- TristanaVénérable
Rabelais a écrit:Franchement, je me sens totalement d’une autre époque, mais alors, complètement.
Si on insultait le chauffeur d’un bus, on se prenait une baffe, si un type dans la rue nous mettait la main aux fesses, il se prenait une baffe, si un type sifflait une mère de famille, elle lui collait une baffe, si tu arrachais les fleurs du jardin de la voisine, t’avais intérêt à courir vite, si, si.
Bref, si on ne montrait ni respect, ni éducation, on savait qu’il y aurait une remise en place.
Ce qui nous choquait, c’etait la violence gratuite, la baffe pour rien, l’injustice.
Je n’ai pas utilisé la violence comme principe éducatif, et mes parents non plus MAIS nous savions que si nous dépassions les limites , en privé ou en public, on se chargerait de nous les rappeler.
L'éducation, c’est la responsabilité de tous. C’était, pardon.
Je connais pourtant tout un tas de femmes, de ton âge ou plus âgées, qui ne mettaient pas de baffes aux agresseurs sexuels ; je doute qu'elles aient été "mal éduquées" (puisque c'est ce que tu sous-entends) ou qu'on puisse les blâmer en aucune façon.
Merci de ne pas confondre ce que tu cristallises sous la question de l'autorité et de son respect, et la réponse psychologique d'une personne atteinte d'une agression sexuelle. On n'est pas une c*nne parce qu'on a peur de claquer un mec, a priori plus fort que nous.
Rappel de Margaret Atwood : les hommes ont peur des femmes car ils s'imaginent qu'elles vont se moquer d'eux, les femmes ont peur des hommes car elles s'imaginent qu'ils vont les tuer. Le mec (ou la femme, d'ailleurs) capable de te défoncer la tête car tu as osé lui répondre, le/la frapper, il y en a toujours eu, ça ne date pas d'aujourd'hui. Les violences conjugales ne sont pas nouvelles, il me semble, ni les viols.
- HélipsProphète
Tristana a écrit:Rabelais a écrit:Franchement, je me sens totalement d’une autre époque, mais alors, complètement.
Si on insultait le chauffeur d’un bus, on se prenait une baffe, si un type dans la rue nous mettait la main aux fesses, il se prenait une baffe, si un type sifflait une mère de famille, elle lui collait une baffe, si tu arrachais les fleurs du jardin de la voisine, t’avais intérêt à courir vite, si, si.
Bref, si on ne montrait ni respect, ni éducation, on savait qu’il y aurait une remise en place.
Ce qui nous choquait, c’etait la violence gratuite, la baffe pour rien, l’injustice.
Je n’ai pas utilisé la violence comme principe éducatif, et mes parents non plus MAIS nous savions que si nous dépassions les limites , en privé ou en public, on se chargerait de nous les rappeler.
L'éducation, c’est la responsabilité de tous. C’était, pardon.
Je connais pourtant tout un tas de femmes, de ton âge ou plus âgées, qui ne mettaient pas de baffes aux agresseurs sexuels ; je doute qu'elles aient été "mal éduquées" (puisque c'est ce que tu sous-entends) ou qu'on puisse les blâmer en aucune façon.
L'une de nous a mal lu ce qu'écrit Rabelais. J'ai compris la chose suivante : comme en ne respectant pas les règles (ne pas insulter, ne pas voler, ne pas mettre de main aux fesses...) un individu prenait le risque de s'en voir retourner une, il avait une conscience nette des limites, donc il y avait éducation de l'individu.
Elle n'a, il me semble, pas sous-entendu que quelqu'un qui ne tapait pas (par exemple ses propres parents) était mal éduqué.
Mais je peux me tromper, bien entendu.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- JacqGuide spirituel
Combien de signatures ? Pour un fait divers. C'est dingue.
- VerduretteModérateur
Babarette a écrit:Le harcèlement n'a rien d' éducatif et il n'est souhaitable à personne. Personne ne peut le mériter. Pour le coup, mieux vaut se prendre une seule gifle qu'être harcelé.
Ça me blesse profondément de voir le mot harcèlement associé à l'adjectif "éducatif".
