour rien.
_________________
Vivre dans l'instant me semble une mort constante.
- AudreyOracle
Voilà, comme prévu, j'ai reçu un "courrier" de refus suite à mon recours gracieux au recteur.
C'est grandiose.
Ils ont laissé le nom de quelqu'un d'autre, qui contestait son CR de RV de 6e échelon, dans le coin du PDF qu'ils m'ont envoyé. C'est sûr que comme ça, je ne doute pas du fait que mon recours a "fait l'objet d'un examen très attentif".
Quel enfumage...
C'est grandiose.
Ils ont laissé le nom de quelqu'un d'autre, qui contestait son CR de RV de 6e échelon, dans le coin du PDF qu'ils m'ont envoyé. C'est sûr que comme ça, je ne doute pas du fait que mon recours a "fait l'objet d'un examen très attentif".
Quel enfumage...
- OrlandaFidèle du forum
Audrey a écrit:Voilà, comme prévu, j'ai reçu un "courrier" de refus suite à mon recours gracieux au recteur.
C'est grandiose.
Ils ont laissé le nom de quelqu'un d'autre, qui contestait son CR de RV de 6e échelon, dans le coin du PDF qu'ils m'ont envoyé. C'est sûr que comme ça, je ne doute pas du fait que mon recours a "fait l'objet d'un examen très attentif".
Quel enfumage...
Grandiose en effet...
_________________
"Nous vivons à une époque où l'ignorance n'a plus honte d'elle-même". Robert Musil
- Madame_ProfEsprit sacré
Ah, mais c'est bien ça Audrey, ça peut aider pour la contestation en CAPA.
_________________
2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- LefterisEsprit sacré
Tu pointes trois problèmes majeurs qui ont d'entrée fait rejeter le PPCR par certaines organisations, alors jugées "catastrophistes" et "alarmistes.lectiole a écrit:Ce qui est regrettable, c'est qu'il n'y ait pas vraiment de critères qui soient les mêmes pour tout le monde.
Si mon CDE peut me mettre des S partout en commentant que je ne me suis investie que dans quelques projets... c'est aussi parce qu'il n'y a pas une grille avec les différents projets, missions, etc. qu'on a pu faire. Du coup, un CDE peut juger que c'est "quelques projets" même s'il y en a (eu) beaucoup. On juge toute une carrière sur une seule page recto sans verso.
Il n'y a pas de critères communs
: c'est un des buts. Cela rend impossible toute comparaison objective sur tout le territoire, et cela rend encore plus difficile les recours, notamment pour inégalité de traitement. L'administration voulait depuis longtemps le fait du prince. Elle a réussi, sousle nom d'"individualisation" et va accentuer cela avec la disparition des CAP.
Il n'y a pas une grille
: cela découle de ce qui précède. On est entré dans l'ère du localisme, et ce n'est plus le métier qui prévaut, mais ce qu'on va faire à côté pur plaire localement.
On juge toute une carrière sur une feuille
: non, justement, on ne juge pas toute une carrière . Le corollaire du fait du prince est que l'on juge hic et nunc, et que tout est remis en question à chaque évaluation, selon le chef. Contrairement à une notation chiffrée qui augmentait, plus ou moins certes, mais dont les effets étaient compensés par un système de points d'ancienneté dans l'échelon , pour la HC par exemple.
Tu assistes en direct au début de la suppression de la notion même de fonction publique de carrière. La première pierre est posée. C'est déjà ça dans d'autres administrations pour les grades intermédiaires, le petit chef local décide de ne pas te proposer à l'avancement, tu n'avances jamais, et je l'ai vécu.
Après CAP 2022, je ne donne pas cher du statut....
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- AudreyOracle
Madame_Prof a écrit:Ah, mais c'est bien ça Audrey, ça peut aider pour la contestation en CAPA.
