- SardanapaliNiveau 3
Si on les exclue c'est pour les protéger...c'est pour leur bien [modéré]
- acsyleNiveau 10
Moonchild a écrit:Dhaiphi a écrit:Thalia de G a écrit:Ce que j'ai graissé n'est pas faux et cette exclusion-inclusion ennuierait bien plus les fautifs s'ils étaient dans un relatif isolement. Ce que j'ai vu pratiquer dans mon collège : mais un surveillant mobilisé pour un ou deux élèves et bien c'est un surveillant de moins pour les tâches de la vie sco (absences, surveillance de la cour et des couloirs)
Il n'est nul besoin de surveillant, une bonne serrure à la porte suffit. Ce n'est pas onéreux et efficace. Je dis ça, je ne dis rien... (je sens que déjà ça bruisse du côté des bonnes âmes).
Il y aurait une autre solution : que les parents des perturbateurs soient convoqués pour assurer les surveillances des heures de colles de ces pauvres jeunes trop hâtivement sanctionnés pour des broutilles.
:diable:
Sinon il y a quelques mois il y avait eu un scandale à propos d'un groupe de collégiens qui avaient violé une collégienne. Je ne sais pas ce que ça a donné du côté de la justice mais du côté du scolaire ils ont tous été rescolarisés ailleurs. "GNEUH GNEUH GNEUH A KOI SA SERT DE LAY VIRER ??"
- IphigénieProphète
Le titre comporte une erreur: le problème n’est pas « trop d’élèves exclus » mais « trop d’élèves à exclure »: là on toucherait le vrai problème, et on aurait une chance d’en clarifier les causes, donc de trouver une solution autre que « pas de vague » ...
- ElbertaHabitué du forum
Iphigénie a écrit:Le titre comporte une erreur: le problème n’est pas « trop d’élèves exclus » mais « trop d’élèves à exclure »: là on toucherait le vrai problème, et on aurait une chance d’en clarifier les causes, donc de trouver une solution autre que « pas de vague » ...
C'est très juste. C'est exactement ça le problème.
- LizdarcyFidèle du forum
Ben voilà ! +10 000!Elberta a écrit:Iphigénie a écrit:Le titre comporte une erreur: le problème n’est pas « trop d’élèves exclus » mais « trop d’élèves à exclure »: là on toucherait le vrai problème, et on aurait une chance d’en clarifier les causes, donc de trouver une solution autre que « pas de vague » ...
C'est très juste. C'est exactement ça le problème.
Mais ça ce n'est pas bienveillant....pas très inclusif...
- Manu7Expert spécialisé
Trois autres, qui avaient chapardé une boîte de chocolats dans une armoire, ont été mis dehors une semaine, en plus de leur punition qui consistait à rembourser et écrire une lettre d’excuses. « C’est trop, estime Aïda. A quoi ça sert de les virer ? »
Chenapan arrête de chaparder !
Chenapan arrête de chaparder !
Chenapan arrête de chaparder !
La punition consistait au remboursement et des excuses... C'est pathétique, comment peut-on confondre punition et réparation ? Ecrire une lettre d'excuse serait une punition, c'est quand même fou, apprendre les règles de politesse c'est punir ??? Et pire, le remboursement serait une punition, et c'est une représentante des parents qui clame cela haut et fort !!! Elle semble oublier qu'il y a des représentants des parents dans un CD. Et la sanction d'une semaine d'exclusion n'est pas prise sur un coup de tête, en général elle fait suite à d'autres exclusions, si elle voulait parler de cet exemple il faudrait aussi connaître les sanctions précédentes. De plus, j'aurai bien aimé savoir où se trouvait cette armoire... Et les conditions du vol.
« La plupart des gamins exclus restent vissés devant la PlayStation, quand ils ne traînent pas en bas des bâtiments de leur cité », constate Hanaine, la présidente de l’union locale des parents d’élèves de Villepinte (Seine-Saint-Denis). « Il vaudrait mieux les garder dans le collège et leur faire faire des devoirs, mais voilà : personne n’a envie de s’embêter à les garder toute une journée. »
Quand cette présidente de parents d'élèves dit "personne n'a envie de s'embêter..." j'espère qu'elle pense en premier lieu aux parents, mais j'ai des doutes puisqu'elle pense que c'est au collège de les "garder", le mot est bien choisi, serions-nous des gardiens ???
