Êtes vous prêts à :
- LédisséEsprit sacré
F.Lemoine a écrit:A mon humble avis, s'il n'y a pas grève de la surveillance et SURTOUT de la correction, cela ne servira à rien.
La surveillance, je pense qu'ils peuvent se débrouiller... Mais la correction...
Ils ne reporteront rien du tout, pour moi ça ne fait pas un pli, mais on pourra utiliser leur tricherie pour l'étaler au grand jour.
Quelqu'un a écrit sur ce forum que des profs d'HG ont été convoqués pour corriger des épreuves de français. Pas sûr que ce soit légal... En tot cas, je suis sûr que c'est un scandale, si c'est avéré.
Je peux confirmer pour au moins une collègue... d'allemand (connaissance directe d'une collègue de mon établissement). Je ne sais plus s'il s'agit du bac ou du brevet.
Moins scandaleux mais montrant tout de même les hyper-convocations de cette année : je suis convoquée à la fois pour le bac (correction seulement malheureusement) et le brevet (correction, alors qu'un courriel du rectorat nous avait assurés, promis-juré, que les enseignants de collège exceptionnellement convoqués pour le bac seraient épargnés pour les corrections du brevet^^).
- pseudo-intelloSage
Je fais souvent les grèves, et ne suis convoquée à rien pour l'instant.
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- Prof75Niveau 5
Eh bien nous les PLP lettres, nous sommes couramment convoqués pour surveiller toutes les épreuves du bac pro (et il y en a quelques unes), du BEP (et il y en a qq unes aussi), du CAP (épreuves ponctuelles, classes et candidats libres, oraux...) du BTS...ET du DNB !
Ah oui...j'oubliais...les mentions complémentaires !
Au total, c'est bien joli de faire grève le lundi 17 juin, mais nous sommes tellement convoqués que c'est quasiment la moitié du salaire qu'on perdrait si on était grévistes à chaque fois.
Personnellement, j'ai déjà treize convocations (surveillances, oraux, corrections) !
J'ai bien peur que cette grève soit vouée à l'échec du fait même de l'abondance des sollicitations.
Sans compter l'extraordinaire apathie des collègues qui laissent faire sans réagir.
Certains évoquaient plutôt une rentrée morte comme alternative. Je ne sais pas trop en quoi elle consisterait. Mais peut-être une voie à explorer...
Ah oui...j'oubliais...les mentions complémentaires !
Au total, c'est bien joli de faire grève le lundi 17 juin, mais nous sommes tellement convoqués que c'est quasiment la moitié du salaire qu'on perdrait si on était grévistes à chaque fois.
Personnellement, j'ai déjà treize convocations (surveillances, oraux, corrections) !
J'ai bien peur que cette grève soit vouée à l'échec du fait même de l'abondance des sollicitations.
Sans compter l'extraordinaire apathie des collègues qui laissent faire sans réagir.
Certains évoquaient plutôt une rentrée morte comme alternative. Je ne sais pas trop en quoi elle consisterait. Mais peut-être une voie à explorer...
- SeiferÉrudit
Prof75 a écrit:Eh bien nous les PLP lettres, nous sommes couramment convoqués pour surveiller toutes les épreuves du bac pro (et il y en a quelques unes), du BEP (et il y en a qq unes aussi), du CAP (épreuves ponctuelles, classes et candidats libres, oraux...) du BTS...ET du DNB !
Ah oui...j'oubliais...les mentions complémentaires !
Au total, c'est bien joli de faire grève le lundi 17 juin, mais nous sommes tellement convoqués que c'est quasiment la moitié du salaire qu'on perdrait si on était grévistes à chaque fois.
Personnellement, j'ai déjà treize convocations (surveillances, oraux, corrections) !
J'ai bien peur que cette grève soit vouée à l'échec du fait même de l'abondance des sollicitations.
Sans compter l'extraordinaire apathie des collègues qui laissent faire sans réagir.
Certains évoquaient plutôt une rentrée morte comme alternative. Je ne sais pas trop en quoi elle consisterait. Mais peut-être une voie à explorer...
Et une fois que ça arrive ils/elles diront qu'il faut attendre les manifestations habituelles ? Celles auxquel(le)s ils/elles ne participent pas ?
