- TourmalineNiveau 1
Bonjour,
Je suis actuellement en disponibilité depuis 7 ans, je suis titulaire du public, et j'ai enseigné pendant 9 ans avant de prendre ma disponibilité pour devenir scénariste. Actuellement, le milieu de la télé me gonfle, j'ai envie de retrouver du sens à ce que je fais, et j'ai de plus en plus envie de retourner dans l'éduc nat.
Seulement, il n'est pas question pour moi de reprendre dans le public. J'habite dans le 92, je vais donc être réintégrée dans un coin pourri de l’académie de Versailles (au mieux). A 23 ans, j'ai commencé à enseigner en zone de violence, pas envie de tout reprendre à zéro... En outre, je veux continuer à écrire et j'ai encore des projets dans les chaines, je brigue donc un poste à mi temps pour convenances personnelles, ce qui dans le public, et dans mon académie de surcroît, relève de la gageure...
Bref, j'ai pensé à demander un détachement dans le privé, mais on m'a clairement signifié qu'en lettres modernes, je n'avais aucune chance de l'obtenir. Je m'apprête donc à passer le CAFEP, en bon petit soldat. Mais, avant de me lancer dans l'aventure, j'ai besoin d'être sûre que je ne suis pas en train de prendre mes désirs pour des réalités. J'ai quelques questions à poser à ceux qui enseignent dans le privé :
1/ Je vais demander, après ma titularisation, des postes incomplets dans l'académie de Versailles, je crois que j'ai droit à 20 voeux (?), cependant, si je n'en obtiens aucun, est-ce qu'on peut me filer un poste à 18 h, que personne ne veut ? Est-il possible de dire à ma gestionnaire que je veux un temps incomplet ?
2/ Y -a-t-il dans le privé, le phénomène de l'extension, comme pour les titulaires du public ? En gros, est-ce que s'il n'y a aucun poste pour moi dans l'académie de Versailles, on me file à Créteil, qui est bien loin de chez moi (double peine) ? Je m'adresse ici, plus particulièrement à ceux qui enseignent dans ces académies. Connaissent-ils ce genre de cas?
3/ Pour assurer mes arrières, et avoir un mi temps, est ce qu'il serait stratégique de faire des voeux sur des postes incomplets, dans des établissements éloignés, donc moins demandés ? Ou postuler sur des rogatons: 3h, par ci, 6h par là ?
Je vous remercie!
Je suis actuellement en disponibilité depuis 7 ans, je suis titulaire du public, et j'ai enseigné pendant 9 ans avant de prendre ma disponibilité pour devenir scénariste. Actuellement, le milieu de la télé me gonfle, j'ai envie de retrouver du sens à ce que je fais, et j'ai de plus en plus envie de retourner dans l'éduc nat.
Seulement, il n'est pas question pour moi de reprendre dans le public. J'habite dans le 92, je vais donc être réintégrée dans un coin pourri de l’académie de Versailles (au mieux). A 23 ans, j'ai commencé à enseigner en zone de violence, pas envie de tout reprendre à zéro... En outre, je veux continuer à écrire et j'ai encore des projets dans les chaines, je brigue donc un poste à mi temps pour convenances personnelles, ce qui dans le public, et dans mon académie de surcroît, relève de la gageure...
Bref, j'ai pensé à demander un détachement dans le privé, mais on m'a clairement signifié qu'en lettres modernes, je n'avais aucune chance de l'obtenir. Je m'apprête donc à passer le CAFEP, en bon petit soldat. Mais, avant de me lancer dans l'aventure, j'ai besoin d'être sûre que je ne suis pas en train de prendre mes désirs pour des réalités. J'ai quelques questions à poser à ceux qui enseignent dans le privé :
1/ Je vais demander, après ma titularisation, des postes incomplets dans l'académie de Versailles, je crois que j'ai droit à 20 voeux (?), cependant, si je n'en obtiens aucun, est-ce qu'on peut me filer un poste à 18 h, que personne ne veut ? Est-il possible de dire à ma gestionnaire que je veux un temps incomplet ?
2/ Y -a-t-il dans le privé, le phénomène de l'extension, comme pour les titulaires du public ? En gros, est-ce que s'il n'y a aucun poste pour moi dans l'académie de Versailles, on me file à Créteil, qui est bien loin de chez moi (double peine) ? Je m'adresse ici, plus particulièrement à ceux qui enseignent dans ces académies. Connaissent-ils ce genre de cas?
3/ Pour assurer mes arrières, et avoir un mi temps, est ce qu'il serait stratégique de faire des voeux sur des postes incomplets, dans des établissements éloignés, donc moins demandés ? Ou postuler sur des rogatons: 3h, par ci, 6h par là ?
Je vous remercie!
- scot69Modérateur
Alors, j'ai connu une collègue de maths qui était titulaire du CAPES, enseignait dans le public, puis pour suivre son conjoint, s'est mise en dispo et a enseigné dans le privé sous contrat, mais elle était "rétrogradée" au rang de MA. Cela ne lui a pas été autorisé l'année suivante tellement ils manquaient de profs de maths dans le public.
Pour ce qui est du temps partiel, cela ne pose généralement pas de soucis dans le privé, en revanche, c'est assez compliqué de retrouver un temps plein par la suite.
Pour ce qui est du temps partiel, cela ne pose généralement pas de soucis dans le privé, en revanche, c'est assez compliqué de retrouver un temps plein par la suite.
- TourmalineNiveau 1
Merci beaucoup pour ta réponse!
A priori, je ne chercherais pas un temps complet par la suite, donc c'est tout bénef pour moi si je peux obtenir seulement 9h, sans problème.
A priori, je ne chercherais pas un temps complet par la suite, donc c'est tout bénef pour moi si je peux obtenir seulement 9h, sans problème.
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