- AllianceNiveau 9
tannat a écrit:Le décalage me semble plutôt être entre un vocabulaire plutôt comptable (->def :Article manquant dans un ensemble d'objets inventoriés) tandis que l'autre appartient au champ lexical de l'artisanat (->déf. raccommoder à l'aiguille) ; le mélange des genres entre "l'économique" et "l'art"...
https://www.littre.org/definition/ravauder
https://www.littre.org/definition/d%C3%A9ficit
D'autre part, le sens figuré de "ravaudés" vient accentuer, je crois, le travail de sape du mythe...
C'est ainsi que je le vois...
Merci !
- prof du chaosNiveau 5
Excusez-moi, je dois être un peu couillon, mais les textes du parcours doivent bien être du même siècle que l'OI non (contrairement à la LC)?
Du coup Ponge...
Du coup Ponge...
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ça me tiendra jamais jusqu'à la retraite
- gregforeverGrand sage
Non, de l'époque délimitée par l'objet d'étude: donc pour la poésie XIXème/XXième.
- prof du chaosNiveau 5
ok merci, du coup Ponge aussi certainement
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ça me tiendra jamais jusqu'à la retraite
- User5455Niveau 5
"Je me suis arrêté devant l'épouvantable inutilité d'expliquer quoi que ce soit à qui que ce soit", Baudelaire, Projet de préface I.
Jusqu'à ce soir, je ne connaissais que les sorts rimbaldiens. Je devrais peut-être consulter un autre oracle.
Bonne rentrée à tous !
Jusqu'à ce soir, je ne connaissais que les sorts rimbaldiens. Je devrais peut-être consulter un autre oracle.
Bonne rentrée à tous !
- marjoDoyen
Je suis en train de préparer ma première explication linéaire, celle d' "Hymne à la beauté", et j'aimerais bien de l'aide ou des avis pour le découpage. Je pense avoir fait quelque chose de pertinent en ce qui concerne la délimitation des parties, mais j'ai du mal à caractériser ces dernières :
I. Interrogation sur la nature de la beauté, présentée comme mystérieuse et profondément antithétique
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton œil le couchant et l'aurore ;
Tu répands des parfums comme un soir orageux ;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
II. Insistance sur les liens entre la beauté, le mal et la mort
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
III. La nature ambivalente de la beauté est source de richesse poétique
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu !
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?
Qu'en pensez-vous ?
I. Interrogation sur la nature de la beauté, présentée comme mystérieuse et profondément antithétique
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton œil le couchant et l'aurore ;
Tu répands des parfums comme un soir orageux ;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
II. Insistance sur les liens entre la beauté, le mal et la mort
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
III. La nature ambivalente de la beauté est source de richesse poétique
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu !
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?
Qu'en pensez-vous ?
- IphigénieProphète
Ce n’est pas faux!zab1881 a écrit:Les mouvements me semblent clairs et justes.
Mais pour ma part je verrais plutôt deux parties : la première qui regroupe tes deux premières: interrogations sur la nature ambiguë de la beauté
Puis affirmation de son choix quelle que soit sa source.
L’ensemble est dominé par l’interrogation même si elle change d'objectif( sur la beauté, sur son choix inconditionnel) montrant un fond de désespoir et d’incertitude.
Enfin ce serait ma lecture
La première partie= tu
La deuxième est plutôt centrée sur le je (moi)
- marjoDoyen
Merci Iphigénie. Je vais reprendre le texte et voir si je maintiens mon découpage ou pas.
- KhorsabadNiveau 6
Bonjour tout le monde,
J'ai pour ma part opté pour Apollinaire en OI mais dans le cadre du parcours, "Modernité poétique ?", j'ai établi un GT avec notamment "Une charogne" qui constitue ma première étude linéaire. J'ai voulu tenter quelque chose pour cette première étude, je n'ai pas rédigé de cours intégralement, j'ai pris le parti de laisser les élèves faire eux-mêmes l'analyse au fur et à mesure (sous mon autorité, évidemment). Je suis un peu désespérée parce qu'en 2h, je dois avouer que l'on a peu avancé : 7 vers analysés, en intégralité par les élèves, certes, mais tout de même... (Je précise qu'entre deux j'ai fait quelques rapides rappels de grammaire / figures de style, et heureusement sinon j'aurais vraiment très honte de ces 2h passées "à rien"...) Je me dis que je n'aurais jamais fini mes 48 vers avant la Toussaint à ce rythme... Ce qui me panique et m'angoisse totalement.
