- Anne-LaureNiveau 1
Bonjour à toutes et à tous,
Je suis conseillère pédagogique et je mène en ce moment une recherche sur les valeurs des enseignants et leur influence dans le métier.
**Vous êtes enseignant et votre avis compte, nous avons besoin de vous**
Nous vous serions très reconnaissants de bien vouloir compléter ce questionnaire (ce lien a été désactivé) cela vous prendra 10 à 12 minutes. Ce serait vraiment chouette si vous preniez le temps, même si l'on sait que la période est plus que bien chargée.
C'est parfaitement anonyme (nous ne recueillons aucune adresse mail ou adresse IP), sentez-vous donc parfaitement libre et parfaitement à l'aise d'y répondre spontanément (et de le commenter si vous le souhaitez). Une explication plus détaillée de notre recherche vous est donnée à la fin du questionnaire.
Pour le succès de cette recherche, il faudrait que 600 enseignants répondent à ce questionnaire (ce qui d'après nos estimations sera possible si 5000 enseignants ouvrent ce mail). N'hésitez pas donc pas à diffuser à vos collègues et amis enseignants, cela nous sera d'une grande aide !
Merci à vous.
Anne-Laure P.
- PointàlaligneExpert
Bonjour,
il serait pertinent de dévoiler les explications au début et non à la fin du questionnaire (en les collant sur ce fil par exemple?) tant la notion étudiée demande une méthodologie rigoureuse.
il serait pertinent de dévoiler les explications au début et non à la fin du questionnaire (en les collant sur ce fil par exemple?) tant la notion étudiée demande une méthodologie rigoureuse.
- Anne-LaureNiveau 1
Bonjour,
Le "debriefing" est à la fin pour ne pas influencer les réponses des participants. C'est usuel dans la méthodologie de psychologie sociale, mais je comprends que cela puisse paraître surprenant.
Le "debriefing" est à la fin pour ne pas influencer les réponses des participants. C'est usuel dans la méthodologie de psychologie sociale, mais je comprends que cela puisse paraître surprenant.
- Lowpow29Fidèle du forum
Fait !
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La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile. Hippocrate
- EdithWGrand sage
Je suis peut-être un peu tatillonne mais le « ce serait chouette » me semble un peu cavalier. Ce qui serait « chouette » pour un chercheur, ce serait de s’exprimer de façon normale et non en utilisant un vocabulaire relâché.
- Anne-LaureNiveau 1
Bonjour Edith W,
Je m'exprimais en collègue puisque je suis conseillère pédagogique dans le premier degré (donc personnel EN).
Je prends bonne note de votre remarque.
Bonne journée.
Anne-Laure
Je m'exprimais en collègue puisque je suis conseillère pédagogique dans le premier degré (donc personnel EN).
Je prends bonne note de votre remarque.
Bonne journée.
Anne-Laure
- Fires of PompeiiGuide spirituel
C'est fait. J'ai ajouté des remarques sur le questionnaire. Je ne sais pas si elles seront lues, je l'espère.
_________________
Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- nicole 86Expert spécialisé
Pointàlaligne a écrit:Bonjour,
il serait pertinent de dévoiler les explications au début et non à la fin du questionnaire (en les collant sur ce fil par exemple?) tant la notion étudiée demande une méthodologie rigoureuse.
En ce qui me concerne cela m'a tellement gênée que j'ai abandonné et effacé mes réponses lorsque j'ai lu la dernière page. Il s'agit peut-être, en ce qui me concerne, d'un problème de génération et d'une compréhension plus large du mot "valeurs", il se peut aussi que je sois influencée par ma lecture en cours : Oser la bienveillance de Lytta Basset
- Lowpow29Fidèle du forum
EdithW a écrit:Je suis peut-être un peu tatillonne mais le « ce serait chouette » me semble un peu cavalier. Ce qui serait « chouette » pour un chercheur, ce serait de s’exprimer de façon normale et non en utilisant un vocabulaire relâché.
Sincèrement, c'est un message sur un forum, certes professionnel mais sur notre temps libre... Je ne vois ni le problème à écrire "ce serait chouette", ni le rapport avec le fait d'être chercheur, on n'est pas dans une communication officielle ! Bref chacun son avis mais je ne trouve pas ça très sympa pour Anne-Laure, faut arrêter de chercher la petite bête partout.
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La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile. Hippocrate
- Anne-LaureNiveau 1
Bonjour. Merci beaucoup !Fires of Pompeii a écrit:C'est fait. J'ai ajouté des remarques sur le questionnaire. Je ne sais pas si elles seront lues, je l'espère.
