- SphinxProphète
Virginia Woolf en VO me barbe pas mal, ne t'attends pas à me revoir tout de suite
- AustrucheerranteHabitué du forum
@Liskaya : en même temps, j'ai lu Garcia Lorca pendant les vacances de Noël, et Morrison, je l'ai fini récemment mais commencé en 2018, donc je triche un peu
@Sphinx : pour Rushdie, si tu veux y revenir un jour (ce qui ne semble pas évident vu ce que tu écris), il faut absolument lire Les Versets Sataniques, qui est d'assez loin le meilleur (mais long, lui aussi, faut du temps) ; très bonne approche du bouquin dans le début des Testaments trahis de Milan Kundera.
@Sphinx : pour Rushdie, si tu veux y revenir un jour (ce qui ne semble pas évident vu ce que tu écris), il faut absolument lire Les Versets Sataniques, qui est d'assez loin le meilleur (mais long, lui aussi, faut du temps) ; très bonne approche du bouquin dans le début des Testaments trahis de Milan Kundera.
- SphinxProphète
Non mais ça ne m'a pas horrifiée non plus, hein Il faudra un jour que je voie ce que ça donne sur ses autres oeuvres. Son style me plaît plutôt, c'est juste l'abus de la même ficelle narrative sur huit cent pages qui m'a un peu fatiguée.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- MalagaModérateur
Pour le défi 42. Un livre d'un auteur sur lequel on a des a priori, j'ai lu Les gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-Lugand.
Le résumé : Diane a perdu son mari Colin et sa petite fille Clara dans un accident de voiture. Impossible de se reconstruire en restant à Paris où tout lui rappelle son bonheur brisé. Elle décide donc, sur un coup de tête, de partir en Irlande, dans une petite ville, Mulranny. Elle y rencontre un couple adorable qui lui loue un cottage et les neveux et nièces de ce couple : la dynamique Judith et le mystérieux Edward.
Mon avis : je n'avais jamais lu un roman d'Agnès Martin-Lugand qui a pourtant beaucoup de succès. J'avoue que j'avais un a priori plutôt négatif ; ce genre de roman "leçon sur la vie" me semble souvent superficiel. Le début du roman avec la mort de la petite fille a été difficile à lire pour moi, sans doute car je me mettais à la place de cette maman. Ensuite, quand l'héroïne part en Irlande, tout semble sonner faux. La gentillesse extrême des habitants, le comportement odieux d'Edward (et l'idylle que l'on voit venir à dix kilomètres), le fait que l'héroïne ne travaille pas et ne semble avoir aucun problème d'argent, le fait qu'elle pleure ou hurle toutes les deux pages environ... rien n'est vraisemblable. Bref, un roman vite lu et sans doute vite oublié. Mes a priori sur l'auteur se sont confirmés.
Le résumé : Diane a perdu son mari Colin et sa petite fille Clara dans un accident de voiture. Impossible de se reconstruire en restant à Paris où tout lui rappelle son bonheur brisé. Elle décide donc, sur un coup de tête, de partir en Irlande, dans une petite ville, Mulranny. Elle y rencontre un couple adorable qui lui loue un cottage et les neveux et nièces de ce couple : la dynamique Judith et le mystérieux Edward.
Mon avis : je n'avais jamais lu un roman d'Agnès Martin-Lugand qui a pourtant beaucoup de succès. J'avoue que j'avais un a priori plutôt négatif ; ce genre de roman "leçon sur la vie" me semble souvent superficiel. Le début du roman avec la mort de la petite fille a été difficile à lire pour moi, sans doute car je me mettais à la place de cette maman. Ensuite, quand l'héroïne part en Irlande, tout semble sonner faux. La gentillesse extrême des habitants, le comportement odieux d'Edward (et l'idylle que l'on voit venir à dix kilomètres), le fait que l'héroïne ne travaille pas et ne semble avoir aucun problème d'argent, le fait qu'elle pleure ou hurle toutes les deux pages environ... rien n'est vraisemblable. Bref, un roman vite lu et sans doute vite oublié. Mes a priori sur l'auteur se sont confirmés.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- cocktailFidèle du forum
Je suis en train de lire Dora Bruder de Modiano pour le défi 24 (un livre dont le titre comporte un prénom féminin ou un prénom masculin). Je ne m'attendais pas à me retrouver face à une tentative de rédaction d'une biographie. C'est intéressant de découvrir le travail de l'écrivain (qui se confond avec l'historien dans le cas présent) et de découvrir son "matériel". Compte tenu de l'époque et de l'histoire de Dora, c'est forcément saisissant, aussi.