Je pense que je m'y prends mal, ou que je veux trop en dire, ou que je donne trop de responsabilités aux élèves, ou je ne sais pas mais en tout cas, un truc ne va pas. Si vous avez des retours sur vos premiers cours ou des conseils à partager pour l'avancée de mes analyses (j'enseigne en filière techno, donc 3h/semaine), je suis preneuse.
Merci beaucoup pour le temps que vous m'accorderez.
Bon courage à chacun et chacune !
J'ai pour ma part opté pour Apollinaire en OI mais dans le cadre du parcours, "Modernité poétique ?", j'ai établi un GT avec notamment "Une charogne" qui constitue ma première étude linéaire. J'ai voulu tenter quelque chose pour cette première étude, je n'ai pas rédigé de cours intégralement, j'ai pris le parti de laisser les élèves faire eux-mêmes l'analyse au fur et à mesure (sous mon autorité, évidemment). Je suis un peu désespérée parce qu'en 2h, je dois avouer que l'on a peu avancé : 7 vers analysés, en intégralité par les élèves, certes, mais tout de même... (Je précise qu'entre deux j'ai fait quelques rapides rappels de grammaire / figures de style, et heureusement sinon j'aurais vraiment très honte de ces 2h passées "à rien"...) Je me dis que je n'aurais jamais fini mes 48 vers avant la Toussaint à ce rythme... Ce qui me panique et m'angoisse totalement.
Je pense que je m'y prends mal, ou que je veux trop en dire, ou que je donne trop de responsabilités aux élèves, ou je ne sais pas mais en tout cas, un truc ne va pas. Si vous avez des retours sur vos premiers cours ou des conseils à partager pour l'avancée de mes analyses (j'enseigne en filière techno, donc 3h/semaine), je suis preneuse.
Merci beaucoup pour le temps que vous m'accorderez.
Bon courage à chacun et chacune !
- User5455Niveau 5
marjolie.june a écrit: Qu'en pensez-vous ?
Je m'apprête moi aussi à étudier ce poème en classe, et je proposerai le même plan.
Au vers 13, la deuxième apostrophe à la Beauté relance le discours, et marque le début d'un nouveau mouvement qui se caractérise notamment par l'abandon momentané de la modalité interrogative, et une peinture plus sombre de la beauté. Dans le troisième mouvement, initié par une dernière apostrophe à la Beauté au vers 22, le poète renoue avec la modalité interrogative pour souligner la futilité d'un questionnement qui ne semble déboucher sur aucune réponse claire et univoque. L'émergence de la première personne est aussi l'une des caractéristiques du troisième mouvement, bien qu'elle soit en fait déjà présente dans la structure profonde dès le début du poème puisqu'il s'agit d'une sorte de prière adressée à un "tu".
Cela dit, je m'interroge encore sur la façon de formuler le titre de chaque partie.
- marjoDoyen
Si on est d'accord sur le découpage, ça me rassure. J'ai commencé à préparer l'explication de texte, qu'on fera la semaine prochaine. Je vais analyser moi-même le 1er mouvement du texte, je demanderai aux élèves de faire la même chose avec le deuxième mouvement en suivant mon modèle, et je pense que je donnerai un truc tout fait pour le troisième mouvement qui me semble plus difficile.
- IphigénieProphète
Pour moi, trois parties, ce n'est pas le ryhtme du poème ( longue "montée " même si deux temps qui s'amplifient en effet dans le jeu des interrogations puis descriptions en réponse) -puis descente": quimporte") mais ç'est une question de lecture, hein!Pinocchio a écrit:marjolie.june a écrit: Qu'en pensez-vous ?