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- pseudo-intelloSage
Prof75 a écrit:Eh bien nous les PLP lettres, nous sommes couramment convoqués pour surveiller toutes les épreuves du bac pro (et il y en a quelques unes), du BEP (et il y en a qq unes aussi), du CAP (épreuves ponctuelles, classes et candidats libres, oraux...) du BTS...ET du DNB !
Ah oui...j'oubliais...les mentions complémentaires !
Au total, c'est bien joli de faire grève le lundi 17 juin, mais nous sommes tellement convoqués que c'est quasiment la moitié du salaire qu'on perdrait si on était grévistes à chaque fois.
Personnellement, j'ai déjà treize convocations (surveillances, oraux, corrections) !
J'ai bien peur que cette grève soit vouée à l'échec du fait même de l'abondance des sollicitations.
Sans compter l'extraordinaire apathie des collègues qui laissent faire sans réagir.
Certains évoquaient plutôt une rentrée morte comme alternative. Je ne sais pas trop en quoi elle consisterait. Mais peut-être une voie à explorer...
Essaie de choisir les jours où ton absence est la plus "bloquante", car il sera plus compliqué de te remplacer ?
- CathEnchanteur
La plus visible, c'est celle du 17 il me semble : la seule fois où le bac pro coïncide avec le bac GT
- RuthvenGuide spirituel
Seifer a écrit:Prof75 a écrit:Eh bien nous les PLP lettres, nous sommes couramment convoqués pour surveiller toutes les épreuves du bac pro (et il y en a quelques unes), du BEP (et il y en a qq unes aussi), du CAP (épreuves ponctuelles, classes et candidats libres, oraux...) du BTS...ET du DNB !
Ah oui...j'oubliais...les mentions complémentaires !
Au total, c'est bien joli de faire grève le lundi 17 juin, mais nous sommes tellement convoqués que c'est quasiment la moitié du salaire qu'on perdrait si on était grévistes à chaque fois.
Personnellement, j'ai déjà treize convocations (surveillances, oraux, corrections) !
J'ai bien peur que cette grève soit vouée à l'échec du fait même de l'abondance des sollicitations.
Sans compter l'extraordinaire apathie des collègues qui laissent faire sans réagir.
Certains évoquaient plutôt une rentrée morte comme alternative. Je ne sais pas trop en quoi elle consisterait. Mais peut-être une voie à explorer...
Et une fois que ça arrive ils/elles diront qu'il faut attendre les manifestations habituelles ? Celles auxquel(le)s ils/elles ne participent pas ?
Même exaspération que toi, Seifer ... Les collègues chouinent "les grèves d'un jour, cela ne sert à rien, il faut être gênant" ... Et quand arrive une grève des surveillances, silence de mort, oui mais non en fait ... On va chercher d'autres moyens d'action pour plus tard. Heureusement qu'il y a des lycées dans ma région où cela bouge, dans le mien, pour l'instant, on est moins de dix à vouloir être en grève.
- PrezboGrand Maître
Pour remonter un moral que je sens un peu morose : chez nous, après HIS, une quinzaine de collègues convoqués le 17 se sont prononcés pour la grève. Ça peut paraître peu, mais c'est plus que d'habitude dans un lycée traditionnellement divisé et peu mobilisé.
Pour les lyonnais, au passage, le SNES appelle à un rassemblement à 9h30 devant le rectorat. C'est peut-être mieux de ne pas rester seul chez soi.
Selon les remontées d'info syndicales, il y aurait un nombre de grévistes comparables dans d'autres lycées de l'agglomération.
De la discussion en HIS, il est ressorti un relatif consensus sur certains points : selon toute probabilité, l'épreuve de philo aura lieu. Les CDE ont reçu des instructions pour parer à toutes éventualités (le notre a convoqué beaucoup de personnels le 17, prévoyant sans doute une large marge de maneuvre). L’enjeu n'est même plus là : il est de rendre suffisamment visible le mouvement, pour que Blanquer ne puisse plus faire semblant de l'ignorer et de jouer à une communication bornée façon "les profs sont d'accord avec moi", et d'avoir une chance de peser encore à l'avenir.
Pour les lyonnais, au passage, le SNES appelle à un rassemblement à 9h30 devant le rectorat. C'est peut-être mieux de ne pas rester seul chez soi.
Selon les remontées d'info syndicales, il y aurait un nombre de grévistes comparables dans d'autres lycées de l'agglomération.
