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- Cléopatra2Guide spirituel
J'hallucine sur l'ensemble : le climat, l'article incompréhensible... Et je me dis qu'en fait dans mon bahut, on pourrait reprocher la même chose à la liste dont je fais partie (pas les dérapages sur les élèves mais le fait d'être contre les autres), car ces reproches remontent à la direction.
- ErgoDevin
Oui mais là, Libé a enquêté. Diantre.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- KimberliteExpert
Mais quel est le but d'un tel article? Franchement, c'est étrange...
Je ne voyais pas le journalisme de cette manière.
Un mot me vient à l'esprit, pas très joli: fouille-m...e.
K
Je ne voyais pas le journalisme de cette manière.
Un mot me vient à l'esprit, pas très joli: fouille-m...e.
K
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- Spoiler:
- User26836Niveau 9
Aaaah donc je ne suis pas la seule à n'avoir rien compris à la teneur de l'article ? D'habitude les articles sur l'EN dans les grands journaux français sont très clairs sur leurs intentions et leur sujet ; là ben c'est juste que tout est mélangé, pas clair, pas expliqué, avec des témoignages de qui sur quoi ? On ne sait pas, des idées reçues sans preuves, des accusations on ne sait trop contre qui ou quoi... Ce qui ressort par contre c'est que encore une fois si l'EN va mal clairement, cela semble être encore et toujours de notre faute, nouléprofs (syndiqués ou non gréviste ou non, jeune, vieux, titulaire, contractuel, femme, homme. Et aussi adepte des méthodes à l'ancienne ou non (super le portrait d'ailleurs : les profs sont tous soit des tortionnaires qui n'hésitent pas à frapper leurs élèves en toute illégalité, protégés qu'ils sont par la mafia syndicale et enfermés dans leur principe éducatifs datant de la Comtesse de Ségur, ou des ex 68ards largués, soit encore des gens depassés par les évènements et donc incapables de s'occuper des chéris (! Oui tout est exagéré !) ... Bref je n'ai ni compris ni apprécié cet article : quel message voulait-il faire passer ? Là on a juste compris que c'était le b***el dans tel établissement du 93, yay !!
- pseudo-intelloSage
Je ne vois pas le rapport.des professeurs se déchirent depuis des années, divisés en deux camps qui s’affrontent avec une rare violence. Pour les élèves, ce sont des centaines d’heures de cours perdues à cause d’un absentéisme anormalement élevé.
Ça me paraît pas tant que ça ; on en a un bon tiers chez nous, et parmi les boursiers, certains élèves ont des parents qui travaillent.61 % de boursiers
Ceci étant, peut-être que le taux est plus bas qu'il ne devrait si certaines familles éligibles ne complètent pas le dossier.
Au fait, la comparaison pas du tout hyperbolique avec les Capulet et les Montaigu me fait frémir d'horreur. Manifestement, là-bas, on risque sa vie rien qu'en traversant la cour.
Je pense qu'un enseignant qui effectue à Bobigny est tout à fait fondé à chercher à optimiser son confort de travail, qui ne doit pas être mirobolant au quotidien.«Leurs projets pédagogiques étaient intéressants, mais pas menés de la bonne manière : ils n’étaient pas dans l’intérêt de l’élève mais pour le confort de l’enseignant.»
Peut-être que le collègue qui livre ce témoignage fait parti du groupe des Culpabilisés devant l'Eternel, dont notre profession (et peut-être d'autres professions liées à l'humain
Un père de famille, furieux : «C’est pitoyable, car ils instrumentalisent les enfants. Vous vous rendez compte que le collège, c’est une rampe de lancement pour nos enfants, et voyez ce qu’ils en font.»
C'est beaucoupA notre demande, il a épluché les tableaux de l’année qui s’achève. Bilan : pas un seul jour avec l’équipe des 70 profs au complet (exception faite de la prérentrée). En moyenne, 7 profs ont été absents chaque jour !
Et j’imagine, si c'est dès la rentrée, qu'il y a eu de postes non-pourvus dès le début (les élèves non plus, manifestement, ne donnent pas envie aux personnels de l'EN de se précipiter sur leur collège). Après, entre les non-remplacements de congés mat et autres dépressions dans une académie qui n'attire pas, les absences syndicales donc de droit, fort logiques dans un collège où les personnels en ont manifestement gros sur la patate, ça peut vite chiffrer, effectivement.