- Escargot GéantNiveau 8
Malaga a écrit:Pour le défi 42. Un livre d'un auteur sur lequel on a des a priori, j'ai lu Les gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-Lugand.
Le résumé : Diane a perdu son mari Colin et sa petite fille Clara dans un accident de voiture. Impossible de se reconstruire en restant à Paris où tout lui rappelle son bonheur brisé. Elle décide donc, sur un coup de tête, de partir en Irlande, dans une petite ville, Mulranny. Elle y rencontre un couple adorable qui lui loue un cottage et les neveux et nièces de ce couple : la dynamique Judith et le mystérieux Edward.
Mon avis : je n'avais jamais lu un roman d'Agnès Martin-Lugand qui a pourtant beaucoup de succès. J'avoue que j'avais un a priori plutôt négatif ; ce genre de roman "leçon sur la vie" me semble souvent superficiel. Le début du roman avec la mort de la petite fille a été difficile à lire pour moi, sans doute car je me mettais à la place de cette maman. Ensuite, quand l'héroïne part en Irlande, tout semble sonner faux. La gentillesse extrême des habitants, le comportement odieux d'Edward (et l'idylle que l'on voit venir à dix kilomètres), le fait que l'héroïne ne travaille pas et ne semble avoir aucun problème d'argent, le fait qu'elle pleure ou hurle toutes les deux pages environ... rien n'est vraisemblable. Bref, un roman vite lu et sans doute vite oublié. Mes a priori sur l'auteur se sont confirmés.
J'avais les mêmes a priori (ce titre mon dieu...) et souhaitais le choisir pour le défi .La couverture inspirée du De Vigan (Rien ne s'oppose à la nuit) que j'avais apprécié, me laissait supposer que ça passerait peut-être...
Merci de m'épargner cette lecture, je pense que je n'aurais pas aimé non plus XD
- DeliaEsprit éclairé
Un couple adorable qui loue ses neveux...
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- NasopiBon génie
Pour "un livre qui commence par une mort", j'ai lu Les Thermes du Paradis d'Akli Tadjer (très exatement, le roman en question commence par 5 morts, vu que le personnage principal est croque-mort ).
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- TivinouDoyen
Malaga a écrit:Pour le défi 42. Un livre d'un auteur sur lequel on a des a priori, j'ai lu Les gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-Lugand.
Le résumé : Diane a perdu son mari Colin et sa petite fille Clara dans un accident de voiture. Impossible de se reconstruire en restant à Paris où tout lui rappelle son bonheur brisé. Elle décide donc, sur un coup de tête, de partir en Irlande, dans une petite ville, Mulranny. Elle y rencontre un couple adorable qui lui loue un cottage et les neveux et nièces de ce couple : la dynamique Judith et le mystérieux Edward.
Mon avis : je n'avais jamais lu un roman d'Agnès Martin-Lugand qui a pourtant beaucoup de succès. J'avoue que j'avais un a priori plutôt négatif ; ce genre de roman "leçon sur la vie" me semble souvent superficiel. Le début du roman avec la mort de la petite fille a été difficile à lire pour moi, sans doute car je me mettais à la place de cette maman. Ensuite, quand l'héroïne part en Irlande, tout semble sonner faux. La gentillesse extrême des habitants, le comportement odieux d'Edward (et l'idylle que l'on voit venir à dix kilomètres), le fait que l'héroïne ne travaille pas et ne semble avoir aucun problème d'argent, le fait qu'elle pleure ou hurle toutes les deux pages environ... rien n'est vraisemblable. Bref, un roman vite lu et sans doute vite oublié. Mes a priori sur l'auteur se sont confirmés.
+1.
