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- HamletteFidèle du forum
Je suis à la bourre, et je dois dire rapidement à mes élèves de première S quelle OI acheter pour ma séquence sur le roman. Ce que j'avais initialement prévu ne tiendra pas la route vu le profil de ma classe. Je pensais à la Religieuse de Diderot, histoire de faire le mouvement littéraire et culturel des Lumières en même temps. Je ne l'ai pas complètement en tête là tout de suite : vous pensez que c'est faisable ? Vous l'avez déjà fait ? Il y a les allusions à la sexualité, mais pas moins gérables que dans les Liaisons Dangereuses non ?
- CircéExpert
Je réponds histoire de faire remonter le topic mais je ne l'ai pas lu.
- KilmenyEmpereur
Personnellement, je ne tenterai pas. Pourquoi pas l'Etranger ? Ou la Peste ?
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- henrietteMédiateur
Quand je vois comme les TL avaient eu du mal avec Jacques le Fataliste, je ne tenterais pas de roman de Diderot en 1e non plus.
Tu cherches impérativement un roman du XVIIIe ?
Tu cherches impérativement un roman du XVIIIe ?
- HamletteFidèle du forum
C'était pour faire d'une pierre deux coups : roman + Les Lumières... Je suis vraiment en retard...
- henrietteMédiateur
Pourquoi pas Manon Lescaut ? Ce n'est pas très long en plus, et il y a de nombreux doc d'étude disponibles sur le web si tu es un peu à la bourre.
- BlondieHabitué du forum
Je vais traiter a nouveau manon cette annee ca fonctionne plutot bien.
- surfeuseNiveau 8
Je suis en train de préparer une séquence sur ce roman pour une 1ère L (de niveau moyen) et je n'en trouve pas la lecture si malaisée que cela, à condition de constituer au préalable une séance sur les contextes et une autre sur le vocabulaire, en raison de termes généralement inconnus des élèves ("expier", "mortifications", "cilice", "noviciat", etc.).
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"L'école est faite pour libérer les enfants de l'amour de leurs parents. C'est une machine de guerre contre la famille "
" Je ne promettrai donc pas le plaisir, mais je donnerai comme fin la difficulté vaincue." (Alain).
- zeprofGrand sage
après ça dépend du profil de la classe : il y a quelques allusions au sexe + aux relations entre femmes si mes souvenirs sont bons...
selon les élèves ça peut être compliqué à gérer.
selon les élèves ça peut être compliqué à gérer.
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- surfeuseNiveau 8
Oui, le passage de la montée orgastique de la Mère supérieure, auquel la naïve Suzanne ne comprend rien, est comique mais ne sera sans doute jamais un morceau d'anthologie !
Compliqué à "gérer" ? Peut-être. Des réactions de parents à craindre ? Bah ! On verra bien. On n'est plus à l'époque où l'adaptation cinématographique de Jacques Rivette (1966) avait fait scandale, malgré une grande prudence du réalisateur qui s'était retenu de s'appesantir sur le saphisme...
Religieux ou non, à bas les tabous nom de nom de nom d... :censure: !
Compliqué à "gérer" ? Peut-être. Des réactions de parents à craindre ? Bah ! On verra bien. On n'est plus à l'époque où l'adaptation cinématographique de Jacques Rivette (1966) avait fait scandale, malgré une grande prudence du réalisateur qui s'était retenu de s'appesantir sur le saphisme...
Religieux ou non, à bas les tabous nom de nom de nom d... :censure: !
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" Je ne promettrai donc pas le plaisir, mais je donnerai comme fin la difficulté vaincue." (Alain).
- Thalia de GMédiateur
Tu nous diras comment ça a marché ? J'aime beaucoup ce roman.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- surfeuseNiveau 8
Je n'y manquerai pas !
Il me paraît intéressant de projeter une ou deux séquences des adaptations de Rivette et de Nicloux.
Il me paraît intéressant de projeter une ou deux séquences des adaptations de Rivette et de Nicloux.
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- zeprofGrand sage
surfeuse a écrit:Oui, le passage de la montée orgastique de la Mère supérieure, auquel la naïve Suzanne ne comprend rien, est comique mais ne sera sans doute jamais un morceau d'anthologie !
Compliqué à "gérer" ? Peut-être. Des réactions de parents à craindre ? Bah ! On verra bien. On n'est plus à l'époque où l'adaptation cinématographique de Jacques Rivette (1966) avait fait scandale, malgré une grande prudence du réalisateur qui s'était retenu de s'appesantir sur le saphisme...