Je m'apprête moi aussi à étudier ce poème en classe, et je proposerai le même plan.
Au vers 13, la deuxième apostrophe à la Beauté relance le discours, et marque le début d'un nouveau mouvement qui se caractérise notamment par l'abandon momentané de la modalité interrogative, et une peinture plus sombre de la beauté. Dans le troisième mouvement, initié par une dernière apostrophe à la Beauté au vers 22, le poète renoue avec la modalité interrogative pour souligner la futilité d'un questionnement qui ne semble déboucher sur aucune réponse claire et univoque. L'émergence de la première personne est aussi l'une des caractéristiques du troisième mouvement, bien qu'elle soit en fait déjà présente dans la structure profonde dès le début du poème puisqu'il s'agit d'une sorte de prière adressée à un "tu".
Cela dit, je m'interroge encore sur la façon de formuler le titre de chaque partie.
- IsachocolatNiveau 3
@Khorsabad
Moi aussi j’ai commencé la lecture linéaire d’Une charogne et en ajoutant tous les rappels de versification, de figures de style etc... Et bien nous n’avons guère avancé! Ce poème me semblait incontournable pour traiter les FdM, mais j’en viens à me demander si je n’aurais pas dû me restreindre dans mon choix à des sonnets ( qui du coup, ne seraient pas coupés par un examinateur trop sourcilleux sur la longueur du texte)...
Bref, pas un message de solution, pardonne-moi, mais un message pour dire que je suis dans la même situation!
Moi aussi j’ai commencé la lecture linéaire d’Une charogne et en ajoutant tous les rappels de versification, de figures de style etc... Et bien nous n’avons guère avancé! Ce poème me semblait incontournable pour traiter les FdM, mais j’en viens à me demander si je n’aurais pas dû me restreindre dans mon choix à des sonnets ( qui du coup, ne seraient pas coupés par un examinateur trop sourcilleux sur la longueur du texte)...
Bref, pas un message de solution, pardonne-moi, mais un message pour dire que je suis dans la même situation!
- marjoDoyen
Pour répondre à Isachocolat et à Khorsabad, je voulais dire que j'ai finalement laissé tomber l'explication de "Une charogne", justement par peur de la longueur et de la densité du poème. J'ai tout de même fait l'étude du poème en classe, mais de façon synthétique, plutôt dans l'optique que ça serve pour une dissertation.
J'ai une question de grammaire. Ma première explication linéaire est celle du poème "Hymne à la beauté" et à la fin de l'étude, je voudrais faire l'analyse syntaxique d'une phrase, en guise d'exemple pour le bac. J'ai choisi l'avant-dernière strophe et je me heurte à un problème :
"Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe"
[Que tu viennes du ciel ou de l'enfer] est bien une proposition subordonnée complétive (?), mais quelle est sa fonction ? Sujet ou COD ? Je viens de chercher partout (dans le Robert, le TLF, le Grévisse, la GMF) et je ne trouve rien de clair. Je me sens stupide et ignare...
Je m'interroge aussi sur la nature de la proposition introduire par "si" deux vers après.
Edit : en cherchant à nouveau, j'ai trouvé ça, qui tend à me laisser penser que [que tu viennes du ciel ou de l'enfer] est plutôt le sujet réel du verbe importer :
https://books.google.fr/books?id=SX0wDQAAQBAJ&pg=PA277&lpg=PA277&dq=qu%27importe+%2B+interrogative&source=bl&ots=U3-LjUP3uW&sig=ACfU3U0OjYjjC4ybumnX72mpW3exmzZm4w&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwi74fPHi87kAhWO34UKHSbkAscQ6AEwB3oECAkQAQ#v=onepage&q=qu'importe%20%2B%20interrogative&f=false
J'ai une question de grammaire. Ma première explication linéaire est celle du poème "Hymne à la beauté" et à la fin de l'étude, je voudrais faire l'analyse syntaxique d'une phrase, en guise d'exemple pour le bac. J'ai choisi l'avant-dernière strophe et je me heurte à un problème :
"Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe"
[Que tu viennes du ciel ou de l'enfer] est bien une proposition subordonnée complétive (?), mais quelle est sa fonction ? Sujet ou COD ? Je viens de chercher partout (dans le Robert, le TLF, le Grévisse, la GMF) et je ne trouve rien de clair. Je me sens stupide et ignare...