Si seulement... je suis sûre que quelqu'un a mon nom dans le coin supérieur gauche de son pdf... l'adresse du destinataire est bien ma pomme, en revanche, pas d'erreur là-dessus.
- CeladonDemi-dieu
Ce n'est pas faute de nous avoir alertés sur cette calamité en t'appuyant sur ton vécu, Lefteris. Je crois que personne ne mesure l'impact de toutes ces mesures vexatoires et humiliantes.
- LefterisEsprit sacré
Et surtout beaucoup, même parmi les "victimes" actuelles, ne se représentent pas [encore?] quelle pièce du puzzle idéologique cela représente, ce changement qui devait être, paraît-il, insignifiant, et quelles portes cela ouvre, avec des conséquences bien plus lourdes si le statut bascule. Enfin, vox clamantis in deserto,Celadon a écrit:Ce n'est pas faute de nous avoir alertés sur cette calamité en t'appuyant sur ton vécu, Lefteris. Je crois que personne ne mesure l'impact de toutes ces mesures vexatoires et humiliantes.
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- AudreyOracle
Oh, moi, je vois bien tout ça, et depuis longtemps, et je n'en peux plus... et ça me faaaatigue....
- colline13Niveau 3
Je suis comme Olive-in-oil. Toujours pas d'appréciation finale du recteur alors qu'il semble que toutes les commissions soient passées !??? Je ne sais qu'en penser....
- AlykiGrand sage
Lefteris a écrit:Et surtout beaucoup, même parmi les "victimes" actuelles, ne se représentent pas [encore?] quelle pièce du puzzle idéologique cela représente, ce changement qui devait être, paraît-il, insignifiant, et quelles portes cela ouvre, avec des conséquences bien plus lourdes si le statut bascule. Enfin, vox clamantis in deserto,Celadon a écrit:Ce n'est pas faute de nous avoir alertés sur cette calamité en t'appuyant sur ton vécu, Lefteris. Je crois que personne ne mesure l'impact de toutes ces mesures vexatoires et humiliantes.
Bien sûr que certains en sont conscients...
On va droit à une destruction de la fonction publique et de l'enseignement public. Mes fils ont la chance d'avoir un père ingénieur qui gagne bien sa vie, ce qui leur permettra de financer leurs études. Pour autant, nous ne disposons pas du réseaux qui les fera réellement progresser socialement, l'aristocratie d'aujourd'hui étant encore plus fermée que celle d'Ancien régime.
_________________
Ἐρωτηθεὶς δὲ τί δεῖ μάλιστα μανθάνειν τοὺς ἐλευθέρους παῖδας, « Ταῦτ´ » ἔφη « ὅσαπερ ἂν αὐτοὺς ὠφελήσειεν ἄνδρας γενομένους. »
Interrogé sur ce qu'il valait mieux apprendre à des enfants libres, (Léotychidas) dit "ce qui pourra leur servir lorsqu'ils seront devenus des hommes" - Apophtegme laconien.
- LefterisEsprit sacré
Il est désormais certain que sans carnet d'adresses, impossible d'aller très loi sauf hasard. Les meilleurs étudiants des classes moyennes et populaires, pendant un temps, alimentaient la fonction publique ou l'armée(et encore, certaines armes étaient chasse gardée). Avec la destruction de la FP, on a de fortes chances de voir le système de réseaux réapparaître, comme dans la FPT à ses débuts, et même parfois encore malgré le statut. Le bon parcours actuellement, c'est une école privée chère, donnant assez facilement un diplôme menant au secteur marchand (communication, management...) où l'on se constitue un réseau et où le réseau a ses entrées. A la sortie, fauteuil assuré.Je caricature, mais la "réussite", financière ça va de soi, ça ressemble souvent à ça.Alyki a écrit:Lefteris a écrit:Et surtout beaucoup, même parmi les "victimes" actuelles, ne se représentent pas [encore?] quelle pièce du puzzle idéologique cela représente, ce changement qui devait être, paraît-il, insignifiant, et quelles portes cela ouvre, avec des conséquences bien plus lourdes si le statut bascule. Enfin, vox clamantis in deserto,Celadon a écrit:Ce n'est pas faute de nous avoir alertés sur cette calamité en t'appuyant sur ton vécu, Lefteris. Je crois que personne ne mesure l'impact de toutes ces mesures vexatoires et humiliantes.