Il ne s'agit pas de harcèlement, en l'occurrence. Ce mot est utilisé à tort et à travers, or il a un sens juridique très précis que manifestement tu ignores. Je l'ai déjà dit, et je ne sais plus dans quelle langue l'écrire pour que tu comprennes.
Donc je n'associe pas "harcèlement" à "éducatif".
De même qu'on confond "mettre une baffe une fois parce qu'on a eu très peur / qu'on est très en colère" et maltraiter un enfant sur le long terme.
- IllianeExpert
Hélips a écrit:Tristana a écrit:Rabelais a écrit:Franchement, je me sens totalement d’une autre époque, mais alors, complètement.
Si on insultait le chauffeur d’un bus, on se prenait une baffe, si un type dans la rue nous mettait la main aux fesses, il se prenait une baffe, si un type sifflait une mère de famille, elle lui collait une baffe, si tu arrachais les fleurs du jardin de la voisine, t’avais intérêt à courir vite, si, si.
Bref, si on ne montrait ni respect, ni éducation, on savait qu’il y aurait une remise en place.
Ce qui nous choquait, c’etait la violence gratuite, la baffe pour rien, l’injustice.
Je n’ai pas utilisé la violence comme principe éducatif, et mes parents non plus MAIS nous savions que si nous dépassions les limites , en privé ou en public, on se chargerait de nous les rappeler.
L'éducation, c’est la responsabilité de tous. C’était, pardon.
Je connais pourtant tout un tas de femmes, de ton âge ou plus âgées, qui ne mettaient pas de baffes aux agresseurs sexuels ; je doute qu'elles aient été "mal éduquées" (puisque c'est ce que tu sous-entends) ou qu'on puisse les blâmer en aucune façon.
L'une de nous a mal lu ce qu'écrit Rabelais. J'ai compris la chose suivante : comme en ne respectant pas les règles (ne pas insulter, ne pas voler, ne pas mettre de main aux fesses...) un individu prenait le risque de s'en voir retourner une, il avait une conscience nette des limites, donc il y avait éducation de l'individu.
Elle n'a, il me semble, pas sous-entendu que quelqu'un qui ne tapait pas (par exemple ses propres parents) était mal éduqué.
Mais je peux me tromper, bien entendu.
C'est également comme cela que j'interprète les propos de Rabelais.
- JPhMMDemi-dieu
Moizossi.
D'ailleurs, je suis totalement d'accord avec les propos de Rabelais. Je suissuranné un vieux con. Mais à dire vrai, j'ai plutôt l'impression que c'est le monde qui est devenu un vieux con. Après tout, il était plus jeune quand je suis né.
D'ailleurs, je suis totalement d'accord avec les propos de Rabelais. Je suis
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- DaphNenyaNeoprof expérimenté
Itou et je suis tout à fait d'accord avec Rabelais.
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On her finger was Nenya, the ring wrought of mithril, that bore a single white stone flickering like a frosty star.
JRR Tolkien
- RabelaisVénérable
Tristana a écrit:Rabelais a écrit:Franchement, je me sens totalement d’une autre époque, mais alors, complètement.
Si on insultait le chauffeur d’un bus, on se prenait une baffe, si un type dans la rue nous mettait la main aux fesses, il se prenait une baffe, si un type sifflait une mère de famille, elle lui collait une baffe, si tu arrachais les fleurs du jardin de la voisine, t’avais intérêt à courir vite, si, si.
Bref, si on ne montrait ni respect, ni éducation, on savait qu’il y aurait une remise en place.
Ce qui nous choquait, c’etait la violence gratuite, la baffe pour rien, l’injustice.
Je n’ai pas utilisé la violence comme principe éducatif, et mes parents non plus MAIS nous savions que si nous dépassions les limites , en privé ou en public, on se chargerait de nous les rappeler.
L'éducation, c’est la responsabilité de tous. C’était, pardon.
Je connais pourtant tout un tas de femmes, de ton âge ou plus âgées, qui ne mettaient pas de baffes aux agresseurs sexuels ; je doute qu'elles aient été "mal éduquées" (puisque c'est ce que tu sous-entends) ou qu'on puisse les blâmer en aucune façon.