Je m'interroge aussi sur la nature de la proposition introduire par "si" deux vers après.
Edit : en cherchant à nouveau, j'ai trouvé ça, qui tend à me laisser penser que [que tu viennes du ciel ou de l'enfer] est plutôt le sujet réel du verbe importer :
https://books.google.fr/books?id=SX0wDQAAQBAJ&pg=PA277&lpg=PA277&dq=qu%27importe+%2B+interrogative&source=bl&ots=U3-LjUP3uW&sig=ACfU3U0OjYjjC4ybumnX72mpW3exmzZm4w&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwi74fPHi87kAhWO34UKHSbkAscQ6AEwB3oECAkQAQ#v=onepage&q=qu'importe%20%2B%20interrogative&f=false
- KhorsabadNiveau 6
@isachocolat
Merci, tu me rassures un peu....! Je les ai eu en groupe hier, on avance un peu plus vite (vers 20) mais ça va être laborieux cette histoire d’etude Linéaire... entre les rappels de versifications et de grammaire (ils ont déjà du mal à identifier un temps verbal !), le temps passe trop vite.
Merci, tu me rassures un peu....! Je les ai eu en groupe hier, on avance un peu plus vite (vers 20) mais ça va être laborieux cette histoire d’etude Linéaire... entre les rappels de versifications et de grammaire (ils ont déjà du mal à identifier un temps verbal !), le temps passe trop vite.
- DorineHabitué du forum
Quelqu'un aurait-il le 40/4 de la collection "ellipses" consacré aux "Fleurs du Mal"? J'aurais aimé avoir un aperçu des questions posées. Merci!
- oiseau bleuNiveau 1
Moi aussi, je cherche les 40 questions sur Les Fleurs du Mal, éditions Ellipses. Impossible de mettre la main dessus
- KilmenyEmpereur
Que donnez-vous comme cursive ?
_________________
Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- liroxNiveau 6
Les Parti pris des choses de Ponge, comme beaucoup de collègues, il me semble.
- KilmenyEmpereur
C'est ce que je voulais faire, mais on ne peut plus le traiter dans le parcours si on le donne en LC et cela m'ennuie.
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- liroxNiveau 6
Oui, je sais... Pour ma part, comme j'ai des techno je n'ai besoin que de 2 textes dans le parcours, donc j'ai réussi à prendre autre chose pour les 2 EL.
- glucheNiveau 10
J'avoue ne pas respecter ce principe que je juge absurde. Beaucoup de collègues font ainsi d'ailleurs; le programme n'étant pas particulièrement explicite.Kilmeny a écrit:C'est ce que je voulais faire, mais on ne peut plus le traiter dans le parcours si on le donne en LC et cela m'ennuie.
- KilmenyEmpereur
C'est écrit que la LC doit être différente des textes du parcours. (pour une fois que c'est explicite)
Programme a écrit: La lecture cursive est constamment encouragée par le professeur.Quatre œuvres au moins –une par objet d’étude, toutes distinctes de celles étudiées dans le cadre des parcours–doivent être lues par l’élève.
_________________
Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- IllianeExpert
Pour ma part j'ai contourné le problème en étudiant "Ode inachevée à la boue" qui ne fait pas partie du Parti pris des choses.
- liroxNiveau 6
@Kilmeny: A moins que tu te fasses inspecter, qu'est-ce que tu risques? Et surtout, à mon avis les élèves ne risquent rien non plus. Personnellement je ne vais pas me priver d'interroger un élève sur une EL de Ponge s'il a lu Ponge en cursive et qu'il l'a choisi pour la 2ème partie de l'épreuve. Dans ce cas là, j'attendrai bien entendu une analyse du recueil plus poussée que pour une simple lecture cursive.
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