De la discussion en HIS, il est ressorti un relatif consensus sur certains points : selon toute probabilité, l'épreuve de philo aura lieu. Les CDE ont reçu des instructions pour parer à toutes éventualités (le notre a convoqué beaucoup de personnels le 17, prévoyant sans doute une large marge de maneuvre). L’enjeu n'est même plus là : il est de rendre suffisamment visible le mouvement, pour que Blanquer ne puisse plus faire semblant de l'ignorer et de jouer à une communication bornée façon "les profs sont d'accord avec moi", et d'avoir une chance de peser encore à l'avenir.
- JennyMédiateur
Cath a écrit:La plus visible, c'est celle du 17 il me semble : la seule fois où le bac pro coïncide avec le bac GT
+1. Convoquée au brevet et au bac, je vais privilégier la date du 17.
Pour Paris, il y a un rassemblement SNES rue du bac à 14h.
- LaotziSage
J'avoue que je ne comprends pas bien les collègues non plus. On se plaint des syndicats lorsqu'ils se contentent des grèves ponctuelles d'une journée tout au long de l'année et lorsque notre arme nucléaire, la grève du bac, est enfin brandie, ça chouine.
Il faut comprendre une chose : c'est notre dernière chance de faire bouger un tant soit peu les choses. La grève du bac, avec l'épreuve de philosophie très médiatisée le 17, est l'arme la plus puissante dont on dispose, celle qui nous permet d'être visible médiatiquement et d'avoir potentiellement un impact. Il n'y a donc plus de calculs à avoir : il faut foncer et faire cette grève, si l'on en partage les mots d'ordre. Cette grève est un tir à un coup : d'abord parce que le bac tel qu'il existe disparaît dans deux ans et en plus parce que le gouvernement ne laissera pas une épreuve être bloquée une deuxième fois.
Si l'on échoue le 17 au moins à instaurer un rapport de force, que nous restera-t-il ? Plus rien. On ne peut pas savoir si la mobilisation sera réussie, ni si cette mobilisation permet d'obtenir la moindre avancée. Mais ce que l'on peut dire, c'est que si l'on échoue le 17, c'en est terminé pour longtemps de notre capacité à pouvoir peser un minimum sur ce qu'on nous impose.
Il faut comprendre une chose : c'est notre dernière chance de faire bouger un tant soit peu les choses. La grève du bac, avec l'épreuve de philosophie très médiatisée le 17, est l'arme la plus puissante dont on dispose, celle qui nous permet d'être visible médiatiquement et d'avoir potentiellement un impact. Il n'y a donc plus de calculs à avoir : il faut foncer et faire cette grève, si l'on en partage les mots d'ordre. Cette grève est un tir à un coup : d'abord parce que le bac tel qu'il existe disparaît dans deux ans et en plus parce que le gouvernement ne laissera pas une épreuve être bloquée une deuxième fois.
Si l'on échoue le 17 au moins à instaurer un rapport de force, que nous restera-t-il ? Plus rien. On ne peut pas savoir si la mobilisation sera réussie, ni si cette mobilisation permet d'obtenir la moindre avancée. Mais ce que l'on peut dire, c'est que si l'on échoue le 17, c'en est terminé pour longtemps de notre capacité à pouvoir peser un minimum sur ce qu'on nous impose.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- Dame JouanneÉrudit
Entendu juste à la radio, d'un certain directeur général de l'enseignement scolaire : en substance, bonnes gens, ne vous inquiétez pas, l'administration a pris ses dispositions. Un peu de perfidie : de toute façon, la majorité des surveillants des épreuves est constituée de vacataires et eux ne font pas grève. Et un appel à notre conscience professionnelle : après avoir accompagné les élèves toute l'année, les professeurs ne vont pas vouloir les lâcher au dernier moment. Vraiment , on ne se refuse rien pour faire de la bonne com chez notre charmante autorité.
- The PaperHabitué du forum
Tout à fait d'accord, Laotzi.
Je suis déçu de voir que je n'ai pas réussi à mobiliser mes collègues dans mon lycée.
J'ai pourtant argumenté face aux réticences rationnelles ("on sacrifie nos élèves", etc.) mais rien n'y a fait.
