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- pseudo-intelloSage
A ce que j'ai compris, il s'agit d'un lycée si difficile que tout le monde pète un peu un câble, pas grand chose ne fonctionne, il manque des personnels car personne ne veut y exercer, et ceux qui sont HS ne sont pas remplacés (pour les mêmes raison), mais c'est évidemment la faute des profs, parce que ce sont leurs absences ou leurs pétages de plombs qui sont le plus immédiatement visibles par les familles, et qu'ils sont les coupables les plus pratiques pour la hiérarchie.
- PoupoutchModérateur
Mais non, pseudo-intello, c'est la faute des profs syndiqués, qui plus est dans un syndicat de gauchistes décérébrés... Car il est bien connu que le rôle majeur d'u' syndicat, c'est de protéger les incompétents notoires qui se voient ennuyés injustement par leur direction. D'ailleurs, de là à dire que tout syndiqué est un incompétent notoire, il n'y a qu'un pas.
Bien entendu, on parle là de ces syndicats qui ne veulent jamais écouter, discuter ou négocier et qui ont la contestation chevillée au corps. Il va de soi que tous les gens compétents ont depuis bien longtps rejoint les rangs du SGEN et de l'UNSA...
Bien entendu, on parle là de ces syndicats qui ne veulent jamais écouter, discuter ou négocier et qui ont la contestation chevillée au corps. Il va de soi que tous les gens compétents ont depuis bien longtps rejoint les rangs du SGEN et de l'UNSA...
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- JacqGuide spirituel
ben2510 a écrit:ZeSandman a écrit:Beaucoup ici dénoncent ici les confusions de l'auteur de cet article, alors que moi cette histoire m'apparaît très claire et me parle profondément dans ma chair.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
Sans doute à peu près la même quantité que dans d'autres établissements. Personnellement je n'en ai que rarement croisé, et jamais dans le 93.
Quatre établissements en bientôt 20 ans, sur trois académies et dans la dernière des zones plutôt éloignées : jamais vu un adhérent et encore moins un représentant de l'UNSA ou du SGEN (je ne parle même pas des manifestations, faut pas pousser non plus). Le problème de leur invisibilité ne vient pas d'autres syndicats mais bien de leur présence réelle sur le terrain, quasi inexistante. Ne cherchons pas chez les autres syndicats la raison de l'invisibilité de ces syndicats.
Je suis sinon d'accord avec ce qu'indique ZeSandman, cela peut arriver dans certains établissements, une main-mise totale sur toutes les décisions et des pressions et des tensions...
Cath a écrit:Est-ce que la section Sud de Bobigny ne pourrait pas faire quelque chose pour nos salaires et nos conditions de travail ? Parce que quand même, elle est visiblement vachement puissante... Ce serait dommage de passer à côté...
... et ces pressions peuvent se faire dans certains établissements comme, Cath, celui dont nous parlions il y a quelques temps ici même, que tu as fréquenté, que je connais par intermédiaire et où la situation se dégrade largement en raison d'un petit groupe de syndiqués qui font la loi et n'importe quoi en même temps, on dégouté une grande partie dans anciens syndiqués et représentants, eux sérieux... Mais pour eux le sérieux n'importe pas, la couleur syndicale non plus, mais d'autres affinités plus discutables.
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Je propose qu'on se répartisse en îlots pour tenter une explication de texte. Une approche par îlot :
- sémiologique
- poétique
- rhétorique
- impressionniste
- narratologique
- philologique
- psychanalytique
- tératologique
Je propose plutôt des groupes de travail "Non-mixité, "enseignant·e·s racisé·e·s" . C'était où déjà que ces stages étaient proposés ?
Et pour revenir à l'article. Oui, c'est le foutoir. Mais notons, contrairement à ce qu'indiquent certains ici, que "les syndicats" ne sont pas mis en cause. Il y a "un groupe" dans "un établissement", "d'un syndicat", dont l'attitude est mise en question. Et si cette attitude est mise en cause c'est parce que des personnels en ont témoigné, pas parce que le Libé ou autre en voudrait aux syndicats en général ou à tous les syndiqués de Sud.
Il y a juste une situation visiblement chaotique et donc un article tout aussi chaotique.
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