Je serais prof là-bas (en vrai, jamais de la vie, ou alors il faudrait me payer très cher), je prendrais un petit chronomètre pour comptabiliser le nombre d'heures perdues en disciplines sur une année scolaire, histoire qu'on compare un peu.
Oh, mais que c'est triiiiste ! :pleurs:On a demandé à Awa ce qu’elle souhaite faire plus tard. Elle a répondu : «J’aurais aimé être avocate. J’étais intelligente au primaire. Mais dans ce collège, je n’ai pas évolué. Maintenant, c’est trop tard.»
... et que c'est forcément fondé. Bien sûr, le "j'étais intelligente en primaire" de notre adolescente suffit à napper de crédibilité l'intégralité de son raisonnement. Bien sûr, elle avait forcément les capacités pour être avocate (et la notation bienveillante d'un PE de primaire obligé de noter avec des gommettes, ça ne saurait exister ; la tromperie de l'évaluation pasdevaguestes ? une fable). Bien sûr, si les enseignants étaient moins syndiquée, elle pourrait réaliser son rêve. Bien sûr, elle est irréprochable (alors que même si l'enseignant est en tort, il n'en est probablement pas venu à lui coller une claque -si tant est qu'il l'ait collée - juste pour le plaisir. En fait, soit elle a bien bien passé les bornes, soit elle mythonne.
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- ZeSandmanFidèle du forum
Beaucoup ici dénoncent ici les confusions de l'auteur de cet article, alors que moi cette histoire m'apparaît très claire et me parle profondément dans ma chair.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
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Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
- Salammb0Expert
Libération a écrit:J’aurais aimé être avocate. J’étais intelligente au primaire. Mais dans ce collège, je n’ai pas évolué. Maintenant, c’est trop tard.
J'ai versé une petite larme.
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"Avant les Dieux, les ténèbres étaient seules, et un souffle flottait, lourd et indistinct comme la conscience d’un homme dans un rêve. Il se contracta, créant le Désir et la Nue, et du Désir et de la Nue sortit la Matière primitive. C’était une eau bourbeuse, noire, glacée, profonde."
- Spoiler:
- jeromebrNiveau 6
Salammb0 a écrit:Libération a écrit:J’aurais aimé être avocate. J’étais intelligente au primaire. Mais dans ce collège, je n’ai pas évolué. Maintenant, c’est trop tard.
J'ai versé une petite larme.
Quel est l intérêt de ce commentaire au mieux déplacé au pire [modéré] ?
- DalvaVénérable
:lol:ZeSandman a écrit:Beaucoup ici dénoncent ici les confusions de l'auteur de cet article, alors que moi cette histoire m'apparaît très claire et me parle profondément dans ma chair.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
- LefterisEsprit sacré
Bon travail de réécriture.ZeSandman a écrit:Beaucoup ici dénoncent ici les confusions de l'auteur de cet article, alors que moi cette histoire m'apparaît très claire et me parle profondément dans ma chair.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
Parodie ou pastiche ?
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- ZeSandmanFidèle du forum
Lefteris a écrit:
Bon travail de réécriture.
Parodie ou pastiche ?
Ça dépend où tu places le Ctrl+C Ctrl+V
J'irais plutôt vers la parodie, car le but était un peu de me moquer de deux textes un peu fourre-tout et ne contenant pas vraiment la moindre analyse sérieuse.
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- ben2510Expert spécialisé
ZeSandman a écrit:Beaucoup ici dénoncent ici les confusions de l'auteur de cet article, alors que moi cette histoire m'apparaît très claire et me parle profondément dans ma chair.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
Sans doute à peu près la même quantité que dans d'autres établissements. Personnellement je n'en ai que rarement croisé, et jamais dans le 93.
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
ZeSandman a écrit:Beaucoup ici dénoncent ici les confusions de l'auteur de cet article, alors que moi cette histoire m'apparaît très claire et me parle profondément dans ma chair.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
- CathEnchanteur
Est-ce que la section Sud de Bobigny ne pourrait pas faire quelque chose pour nos salaires et nos conditions de travail ? Parce que quand même, elle est visiblement vachement puissante... Ce serait dommage de passer à côté...