J'ai fait savoir que je ferai grève si on est au moins une trentaine à la faire (au-dessous, je considère que ça ne sert à rien : de toute façon, le gouvernement minimise les chiffres, donc je ne la ferai pas pour le seul fait d'être comptabilisé) ; je n'ai qu'une petite dizaine de réponses qui s'alignent sur ma position.
Même pour le choix des manuels, j'ai eu beau argumenter contre, un manuel a été choisi pour les Secondes.
J'espère vivement que tous les établissements de France ne sont pas comme le mien parce que sinon, c'est à désespérer.
Je suis déçu de voir que je n'ai pas réussi à mobiliser mes collègues dans mon lycée.
J'ai pourtant argumenté face aux réticences rationnelles ("on sacrifie nos élèves", etc.) mais rien n'y a fait.
J'ai fait savoir que je ferai grève si on est au moins une trentaine à la faire (au-dessous, je considère que ça ne sert à rien : de toute façon, le gouvernement minimise les chiffres, donc je ne la ferai pas pour le seul fait d'être comptabilisé) ; je n'ai qu'une petite dizaine de réponses qui s'alignent sur ma position.
Même pour le choix des manuels, j'ai eu beau argumenter contre, un manuel a été choisi pour les Secondes.
J'espère vivement que tous les établissements de France ne sont pas comme le mien parce que sinon, c'est à désespérer.
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- MesonMixingNiveau 10
Ce matin chez Bourdin, le secrétaire général du SNPDEN a dit qu'il n'y aurait pas de problèmes. Les surveillants de réserve ont été doublés, il a dit qu'au pire on ne mettrait qu'un surveillant par salle et personne dans les couloirs.
Le bac se passera donc bien.
Deux enseignants ont appelé en disant que c'était un scandale de faire la grève le jour du bac et que c'est donc normal que le syndicalisme est en perte de vitesse puisque le SNES, le SNALC et FO en viennent à proposer ce genre d'actions...
Bourdin était aux anges !
https://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/audio/rmc-1406-ca-fait-debat-l-entretien-de-bruno-bobkiewicz-471981.html
Le bac se passera donc bien.
Deux enseignants ont appelé en disant que c'était un scandale de faire la grève le jour du bac et que c'est donc normal que le syndicalisme est en perte de vitesse puisque le SNES, le SNALC et FO en viennent à proposer ce genre d'actions...
Bourdin était aux anges !
https://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/audio/rmc-1406-ca-fait-debat-l-entretien-de-bruno-bobkiewicz-471981.html
- BalthazaardVénérable
Laotzi a écrit:J'avoue que je ne comprends pas bien les collègues non plus. On se plaint des syndicats lorsqu'ils se contentent des grèves ponctuelles d'une journée tout au long de l'année et lorsque notre arme nucléaire, la grève du bac, est enfin brandie, ça chouine.
Il faut comprendre une chose : c'est notre dernière chance de faire bouger un tant soit peu les choses. La grève du bac, avec l'épreuve de philosophie très médiatisée le 17, est l'arme la plus puissante dont on dispose, celle qui nous permet d'être visible médiatiquement et d'avoir potentiellement un impact. Il n'y a donc plus de calculs à avoir : il faut foncer et faire cette grève, si l'on en partage les mots d'ordre. Cette grève est un tir à un coup : d'abord parce que le bac tel qu'il existe disparaît dans deux ans et en plus parce que le gouvernement ne laissera pas une épreuve être bloquée une deuxième fois.
Si l'on échoue le 17 au moins à instaurer un rapport de force, que nous restera-t-il ? Plus rien. On ne peut pas savoir si la mobilisation sera réussie, ni si cette mobilisation permet d'obtenir la moindre avancée. Mais ce que l'on peut dire, c'est que si l'on échoue le 17, c'en est terminé pour longtemps de notre capacité à pouvoir peser un minimum sur ce qu'on nous impose.
c'est le problème, je suis partagé, de toute façon pas convoqué pour lundi...mais si on m'appelle ce sera niet je ne suis pas briseur de grève. Par contre on sort l'arme atomique pour quoi? Les retraites? tout le monde sait qu'on va se faire avoir à un point inimaginable mais ça ne bouge pas...les salaires? sur quelle base? un dégel du point d'indice (30 € de plus par personne...!!) moi je ne vois aucune revendication claire...Ah oui la réforme Blanquer, ben au risque de choquer, je ne vois pas de raison de sortir l'arme nucléaire contre ça...il y a plein de trucs discutables (je pense que le mot est à son sens premier) mais pas jusqu'à dire qu'il y casus belli par rapport à ce que nous vivons au quotidien (un bac qui est déjà complétement dévalué, des classes qui grossissent, des DHG peau de chagrin, des élèves tout-puissants) cela va t-il empirer les choses plus que par ce qui est devenu le mouvement naturel? je n'y crois pas du tout...