Oui, je lis à chaque fois les remarques. Elles sont à mon sens essentielles pour mieux comprendre ce que chacun pense du sujet et ne pas rester dans une démarche qui serait bien trop auto-centrée.
Bonne journée.
- Anne-LaureNiveau 1
nicole 86 a écrit:Pointàlaligne a écrit:Bonjour,
il serait pertinent de dévoiler les explications au début et non à la fin du questionnaire (en les collant sur ce fil par exemple?) tant la notion étudiée demande une méthodologie rigoureuse.
En ce qui me concerne cela m'a tellement gênée que j'ai abandonné et effacé mes réponses lorsque j'ai lu la dernière page. Il s'agit peut-être, en ce qui me concerne, d'un problème de génération et d'une compréhension plus large du mot "valeurs", il se peut aussi que je sois influencée par ma lecture en cours : Oser la bienveillance de Lytta Basset
Bonjour,
Merci d'avoir essayé.
Nous avons pris appui sur la théorie de Schwartz. C'est de la psychologie. Vous trouverez facilement des infos sur cette théorie en tapant les deux mots sur un moteur de recherche.
Je note la référence citée, j'irai y jeter un seul. Merci !
Bonne journée.
Anne-Laure
- Clecle78Bon génie
Personnellement je trouve l'enquête biaisée car les valeurs c'est bien joli mais la réalité est qu'on nous demande d'inclure des élèves sans aucun moyen et pour certains c'est tout bonnement impossible. L'école inclusive à tout prix ça fait parfois des dégâts et la véritable bienveillance serait de proposer à chacun ce qui est le mieux (vingt ans d'expérience avec des ulis)
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Clecle78 a écrit:Personnellement je trouve l'enquête biaisée car les valeurs c'est bien joli mais la réalité est qu'on nous demande d'inclure des élèves sans aucun moyen et pour certains c'est tout bonnement impossible. L'école inclusive à tout prix ça fait parfois des dégâts et la véritable bienveillance serait de proposer à chacun ce qui est le mieux (vingt ans d'expérience avec des ulis)
Ça fait partie des réserves que j'ai exprimées en fin de questionnaire.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- ErgoDevin
Le choix du mot « valeurs » vient de cet appui théorique ?Anne-Laure a écrit:
Bonjour,
Merci d'avoir essayé.
Nous avons pris appui sur la théorie de Schwartz. C'est de la psychologie. Vous trouverez facilement des infos sur cette théorie en tapant les deux mots sur un moteur de recherche.
Je note la référence citée, j'irai y jeter un seul. Merci !
Bonne journée.
Anne-Laure
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Ergo a écrit:Le choix du mot « valeurs » vient de cet appui théorique ?Anne-Laure a écrit:
Bonjour,
Merci d'avoir essayé.
Nous avons pris appui sur la théorie de Schwartz. C'est de la psychologie. Vous trouverez facilement des infos sur cette théorie en tapant les deux mots sur un moteur de recherche.
Je note la référence citée, j'irai y jeter un seul. Merci !
Bonne journée.
Anne-Laure
j'attendais ton intervention
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- Clecle78Bon génie
J'ai exprimé aussi ces réserves en fin de questionnaire
- ErgoDevin
Reloue à votre service.Fires of Pompeii a écrit:Ergo a écrit:Le choix du mot « valeurs » vient de cet appui théorique ?Anne-Laure a écrit:
Bonjour,
Merci d'avoir essayé.
Nous avons pris appui sur la théorie de Schwartz. C'est de la psychologie. Vous trouverez facilement des infos sur cette théorie en tapant les deux mots sur un moteur de recherche.
Je note la référence citée, j'irai y jeter un seul. Merci !
Bonne journée.
Anne-Laure
j'attendais ton intervention
J'ai quand même ouvert le lien, avant de poster, mais en fait, pour la lecture en détail je me suis arrêtée là :
Je crois bien que je n'ai rien compris à cette phrase, ce qui complique quand même, puisque c'est apparemment la base du questionnaire...Différentes études ont montré que les enseignant⋅e⋅s français⋅e⋅s (de la maternelle au lycée) expriment régulièrement des valeurs dites d'ouverture au changement qui sont importantes pour le bien-être et l'épanouissement professionnel.
Mais comme je ne suis pas concernée (de la maternelle au lycée), ce n'est pas bien grave, j'étais seulement curieuse.
- ProvenceEnchanteur
J’ai commencé le questionnaire mais j’ai renoncé en cours de route. La première question m’a paru fumeuse (j’imagine qu’il fallait retenir les mots en gras dans le texte proposé à la lecture). Je n’ai rien compris aux questions suivantes. Plus exactement, je n’ai vu ni le lien avec mon métier, ni le lien avec mes pratiques. Pour certaines questions, aucune des réponses proposées ne me convenait.