- RendashBon génie
ZeSandman a écrit:Beaucoup ici dénoncent ici les confusions de l'auteur de cet article, alors que moi cette histoire m'apparaît très claire et me parle profondément dans ma chair.
Ces deux clans qui s'opposent, avec pour l'un des deux une prédominance de certains discours syndicaux et politiques, très éloignée de ce que l'on rencontre habituellement dans les établissements.
Avec interdiction tacite d'exprimer un avis différent du leur, sous peine d'être ignoré, méprisé, considéré comme stupide.
Car s'exprimer au sein de cet établissement n’est pas facile si on le fait à contre-courant. On se sent vite pris en étau entre des élèves compliqués et des collègues mal positionnés, un petit groupe de personnes, une minorité importante, qui détermine les limites de ce qui est acceptable, qui se livre clairement à du harcèlement pour poser son autorité. Jusqu'à empêcher les élèves de troisième de partir en stage, en opposition totale avec l’éthique et l’humanisme qui devraient prévaloir dans nos métiers !
Si vous ne me croyez pas (ou si ses membres affirment une fois de plus que je cherche à victimiser), cherchez les adhérents à l'UNSA ou les militants du SGEN dans ce collège, combien en reste-t-il ?
J’espère de tout cœur que la majorité discrète de ce collège parviendra à conserver le minimum d’optimisme et d’espoir qui sont indispensables dans nos métiers.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Cléopatra2Guide spirituel
Oh la la j'y ai cru! Je sors...
- ipomeeGuide spirituel
Moi aussi j'ai failli y croire, mais ayant déjà lu ZeSandman j'ai
- OlympiasProphète
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Zesandman
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- jeromebrNiveau 6
- ElyasEsprit sacré
Ah bon ? C'est bizarre parce que j'y reconnais des pratiques de perdirs que je vois quotidiennement ou dont on me parle quotidiennement. Le truc le plus énorme étant la sortie de documents façon kinder surprise datés et souvent inconnus des accusés. Cela a un nom : des actes de déloyauté. C'est l'une des fautes les plus graves pour un perdir. Or, cette faute devient un instrument de gestion des enseignants. On marche sur la tête.
A me lire, on pourrait dire que je n'aime pas les perdirs. Mon expérience personnelle a sans doute dû ne me faire croiser la route que des tordu-e-s de ce corps. J'attends de rencontrer le perdir qui me réconciliera avec ce corps de cadres de l'EN. Pour tout dire, j'ai peu d'espoir pour l'année prochaine.
- jeromebrNiveau 6
Je n'ai pas dit que c était faux mais ton expérience de perdirs est l inverse de la mienne.
Dans tous les cas se méfier des témoignages des uns et des autres .
Dans tous les cas se méfier des témoignages des uns et des autres .
- DesolationRowEmpereur
Zesandman : :p
Honnêtement, je ne suis toujours pas sûr de comprendre quoi que ce soit à cette histoire.
Honnêtement, je ne suis toujours pas sûr de comprendre quoi que ce soit à cette histoire.
- SphinxProphète
Moi non plus et d'autant plus que je trouve le communiqué rectificatif sur Facebook pas bien clair et très lapidaire lui aussi.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Je propose qu'on se répartisse en îlots pour tenter une explication de texte. Une approche par îlot :
- sémiologique
- poétique
- rhétorique
- impressionniste
- narratologique
- philologique
- psychanalytique
- tératologique
- sémiologique
- poétique
- rhétorique
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- narratologique
- philologique
- psychanalytique
- tératologique
- pseudo-intelloSage
A ce que j'ai compris, il s'agit d'un lycée si difficile que tout le monde pète un peu un câble, pas grand chose ne fonctionne, il manque des personnels car personne ne veut y exercer, et ceux qui sont HS ne sont pas remplacés (pour les mêmes raison), mais c'est évidemment la faute des profs, parce que ce sont leurs absences ou leurs pétages de plombs qui sont le plus immédiatement visibles par les familles, et qu'ils sont les coupables les plus pratiques pour la hiérarchie.
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- Violences au collège République à Bobigny : des profs en colère font la grève des cours
- [español] Le thème de la guerre civile au collège.
- Education prioritaire : au collège République de Bobigny, les réformes ont déjà fait perdre 141 heures de cours depuis 2007
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