Tu me suis ou pas mais puisque tu veux comprendre je te donne un point de vue...ce n'est pas du "c'est l'argument pour ne jamais faire grève" j'ai fait celle du 9 mai (on devait être 3 ou 4) car les motifs étaient clairs pour moi , les syndicats d'accord et le danger clairement identifié...là je ne vois aucune des conditions remplies
- musaNeoprof expérimenté
Et pendant ce temps, l'étau se resserre...
https://www.snalc.fr/national/article/4709/
https://www.snalc.fr/national/article/4709/
- BalthazaardVénérable
musa a écrit:Et pendant ce temps, l'étau se resserre...
https://www.snalc.fr/national/article/4709/
Qui croire, le café pédagogique dit le contraire...et quand à suspecter Jarraud de complaisance avec le gouvernement...
http://www.cafepedagogique.net/Pages/Accueil.aspx
- musaNeoprof expérimenté
Intéressant... Si j'ai bien compris, il y aurait eu une réunion désastreuse au Ministère le 12 juin mais le Sénat et l'Assemblée auraient été plus modérés le 13??
- VicomteDeValmontGrand sage
- slynopHabitué du forum
Bonsoir,
Je voulais savoir si un préavis de grève avait été déposé pour les nouvelles dates du brevet, à la fois pour la surveillance et la correction ?
Merci à vous d'avance.
Je voulais savoir si un préavis de grève avait été déposé pour les nouvelles dates du brevet, à la fois pour la surveillance et la correction ?
Merci à vous d'avance.
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- ZeSandmanFidèle du forum
Vivivi
https://www.snalc.fr/national/article/4744/
https://www.snalc.fr/national/article/4407/
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https://www.snalc.fr/national/article/4407/
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Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
- slynopHabitué du forum
Merci.
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- DoublejeNiveau 6
Bonsoir à tous,
J'ai fait la grève des corrections du DNB en juin et j'ai trouvé dans mon casier, ce jour, un courrier de la maison des examens me demandant de justifier cette absence.
Ma question est la suivante: dois-je y répondre ?
Merci d'avance pour vos réponses.
PS: courrier en pièce jointe.
J'ai fait la grève des corrections du DNB en juin et j'ai trouvé dans mon casier, ce jour, un courrier de la maison des examens me demandant de justifier cette absence.
Ma question est la suivante: dois-je y répondre ?
Merci d'avance pour vos réponses.
PS: courrier en pièce jointe.
- RubikNiveau 10
J'ai trouvé le même courrier. La secrétaire l'a renvoyé en précisant que j'étais gréviste le jeudi (correction) et présente au collège le vendredi.
- Agrippina furiosaFidèle du forum
Doubleje a écrit:Bonsoir à tous,
J'ai fait la grève des corrections du DNB en juin et j'ai trouvé dans mon casier, ce jour, un courrier de la maison des examens me demandant de justifier cette absence.
Ma question est la suivante: dois-je y répondre ?
Merci d'avance pour vos réponses.
PS: courrier en pièce jointe.
J'ai reçu un mail similaire, qui était aussi sous forme papier dans mon casier à la rentrée de septembre. Je n'avais pas répondu (je m'étais signalée gréviste, donc pour moi, problème réglé) et j'ai reçu à nouveau deux autres mails ... de guerre lasse, j'ai répondu au dernier en disant que oui, j'étais gréviste comme signalé le jour même des corrections, et que oui, on pouvait m'enlever ce précieux trentième ... c'est la première fois que le Rectorat me fait un foin pareil pour un retrait de jour de grève, j'ai donc profité du mail pour demander le pourquoi d'une telle insistance : à ce jour (ça fait un mois environ), je n'ai pas eu de réponse ... mais on m'a enfin enlevé cette journée de grève sur la paie d'octobre. Bref.
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