Cela fait froid dans le dos, normalement nous devrions travailler main dans la main pour éduquer nos enfants. Mais soyons réalistes quand les familles ne savent plus comment gérer leurs enfants et bien nous sommes bien démunis et pourtant nous proposons de multiples solutions. Dans mon secteur, nous orientons les familles vers de multiples organismes qui peuvent écouter les enfants gratuitement, nous sommes bienveillants, mais nos conseils ne remplacent pas les punitions.
Un vol c'est grave ! Je me souviens d'une élève qui avait volé 20 € à sa camarade de chambre pendant un voyage scolaire, cela nous a gâché la fin de notre voyage, nous étions devenus des flics nous avions des doutes et accuser un élève de vol sur des témoignages flous ce n'est pas simple. Et comme souvent, la victime était vraiment mal, tandis que la voleuse était simplement vexée de s'être fait prendre.
- sifiÉrudit
Et puis, ces feignasses de profs n'ont qu'à les garder en cours, hein. Déjà qu'ils sont payés à ne rien faire, en plus ils ne veulent pas faire garderie pour les pauvres petits qui sont juste un peu plus agités que la moyenne.
- CasparProphète
Siggy a écrit:J'ai cru à un article du Gorafi au début. Bon les commentaires remettent en question l'attitude des parents, c'est plutôt rassurant.
Idem, et ça me désespère.
- MalagaModérateur
Iphigénie a écrit:Le titre comporte une erreur: le problème n’est pas « trop d’élèves exclus » mais « trop d’élèves à exclure »: là on toucherait le vrai problème, et on aurait une chance d’en clarifier les causes, donc de trouver une solution autre que « pas de vague » ...
Tu as tout à fait raison.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- titus06Habitué du forum
Proton a écrit:Les enfants sont à l'image des parents :
http://www.leparisien.fr/societe/exclu-temporairement-du-college-hugo-a-joue-toute-la-journee-sur-l-ordinateur-12-04-2019-8051631.php
Cette mère de famille ne semble éprouver aucune honte que son fils ait perturbé tout un établissement.
Dans l'article, on peut lire que se faire traiter de "péripatéticienne" ne coûte qu'une semaine d'exclusion (ramenée à trois jours). Il n'y a que moi que ça choque?
- BartlettNiveau 3
Iphigénie a écrit:Le titre comporte une erreur: le problème n’est pas « trop d’élèves exclus » mais « trop d’élèves à exclure »: là on toucherait le vrai problème, et on aurait une chance d’en clarifier les causes, donc de trouver une solution autre que « pas de vague » ...
Effectivement ! Mais cela les obligerait à faire preuve d'un peu plus de rigueur dans leur réflexion voire (soyons fous) à mener un véritable travail de journaliste.
- Shere KhanNiveau 10
Je rêve ! Des enfants qui passent leur temps "vissés à leur playstation" (acheté par qui ? et à la place de quel jouet intelligent ?), et les parents qui se plaignent que les professeurs ne veuillent pas les "garder" (sic). La "maman" qui s'est sentie abandonnée par l'école (sic) alors que son charmant petit avait traité une enseignante de "p…e". Au fait, c'est un outrage à personne chargée d'une mission de service public, et dans l'exercice de ses fonctions, ce qui peut valoir un dépôt de plainte. Et c'est que ça vient rouspéter, en plus !
C'est moi ou ça débloque ???
C'est moi ou ça débloque ???
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Les socialistes, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît..
Un éléphant (républicain…) ça Trump énormément (celle-là, j'en suis très fier)
- FenrirFidèle du forum
Ça débloque.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- VerduretteModérateur
Booh, t'es pas marrant, c'était pour rigoler !titus06 a écrit:Proton a écrit:Les enfants sont à l'image des parents :
http://www.leparisien.fr/societe/exclu-temporairement-du-college-hugo-a-joue-toute-la-journee-sur-l-ordinateur-12-04-2019-8051631.php
Cette mère de famille ne semble éprouver aucune honte que son fils ait perturbé tout un établissement.
Dans l'article, on peut lire que se faire traiter de "péripatéticienne" ne coûte qu'une semaine d'exclusion (ramenée à trois jours). Il n'y a que moi que ça choque?
Je ne pense pas non plus que l'exclusion soit une bonne réponse, mais tant qu'il n'y en a pas d'autre, je ne vois pas comment faire autrement, je ne vois pas pourquoi les professeurs et les élèves qui se tiennent correctement -et qui restent majoritaires-devaient subir cela à longueur de journée pour ne pas dire d'année.