Bien sûr que certains en sont conscients...
On va droit à une destruction de la fonction publique et de l'enseignement public. Mes fils ont la chance d'avoir un père ingénieur qui gagne bien sa vie, ce qui leur permettra de financer leurs études. Pour autant, nous ne disposons pas du réseaux qui les fera réellement progresser socialement, l'aristocratie d'aujourd'hui étant encore plus fermée que celle d'Ancien régime.
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- roxanneOracle
Fauteuil éjectable aussi..parce qu'avoir les réseaux c'est une chose, mais si on ne fait pas l'affaire, next.
- roxanneOracle
Bon, je fais remonter. J'ai eu la lettre me disant qu'après examen attentif de mon dossier ( ), évidemment, on ne change rien. J'ai donc 30 jours pour faire appel en commission paritaire. C'est reparti pour un tour...Et la lettre, pas une formule de politesse.
- gauvain31Empereur
roxanne a écrit:Bon, je fais remonter. J'ai eu la lettre me disant qu'après examen attentif de mon dossier ( ), évidemment, on ne change rien. J'ai donc 30 jours pour faire appel en commission paritaire. C'est reparti pour un tour...Et la lettre, pas une formule de politesse.
Raison de plus pour les em****bêter encore. Tu fais bien de faire appel. Si tous les recalés font appel, alors oui peut-être que ce sera l'amorce du début d'une remise en question (mais j'y crois pas trop).
- IsMatNiveau 3
roxanne a écrit:Bon, je fais remonter. J'ai eu la lettre me disant qu'après examen attentif de mon dossier ( ), évidemment, on ne change rien. J'ai donc 30 jours pour faire appel en commission paritaire. C'est reparti pour un tour...Et la lettre, pas une formule de politesse.
En commission paritaire tu auras pas mal d'arguments pour contester "l'examen attentif", le foutage de gueule va jusqu'à justifier qu'on a réellement observé en détail ton parcours ... no comment (mais surtout bon courage pour la suite )
- A reboursEsprit éclairé
Pas de réponse ici, un mois après...
On a 30 jours pour passer à la dernière étape ?
On a 30 jours pour passer à la dernière étape ?
- colline13Niveau 3
Inspectée en janvier 2019, je viens d'avoir le résultat du recteur ce 08 novembre 2019 : avis très satisfaisant (rien à redire la dessus). Mais ma question est : Suis-je passée au travers de la CCMA pour le contingent de l'année 2019-2020 du fait de la réponse "tardive" du recteur ? Ne suis-je dans aucune CCMA toujours du fait de la réponse "tardive" du recteur ? Ou vais-je faire partie de la CCMA de l'année suivante toujours du fait de la réponse "tardive" du recteur ? J'habite le 59 et suis dans l'enseignement privé si cela a une incidence sur les dates CCMA. Avez-vous une idée ? Pouvez-vous m'éclairer ?
- lectioleHabitué du forum
Bonjour,
Je n'allais déjà pas très bien hier soir à cause d'une retenue de 1000 euros sur mon salaire (voir autre fil).
Mais j'ai précisé dans mon PPCR dans les observations que je me sentais mise au placard depuis la rentrée et je reçois un "satisfaisant" qui ne m'intéresse pas mais surtout un silence.
En gros, je m'investis.
Mon CDE écrit que je ne m'investis pas et m'empêche de m'investir (je ne suis plus PP, un projet est tombé à l'eau à cause d'une erreur du CDE...).