Religieux ou non, à bas les tabous nom de nom de nom d... :censure: !
les réactions des parents ce n'est pas ce que je craindrais, c'est tout de même un classique...
non mais là je parle en pensant à mes classes, les miens seraient ingérables avec ce genre de textes mais ce n'est pas le profil de classe que tu dois avoir... déjà que les miens ont eu du mal à se remettre de certains passages de Candide ce ne sont pas des références en la matière mes chtis nélèves...
j'aime beaucoup ce roman moi aussi, tu nous diras comment ça a fonctionné ?
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- surfeuseNiveau 8
zeprof, tu veux dire que tes élèves seraient émoustillés par certains passages au point de proférer des plaisanteries scabreuses ? Non, pas le genre de mes 1ères L (classe calme et sympa composée d'une majorité de filles et de quelques garçons assez réservés), je crois...
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" Je ne promettrai donc pas le plaisir, mais je donnerai comme fin la difficulté vaincue." (Alain).
- OudemiaBon génie
Il y a des textes que je préfère; le seul intérêt ici c'est montrer comment Diderot veut casser de la religion, son héroîne est une cruchasse innocente qui va de malheur en malheur, c'est complètement artificiel, évidemment on comprend mieux M.Homais après cela...
- zeprofGrand sage
oui voilà mais moi j'ai des classes de "males" et je suis en lycée pro...
pour te dessiner le profil ils ont ricané pendant 10 minutes sur un extrait de Tolkien où la traduction fait mention de "gorge profonde" (c'était à l'origine la description du Mordor) donc si tu veux, il ne leur faut pas grand chose...
ceci étant j'avais une année tenté les liaisons dangereuses (classe mixte) et ça s'était étonnamment bien passé...
pour te dessiner le profil ils ont ricané pendant 10 minutes sur un extrait de Tolkien où la traduction fait mention de "gorge profonde" (c'était à l'origine la description du Mordor) donc si tu veux, il ne leur faut pas grand chose...
ceci étant j'avais une année tenté les liaisons dangereuses (classe mixte) et ça s'était étonnamment bien passé...
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- surfeuseNiveau 8
Je vois, zeprof, je vois...
Je voulais un roman du XVIIe siècle. J'aurais aimé reprendre Les Liaisons dangereuses mais ma classe manque par trop de vocabulaire et je souhaitais changer...
Je nuancerais fortement cette opinion.
Certes, Diderot avait des comptes à régler avec l'Eglise catholique (un frère abbé devenu fanatique, une soeur morte folle à 28 ans dans un couvent) mais La Religieuse, c'est surtout une oeuvre qui condamne les conséquences catastrophiques de la vie monastique imposée. Diderot, on le sait, était athée et a maintes fois critiqué les représentants du clergé, par exemple dans le Supplément. Mais ce sont surtout les fanatiques qu'il dénonce, ainsi que les névroses générées par l'enfermement forcé de jeunes filles sans aucune vocation religieuse.
L'une des mères supérieures présentées dans le roman est une figure positive, soeur Ursule l'est également, ainsi que le grand vicaire qui va sauver Suzanne du sadisme de soeur Christine...
Complètement artificiel ? Je ne suis pas du tout sûre que les malheurs évoqués de Suzanne (candide, insensible à l'appel de la chair qu'elle ne comprend pas, mais pas du tout sotte, lucide, même, et courageuse) ne soient pas au moins un peu vraisemblables, dans ce roman-mémoires, à mon avis, très largement réaliste.
Je voulais un roman du XVIIe siècle. J'aurais aimé reprendre Les Liaisons dangereuses mais ma classe manque par trop de vocabulaire et je souhaitais changer...
Oudemia a écrit:Il y a des textes que je préfère; le seul intérêt ici c'est montrer comment Diderot veut casser de la religion, son héroîne est une cruchasse innocente qui va de malheur en malheur, c'est complètement artificiel, évidemment on comprend mieux M.Homais après cela...
Je nuancerais fortement cette opinion.
Certes, Diderot avait des comptes à régler avec l'Eglise catholique (un frère abbé devenu fanatique, une soeur morte folle à 28 ans dans un couvent) mais La Religieuse, c'est surtout une oeuvre qui condamne les conséquences catastrophiques de la vie monastique imposée. Diderot, on le sait, était athée et a maintes fois critiqué les représentants du clergé, par exemple dans le Supplément. Mais ce sont surtout les fanatiques qu'il dénonce, ainsi que les névroses générées par l'enfermement forcé de jeunes filles sans aucune vocation religieuse.
