- Graisse-BoulonsNiveau 10
E. Macron :
« Je vais faire un constat qui est de dire : on met trop de pognon, on déresponsabilise et on est dans le curatif. Toute notre politique sociale, c’est qu’on doit mieux prévenir – ça nous coûtera moins, ensemble – et mieux responsabiliser tous les acteurs », s’écrie le président. « Les gens pauvres restent pauvres, ceux qui tombent pauvres restent pauvres. On doit avoir un truc qui permet aux gens de s’en sortir. Par l’éducation… », poursuit-il.
Relevé sur https://www.lemonde.fr/emmanuel-macron/article/2018/06/13/pour-macron-les-aides-sociales-coutent-un-pognon-de-dingue-sans-resoudre-la-pauvrete_5313870_5008430.html
Pour ce qui est de la dépense sociale, l'insee indique ici :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3303536?sommaire=3353488&q=Structure+des+d%C3%A9pense+publiques+en+2016#tableau-T18F133G2
- 43.3 % des dépenses vont à l'aide sociale;
- 9.6 % à l'enseignement.
Comme chacun le sait, l' "enseignement" ce sont aussi des frais de chauffage, des repas subventionnés, des bâtiments à entretenir ets... En ce qui concerne les salaires, l'EN comporte en effectifs un "non-prof" pour trois profs et, considérant que les profs sont les moins bien payés des catégorie A, on peut en déduire, tout bien considéré, que sur les pourcentages donnés par l'INSEE, la vérité est que le total des salaires des enseignants représente bien peu de chose, probablement de l'ordre de 2 à 3 %. Pourtant, on a décider de ne "rien leur lâcher" et on va même contourner le problème du recrutement en laissant les proviseurs recruter comme ils pourront les gens qui voudront bien se présenter...Dans ces conditions, je ne comprend pas que l'on puisse honnêtement envisager de "guérir" la maladie de dépendance vis a vis des aides par la "formation"...
« Je vais faire un constat qui est de dire : on met trop de pognon, on déresponsabilise et on est dans le curatif. Toute notre politique sociale, c’est qu’on doit mieux prévenir – ça nous coûtera moins, ensemble – et mieux responsabiliser tous les acteurs », s’écrie le président. « Les gens pauvres restent pauvres, ceux qui tombent pauvres restent pauvres. On doit avoir un truc qui permet aux gens de s’en sortir. Par l’éducation… », poursuit-il.
Relevé sur https://www.lemonde.fr/emmanuel-macron/article/2018/06/13/pour-macron-les-aides-sociales-coutent-un-pognon-de-dingue-sans-resoudre-la-pauvrete_5313870_5008430.html
Pour ce qui est de la dépense sociale, l'insee indique ici :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3303536?sommaire=3353488&q=Structure+des+d%C3%A9pense+publiques+en+2016#tableau-T18F133G2
- 43.3 % des dépenses vont à l'aide sociale;
- 9.6 % à l'enseignement.
Comme chacun le sait, l' "enseignement" ce sont aussi des frais de chauffage, des repas subventionnés, des bâtiments à entretenir ets... En ce qui concerne les salaires, l'EN comporte en effectifs un "non-prof" pour trois profs et, considérant que les profs sont les moins bien payés des catégorie A, on peut en déduire, tout bien considéré, que sur les pourcentages donnés par l'INSEE, la vérité est que le total des salaires des enseignants représente bien peu de chose, probablement de l'ordre de 2 à 3 %. Pourtant, on a décider de ne "rien leur lâcher" et on va même contourner le problème du recrutement en laissant les proviseurs recruter comme ils pourront les gens qui voudront bien se présenter...Dans ces conditions, je ne comprend pas que l'on puisse honnêtement envisager de "guérir" la maladie de dépendance vis a vis des aides par la "formation"...
- CathEnchanteur
Ah mais on ne l'envisage pas réellement... C'est juste un effet d'annonce, histoire de faire passer la pilule.
- New ZealandNiveau 9
Un des commentateurs du Monde approuvait ce qu'il disait, tout en soulignant que rien de ce qui avait été fait jusqu'à présent ni de ce qui avait été annoncé (éducation et formation continue). J'ai trouvé qu'il avait raison. Comme d'habitude, de la com', des constats pas nécessairement faux mais qu'on se doute qu'ils vont déboucher sur une diminution des aides ou des économies sur le dos de la fonction publique.
- Actions sociales en faveur des personnels de l’education nationale
- L'IUFM de Créteil, avec les STAPS et l'IUT Carrières sociales, devient Ecole de l'éducation, de la formation et de l'intervention sociale.
- Ils ont gagné des millions : 21 millions d'euros d'investissement, dont 10 millions d'aides publiques, pour 10 projets privés en "E-education"
- Fernando Cardenal, ancien ministre de l'Education, directeur du mouvement d'éducation catholique "Fe y Alegria"
- Le "salon professionnel de l'éducation" aura lieu, comme tous les ans, pendant que les professionnels de l'éducation travaillent.
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