- JEMSGrand Maître
Selon les chiffres du ministère de l'Éducation, le taux d'absentéisme moyen y serait de 11,5%. Deux fois plus que dans la filière générale.
Plus d'un élève sur dix en lycée professionnel manque régulièrement les cours sans justification. C'est le taux que le ministère de l'Éducation doit rendre public lundi dans un rapport, mais que France info a d'ores et déjà pu consulter.
Pour être considéré comme un absentéiste, un élève doit manquer sans justification au moins deux jours de cours par mois. Le taux, pour les lycées professionnels, s'élève à 11,5%. Ce chiffre est stable depuis 4 ans. Il est cependant deux fois plus élevé que dans la filière générale (4,6%) et 4 fois plus qu'au collège (2,8%).
La suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/02/16/01016-20150216ARTFIG00078-l-absenteisme-est-plus-important-en-lycee-professionnel.php
Plus d'un élève sur dix en lycée professionnel manque régulièrement les cours sans justification. C'est le taux que le ministère de l'Éducation doit rendre public lundi dans un rapport, mais que France info a d'ores et déjà pu consulter.
Pour être considéré comme un absentéiste, un élève doit manquer sans justification au moins deux jours de cours par mois. Le taux, pour les lycées professionnels, s'élève à 11,5%. Ce chiffre est stable depuis 4 ans. Il est cependant deux fois plus élevé que dans la filière générale (4,6%) et 4 fois plus qu'au collège (2,8%).
La suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/02/16/01016-20150216ARTFIG00078-l-absenteisme-est-plus-important-en-lycee-professionnel.php
- JEMSGrand Maître
A rapprocher de cet article :
http://campus.lemonde.fr/campus/article/2015/02/16/qui-sont-les-eleves-champions-de-l-absenteisme_4577466_4401467.html
http://campus.lemonde.fr/campus/article/2015/02/16/qui-sont-les-eleves-champions-de-l-absenteisme_4577466_4401467.html
- laMissSage
Je fais remonter ce topic pour savoir ce qu'il se passe pour les absentéistes de plus de 16 ans, étant donné qu'il n'y a plus d'obligation scolaire à cet âge. Quelles procédures sont mises en place par les lycées / le rectorat ? Que prévoit la loi vis-à-vis de leurs parents ?
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- scot69Modérateur
Le gros soucis chez nous, c'est que beaucoup de parents couvrent les absences, en invoquant comme motifs: "raisons personnelles" ou "motif divers". On peut difficilement faire quoi que ce soit.
- laMissSage
Oui, j'imagine...
Mais même sans motif, il se passe quoi à terme ? Exclusion de l'établissement ? Et c'est tout ? Et après ?
Mais même sans motif, il se passe quoi à terme ? Exclusion de l'établissement ? Et c'est tout ? Et après ?
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- Ajonc35Sage
Comme chez nous . La meilleure est "raisons familiales" et ces raisons sont vraies ( en interrogeant l'élève - un peu plus tard pour qu'il ne soupçonne pas ou les "copains"): le déménagement de la grande sœur ou de la grand mère, départ en vacances plus précoce, ou retour tardif, l'organisation du mariage d'une sœur (une semaine d'absence quand même et le mariage n'était pas à l'autre bout du monde, juste au domicile), garde des neveux/nièces pendant un jour ou plus, etc... J'essaie de me souvenir car il y en a de vraiment des loufoques.scot69 a écrit:Le gros soucis chez nous, c'est que beaucoup de parents couvrent les absences, en invoquant comme motifs: "raisons personnelles" ou "motif divers". On peut difficilement faire quoi que ce soit.
- scot69Modérateur
Du même genre, une de nos AVS avait trouvé normal que son fils sèche les cours car il n'y avait personne à la maison et elle attendait un colis...
- ycombeMonarque
Un esprit limité en déduirait qu'il faut fermer les lycées professionnels et envoyer tout le monde en lycée général.JEMS a écrit:Selon les chiffres du ministère de l'Éducation, le taux d'absentéisme moyen y serait de 11,5%. Deux fois plus que dans la filière générale.
Plus d'un élève sur dix en lycée professionnel manque régulièrement les cours sans justification. C'est le taux que le ministère de l'Éducation doit rendre public lundi dans un rapport, mais que France info a d'ores et déjà pu consulter.
Pour être considéré comme un absentéiste, un élève doit manquer sans justification au moins deux jours de cours par mois. Le taux, pour les lycées professionnels, s'élève à 11,5%. Ce chiffre est stable depuis 4 ans. Il est cependant deux fois plus élevé que dans la filière générale (4,6%) et 4 fois plus qu'au collège (2,8%).
La suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/02/16/01016-20150216ARTFIG00078-l-absenteisme-est-plus-important-en-lycee-professionnel.php
Un esprit très limité ajouterait qu'il faut collégiariser le lycée, après avoir primarisé le collège, bien entendu.
Un esprit très très limité en profiterait pour augmenter la taille des classes du lycée professionnel de 11,732%, en disant que en moyenne, vu l'absentéisme, cela revient à des classes de la taille prévue.
Un esprit très très très limité expliquerait aux enseignants que c'est de leur faute, c'est parce qu'ils ne savent pas faire des cours qui intéressent leurs élèves.
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- User17095Érudit
Qui est surpris ?
Tous les facteurs sont réunis :
- des élèves de niveau plus faible, donc plus fréquemment en décrochage
- des élèves qui ont plus souvent des problèmes éducatifs, donc là aussi en décrochage
- une orientation moins valorisée, trop souvent subie
Et en parallèle, l'absentéisme est bien moindre dans les filières les plus valorisées et demandées, où le niveau à l'entrée est plus élevé.
Donc il y a sûrement plein de choses à faire sur le contenu des cours, l'accueil des élèves, la relation avec les entreprises, mais le noyau du fait restera.
Tous les facteurs sont réunis :
- des élèves de niveau plus faible, donc plus fréquemment en décrochage
- des élèves qui ont plus souvent des problèmes éducatifs, donc là aussi en décrochage
- une orientation moins valorisée, trop souvent subie
Et en parallèle, l'absentéisme est bien moindre dans les filières les plus valorisées et demandées, où le niveau à l'entrée est plus élevé.
Donc il y a sûrement plein de choses à faire sur le contenu des cours, l'accueil des élèves, la relation avec les entreprises, mais le noyau du fait restera.
- zigmag17Guide spirituel
Il serait intéressant d'avoir une étude sur la corrélation entre l'absentéisme et les filières en lycée pro. Je connais mieux les lycées pro tertiaires, l'absentéisme y est effectivement très élevé car, c'est vrai, l'orientation a été subie plus que choisie par les élèves, inscrits par défaut dans la plupart des sections (je pense aux GA en particulier qui sont sans mauvais jeu de mots un cas d'école). Il me semble que le secteur industriel est davantage porteur pour les élèves, que les offres d'emploi sont plus nombreuses (métallerie, bois, électricité...), et que les élèves y sont davantage motivés et de ce fait moins absents. Mais je peux me tromper, j'ai travaillé en lycée pro indus il y a trois décennies, nul doute que la donne a bien changé là aussi.
- WanakaNiveau 6
En BTS on récupère 50/100 de B.Pro. C'est le même constat, ils ont conservé leurs mauvaises habitudes, et entraînent joyeusement nos STI de compétition (!)
Comme la direction couvre tout, c'est la fête du slip.
Comme la direction couvre tout, c'est la fête du slip.
- GrypheMédiateur
Je rajoute :pogonophile a écrit:Qui est surpris ?
Tous les facteurs sont réunis :
- des élèves de niveau plus faible, donc plus fréquemment en décrochage
- des élèves qui ont plus souvent des problèmes éducatifs, donc là aussi en décrochage
- une orientation moins valorisée, trop souvent subie
- des temps de transport souvent plus importants, car les lycées pro ne sont pas sectorisés, contrairement aux lycées généraux,
- des élèves qui ont probablement plus qu'ailleurs des "petits boulots" qui engendrent une disponibilité moins grande pour les apprentissages.
(Pour ce qui relève de la discussion initiale de 2015.)
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- JacqGuide spirituel
MODE HUMOUR (enfin, pas tant que cela) : c'est "l'absentéisme" d'un de nos CPE qui nous pose des problèmes pour gérer les absences de nos élèves. Nous savons qu'il est dans l'établissement mais où ? Le mystère reste entier. En plus je sais qu'il est là puisque les fenêtres de MA salle donnent sur la porte d'entrée, donc je le vois arriver (bien après la sonnerie). Mais ensuite, pouf ! disparu ! En fait je cherche autant ce CPE que les élèves absentéistes.
- JacqGuide spirituel
MODE SERIEUX CETTE FOIS :
D'accord avec ce que vous indiquez tous les deux. Pour le temps de transport, Gryphe, et encore. Tu es dans une zone urbaine, dans les départements voisins du tien c'est encore pire. Dans mon établissement nous avons des sections qui sont les seules du département et j'ai des élèves qui viennent même du hors académie (même s'ils sont rares). C'est le cas aussi pour certains rares dans ton département.