Merci de ne pas confondre ce que tu cristallises sous la question de l'autorité et de son respect, et la réponse psychologique d'une personne atteinte d'une agression sexuelle. On n'est pas une c*nne parce qu'on a peur de claquer un mec, a priori plus fort que nous.
Rappel de Margaret Atwood : les hommes ont peur des femmes car ils s'imaginent qu'elles vont se moquer d'eux, les femmes ont peur des hommes car elles s'imaginent qu'ils vont les tuer. Le mec (ou la femme, d'ailleurs) capable de te défoncer la tête car tu as osé lui répondre, le/la frapper, il y en a toujours eu, ça ne date pas d'aujourd'hui. Les violences conjugales ne sont pas nouvelles, il me semble, ni les viols.
Pour ce que j’ai graissé, dans l’ordre :
- hors sujet, je n’ai ni dit, ni sous-entendu cela , mais alors, pas du tout.
C’est même le contraire !!
C’est la riposte de celles qui le pouvaient qui aidait celles qui ne le pouvaient pas à éduquer les types qui dès l’adolescence tentaient ce genre de comportement grossier.
- je n’ai jamais ni traité, ni sous-entendu qu’etait c.... celle qui ne ripostait pas.
Je ne sais pas où tu as pu comprendre ça ni comment .
- alors là, on tombe dans la quatrième dimension, en rapprochant ce que j’ai écrit avec les violences conjugales.
Tristana, je suis vraiment d’accord pour la lutte, tout ça, mais il va falloir te détendre un peu et arrêter de lire chaque commentaire à l’aune de la lutte , cela t’amène à faire de sacrées confusions dans ta lecture , dans ta vision des autres et de ce qu’ils pensent et finalement, ça va pourrir les rapports avec eux.
Un exemple : nos rapports sont dorénavant terminés, ce qui est dommage, parce que sur les fils dédiés, je te trouvais très pertinente.
Mais là, tu m’as sérieusement couru sur le haricot avec ton intervention totalement injuste et hors de propos, tu confonds tout , tu accuses, tu détiens la vérité sur ce que les gens pensent et deviens franchement lénifiante .
Ce n’est plus admissible, alors ou tu arrêtes de voir le mal partout, ou tu fais un peu d’effort en compréhension de texte, là, parce tu tournes en boucle.
Je n’ai jamais vu une lecture aussi hors sujet et partiale, en contre sens total, tu as abusé.
C’est donc un au revoir.
Amuse toi à essayer de prouver que tu as raison, que sous mes propos il y avait ce dont tu m’accuses, que je refuse de discuter , tout ça, tout ça, je ne le lirai pas, et tant mieux.
Les limites, tu viens de les dépasser : action- réaction.
Non,non, tu ne te trompes pas, tu as compris ce qui était explicitement écrit, sans chercher à en faire une lecture partiale, merci.Hélips a écrit:Tristana a écrit:Rabelais a écrit:Franchement, je me sens totalement d’une autre époque, mais alors, complètement.
Si on insultait le chauffeur d’un bus, on se prenait une baffe, si un type dans la rue nous mettait la main aux fesses, il se prenait une baffe, si un type sifflait une mère de famille, elle lui collait une baffe, si tu arrachais les fleurs du jardin de la voisine, t’avais intérêt à courir vite, si, si.
Bref, si on ne montrait ni respect, ni éducation, on savait qu’il y aurait une remise en place.
Ce qui nous choquait, c’etait la violence gratuite, la baffe pour rien, l’injustice.
Je n’ai pas utilisé la violence comme principe éducatif, et mes parents non plus MAIS nous savions que si nous dépassions les limites , en privé ou en public, on se chargerait de nous les rappeler.
L'éducation, c’est la responsabilité de tous. C’était, pardon.
Je connais pourtant tout un tas de femmes, de ton âge ou plus âgées, qui ne mettaient pas de baffes aux agresseurs sexuels ; je doute qu'elles aient été "mal éduquées" (puisque c'est ce que tu sous-entends) ou qu'on puisse les blâmer en aucune façon.