L'une des mères supérieures présentées dans le roman est une figure positive, soeur Ursule l'est également, ainsi que le grand vicaire qui va sauver Suzanne du sadisme de soeur Christine...
Complètement artificiel ? Je ne suis pas du tout sûre que les malheurs évoqués de Suzanne (candide, insensible à l'appel de la chair qu'elle ne comprend pas, mais pas du tout sotte, lucide, même, et courageuse) ne soient pas au moins un peu vraisemblables, dans ce roman-mémoires, à mon avis, très largement réaliste.
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" Je ne promettrai donc pas le plaisir, mais je donnerai comme fin la difficulté vaincue." (Alain).
- zeprofGrand sage
j'ai la même vision du roman surfeuse j'espère que tes élèves sauront apprécier.
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- surfeuseNiveau 8
Merci, Zeprof. J'use parfois moi-même d'une franchise brutale mais franchement, les jugements non argumentés à l'emporte-pièce.... eh bien, n'emportent pas ma conviction !
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"L'école est faite pour libérer les enfants de l'amour de leurs parents. C'est une machine de guerre contre la famille "
" Je ne promettrai donc pas le plaisir, mais je donnerai comme fin la difficulté vaincue." (Alain).
- OudemiaBon génie
SI c'est pour moi : je donne mon avis, tu as le tien, très bien ; je pourrais parfaitement me lancer dans une démonstration pour étayer ce que j'avance, mais je n'ai pas que ça à faire ce soir (ni demain...).surfeuse a écrit:Merci, Zeprof. J'use parfois moi-même d'une franchise brutale mais franchement, les jugements non argumentés à l'emporte-pièce.... eh bien, n'emportent pas ma conviction !
- trompettemarineMonarque
Je fais régulièrement ce roman en première générale ; ça marche très bien. Il a en outre l'avantage d'être plutôt court pour nos faibles lecteurs.
Je n'ai jamais eu de problème avec les parents. Les scènes croustillantes ne sont perçues par les élèves que parce qu'on le leur dit. Ils sont incapables de les percevoir par eux-mêmes.
Le regard impitoyable parfois de Diderot sur son personnage vaut le coup.
L'accroche est faite par la biographie de Diderot (Son propre destin et celui de sa soeur) et par la situation cocasse de l'écriture du roman (le canular initial).
En revanche, il faut bien dire aux élèves de ne regarder aucune des deux adaptations (Nicloux qui fait un contresens, et Rivette qui fait du Rivette)
La réflexion sur le corps privé de ses sensations et de son rapport au monde est essentiel chez Diderot.
On oscille entre le sérieux, le pathétique, le rire, la critique de la vie monastique (mais aussi de Dieu même si Diderot s'en défendait lui-même)
Il faut guider les élèves sur les premières pages, après ça roule tout seul.... jusqu'à la fin, où l'on a l'impression comme souvent chez Diderot, que l'auteur a voulu rapidement se débarrasser de son personnage.
C'est un Diderot accessible aux élèves, bien plus que Jacques le Fataliste, ou Le neveu de Rameau (parce que la narration est très chronologique)
Pour compléter l'étude, il y a :
L'ellipse sur La religieuse , très pratique ;
il y aussi Denis Versini, Diderot (chez Hachette), certains passages d'Attali 'Diderot ou le bonheur de penser) Diderot par Taymond Trousson, et dans la Foliothèque (mais j'ai du mal avec cette collection) Christophe Martin commente La religieuse.
En LA, je fais souvent l'incipit, la scène de la Religieuse folle, puis une partie du dialogue avec la mère supérieure d'Arpajon.
On pourrait ajouter aussi la scène de refus des voeux.
Je n'ai jamais eu de problème avec les parents. Les scènes croustillantes ne sont perçues par les élèves que parce qu'on le leur dit. Ils sont incapables de les percevoir par eux-mêmes.
Le regard impitoyable parfois de Diderot sur son personnage vaut le coup.
L'accroche est faite par la biographie de Diderot (Son propre destin et celui de sa soeur) et par la situation cocasse de l'écriture du roman (le canular initial).
En revanche, il faut bien dire aux élèves de ne regarder aucune des deux adaptations (Nicloux qui fait un contresens, et Rivette qui fait du Rivette)
La réflexion sur le corps privé de ses sensations et de son rapport au monde est essentiel chez Diderot.