Ajout à vous deux :
- pourcentage de classes sociales défavorisés ou modestes plus important que dans le général (en moyenne, cela va dépendre des établissements et des sections - j'y reviens plus tard),
- des parents qui ont moins les codes de l'EN que les parents du général (toujours en moyenne), moins présents dans les fédé de parents, quasiment absents des conseils de classe, peu présents dans les instances élues,
- l'implication des parents est (toujours en moyenne) moindre, le rapport à l'établissement scolaire aussi,
- eux-mêmes (les parents) ont souvent été en difficultés dans leur scolarité.
Bien sûr cela dépend des sections. J'ai trois classes cette année, dont une classe de terminale dont je suis PP (pourtant une classe réputée "sélective" - réputée car je me demande ce qu'il reste de sélection), avec orientation à la clef. Une année importante donc ! A la réunion parents-prof je vais avoir très peu de parents pour la classe 1 de terminale dont je suis PP et un nombre très important de parents de la classe 2 (elle aussi sélective).
Gryphe, tu parles de trajets longs, mais il y a aussi un phénomène de ghettoïsation très fort. Certains ne "choisissent" leur orientation (certes imposée par le non passage en seconde générale) que par la proximité du lycée et pas du tout pour une question de section ou de métier. Dans mon ancien lycée, en zone rurale, en dix ans, nous ne recrutions plus que dans la ville et les villages voisins, les parents préférant que leurs enfants (filles surtout) ne prennent pas le car et leur imposant le lycée de proximité (20 kilomètres, par la mer à boire) quelque soit la section. La motivation dans les deux établissements proche c'est donc effondrée. Les trajets longs c'est valable pour les sections rares ou pour les sections rurales, donc isolées.
Enfin il serait bon de comparer avec les sections technologiques dont le niveau s'effondre parfois, dont l'orientation est de plus en plus subie (élèves refusés en LP, qui se retrouvent au général, puis par défaut au techno). Dans mon ancien lycée (polyvalent) c'est devenu l'enfer en techno alors qu'à la SEP cela reste constant (en terme de travail, ambiance, pour l'absentéisme, je ne sais pas).
pogonophile a écrit:Qui est surpris ?
Tous les facteurs sont réunis :
- des élèves de niveau plus faible, donc plus fréquemment en décrochage
- des élèves qui ont plus souvent des problèmes éducatifs, donc là aussi en décrochage
- une orientation moins valorisée, trop souvent subie
Et en parallèle, l'absentéisme est bien moindre dans les filières les plus valorisées et demandées, où le niveau à l'entrée est plus élevé.
Donc il y a sûrement plein de choses à faire sur le contenu des cours, l'accueil des élèves, la relation avec les entreprises, mais le noyau du fait restera.
Gryphe a écrit:
Je rajoute :
- des temps de transport souvent plus importants, car les lycées pro ne sont pas sectorisés, contrairement aux lycées généraux,
- des élèves qui ont probablement plus qu'ailleurs des "petits boulots" qui engendrent une disponibilité moins grande pour les apprentissages.
(Pour ce qui relève de la discussion initiale de 2015.)
D'accord avec ce que vous indiquez tous les deux. Pour le temps de transport, Gryphe, et encore. Tu es dans une zone urbaine, dans les départements voisins du tien c'est encore pire. Dans mon établissement nous avons des sections qui sont les seules du département et j'ai des élèves qui viennent même du hors académie (même s'ils sont rares). C'est le cas aussi pour certains rares dans ton département.
Ajout à vous deux :
- pourcentage de classes sociales défavorisés ou modestes plus important que dans le général (en moyenne, cela va dépendre des établissements et des sections - j'y reviens plus tard),
- des parents qui ont moins les codes de l'EN que les parents du général (toujours en moyenne), moins présents dans les fédé de parents, quasiment absents des conseils de classe, peu présents dans les instances élues,
- l'implication des parents est (toujours en moyenne) moindre, le rapport à l'établissement scolaire aussi,
- eux-mêmes (les parents) ont souvent été en difficultés dans leur scolarité.
Bien sûr cela dépend des sections. J'ai trois classes cette année, dont une classe de terminale dont je suis PP (pourtant une classe réputée "sélective" - réputée car je me demande ce qu'il reste de sélection), avec orientation à la clef. Une année importante donc ! A la réunion parents-prof je vais avoir très peu de parents pour la classe 1 de terminale dont je suis PP et un nombre très important de parents de la classe 2 (elle aussi sélective).