Et je pense qu'un travail devrait être mené en amont, en primaire, car les f.. de m.. que vous récupérerez au collège ont généralement fait parler d'eux bien avant, mais à l'école élémentaire, et a fortiori en maternelle, rien n'est fait. je ne vais pas écrire "on ne peut pas exclure", car là encore ce n'est pas la solution, mais rien n'est fait, ou si peu, et si mollement, pour les élèves qui parfois dès la petite section pourrissent une classe, tapent les enseignants. Et je dis bien "pour", pas "contre", car à cet âge, un élève qui se conduit ainsi a forcément un problème. Il existe une multiplicité de causes, et le problème en question peut être assez simple à résoudre, mais on laisse pourrir, et après on chouine parce que trop d'élèves sont exclus.
Ça me rappelle un dessin de Faizant où je ne sais plus quel homme politique ferme bien fort les yeux avec dans la bulle de ses pensées : "Peut-être que lorsque j'ouvrirai les yeux le problème aura disparu".
Je crains que non.
- AnguaGrand sage
Je suis tout à fait d'accord avec toi, Verdurette. Non, l'exclusion, ce n'est pas idéal, mais... qu'avons-nous d'autre ? Concrètement, il y a pléthore d'élèves pour qui un travail supplémentaire ne sera jamais fait, une heure de colle l'occasion de retrouver ses potes en perm' (faute de surveillants, et/ou de créneaux pour les prendre avec une autre classe... si c'est à nous de le faire, mais c'est un autre débat), les sanctions "éducatives qui font réfléchir" un doux rêve de prof (ou de parent), en terme d'efficacité...
J'avoue être très désabusée sur la question. Et rejoindre Verdurette aussi sur l'image finale : oui, il y a des élèves sur qui on sait n'avoir aucune prise, et on ne peut plus que se contenter d'attendre que l'année finisse une fois que tout a été tenté. Plus qu'à attendre que le problème disparaisse.
J'avoue être très désabusée sur la question. Et rejoindre Verdurette aussi sur l'image finale : oui, il y a des élèves sur qui on sait n'avoir aucune prise, et on ne peut plus que se contenter d'attendre que l'année finisse une fois que tout a été tenté. Plus qu'à attendre que le problème disparaisse.
- ElyasEsprit sacré
Personnellement, je trouve qu'on exclut trop. Non pas qu'on ne doive pas mais parce que rien n'est fait en amont pour que ça n'arrive pas.
Dans mon bahut, c'est le laxisme en début d'année. Mais en avril, les conseils de discipline pleuvent. On se fait critiquer quand on propose des mesures de début d'année pour cadrer et on serre les dents pour que ça se passe bien dans nos classes. Sauf que ça explose chez ceux qui vantent la bienveillance et deviennent les premiers à demander de cesser la bienveillance en mars-avril. Donc, on exclut.
Souci : ça ne change rien au cycle.
Une fois, j'ai parlé d'une mesure qui fonctionnait dans tous les bahuts qui la mettent en application par rapport au travail non fait et aux copies blanches (ce qui me semble le premier pas pour faire comprendre où sont les élèves : dans un établissement scolaire). Quand j'ai commencé à dire le processus, on m'a tout de suite arrêté. On ne pouvait pas le faire chez nous. Mon œil ! C'était juste que ça demandait de s'impliquer un peu en septembre-octobre. Donc, on préfère laisser la cocotte-minute monter en pression jusqu'à explosion.
Dans mon bahut, c'est le laxisme en début d'année. Mais en avril, les conseils de discipline pleuvent. On se fait critiquer quand on propose des mesures de début d'année pour cadrer et on serre les dents pour que ça se passe bien dans nos classes. Sauf que ça explose chez ceux qui vantent la bienveillance et deviennent les premiers à demander de cesser la bienveillance en mars-avril. Donc, on exclut.
Souci : ça ne change rien au cycle.
Une fois, j'ai parlé d'une mesure qui fonctionnait dans tous les bahuts qui la mettent en application par rapport au travail non fait et aux copies blanches (ce qui me semble le premier pas pour faire comprendre où sont les élèves : dans un établissement scolaire). Quand j'ai commencé à dire le processus, on m'a tout de suite arrêté. On ne pouvait pas le faire chez nous. Mon œil ! C'était juste que ça demandait de s'impliquer un peu en septembre-octobre. Donc, on préfère laisser la cocotte-minute monter en pression jusqu'à explosion.
- mistinguetteFidèle du forum
C'était quoi ce dispositif si effrayant?