Je n'ai pas aimé non plus... Personnellement, j'ai des a priori sur Gilles Legardinier, Guillaume Musso, Marc Levy, Lars Kepler... mais je n'ai pas envie de les lire du tout! Vous n’auriez pas "moins pire" à me proposer??? Je sèche!
- MathadorEmpereur
Je pensais à 50 Shades, mais j'ai des doutes sur le fait que ce soit « moins pire ». Sinon les a priori peuvent être d'une autre nature: par exemple un auteur réputé difficile d'accès (je pense par exemple à Dostoïevski, peut-être Kafka (mais je ne l'ai pas lu pour l'instant)), ou encore un auteur dont la pensée n'est pas celle que l'on croit (par exemple Adam Smith, qui est réputé pour sa théorie libérale et la « main invisible » du marché, mais qui est en réalité moins libéral que ce qui se pratique actuellement sur certains points).Tivinou a écrit:Personnellement, j'ai des a priori sur Gilles Legardinier, Guillaume Musso, Marc Levy, Lars Kepler... mais je n'ai pas envie de les lire du tout! Vous n’auriez pas "moins pire" à me proposer??? Je sèche!
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- TivinouDoyen
@Mathador: Merci pour les suggestions... je vais creuser encore un peu. Ce ne sera pas Dostoïevski, que j'aime beaucoup...
En attendant, je m'en vais re-lire quelques pages du Lion de Kessel, dans une belle édition illustrée de 1959. Je viens de commencer et j'ai été frappée de plein fouet par la même phrase que lors de ma première lecture (qui remonte à mes 12 ans), au moment où le narrateur découvre, à l'aube, toutes les bêtes de la réserve réunies autour du point d'eau... "Maintenant, elles étaient là." C'était une sensation très étrange ...
En attendant, je m'en vais re-lire quelques pages du Lion de Kessel, dans une belle édition illustrée de 1959. Je viens de commencer et j'ai été frappée de plein fouet par la même phrase que lors de ma première lecture (qui remonte à mes 12 ans), au moment où le narrateur découvre, à l'aube, toutes les bêtes de la réserve réunies autour du point d'eau... "Maintenant, elles étaient là." C'était une sensation très étrange ...
- MathadorEmpereur
Ce n'est pas incompatible. J'ai lu Les Frères Karamazov, que j'ai adoré, ce qui n'empêche que j'ai trouvé le début du roman ardu avec de longues descriptions dont l'intérêt ne se révèle qu'à la fin (et j'ai mis environ un an et demi pour le lire).Tivinou a écrit:Ce ne sera pas Dostoïevski, que j'aime beaucoup...
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- nicole 86Expert spécialisé
Un solide a-priori envers Ulysse de Joyce mais je passerai mon tour !
- BabaretteDoyen
L'auteur sur lequel j'ai des a priori que j'ai prévu de lire, c'est Proust. L'a priori, c'est qu'il est ardu.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- MalagaModérateur
Delia a écrit:Un couple adorable qui loue ses neveux...
Vu que tu ne fais pas le défi et que tu es aussi désagréable sur ce topic que sur les autres, peux-tu t'abstenir de commenter quand c'est totalement inutile ? Merci.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Pour l'avoir lu il y a très peu (en audio il est vrai) je dirais que c'est comme une promenade dans un sentier plein de méandres: il faut accepter de se perdre un peu, de se retrouver et de se laisser surprendre. Et il y a vraiment de l'humour aussi, je ne m'y attendais pas!Babarette a écrit:L'auteur sur lequel j'ai des a priori que j'ai prévu de lire, c'est Proust. L'a priori, c'est qu'il est ardu.
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- cléliaFidèle du forum
Calypso64 a écrit:9. Un livre qui fait partie de la sélection des Incos ou du défi Babelio Junior/ado : Le journal d’Anne Frank (roman graphique du duo Folman/Polonski)
J’ai lu son Journal il y a fort longtemps et été très touchée par la version roman graphique qui garde toute la puissance émotionnelle de l’original. J’ai apprécié les choix graphiques très imagés de ses pensées, de ses traits d’humour sans oublier l’intégration, quand nécessaire, de pages entières du journal.
Je partage cet avis. J'ai lu le Journal d'Anne Frank il y a une trentaine d'années et je ne l'avais jamais relu depuis. J'ai beaucoup aimé cette version : elle rend justice à l'écriture d'Anne Frank et est riche en émotions, mais tout en humour et en subtilité.
J'ai aussi lu Jonathan Livingston le goéland de Richard Bach. C'est dommage de le lire aussi tard... Il faut que je le fasse découvrir à mes enfants.
Je valide donc les défis 9 (sélection des Incos) et 3 (classique de la littérature américaine)
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Il voyagea.
Il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues.
Il revint.
Il fréquenta le monde, et il eut d’autres amours, encore.
- *Ombre*Grand sage
nicole 86 a écrit:Un solide a-priori envers Ulysse de Joyce mais je passerai mon tour !
Un livre que je n'ai pas pu finir. Pour moi, c'est illisible. Je ne sais pas non plus comment je vais aborder ce défi. Aucune envie de me faire du mal. Je vais peut-être zapper avec le 51, du coup.
- AmaliahEmpereur
Tivinou a écrit:Malaga a écrit:Pour le défi 42. Un livre d'un auteur sur lequel on a des a priori, j'ai lu Les gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-Lugand.
Le résumé : Diane a perdu son mari Colin et sa petite fille Clara dans un accident de voiture. Impossible de se reconstruire en restant à Paris où tout lui rappelle son bonheur brisé. Elle décide donc, sur un coup de tête, de partir en Irlande, dans une petite ville, Mulranny. Elle y rencontre un couple adorable qui lui loue un cottage et les neveux et nièces de ce couple : la dynamique Judith et le mystérieux Edward.
Mon avis : je n'avais jamais lu un roman d'Agnès Martin-Lugand qui a pourtant beaucoup de succès. J'avoue que j'avais un a priori plutôt négatif ; ce genre de roman "leçon sur la vie" me semble souvent superficiel. Le début du roman avec la mort de la petite fille a été difficile à lire pour moi, sans doute car je me mettais à la place de cette maman. Ensuite, quand l'héroïne part en Irlande, tout semble sonner faux. La gentillesse extrême des habitants, le comportement odieux d'Edward (et l'idylle que l'on voit venir à dix kilomètres), le fait que l'héroïne ne travaille pas et ne semble avoir aucun problème d'argent, le fait qu'elle pleure ou hurle toutes les deux pages environ... rien n'est vraisemblable. Bref, un roman vite lu et sans doute vite oublié. Mes a priori sur l'auteur se sont confirmés.
+1.
Je n'ai pas aimé non plus... Personnellement, j'ai des a priori sur Gilles Legardinier, Guillaume Musso, Marc Levy, Lars Kepler... mais je n'ai pas envie de les lire du tout! Vous n’auriez pas "moins pire" à me proposer??? Je sèche!
Je pensais à Houellebecq pour ma part que je n'ai jamais lu.
- BabaretteDoyen
Écusette de Noireuil a écrit:Pour l'avoir lu il y a très peu (en audio il est vrai) je dirais que c'est comme une promenade dans un sentier plein de méandres: il faut accepter de se perdre un peu, de se retrouver et de se laisser surprendre. Et il y a vraiment de l'humour aussi, je ne m'y attendais pas!Babarette a écrit:L'auteur sur lequel j'ai des a priori que j'ai prévu de lire, c'est Proust. L'a priori, c'est qu'il est ardu.
On m'avait dit que c'était drôle. Je ne sais pas si j'ai un vrai a priori du coup.
Pour les phrases longues, Claude Simon étant passé par là: même pô peur!
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:lecteur:
- nicole 86Expert spécialisé
Pour le défi 26 : narrateur peu fiable, j'ai choisi Le poids des secrets de Aki Shimazaki, une japonaise qui vit au Québec et écrit en français. Cinq livres courts, cinq narrateurs-protagonistes d'une même histoire. Je n'avais qu'une hâte : terminer le premier pour commencer le deuxième et ainsi de suite. Le cadre historique est rapidement fixé : les bombes atomiques sur le japon, le racisme anti-coréen et la difficulté à vivre entre société traditionnelle et modernisation. Une langue fluide sans préciosité au service d'une étude fine de la psychologie des personnages. Chaque livre propose de multiples correspondances avec les quatre autres. La subtilité pleine de nuances et de bienveillance du tome 4 intitulé Wasurenagusa en fait mon préféré mais on ne peut vraiment l'apprécier que si on a lu les trois précédents. Le tome 5 est, selon moi, moins réussi, j'ai un peu (trop) pensé aux ateliers d'écriture mais c'est aussi celui qui me permet de remplir vraiment le défi !
En bref, cinq petits livres qui ne prennent vraiment sens qu'ensemble. Ils conviennent pour les défis : 7 (même histoire racontée plusieurs fois donc la chronologie n'est pas respectée), 10 (une japonaise écrit en français), 14 (certaines éditions ont une hirondelle en couverture), 16 (péchés à découvrir), 29 (fidèle et infidèle), 35 (commence par une mort), 46(mais je ne dirai pas pourquoi et bien sûr 50 masque(s).
Je pense commencer A ton image de Jérome Ferrari pour le défi 7.
En bref, cinq petits livres qui ne prennent vraiment sens qu'ensemble. Ils conviennent pour les défis : 7 (même histoire racontée plusieurs fois donc la chronologie n'est pas respectée), 10 (une japonaise écrit en français), 14 (certaines éditions ont une hirondelle en couverture), 16 (péchés à découvrir), 29 (fidèle et infidèle), 35 (commence par une mort), 46(mais je ne dirai pas pourquoi et bien sûr 50 masque(s).
Je pense commencer A ton image de Jérome Ferrari pour le défi 7.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Je valide :
15. Un livre évoquant un des cinq sens:Annie Ernaux, Regarde les lumières mon amour
Je l'ai lu pour le boulot et alors que je ne pensais pas l'inclure dans le défi, je trouve que le regard aigu et observateur de l'autrice met vraiment en jeu le sens de la vue..."Parce que voir pour écrire, c'est voir autrement" dit elle.
J'ai vraiment aimé ce regard sur le quotidien banal de nos hypermarchés et les réflexions qu'elle fait à ce sujet.
15. Un livre évoquant un des cinq sens:Annie Ernaux, Regarde les lumières mon amour
Je l'ai lu pour le boulot et alors que je ne pensais pas l'inclure dans le défi, je trouve que le regard aigu et observateur de l'autrice met vraiment en jeu le sens de la vue..."Parce que voir pour écrire, c'est voir autrement" dit elle.
J'ai vraiment aimé ce regard sur le quotidien banal de nos hypermarchés et les réflexions qu'elle fait à ce sujet.
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- BabaretteDoyen
Mise à jour!
Pour rattraper le fait qu'Un fils en or n'était peut-être pas écrit dans une autre langue que la langue maternelle de l'autrice, j'ai lu Ranger, l'étincelle du bonheur, de Marie Kondo, japonaise qui écrit en anglais. Une vraie daube niaise. C'est vendu comme un appel au minimalisme, mais il n'y a pas plus matérialiste que ce texte en réalité. Par exemple, il faut jeter sa lingerie non seyante, parce que ça donne envie d'en acheter de la très belle. Oui, donc c'est une glorification du consumérisme.
Défi 11: un livre d'un auteur déclaré fou: Fort comme la mort, de Maupassant. Ce ne sera pas mon Maupassant préféré ! Je n'ai pas retrouvé le même mordant que dans Bel-ami. Une belle lecture néanmoins.
Défi 12: Un livre écrit par un auteur qui use de plusieurs noms de plume: Fantastic beasts, de JKRowling. Lu en VO. Pas de plaisir de la langue ici, mais un attachement aux personnages et à cet univers de mon adolescence. J'ai passé du temps agréablement.
Défi 13: un livre qui a obtenu le prix Goncourt des lycéens: D'après une histoire vraie, de Delphine de Vigan. Ce roman n'est pas extraordinaire, même si l'apsect polar fait que les pages se tournent facilement et avec plaisir. L'histoire: la narratrice, écrivaine à succès, reçoit des lettres anonymes d'une grande violence. Elle rencontre dans le même temps L., une amie très présente, mais qui finit par être envahissante et effrayante.
C'est un roman qui parle également de l'écriture, mais de manière trop forcée à mon goût. Je comprends que ça ait plu à des lycéens, ça n'est pas mauvais, mais il y a sans doute de meilleures lectures dans la liste des Goncourt lycéens.
Défi 14: Un livre avec un animal sur la couverture: A rebours, Huysmans (il y a une tortue sur la couverture). Première fois que je lis du Huysmans et... C'est beau! Je n'ai pas lâché ce roman, lu d'une traite et j'ai surtout pris plaisir à la beauté, à la poétique des phrases. Un roman sur la littérature, comme une quête de soi. Il fallait que je l'ai sur mon étagère des livres lus !
Pour rattraper le fait qu'Un fils en or n'était peut-être pas écrit dans une autre langue que la langue maternelle de l'autrice, j'ai lu Ranger, l'étincelle du bonheur, de Marie Kondo, japonaise qui écrit en anglais. Une vraie daube niaise. C'est vendu comme un appel au minimalisme, mais il n'y a pas plus matérialiste que ce texte en réalité. Par exemple, il faut jeter sa lingerie non seyante, parce que ça donne envie d'en acheter de la très belle. Oui, donc c'est une glorification du consumérisme.
Défi 11: un livre d'un auteur déclaré fou: Fort comme la mort, de Maupassant. Ce ne sera pas mon Maupassant préféré ! Je n'ai pas retrouvé le même mordant que dans Bel-ami. Une belle lecture néanmoins.
Défi 12: Un livre écrit par un auteur qui use de plusieurs noms de plume: Fantastic beasts, de JKRowling. Lu en VO. Pas de plaisir de la langue ici, mais un attachement aux personnages et à cet univers de mon adolescence. J'ai passé du temps agréablement.
Défi 13: un livre qui a obtenu le prix Goncourt des lycéens: D'après une histoire vraie, de Delphine de Vigan. Ce roman n'est pas extraordinaire, même si l'apsect polar fait que les pages se tournent facilement et avec plaisir. L'histoire: la narratrice, écrivaine à succès, reçoit des lettres anonymes d'une grande violence. Elle rencontre dans le même temps L., une amie très présente, mais qui finit par être envahissante et effrayante.
C'est un roman qui parle également de l'écriture, mais de manière trop forcée à mon goût. Je comprends que ça ait plu à des lycéens, ça n'est pas mauvais, mais il y a sans doute de meilleures lectures dans la liste des Goncourt lycéens.
Défi 14: Un livre avec un animal sur la couverture: A rebours, Huysmans (il y a une tortue sur la couverture). Première fois que je lis du Huysmans et... C'est beau! Je n'ai pas lâché ce roman, lu d'une traite et j'ai surtout pris plaisir à la beauté, à la poétique des phrases. Un roman sur la littérature, comme une quête de soi. Il fallait que je l'ai sur mon étagère des livres lus !
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- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Dans les Maupassant moins connus, "Mont-Oriol" est assez réjouissant... regard satirique sur la naissance des villes d'eaux, sur fond de romances plus ou moins contrariées et d'excursions dans les superbes paysages auvergnats. ..
Je n'ai pas gardé un souvenir impérissable de "Fort comme la mort" à vrai dire!
Je n'ai pas gardé un souvenir impérissable de "Fort comme la mort" à vrai dire!
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- liskayaNeoprof expérimenté
Tu vas le travailler avec tes élèves Ecusette ? J'ai beaucoup aimé, mais je ne sais pas trop par quel bout le prendre... En plus, mes élèves sont familiers du Auchan qu'elle décritÉcusette de Noireuil a écrit:Je valide :
15. Un livre évoquant un des cinq sens:Annie Ernaux, Regarde les lumières mon amour
Je l'ai lu pour le boulot et alors que je ne pensais pas l'inclure dans le défi, je trouve que le regard aigu et observateur de l'autrice met vraiment en jeu le sens de la vue..."Parce que voir pour écrire, c'est voir autrement" dit elle.
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- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Oui, dans le cadre de l'argumentation. Je t'ai mis un MP pour ne pas faire dévier le fil!
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