Gryphe, tu parles de trajets longs, mais il y a aussi un phénomène de ghettoïsation très fort. Certains ne "choisissent" leur orientation (certes imposée par le non passage en seconde générale) que par la proximité du lycée et pas du tout pour une question de section ou de métier. Dans mon ancien lycée, en zone rurale, en dix ans, nous ne recrutions plus que dans la ville et les villages voisins, les parents préférant que leurs enfants (filles surtout) ne prennent pas le car et leur imposant le lycée de proximité (20 kilomètres, par la mer à boire) quelque soit la section. La motivation dans les deux établissements proche c'est donc effondrée. Les trajets longs c'est valable pour les sections rares ou pour les sections rurales, donc isolées.
Enfin il serait bon de comparer avec les sections technologiques dont le niveau s'effondre parfois, dont l'orientation est de plus en plus subie (élèves refusés en LP, qui se retrouvent au général, puis par défaut au techno). Dans mon ancien lycée (polyvalent) c'est devenu l'enfer en techno alors qu'à la SEP cela reste constant (en terme de travail, ambiance, pour l'absentéisme, je ne sais pas).
- fifi51Fidèle du forum
J'ai craqué ! :diable:ycombe a écrit:JEMS a écrit:Selon les chiffres du ministère de l'Éducation, le taux d'absentéisme moyen y serait de 11,5%. Deux fois plus que dans la filière générale.
Plus d'un élève sur dix en lycée professionnel manque régulièrement les cours sans justification. C'est le taux que le ministère de l'Éducation doit rendre public lundi dans un rapport, mais que France info a d'ores et déjà pu consulter.
Pour être considéré comme un absentéiste, un élève doit manquer sans justification au moins deux jours de cours par mois. Le taux, pour les lycées professionnels, s'élève à 11,5%. Ce chiffre est stable depuis 4 ans. Il est cependant deux fois plus élevé que dans la filière générale (4,6%) et 4 fois plus qu'au collège (2,8%).
La suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/02/16/01016-20150216ARTFIG00078-l-absenteisme-est-plus-important-en-lycee-professionnel.phpUn esprit très très limitéun bon gestionnaire en profiterait pour augmenter la taille des classes du lycée professionnel de 11,732%, en disant que en moyenne, vu l'absentéisme, cela revient à des classes de la taille prévue.
_________________
Oui, j'ai un clavier Fisher Price pour l'instant !
- JacqGuide spirituel
fifi51 a écrit:J'ai craqué ! :diable:ycombe a écrit:JEMS a écrit:Selon les chiffres du ministère de l'Éducation, le taux d'absentéisme moyen y serait de 11,5%. Deux fois plus que dans la filière générale.
Plus d'un élève sur dix en lycée professionnel manque régulièrement les cours sans justification. C'est le taux que le ministère de l'Éducation doit rendre public lundi dans un rapport, mais que France info a d'ores et déjà pu consulter.
Pour être considéré comme un absentéiste, un élève doit manquer sans justification au moins deux jours de cours par mois. Le taux, pour les lycées professionnels, s'élève à 11,5%. Ce chiffre est stable depuis 4 ans. Il est cependant deux fois plus élevé que dans la filière générale (4,6%) et 4 fois plus qu'au collège (2,8%).
La suite : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/02/16/01016-20150216ARTFIG00078-l-absenteisme-est-plus-important-en-lycee-professionnel.phpUn esprit très très limitéun bon gestionnaire en profiterait pour augmenter la taille des classes du lycée professionnel de 11,732%, en disant que en moyenne, vu l'absentéisme, cela revient à des classes de la taille prévue.
C'est prévu.
- lisa81Habitué du forum
Ajonc35 a écrit:Comme chez nous . La meilleure est "raisons familiales" et ces raisons sont vraies ( en interrogeant l'élève - un peu plus tard pour qu'il ne soupçonne pas ou les "copains"): le déménagement de la grande sœur ou de la grand mère, départ en vacances plus précoce, ou retour tardif, l'organisation du mariage d'une sœur (une semaine d'absence quand même et le mariage n'était pas à l'autre bout du monde, juste au domicile), garde des neveux/nièces pendant un jour ou plus, etc... J'essaie de me souvenir car il y en a de vraiment des loufoques.scot69 a écrit:Le gros soucis chez nous, c'est que beaucoup de parents couvrent les absences, en invoquant comme motifs: "raisons personnelles" ou "motif divers". On peut difficilement faire quoi que ce soit.