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.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- Blan6ineÉrudit
Elyas a écrit:
Une fois, j'ai parlé d'une mesure qui fonctionnait dans tous les bahuts qui la mettent en application par rapport au travail non fait et aux copies blanches (ce qui me semble le premier pas pour faire comprendre où sont les élèves : dans un établissement scolaire). Quand j'ai commencé à dire le processus, on m'a tout de suite arrêté. On ne pouvait pas le faire chez nous. Mon œil ! C'était juste que ça demandait de s'impliquer un peu en septembre-octobre. Donc, on préfère laisser la cocotte-minute monter en pression jusqu'à explosion.
mistinguette a écrit:C'était quoi ce dispositif si effrayant?
Je suis moi aussi curieuse : tu peux nous en dire plus ?
Merci !
- ElyasEsprit sacré
Convocation des élèves n'ayant pas fait leur travail ou ayant rendu copie blanche avec leur famille par la direction.
Résultat dans les établissement le mettant en place : chute vertigineuse des retards/oublis de travail et des copies blanches.
Résultat dans les établissement le mettant en place : chute vertigineuse des retards/oublis de travail et des copies blanches.
- mistinguetteFidèle du forum
Dès le 1er oubli ? Et direct à la direction, pas d'étapes, professeur principale puis CPE puis direction ( ce qui nous amène déjà à mi-novembre...)
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.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- mistinguetteFidèle du forum
Ce qui va a l'encontre du discours habituel...que c'est des broutilles que nous pouvons gérer et que les chefs se réservent les gros incidents...Nous comme on se plaint du bavardages et de l'inattention, on se fait moquer...Parce qu'ailleurs, c'est pire !
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.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- ElyasEsprit sacré
A mon sens, c'est juste de la pédagogie explicite : on rappelle explicitement que l'établissement scolaire est un lieu de travail dès la première période de l'année. On montre directement les enjeux à tout le monde : le travail. Mais je me fais jeter à chaque fois. Dès qu'on commence à montrer qu'on ne négocie pas sur le travail, tout le reste en reçoit les heureuses conséquences. Evidemment, on doit aussi avoir un politique d'accompagnement des élèves qui ne reçoivent pas d'aide à la maison, de ceux qui ont des difficultés et des décrocheurs. C'est cela la bienveillance pour moi : anticiper, surveiller et adapter. Oh, c'est le modèle de Grangeat dont tout le monde vante la pertinence mais que les perdirs n'appliquent pas.
- gauvain31Empereur
Elyas a écrit:A mon sens, c'est juste de la pédagogie explicite : on rappelle explicitement que l'établissement scolaire est un lieu de travail dès la première période de l'année. On montre directement les enjeux à tout le monde : le travail. Mais je me fais jeter à chaque fois. Dès qu'on commence à montrer qu'on ne négocie pas sur le travail, tout le reste en reçoit les heureuses conséquences. Evidemment, on doit aussi avoir un politique d'accompagnement des élèves qui ne reçoivent pas d'aide à la maison, de ceux qui ont des difficultés et des décrocheurs. C'est cela la bienveillance pour moi : anticiper, surveiller et adapter. Oh, c'est le modèle de Grangeat dont tout le monde vante la pertinence mais que les perdirs n'appliquent pas.
+1000 je ne peux que d'accord avec ce que tu dis ; étant TZR j'ai rencontré le même souci que toi. Pourquoi alors certains perdirs ne veulent-ils pas appliquer ces principes simples? Par lâcheté ? Par paresse? Conflit de valeurs ?
Je n'ai jamais compris exactement ce qui se passait dans la tête de ces CDE.
- User17095Érudit
L'un des obstacles majeurs à une telle politique, impeccable sur le papier et vraisemblablement très efficace, c'est que la journée ne compte que 24 heures...
Un truc pareil, soit on le fait systématiquement, on tient, on fait bien, soit on ne le fait pas du tout - et pour moi ce n'est même pas imaginable.
Un truc pareil, soit on le fait systématiquement, on tient, on fait bien, soit on ne le fait pas du tout - et pour moi ce n'est même pas imaginable.
- Article : Dix élèves d'Henri IV exclus pour un vol de sapins
- Un article d'un jeune journaliste parisien sur la réforme
- Article du Parisien : Les nouvelles technologies nous font-elles perdre la mémoire ?
- Y a-t-il trop d’écrans à la maison ? (article paru dans La Croix)
- Article de Brighelli, "Najat, T'es méraire mais pas trop" dans causeur.fr
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