L'une de nous a mal lu ce qu'écrit Rabelais. J'ai compris la chose suivante : comme en ne respectant pas les règles (ne pas insulter, ne pas voler, ne pas mettre de main aux fesses...) un individu prenait le risque de s'en voir retourner une, il avait une conscience nette des limites, donc il y avait éducation de l'individu.
Elle n'a, il me semble, pas sous-entendu que quelqu'un qui ne tapait pas (par exemple ses propres parents) était mal éduqué.
Mais je peux me tromper, bien entendu.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- BabaretteDoyen
Verdurette a écrit:Babarette a écrit:Le harcèlement n'a rien d' éducatif et il n'est souhaitable à personne. Personne ne peut le mériter. Pour le coup, mieux vaut se prendre une seule gifle qu'être harcelé.
Ça me blesse profondément de voir le mot harcèlement associé à l'adjectif "éducatif".
Il ne s'agit pas de harcèlement, en l'occurrence. Ce mot est utilisé à tort et à travers, or il a un sens juridique très précis que manifestement tu ignores. Je l'ai déjà dit, et je ne sais plus dans quelle langue l'écrire pour que tu comprennes.
Donc je n'associe pas "harcèlement" à "éducatif".
De même qu'on confond "mettre une baffe une fois parce qu'on a eu très peur / qu'on est très en colère" et maltraiter un enfant sur le long terme.
Pardon, je sais ce que c'est que le harcèlement. Un membre nous dit que le môme vit un enfer au collège, tu réponds que c'est plus éducatif qu'une baffe.
Je m'arrête là, parce que je n'ai plus envie de me faire du mal à te lire.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- JacqGuide spirituel
Sept pages pour le sujet politique le plus important qui secoue la France de Macron. Ben oui.....
- TristanaVénérable
Rabelais a écrit:Tristana a écrit:Rabelais a écrit:Franchement, je me sens totalement d’une autre époque, mais alors, complètement.
Si on insultait le chauffeur d’un bus, on se prenait une baffe, si un type dans la rue nous mettait la main aux fesses, il se prenait une baffe, si un type sifflait une mère de famille, elle lui collait une baffe, si tu arrachais les fleurs du jardin de la voisine, t’avais intérêt à courir vite, si, si.
Bref, si on ne montrait ni respect, ni éducation, on savait qu’il y aurait une remise en place.
Ce qui nous choquait, c’etait la violence gratuite, la baffe pour rien, l’injustice.
Je n’ai pas utilisé la violence comme principe éducatif, et mes parents non plus MAIS nous savions que si nous dépassions les limites , en privé ou en public, on se chargerait de nous les rappeler.
L'éducation, c’est la responsabilité de tous. C’était, pardon.
Je connais pourtant tout un tas de femmes, de ton âge ou plus âgées, qui ne mettaient pas de baffes aux agresseurs sexuels ; je doute qu'elles aient été "mal éduquées" (puisque c'est ce que tu sous-entends) ou qu'on puisse les blâmer en aucune façon.
Merci de ne pas confondre ce que tu cristallises sous la question de l'autorité et de son respect, et la réponse psychologique d'une personne atteinte d'une agression sexuelle. On n'est pas une c*nne parce qu'on a peur de claquer un mec, a priori plus fort que nous.
Rappel de Margaret Atwood : les hommes ont peur des femmes car ils s'imaginent qu'elles vont se moquer d'eux, les femmes ont peur des hommes car elles s'imaginent qu'ils vont les tuer. Le mec (ou la femme, d'ailleurs) capable de te défoncer la tête car tu as osé lui répondre, le/la frapper, il y en a toujours eu, ça ne date pas d'aujourd'hui. Les violences conjugales ne sont pas nouvelles, il me semble, ni les viols.
Pour ce que j’ai graissé, dans l’ordre :
- hors sujet, je n’ai ni dit, ni sous-entendu cela , mais alors, pas du tout.
C’est même le contraire !!
C’est la riposte de celles qui le pouvaient qui aidait celles qui ne le pouvaient pas à éduquer les types qui dès l’adolescence tentaient ce genre de comportement grossier.
- je n’ai jamais ni traité, ni sous-entendu qu’etait c.... celle qui ne ripostait pas.