Accompagne ses parents en voyage de noces....Si si
- JacqGuide spirituel
A propos de l'irresponsabilité de élèves, on peut toujours parler de celle des parents. Lors du dernier stage d'une de mes classes les parents voulaient que leur enfant parte en vacances avec eux parce que c'est moins cher à ce moment de l'année. Lorsque vous avez des parents qui signe les mots d'absences de l'élève avec comme excuse "match de foot de St-Etienne"... on ne peut donc s'étonner du sérieux des élèves.
- zigmag17Guide spirituel
lisa81 a écrit:Ajonc35 a écrit:Comme chez nous . La meilleure est "raisons familiales" et ces raisons sont vraies ( en interrogeant l'élève - un peu plus tard pour qu'il ne soupçonne pas ou les "copains"): le déménagement de la grande sœur ou de la grand mère, départ en vacances plus précoce, ou retour tardif, l'organisation du mariage d'une sœur (une semaine d'absence quand même et le mariage n'était pas à l'autre bout du monde, juste au domicile), garde des neveux/nièces pendant un jour ou plus, etc... J'essaie de me souvenir car il y en a de vraiment des loufoques.scot69 a écrit:Le gros soucis chez nous, c'est que beaucoup de parents couvrent les absences, en invoquant comme motifs: "raisons personnelles" ou "motif divers". On peut difficilement faire quoi que ce soit.
Accompagne ses parents en voyage de noces....Si si
Encore jamais entendue celle-là!!! Tenir la chandelle : un nouveau métier pour les jeunes (mais retraite pas garantie, y a pas de raison! :lol:)
- EloahExpert spécialisé
Ajonc35 a écrit:Comme chez nous . La meilleure est "raisons familiales" et ces raisons sont vraies ( en interrogeant l'élève - un peu plus tard pour qu'il ne soupçonne pas ou les "copains"): le déménagement de la grande sœur ou de la grand mère, départ en vacances plus précoce, ou retour tardif, l'organisation du mariage d'une sœur (une semaine d'absence quand même et le mariage n'était pas à l'autre bout du monde, juste au domicile), garde des neveux/nièces pendant un jour ou plus, etc... J'essaie de me souvenir car il y en a de vraiment des loufoques.scot69 a écrit:Le gros soucis chez nous, c'est que beaucoup de parents couvrent les absences, en invoquant comme motifs: "raisons personnelles" ou "motif divers". On peut difficilement faire quoi que ce soit.
La meilleure que j'ai eue, il y a quinze jours est : "il pleut". Pauvre chéri s'était protégé dans un abri bus.
Dans mon LP, la "vraie" raison est très souvent une orientation subie ...
- Ajonc35Sage
"Ma grand-mère était à l'hôpital ". " Tu vis avec ta grand-mère" . "Non, mais j'accompagnais mes parents".Eloah a écrit:Ajonc35 a écrit:Comme chez nous . La meilleure est "raisons familiales" et ces raisons sont vraies ( en interrogeant l'élève - un peu plus tard pour qu'il ne soupçonne pas ou les "copains"): le déménagement de la grande sœur ou de la grand mère, départ en vacances plus précoce, ou retour tardif, l'organisation du mariage d'une sœur (une semaine d'absence quand même et le mariage n'était pas à l'autre bout du monde, juste au domicile), garde des neveux/nièces pendant un jour ou plus, etc... J'essaie de me souvenir car il y en a de vraiment des loufoques.scot69 a écrit:Le gros soucis chez nous, c'est que beaucoup de parents couvrent les absences, en invoquant comme motifs: "raisons personnelles" ou "motif divers". On peut difficilement faire quoi que ce soit.
La meilleure que j'ai eue, il y a quinze jours est : "il pleut". Pauvre chéri s'était protégé dans un abri bus.
Dans mon LP, la "vraie" raison est très souvent une orientation subie ...
- JEMSGrand Maître
Colle prévue samedi dernier... absence de l'élève et appel de la maman : ma fille n'a pas de transports...
Réponse de ma part : le lycée est ouvert le samedi, il y a bien une centaine d'élèves qui habitent sur votre commune... bref, notre pouvoir s'arrête aux portes de la vie scolaire...
Réponse de ma part : le lycée est ouvert le samedi, il y a bien une centaine d'élèves qui habitent sur votre commune... bref, notre pouvoir s'arrête aux portes de la vie scolaire...
- JacqGuide spirituel
Tant qu'un élève est mineur la signature du parent fait qu'on ne peut rien faire ni dire pour une absence, sauf si elles sont répétées et là nous tombons dans l'absentéisme. Mais un parent peut très bien excuser son fils car il était aux champignons. Donc on ne peut coller un élève dont le parent a justifié l'absence même si elle est totalement farfelue.
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