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Oui, le fait de mettre des mots en gras dans la première question va orienter les réponses (moi j'ai pris soin de ne pas les écrire mais on est loin de la réponse spontanée).
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- PrezboGrand Maître
J'ai essayé de jouer le jeu (je ne cache pas que j'avais un a priori négatif, et que ça m'a sans doute influencé), je n'ai pas réussi à répondre dès la première page du fait du caractère biaisé et orienté des questions. A vrai dire, je n'ai pas eu l'impression qu'on me posait une question, mais simplement qu'on me demandait de reprendre les éléments de discours de l'interrogateur.
Anne-Laure, je suis désolé d'être désagréable, d'autant que je suppose que vous ne lançez pas vous même cette demande en étant malveillante, mais le fait est que ce genre de questionnaire est régulièrement posté sur Neoprofs, et que j'ai de forts doutes sur la solidité méthodologique de ce genre d'études fondées sur des réponses volontaires et anonymes, ne serait-ce qu'en raison de l'important biais de sélection des réponses. Comme j'ai des doutes sur la solidité des fondements théoriques et des références bibliographiques d'un travail qui commence par "Différentes études ont montré que...".
Ca ne serait pas si grave si ce n'était pas un travail réalisé par des "chercheurs.euses" en INSPE, et si les INSPE n'avaient pas un monopole sur la formation initiale des enseignants...
Anne-Laure, je suis désolé d'être désagréable, d'autant que je suppose que vous ne lançez pas vous même cette demande en étant malveillante, mais le fait est que ce genre de questionnaire est régulièrement posté sur Neoprofs, et que j'ai de forts doutes sur la solidité méthodologique de ce genre d'études fondées sur des réponses volontaires et anonymes, ne serait-ce qu'en raison de l'important biais de sélection des réponses. Comme j'ai des doutes sur la solidité des fondements théoriques et des références bibliographiques d'un travail qui commence par "Différentes études ont montré que...".
Ca ne serait pas si grave si ce n'était pas un travail réalisé par des "chercheurs.euses" en INSPE, et si les INSPE n'avaient pas un monopole sur la formation initiale des enseignants...
- ZeSandmanFidèle du forum
Je suis allé regarder par curiosité, j'ai réussi à lire la page d'accueil et la première page du questionnaire, et cela a suffi à me convaincre de ne pas y répondre.
Je ne suis pas sûr déjà d'adhérer au modèle de Schwartz ; je n'y connais rien, attention, mais opposer par exemple bienveillance et pouvoir me semble un brin caricatural.
Je note que les trois valeurs liées à la conservation ont été transposées au monde enseignant, et je vous pose la question Anne-Laure : cette transposition est-elle le fruit du travail de Schwartz lui-même ? Vient-elle d'un travail d'un chercheur reconnu en psychologie ? Ou est-ce le fruit de votre groupe de travail, votre interprétation de cette théorie ?
Si c'est le cas, je me sens alors obligé de me demander quelles sont vos compétences pour ce faire, et quelle valeur (justement) peut avoir cette transposition.
En tout cas en lisant on sent implicitement que ce n'est pas super positif ces valeurs de conservation pour un enseignant, si on les inscrit dans la tendance majoritaire des discours pédagogiques actuels.
Avec cette grille de lecture, je ne peux m'empêcher de retrouver pas mal de marqueurs issus de la pensée constructiviste, la conservation étant l'ennemi de cette pédagogie qui se veut moderne et innovante (et donc à ne pas "véhiculer un socle culturel issu du passé").
Les valeurs de conservation chez l'enseignant l'amènent à ne pas prendre de risques par peur du danger, à inhiber les désirs des élèves en les contraignant à l'obéissance (que vient faire la politesse ici, sérieusement ?), à garder les mêmes habitudes de travail, "quelles que soit (et pas quelques soient) les circonstances".
Je ne peux m'empêcher, à tort ou à raison, de retrouver ici cette image dans laquelle les adeptes de cette pédagogie cherchent à enfermer ceux qui expriment des doutes quant à son efficacité depuis une trentaine d'années.
Ce genre de discours qui est largement véhiculé par les IPR et les IEN, ainsi que par leurs vizirs/courtisans conseillers pédagogiques.
Je n'adhère pas à cette pensée, et c'est pourquoi je ne contribuerai pas à votre "étude", mais je suis sûr que de nombreux collègues y trouveront leur compte.
J'ai donc arrêté de répondre au milieu ; je vous remercie d'avoir pris la peine de me rassurer au préalable sur ce choix :
Sérieusement ? Se justifier ? Subir des préjudices ?