On oscille entre le sérieux, le pathétique, le rire, la critique de la vie monastique (mais aussi de Dieu même si Diderot s'en défendait lui-même)
Il faut guider les élèves sur les premières pages, après ça roule tout seul.... jusqu'à la fin, où l'on a l'impression comme souvent chez Diderot, que l'auteur a voulu rapidement se débarrasser de son personnage.
C'est un Diderot accessible aux élèves, bien plus que Jacques le Fataliste, ou Le neveu de Rameau (parce que la narration est très chronologique)
Pour compléter l'étude, il y a :
L'ellipse sur La religieuse , très pratique ;
il y aussi Denis Versini, Diderot (chez Hachette), certains passages d'Attali 'Diderot ou le bonheur de penser) Diderot par Taymond Trousson, et dans la Foliothèque (mais j'ai du mal avec cette collection) Christophe Martin commente La religieuse.
En LA, je fais souvent l'incipit, la scène de la Religieuse folle, puis une partie du dialogue avec la mère supérieure d'Arpajon.
On pourrait ajouter aussi la scène de refus des voeux.
- trompettemarineMonarque
zeprof a écrit:après ça dépend du profil de la classe : il y a quelques allusions au sexe + aux relations entre femmes si mes souvenirs sont bons...
selon les élèves ça peut être compliqué à gérer.
Ils adorent cela : il suffit de leur faire chercher les allusions (car tout de même ce n'est pas un livre érotique) et ils lisent... (et ne les trouvent pas forcément)
Flatter les bas instincts pour les faire lire...puis les faire réfléchir sur la situation du voyeur qu'est le lecteur : tout un programme, un beau sujet de dissertation aussi.
- trompettemarineMonarque
surfeuse a écrit:Je n'y manquerai pas !
Il me paraît intéressant de projeter une ou deux séquences des adaptations de Rivette et de Nicloux.
La seule séquence de Nicloux qui est intéressante, c'est celle qui n'est pas dans le roman (comme quoi) :celle où le voile est posé sur Suzanne avant le refus des voeux : elle symbolise bien l'enfermement de Suzanne.
- surfeuseNiveau 8
Merci, Trompettemarine, pour ce témoignage et ces éléments d'analyse intéressants qui renforcent ma conviction, primo, que ce roman vaut la peine qu'on l'étudie ; secundo, que ça va bien se passer.
J'ai l'Ellipses et la description d'une séquence dans le dossier d'accompagnement de l'édition GF.
Je vais bientôt lancer quelques pistes. L'étude sera surtout menée en janvier.
A suivre...
J'ai l'Ellipses et la description d'une séquence dans le dossier d'accompagnement de l'édition GF.
Je vais bientôt lancer quelques pistes. L'étude sera surtout menée en janvier.
A suivre...
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" Je ne promettrai donc pas le plaisir, mais je donnerai comme fin la difficulté vaincue." (Alain).
- surfeuseNiveau 8
trompettemarine a écrit:il faut bien dire aux élèves de ne regarder aucune des deux adaptations (Nicloux qui fait un contresens, et Rivette qui fait du Rivette)
J'avais été déçue par le film de Nicloux à sa sortie. Je viens de me forcer à le revoir après m'être à nouveau intéressée de très près au roman. J'ai aussi recherché quelques critiques et je tombe bien d'accord avec l'analyse ci-dessous (au bas de la page) qui signale une pléthore d'incohérences :
http://www.altersexualite.com/spip.php?article762
Du coup, je vais visionner à nouveau attentivement la première adaptation, qui m'avait semblé il y a bien longtemps très fidèle à l'oeuvre de Diderot. L'auteur de cet article n'évoque chez Rivette qu'une carence (tout à fait compréhensible dans le contexte d'avant 68) : ce film "est resté largement en-deça de la composante lesbienne et a donc laissé dans les mémoires une impression fort incomplète" (...) la seule chose qui [lui] manquait [était] l’approfondissement de ce superbe personnage de lesbienne rendue hystérique par la répression sexuelle propre à la religion". Carence que Nicloux n'a pu parvenir à combler. il écrit avec raison : "Isabelle Huppert s’économise dans le rôle pourtant en or de la supérieure d’Arpajon. La scène de l’orgasme et celle du clavecin qui la précède sont inversées et réduites à pas grand-chose, alors que justement, c’est là qu’on attendait que le réalisateur osât ce que ne pouvait oser Rivette !"...
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