Les "observations" du PPCR que j'ai ajoutées au PPCR n'ont servi à rien. Je doute même qu'elles aient été lues.
À qui l'écrire ?
Je ne veux pas faire un recours. L'appréciation finale m'est indifférente.
Je veux seulement faire remarquer que là, je me sens piégée puisque la personne qui m'empêche de m'investir est celle qui note mon manque d'investissement et que c'est un problème que le PPCR permet. Le CDE peut écrire ce qu'il veut même si c'est faux.
Mais ils ne tiennent pas compte des "observations" donc à qui transmettre ce problème ?
Je n'allais déjà pas très bien hier soir à cause d'une retenue de 1000 euros sur mon salaire (voir autre fil).
Mais j'ai précisé dans mon PPCR dans les observations que je me sentais mise au placard depuis la rentrée et je reçois un "satisfaisant" qui ne m'intéresse pas mais surtout un silence.
En gros, je m'investis.
Mon CDE écrit que je ne m'investis pas et m'empêche de m'investir (je ne suis plus PP, un projet est tombé à l'eau à cause d'une erreur du CDE...).
Les "observations" du PPCR que j'ai ajoutées au PPCR n'ont servi à rien. Je doute même qu'elles aient été lues.
À qui l'écrire ?
Je ne veux pas faire un recours. L'appréciation finale m'est indifférente.
Je veux seulement faire remarquer que là, je me sens piégée puisque la personne qui m'empêche de m'investir est celle qui note mon manque d'investissement et que c'est un problème que le PPCR permet. Le CDE peut écrire ce qu'il veut même si c'est faux.
Mais ils ne tiennent pas compte des "observations" donc à qui transmettre ce problème ?
_________________
Vivre dans l'instant me semble une mort constante.
- olive-in-oilSage
colline13 a écrit:Inspectée en janvier 2019, je viens d'avoir le résultat du recteur ce 08 novembre 2019 : avis très satisfaisant (rien à redire la dessus). Mais ma question est : Suis-je passée au travers de la CCMA pour le contingent de l'année 2019-2020 du fait de la réponse "tardive" du recteur ? Ne suis-je dans aucune CCMA toujours du fait de la réponse "tardive" du recteur ? Ou vais-je faire partie de la CCMA de l'année suivante toujours du fait de la réponse "tardive" du recteur ? J'habite le 59 et suis dans l'enseignement privé si cela a une incidence sur les dates CCMA. Avez-vous une idée ? Pouvez-vous m'éclairer ?
Pas la moindre idée mais si tu trouves des infos, je suis preneuse car dans le même cas ! Une inspection début novembre 2018 et un avis final tombé aujourd'hui seulement !!
lectiole a écrit:Bonjour,
Je n'allais déjà pas très bien hier soir à cause d'une retenue de 1000 euros sur mon salaire (voir autre fil).
Mais j'ai précisé dans mon PPCR dans les observations que je me sentais mise au placard depuis la rentrée et je reçois un "satisfaisant" qui ne m'intéresse pas mais surtout un silence.
En gros, je m'investis.
Mon CDE écrit que je ne m'investis pas et m'empêche de m'investir (je ne suis plus PP, un projet est tombé à l'eau à cause d'une erreur du CDE...).
Les "observations" du PPCR que j'ai ajoutées au PPCR n'ont servi à rien. Je doute même qu'elles aient été lues.
À qui l'écrire ?
Je ne veux pas faire un recours. L'appréciation finale m'est indifférente.
Je veux seulement faire remarquer que là, je me sens piégée puisque la personne qui m'empêche de m'investir est celle qui note mon manque d'investissement et que c'est un problème que le PPCR permet. Le CDE peut écrire ce qu'il veut même si c'est faux.
Mais ils ne tiennent pas compte des "observations" donc à qui transmettre ce problème ?
Les observations figurent dans le document final. J'imagine qu'elles ne sont lues qu'en cas de contestation voire de recours en commission paritaire.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum