- DerborenceModérateur
Aphrodissia a écrit:Je n'ai pas non plus aimé et j'ai sauté des pages l'an dernier pour pouvoir aller jusqu'au bout du premier tome. Moi aussi je croyais être la seule à ne pas avoir aimé.*Ombre* a écrit:Amaliah a écrit:
Je fais partie des lecteurs qui n'ont pas du tout aimé L'Amie prodigieuse, roman que j'ai trouvé ennuyeux et dénué d'intérêt (si ce n'est la scène finale magistrale).
Ça me fait du bien de lire ça. Je me disais que j'étais la seule réfractaire à cette saga unanimement saluée. Il y avait bien de la saveur dans l'histoire de Lila et de son quartier, mais les amourettes de cette fadasse de narratrice m'ennuyaient à périr. Je me suis forcée à finir le tome 1 et n'ai pas poursuivi. Je ne comprends pas l'engouement pour cette série.
Nous sommes quatre !
- Agrippina furiosaFidèle du forum
J'en ai beaucoup entendu parler, mais ça ne me faisait pas trop envie ... et vous me renforcez dans mon idée, totalement préconçue, je le reconnais. Et, oui, pourquoi pas pour le défi "Auteur sur lequel on a des a priori ..."
Et merci à celles qui ont su si bien parler de Huckleberry Finn : j'ai attaqué ce week-end et il m'amuse effectivement beaucoup !!
Aphrodissia, effectivement, tu dois bien galérer avec la VO : rien que le langage de Jim ... bravo et bon courage
Et merci à celles qui ont su si bien parler de Huckleberry Finn : j'ai attaqué ce week-end et il m'amuse effectivement beaucoup !!
Aphrodissia, effectivement, tu dois bien galérer avec la VO : rien que le langage de Jim ... bravo et bon courage
- AphrodissiaMonarque
Ma liseuse dit que j'en ai encore pour 8h de lecture... et je n'en suis pas encore à la moitié :pleurs: j'aime bien quand même : en oralisant, ça marche pas mal
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Pas fan non plus de L'amie prodigieuse. ..
Le premier tome ça allait sans plus mais j'ai calé au milieu du second. La narratrice qui ne comprend rien à ce qui crève les yeux du lecteur et les interminables observations de son nombril, bof!
Le premier tome ça allait sans plus mais j'ai calé au milieu du second. La narratrice qui ne comprend rien à ce qui crève les yeux du lecteur et les interminables observations de son nombril, bof!
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- *Ombre*Grand sage
Écusette de Noireuil a écrit: La narratrice qui ne comprend rien à ce qui crève les yeux du lecteur et les interminables observations de son nombril, bof!
Voilà, c'est exactement l'impression que ça m'a fait.
- LMVénérable
Jamais lu mais vous ne me donnez pas envie de le faire!
- cléliaFidèle du forum
J'ai enfin terminé Les Chérubins de la moquette, d'Eléni Giannakaki, que j'avais dans ma bibliothèque depuis des années (d'ailleurs je me rends compte qu'avec les livres entassés dans ma bibliothèque en cas de disette, donc non lus, je dois pouvoir valider au moins un tiers du défi!). Je crois que je l'avais acheté pour le titre. J'ai trouvé cette lecture fastidieuse. Le narrateur rapporte (à la troisième personne) les pensées de Maria pendant une journée. Maria a bientôt quarante ans, un mari et trois enfants, elle est maniaque du ménage et son amant est mort depuis un an exactement. Je n'ai pas réussi à entrer durablement dans cette histoire même si, par instants, une petite phrase relançait mon intérêt. Le fait que j'ai eu peu de temps cette semaine et ai lu plutôt en pointillés n'a sûrement pas aidé... Bref, je valide le défi 34 (histoire sur 24 heures) mais il convient aussi pour les défis 29 (auteur grec) et 43 (fidèle, infidèle).
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Il voyagea.
Il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues.
Il revint.
Il fréquenta le monde, et il eut d’autres amours, encore.
- ValorNiveau 9
Je me lance et mets à jour les lectures effectuées en ce début d'année. Vous allez vite comprendre que mes lectures sont en lien avec les cours (j'essaie de rentabiliser!) et que je suis dans le théâtre.
Pour le défi n°23 (un livre qui évoque l'enfer), j'ai lu l'incontournable Huis-clos de Sartre : trois personnages qui ne se connaissent pas pensent être réunis dans une chambre d'hôtel alors qu'ils sont en enfer, condamnés à vivre les uns avec les autres, et surtout les uns sous le regard des autres. J'ai toujours autant de plaisir à relire cette pièce.
Pour le défi n°29 (fidèle, infidèle), j'ai lu La Dispute de Marivaux, petite comédie cruelle en 20 scènes qui exploite le procédé du théâtre dans le théâtre puisque les protagonistes du début deviennent rapidement les observateurs d'un spectacle qui se joue à l'intérieur de la pièce. Celle-ci consiste à répondre à la question : qui, de l'homme ou de la femme, a été infidèle en premier? Dans une position assez inconfortable, le lecteur-spectateur devient un voyeur scrutant les agissements de jeunes gens séquestrés dès leur plus jeune âge pour servir de rats de laboratoire à cette expérimentation hors du commun qui nous ramènent aux origines de l'humanité. Dérangeant mais délicieux!
Pour le défi n°48 (un livre dont l'histoire contient un procès), j'ai lu L'Alouette de Jean Anouilh : il s'agit du procès de Jeanne d'Arc. Quelques saillies humoristiques appréciables mais l'ensemble m'a paru assez plat et linéaire. Fonctionne aussi pour le défi 37.
Pour le défi n°49 (un livre avec un point cardinal dans le titre), j'ai lu Nord perdu de Nancy Huston. Entre essai et témoignage, ce livre restitue la pensée de cette auteure canadienne exilée en France. On y trouve de belles pages (non dénuées d'humour) sur le déracinement, la nostalgie du pays, l'acclimatation, l'intégration et une réflexion intéressante sur la langue comme marqueur identitaire, les questions que soulève la traduction...
Pour le défi n°23 (un livre qui évoque l'enfer), j'ai lu l'incontournable Huis-clos de Sartre : trois personnages qui ne se connaissent pas pensent être réunis dans une chambre d'hôtel alors qu'ils sont en enfer, condamnés à vivre les uns avec les autres, et surtout les uns sous le regard des autres. J'ai toujours autant de plaisir à relire cette pièce.
Pour le défi n°29 (fidèle, infidèle), j'ai lu La Dispute de Marivaux, petite comédie cruelle en 20 scènes qui exploite le procédé du théâtre dans le théâtre puisque les protagonistes du début deviennent rapidement les observateurs d'un spectacle qui se joue à l'intérieur de la pièce. Celle-ci consiste à répondre à la question : qui, de l'homme ou de la femme, a été infidèle en premier? Dans une position assez inconfortable, le lecteur-spectateur devient un voyeur scrutant les agissements de jeunes gens séquestrés dès leur plus jeune âge pour servir de rats de laboratoire à cette expérimentation hors du commun qui nous ramènent aux origines de l'humanité. Dérangeant mais délicieux!
Pour le défi n°48 (un livre dont l'histoire contient un procès), j'ai lu L'Alouette de Jean Anouilh : il s'agit du procès de Jeanne d'Arc. Quelques saillies humoristiques appréciables mais l'ensemble m'a paru assez plat et linéaire. Fonctionne aussi pour le défi 37.
Pour le défi n°49 (un livre avec un point cardinal dans le titre), j'ai lu Nord perdu de Nancy Huston. Entre essai et témoignage, ce livre restitue la pensée de cette auteure canadienne exilée en France. On y trouve de belles pages (non dénuées d'humour) sur le déracinement, la nostalgie du pays, l'acclimatation, l'intégration et une réflexion intéressante sur la langue comme marqueur identitaire, les questions que soulève la traduction...
- TremereNiveau 9
Valor a écrit:
Pour le défi n°49 (un livre avec un point cardinal dans le titre), j'ai lu Nord perdu de Nancy Huston. Entre essai et témoignage, ce livre restitue la pensée de cette auteure canadienne exilée en France. On y trouve de belles pages (non dénuées d'humour) sur le déracinement, la nostalgie du pays, l'acclimatation, l'intégration et une réflexion intéressante sur la langue comme marqueur identitaire, les questions que soulève la traduction...
J'aime beaucoup Nancy Huston et j'ai beaucoup aimé ce livre, avec de belles réflexions sur le déracinement et l'intégration, effectivement.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
C'est une bonne idée, ça me tente!
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- PointàlaligneExpert
Cinq... je n'ai pas dépassé le premier tome non plus.Derborence a écrit:Aphrodissia a écrit:Je n'ai pas non plus aimé et j'ai sauté des pages l'an dernier pour pouvoir aller jusqu'au bout du premier tome. Moi aussi je croyais être la seule à ne pas avoir aimé.*Ombre* a écrit:Amaliah a écrit:
Je fais partie des lecteurs qui n'ont pas du tout aimé L'Amie prodigieuse, roman que j'ai trouvé ennuyeux et dénué d'intérêt (si ce n'est la scène finale magistrale).
Ça me fait du bien de lire ça. Je me disais que j'étais la seule réfractaire à cette saga unanimement saluée. Il y avait bien de la saveur dans l'histoire de Lila et de son quartier, mais les amourettes de cette fadasse de narratrice m'ennuyaient à périr. Je me suis forcée à finir le tome 1 et n'ai pas poursuivi. Je ne comprends pas l'engouement pour cette série.
Nous sommes quatre !
- BabaretteDoyen
Amaliah a écrit:J'ai classé Le Gang des rêves dans "histoire qui se passe avant la naissance de l'auteur" (mais il aurait pu aller pour "histoire américaine").
Je vais commencer L'Eté des quatre rois que je classerai dans "titre avec une apostrophe", je pense.
J'ai prévu de le lire pour "un récit qui évoque l'immigration", car j'ai lu que cela parlait d'immigrés italiens, j'espère que ça convient.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- *Ombre*Grand sage
Amaliah a écrit:
Je vais commencer L'Eté des quatre rois que je classerai dans "titre avec une apostrophe", je pense.
Ah bon, c'est apostrophe dans ce sens-là ! Je croyais qu'il fallait viser des ouvrages comme Ô Jérusalem, ou Ô vous Frères humains. Je trouvais ça pointu...
- AphrodissiaMonarque
Les deux sont possibles.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- MalagaModérateur
Aphrodissia a écrit: Les deux sont possibles.
Je suis aussi partie dans l'idée de l'apostrophe comme le petit signe entre l'article et le nom/l'adjectif. Je suis en train de lire un livre qui correspond à cet item.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- LMVénérable
Lu avec difficulté L'Est d'Andrzej Stasiuk chez Actes Sud. Prix Nicolas Bouvier Étonnants Voyageurs 2018.
L'auteur nous immerge dans l'Est et partage sa vision de la Pologne, il aborde différents thème comme l'exode, le communisme, les déportations, etc.
Je ne suis pas parvenue à entrer dans cette lecture, je n'ai pas accroché du tout, à rien. Vraiment pas.
Bref, une déconvenue.
L'auteur nous immerge dans l'Est et partage sa vision de la Pologne, il aborde différents thème comme l'exode, le communisme, les déportations, etc.
Je ne suis pas parvenue à entrer dans cette lecture, je n'ai pas accroché du tout, à rien. Vraiment pas.
Bref, une déconvenue.
- NasopiBon génie
Pour "Fidèle, infidèle", j'ai mis Les livres des Chroniques, qui présentent les différents rois d'Israël et de Juda, tour à tour fidèles et infidèles à Dieu.
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- ValorNiveau 9
Défi n°31 : Un livre écrit par un auteur d’un pays nordique.
J'ai relu une petite pépite de Selma Lagerlöf, prix Nobel de littérature : L'Empereur du Portugal. Avec beaucoup de sensibilité, de simplicité et d'onirisme, la romancière suédoise raconte la puissance d'un amour paternel inconditionnel et démentiel. Pour se protéger des déceptions insurmontables et des mauvaises surprises de la vie, Jan se recrée une réalité par le pouvoir de l'imaginaire, quitte à passer pour un vieux fou et à s'enfermer dans son délire. Belles descriptions d'un paysage nordique hostile où les gens simples, humbles et laborieux luttent pour rester debout malgré de rudes conditions de vie. Une œuvre délicate et bouleversante!
Il me semble que le roman n'est plus édité et c'est bien dommage!
J'ai relu une petite pépite de Selma Lagerlöf, prix Nobel de littérature : L'Empereur du Portugal. Avec beaucoup de sensibilité, de simplicité et d'onirisme, la romancière suédoise raconte la puissance d'un amour paternel inconditionnel et démentiel. Pour se protéger des déceptions insurmontables et des mauvaises surprises de la vie, Jan se recrée une réalité par le pouvoir de l'imaginaire, quitte à passer pour un vieux fou et à s'enfermer dans son délire. Belles descriptions d'un paysage nordique hostile où les gens simples, humbles et laborieux luttent pour rester debout malgré de rudes conditions de vie. Une œuvre délicate et bouleversante!
Il me semble que le roman n'est plus édité et c'est bien dommage!
- gregforeverGrand sage
Défi n°3 Steinbeck la coupe d'or
récit sur un jeune gallois au XVIIème siècle qui rêve d'aller aux Antilles et de devenir boucanier; il commence par être esclave sur une plantation avant d'accomplir son rêve et de prendre la ville de Panama (surnommée la coupe d'or) et de rencontrer la Santa Roja, mystérieuse femme réputée pour sa beauté
opinion mitigée, j'ai préféré ses autres romans comme les raisins de la colère ou des souris et des hommes ; ce n'est pas déplaisant à lire mais j'ai trouvé certains aspects de l'histoires pas très intéressants et la fin décevante....
récit sur un jeune gallois au XVIIème siècle qui rêve d'aller aux Antilles et de devenir boucanier; il commence par être esclave sur une plantation avant d'accomplir son rêve et de prendre la ville de Panama (surnommée la coupe d'or) et de rencontrer la Santa Roja, mystérieuse femme réputée pour sa beauté
opinion mitigée, j'ai préféré ses autres romans comme les raisins de la colère ou des souris et des hommes ; ce n'est pas déplaisant à lire mais j'ai trouvé certains aspects de l'histoires pas très intéressants et la fin décevante....
- liskayaNeoprof expérimenté
Pour le défi 9, j'ai lu un livre qui fait partie de la sélections des Incos : Les Optimistes meurent en premier, de Susin Nielsen.
C'est le deuxième roman que je lis de cette auteure et décidément j'aime ! Je m'étais déjà régalée avec Le Journal malgré lui de Henry K.Larsen, et j'ai retrouvé une même ambiance. Une fois encore, les personnages sont bien campés, attachants, originaux, abîmés...
C'est le deuxième roman que je lis de cette auteure et décidément j'aime ! Je m'étais déjà régalée avec Le Journal malgré lui de Henry K.Larsen, et j'ai retrouvé une même ambiance. Une fois encore, les personnages sont bien campés, attachants, originaux, abîmés...
- Calypso64Niveau 10
29. Fidèle, infidèle : "Les infidèles" de Dominique SYLVAIN.
Le roman policier commence en Bourgogne avec Alice, plus ou moins recluse volontaire dans sa belle bâtisse, qui vit bien grâce à son site lovalibi.com. Celui-ci permet à toute personne vivant une aventure extraconjugale de justifier auprès de son conjoint ses absences. Au même moment à Paris, sa nièce adorée, Salomé, journaliste qui menait justement une enquête sur l’économie de l’adultère est retrouvée assassinée dans une poubelle. Ce n’est pas un livre que j’achèterai mais j’ai passé de bons moments : en dehors de l’enquête policière avec un bon suspense sur l'identité de "MoiToi", on y retrouve différents points de vue sur l’adultère : les « infidèles » mais aussi la « fidélité de l’amour » entre Alexandre et Dorine malgré tout.
On peut aussi l'utiliser pour le défi n°14 car il y a une Licorne sur la couverture
Le roman policier commence en Bourgogne avec Alice, plus ou moins recluse volontaire dans sa belle bâtisse, qui vit bien grâce à son site lovalibi.com. Celui-ci permet à toute personne vivant une aventure extraconjugale de justifier auprès de son conjoint ses absences. Au même moment à Paris, sa nièce adorée, Salomé, journaliste qui menait justement une enquête sur l’économie de l’adultère est retrouvée assassinée dans une poubelle. Ce n’est pas un livre que j’achèterai mais j’ai passé de bons moments : en dehors de l’enquête policière avec un bon suspense sur l'identité de "MoiToi", on y retrouve différents points de vue sur l’adultère : les « infidèles » mais aussi la « fidélité de l’amour » entre Alexandre et Dorine malgré tout.
On peut aussi l'utiliser pour le défi n°14 car il y a une Licorne sur la couverture
- nicole 86Expert spécialisé
Pour le défi 34, un livre dont l'histoire se déroule sur 24 heures : Vivement Jeudi de Mikaël Ollivier.
Un délicieux petit livre plein d'humour destiné aux enfants dans lequel une petite fille donne sa perception du marathon qu'elle vit chaque mercredi. Pour sourire et pour réfléchir à nos priorités.
Ce livre fait partie de la sélection Babelio junior et convient donc pour le défi 9.
Pour le défi 18, un livre dont l'histoire évoque un conflit social ou des grèves : Un homme est mort, une BD de Kris et Etienne Davodeau. Il s 'agit à la fois de rappeler le conflit du printemps 1950 à Brest qui a opposé les ouvriers de la reconstruction au patronat et d'éclairer l'importance du cinéma militant. Un dossier documentaire complète la BD. Une belle découverte à la fois du monde la BD qui m'est étranger et des thèmes. J'aimerais renouveler l'expérience.
Un délicieux petit livre plein d'humour destiné aux enfants dans lequel une petite fille donne sa perception du marathon qu'elle vit chaque mercredi. Pour sourire et pour réfléchir à nos priorités.
Ce livre fait partie de la sélection Babelio junior et convient donc pour le défi 9.
Pour le défi 18, un livre dont l'histoire évoque un conflit social ou des grèves : Un homme est mort, une BD de Kris et Etienne Davodeau. Il s 'agit à la fois de rappeler le conflit du printemps 1950 à Brest qui a opposé les ouvriers de la reconstruction au patronat et d'éclairer l'importance du cinéma militant. Un dossier documentaire complète la BD. Une belle découverte à la fois du monde la BD qui m'est étranger et des thèmes. J'aimerais renouveler l'expérience.
- NasopiBon génie
Pour "un livre dont le titre comporte un prénom masculin ou féminin", j'ai lu Julien de Gore Vidal : passionnant roman sur l'empereur Julien l'Apostat, qui tenta de rétablir le culte des dieux au IVe siècle.
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- RyuzakiNiveau 9
Troisième semaine, troisième défi, un classique de la littérature américaine : Tendre est la nuit de Fitzgerald
L'intrigue met en scène de riches Américains en Europe, entre le sud de la France, la Suisse et l'Italie. La première partie raconte comment la jeune actrice Rosemary Hoyt a fait la connaissance de Dick Diver et de sa femme Nicole dans un hôtel près de Cannes, et l'attraction mutuelle que ressentent très vite Dick et Rosemary.
Les deuxièmes et troisièmes parties sont centrées sur le personnage de Dick, les circonstances de son mariage avec Nicole, son métier de médecin aliéniste et ses problèmes de couple qui suivent son aventure avec Rosemary.
Bon, ben j'ai beaucoup aimé ; c'était beau et intéressant. De Fitzgerald, j'avais lu Gatsby le magnifique, que j'avais apprécié sans plus. En lisant Tendre est la nuit, je suis tombé sous le charme. Quand je lis un livre, j'accorde beaucoup d'importance aux personnages, et ceux-ci sont riches, touchants et profondément humains.
Verdict : à lire.
Fitzgerald a écrit:Et aussitôt les deux Diver commencèrent à s'échauffer, à s'extérioriser, à rayonner, comme pour offrir compensation à leurs hôtes, déjà si subtilement flattés, pour tout ce qu'ils pourraient regretter de cet univers quitté...Pendant un bref instant, ils parurent s'adresser à tous leurs invités séparément et collectivement pour leur offrir une assurance d'amitié, d'affection même. Et, pendant cet instant, les visages tournés vers eux ressemblèrent à ceux d'enfants pauvres autour d'un arbre de Noël.
Puis, brusquement, la communion spontanée de la tablée se trouva comme dissociée. Le moment où les hôtes avaient été avec hardiesse arrachés à la cordialité banale et emportés dans l'atmosphère plus rare du sentiment était déjà passé, avant qu'ils eussent pu en prendre conscience, plus ou moins irrévérencieusement.
Mais la magie des rivages méditerranéens, l'ensorcellement de la nuit, la sourde musique des flots s'étaient comme retirés, puis incorporés dans les Diver.
L'intrigue met en scène de riches Américains en Europe, entre le sud de la France, la Suisse et l'Italie. La première partie raconte comment la jeune actrice Rosemary Hoyt a fait la connaissance de Dick Diver et de sa femme Nicole dans un hôtel près de Cannes, et l'attraction mutuelle que ressentent très vite Dick et Rosemary.
Les deuxièmes et troisièmes parties sont centrées sur le personnage de Dick, les circonstances de son mariage avec Nicole, son métier de médecin aliéniste et ses problèmes de couple qui suivent son aventure avec Rosemary.
Bon, ben j'ai beaucoup aimé ; c'était beau et intéressant. De Fitzgerald, j'avais lu Gatsby le magnifique, que j'avais apprécié sans plus. En lisant Tendre est la nuit, je suis tombé sous le charme. Quand je lis un livre, j'accorde beaucoup d'importance aux personnages, et ceux-ci sont riches, touchants et profondément humains.
Verdict : à lire.
- AmaliahEmpereur
liskaya a écrit:Pour le défi 9, j'ai lu un livre qui fait partie de la sélections des Incos : Les Optimistes meurent en premier, de Susin Nielsen.
C'est le deuxième roman que je lis de cette auteure et décidément j'aime ! Je m'étais déjà régalée avec Le Journal malgré lui de Henry K.Larsen, et j'ai retrouvé une même ambiance. Une fois encore, les personnages sont bien campés, attachants, originaux, abîmés...
Moi aussi, j'ai bien aimé ce titre. J'ai moins aimé le deuxième titre de S. Nielsen que j'ai lu (On est tous faits de molécules).
Pour le classique de la littérature américaine, j'ai (re)lu La Perle de Steinbeck, titre donné à lire par le prof de mon fils qui est en 3e. J'ai beaucoup aimé ce titre alors que la lecture de ce court récit ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable quand je l'avais lu ado. Il faut dire qu'à l'époque L'Assommoir m'avait dégoûtée dans sa vision si noire de la vie et que j'avais horreur des destins tout tracés dans lesquels les auteurs enfermaient leurs personnages. La Perle était alors trop cruelle pour mon coeur d'ado. Aujourd'hui j'ai apprécié l'écriture si précise et imagée de Steinbeck et certains passages me resteront en mémoire : le trajet de Kino et Juana vers les acheteurs de perles, le coup de fusil fatal, le retour de Kino et Juana dans leur village...
- TivinouDoyen
Pour le défi 16: un livre évoquant l'un des sept péchés capitaux. LA COLÈRE.
Mon Oncle Napoléon d'Iradj Pezechksad.
Le narrateur est un adolescent iranien qui tombe amoureux de sa cousine Leyli un 13 août à trois heures moins le quart de l'après-midi... Leyli est la fille de "Monsieur", le chef de cette famille iranienne, sous-lieutenant à la retraite qui s'invente chaque jour des victoires à la Napoléon... et qui les embellit un peu plus à chaque nouvelle réunion de famille, d'où le surnom d' "Oncle Napoléon" que lui donnent dans son dos les autres membres de la famille, qui s'amusent de sa folie douce.
Mais voilà, un soir où toute la famille est réunie, et où l'oncle Napoléon raconte son fabuleux destin à la famille dans un silence religieux, il entend un "bruit corporel suspect", qu'il interprète immédiatement comme un manque de respect de la part du père du narrateur...
Dans cette famille où la colère éclate au moindre pet de travers (c'est le cas de le dire!!! ), la querelle entre les deux hommes tourne à la bataille rangée, et tous les coups sont permis, jusqu'au plus retors...
Peut convenir aussi, à mon avis, pour d'autres péchés capitaux, à vous de me dire lesquels; pour le franchissement d'une frontière (ils dépassent allègrement "les bornes des limites"!); et peut-être même pour un livre évoquant les enfers (l'enfer des réunions de famille!), sans oublier un livre comportant un prénom masculin.
A lire, vraiment!
Mon Oncle Napoléon d'Iradj Pezechksad.
Le narrateur est un adolescent iranien qui tombe amoureux de sa cousine Leyli un 13 août à trois heures moins le quart de l'après-midi... Leyli est la fille de "Monsieur", le chef de cette famille iranienne, sous-lieutenant à la retraite qui s'invente chaque jour des victoires à la Napoléon... et qui les embellit un peu plus à chaque nouvelle réunion de famille, d'où le surnom d' "Oncle Napoléon" que lui donnent dans son dos les autres membres de la famille, qui s'amusent de sa folie douce.
Mais voilà, un soir où toute la famille est réunie, et où l'oncle Napoléon raconte son fabuleux destin à la famille dans un silence religieux, il entend un "bruit corporel suspect", qu'il interprète immédiatement comme un manque de respect de la part du père du narrateur...
Dans cette famille où la colère éclate au moindre pet de travers (c'est le cas de le dire!!! ), la querelle entre les deux hommes tourne à la bataille rangée, et tous les coups sont permis, jusqu'au plus retors...
- Spoiler:
- Demandez-vous comment le père du narrateur va pouvoir convaincre l'oncle Napoléon d'écrire une lettre à Hitler parce qu'il est menacé par Lézanglé...
Peut convenir aussi, à mon avis, pour d'autres péchés capitaux, à vous de me dire lesquels; pour le franchissement d'une frontière (ils dépassent allègrement "les bornes des limites"!); et peut-être même pour un livre évoquant les enfers (l'enfer des réunions de famille!), sans oublier un livre comportant un prénom masculin.
A lire, vraiment!
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