Je ne sais pas où tu as pu comprendre ça ni comment .
- alors là, on tombe dans la quatrième dimension, en rapprochant ce que j’ai écrit avec les violences conjugales.
Tristana, je suis vraiment d’accord pour la lutte, tout ça, mais il va falloir te détendre un peu et arrêter de lire chaque commentaire à l’aune de la lutte , cela t’amène à faire de sacrées confusions dans ta lecture , dans ta vision des autres et de ce qu’ils pensent et finalement, ça va pourrir les rapports avec eux.
Un exemple : nos rapports sont dorénavant terminés, ce qui est dommage, parce que sur les fils dédiés, je te trouvais très pertinente.
Mais là, tu m’as sérieusement couru sur le haricot avec ton intervention totalement injuste et hors de propos, tu confonds tout , tu accuses, tu détiens la vérité sur ce que les gens pensent et deviens franchement lénifiante .
Ce n’est plus admissible, alors ou tu arrêtes de voir le mal partout, ou tu fais un peu d’effort en compréhension de texte, là, parce tu tournes en boucle.
Je n’ai jamais vu une lecture aussi hors sujet et partiale, en contre sens total, tu as abusé.
C’est donc un au revoir.
Amuse toi à essayer de prouver que tu as raison, que sous mes propos il y avait ce dont tu m’accuses, que je refuse de discuter , tout ça, tout ça, je ne le lirai pas, et tant mieux.
Les limites, tu viens de les dépasser : action- réaction.
Rabelais, en l'occurrence, on peut juste se tromper d'interprétation. C'est un sujet sensible pour moi, et j'ai sans doute analysé tes propos complètement de travers.
Ça arrive, tu m'en vois désolée. Mais je suis contente que ça ait été éclairci.
_________________
« C’est tout de même épatant, et pour le moins moderne, un dominant qui vient chialer que le dominé n’y met pas assez du sien. »
Virginie Despentes
- VerduretteModérateur
Babarette a écrit:Pardon, je sais ce que c'est que le harcèlement. Un membre nous dit que le môme vit un enfer au collège, tu réponds que c'est plus éducatif qu'une baffe. Je m'arrête là, parce que je n'ai plus envie de me faire du mal à te lire.
La baffe ayant eu lieu jeudi 13 si j'ai bien suivi, la vidéo a fait du bruit la semaine dernière. Donc oui, le collégien a peut-être "vécu un enfer" au collège cette semaine. (Je pense que le terme est tout de même un peu excessif ...) Comme il n'aurait eu probablement aucun scrupule à faire vivre un enfer à d'autres avec une de ses vidéos à la c... Donc ça lui montre ce que ça fait, et donc c'est éducatif.
Il est très probable que le soufflé va retomber tout seul. Et il trouvera des activités plus intelligentes que se filmer en train de faire l'idiot avec ses potes.
Le harcèlement suppose le long terme. Une semaine, ce n'est pas du harcèlement, je confirme.
- Thalia de GMédiateur
Babarette, tu reviens d'un ban de deux jours pour trop d'agressivité sur ce topic notamment et pas qu'envers Verdurette. Si tu veux prendre l'air plus longtemps, libre à toi.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- OudemiaBon génie
Le conducteur a eu une mise à pied d'une journée, cela vient de tomber.
Mais ce n'est pas pour cela que je remonte ce fil : j'ai vu tout à l'heure, dans Paris, un garçon se précipiter pour traverser devant une voiture (à un endroit bien large, en plus), et se retourner triomphant vers le groupe de ses camarades restés sur le trottoir, sans doute des élèves du lycée voisin, lycée au public sans problème, dont l'un filmait la scène...
J'aurais pu être dans cette voiture, ou alors mon mari...
Mais ce n'est pas pour cela que je remonte ce fil : j'ai vu tout à l'heure, dans Paris, un garçon se précipiter pour traverser devant une voiture (à un endroit bien large, en plus), et se retourner triomphant vers le groupe de ses camarades restés sur le trottoir, sans doute des élèves du lycée voisin, lycée au public sans problème, dont l'un filmait la scène...
J'aurais pu être dans cette voiture, ou alors mon mari...
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