Voilà encore un marqueur bien caractéristique de l'état d'esprit de nombre d'IEN, infantilisants et dans la répression.
Mais ce n'est que mon point de vue, et je dois sûrement me tromper.
Je ne suis pas sûr déjà d'adhérer au modèle de Schwartz ; je n'y connais rien, attention, mais opposer par exemple bienveillance et pouvoir me semble un brin caricatural.
Je note que les trois valeurs liées à la conservation ont été transposées au monde enseignant, et je vous pose la question Anne-Laure : cette transposition est-elle le fruit du travail de Schwartz lui-même ? Vient-elle d'un travail d'un chercheur reconnu en psychologie ? Ou est-ce le fruit de votre groupe de travail, votre interprétation de cette théorie ?
Si c'est le cas, je me sens alors obligé de me demander quelles sont vos compétences pour ce faire, et quelle valeur (justement) peut avoir cette transposition.
En tout cas en lisant on sent implicitement que ce n'est pas super positif ces valeurs de conservation pour un enseignant, si on les inscrit dans la tendance majoritaire des discours pédagogiques actuels.
Avec cette grille de lecture, je ne peux m'empêcher de retrouver pas mal de marqueurs issus de la pensée constructiviste, la conservation étant l'ennemi de cette pédagogie qui se veut moderne et innovante (et donc à ne pas "véhiculer un socle culturel issu du passé").
Les valeurs de conservation chez l'enseignant l'amènent à ne pas prendre de risques par peur du danger, à inhiber les désirs des élèves en les contraignant à l'obéissance (que vient faire la politesse ici, sérieusement ?), à garder les mêmes habitudes de travail, "quelles que soit (et pas quelques soient) les circonstances".
Je ne peux m'empêcher, à tort ou à raison, de retrouver ici cette image dans laquelle les adeptes de cette pédagogie cherchent à enfermer ceux qui expriment des doutes quant à son efficacité depuis une trentaine d'années.
Ce genre de discours qui est largement véhiculé par les IPR et les IEN, ainsi que par leurs vizirs/courtisans conseillers pédagogiques.
Je n'adhère pas à cette pensée, et c'est pourquoi je ne contribuerai pas à votre "étude", mais je suis sûr que de nombreux collègues y trouveront leur compte.
J'ai donc arrêté de répondre au milieu ; je vous remercie d'avoir pris la peine de me rassurer au préalable sur ce choix :
page d'accueil a écrit:
• Inconvénients et risques pour les participant•e•s :
Il n’y a aucun risque à prendre part à cette étude. Sachez également que votre participation est volontaire et que vous pourrez vous retirer à tout moment sans devoir vous justifier ni subir de préjudice.
Sérieusement ? Se justifier ? Subir des préjudices ?
Voilà encore un marqueur bien caractéristique de l'état d'esprit de nombre d'IEN, infantilisants et dans la répression.
Mais ce n'est que mon point de vue, et je dois sûrement me tromper.
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Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
- IphigénieProphète
Il faudrait d’abord une définition de ce qu’on appelle valeur: j’ai l’impression que ce mot recouvre ici: habitudes, principes, traits de caractère, convictions, croyances, préjugés et sentiments: ça fait beaucoup...
- HirondelleNiveau 8
J'ai répondu à tout le questionnaire mais je l'ai trouvé très culpabilisant et très "à la mode" de ce qu'aime le ministère en ce moment, à savoir nous culpabiliser en nous accusant de ne pas bien respecter la loi de 2005.
Ma position est la suivante : on fait ce qu'on peut avec le peu qu'on a. Il m'a été impossible d'exprimer cet avis, aussi j'ai rempli la dernière partie sur les remarques de façon assez salée.
Ma position est la suivante : on fait ce qu'on peut avec le peu qu'on a. Il m'a été impossible d'exprimer cet avis, aussi j'ai rempli la dernière partie sur les remarques de façon assez salée.
- BabelleNiveau 10
Provence a écrit:J’ai commencé le questionnaire mais j’ai renoncé en cours de route. La première question m’a paru fumeuse (j’imagine qu’il fallait retenir les mots en gras dans le texte proposé à la lecture). Je n’ai rien compris aux questions suivantes. Plus exactement, je n’ai vu ni le lien avec mon métier, ni le lien avec mes pratiques. Pour certaines questions, aucune des réponses proposées ne me convenait.
Idem pour moi.
Je n'ai rien compris et n'ai pas eu envie de continuer.
- gregforeverGrand sage
Pour moi ce n'est pas un questionnaire sur nos valeurs mais un questionnaire sur les élèves à BEP.
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